Thieves steal ancient gold from Syria’s national museum, sources say

Thieves made off with several ancient gold ingots from Syria’s national museum in Damascus, a security source and another close to the institution’s management said Tuesday.The museum was spared during Syria’s destructive civil war that ran from 2011 to late last year, and houses priceless artefacts dating back to antiquity.The robbery took place overnight from Sunday to Monday, with the source close to the management telling AFP that “six items were stolen from the so-called classical wing” — one of the museum’s most important sections, home to artefacts from the Hellenistic, Roman and Byzantine eras.They described the items as gold ingots, without specifying their age or provenance.The security source separately confirmed the details.A manager at the museum declined to comment, saying only that the institution “is closed for security reasons and will reopen next week”.Syrian authorities have also not officially confirmed the burglary.Another security source said “several employees and guards at the museum were detained” after the theft, and were “subjected to interrogation before being released”.An official from the department overseeing Syria’s museums told AFP on condition of anonymity that security forces had forbidden employees from entering the exhibition halls since the incident.AFP journalists who visited the museum found it was closed — as it is every Tuesday — with no outward signs of anything amiss.The national museum had shut its doors due to fears of looting shortly before longtime ruler Bashar al-Assad was deposed last December by an Islamist coalition. It reopened in January.The institution’s collections include tens of thousands of items from Syria’s long history, ranging from prehistoric tools to Greco-Roman sculpture to pieces of Islamic art.During the civil war, many pieces stored elsewhere in the country were brought to the facility for safekeeping.The war saw archaeological sites bombed, museums looted and many artefacts stolen, generating millions of dollars for traffickers.

Macron commémore le 11-Novembre et honore les incorporés de force dans l’armée allemande

Emmanuel Macron a présidé mardi les cérémonies du 107e anniversaire de l’Armistice de 1918 sur les Champs-Elysées et à l’Arc de Triomphe, rendant aussi hommage aux Alsaciens et Mosellans enrôlés de force à l’armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale.Les cérémonies du 11-Novembre marquent la fin de la Première Guerre mondiale mais sont dédiées à tous les soldats tombés pour la France, quels que soient les conflits.Le chef de l’Etat a débuté son programme en mettant en lumière le sort des “Malgré-Nous” de la Seconde Guerre mondiale. Il s’agit d’environ 130.000 Alsaciens et Mosellans qui, considérés comme Allemands après l’annexion de ces territoires, avaient dû intégrer l’armée allemande.Environ 40.000 de ces hommes ne sont jamais revenus: 30.000 ont péri lors des combats ou en captivité et 10.000 à 12.000 sont portés disparus.Le sort des “Malgré-Nous”, accusés après la guerre d’avoir trahi, est longtemps resté tabou et demeure un sujet douloureux.Emmanuel Macron, accompagné du Premier ministre Sébastien Lecornu, de la ministre des Armées Catherine Vautrin et de la ministre déléguée Alice Rufo, a assisté au dévoilement d’une plaque à l’Hôtel national des Invalides.Cette cérémonie avait pour but “de leur rendre hommage, conformément à la volonté du chef de l’Etat de reconnaître et d’enseigner la tragédie des +Malgré-Nous+”, selon l’Elysée.Emmanuel Macron a remercié les invités présents de “porter cette mémoire”. “Elle est gravée maintenant dans la pierre de cette enceinte. Il faudra continuer de la transmettre”, a-t-il dit.Sur les Champs-Elysées, le président a ensuite déposé une gerbe tricolore devant la statue de l’homme d’Etat Georges Clemenceau, surnommé “le père de la victoire” pour son rôle dans la Première Guerre mondiale.Puis son convoi a remonté l’avenue jusqu’à l’Arc de Triomphe. Sous les notes de La Marseillaise, Emmanuel Macron a rendu honneur au drapeau et passé en revue les troupes, avant de se recueillir devant la tombe du Soldat inconnu.Les commémorations ont réuni une multitude de personnalités politiques, comme le président du Sénat Gérard Larcher, la maire de Paris Anne Hidalgo ou encore la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet.

Macron commémore le 11-Novembre et honore les incorporés de force dans l’armée allemande

Emmanuel Macron a présidé mardi les cérémonies du 107e anniversaire de l’Armistice de 1918 sur les Champs-Elysées et à l’Arc de Triomphe, rendant aussi hommage aux Alsaciens et Mosellans enrôlés de force à l’armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale.Les cérémonies du 11-Novembre marquent la fin de la Première Guerre mondiale mais sont dédiées à tous les soldats tombés pour la France, quels que soient les conflits.Le chef de l’Etat a débuté son programme en mettant en lumière le sort des “Malgré-Nous” de la Seconde Guerre mondiale. Il s’agit d’environ 130.000 Alsaciens et Mosellans qui, considérés comme Allemands après l’annexion de ces territoires, avaient dû intégrer l’armée allemande.Environ 40.000 de ces hommes ne sont jamais revenus: 30.000 ont péri lors des combats ou en captivité et 10.000 à 12.000 sont portés disparus.Le sort des “Malgré-Nous”, accusés après la guerre d’avoir trahi, est longtemps resté tabou et demeure un sujet douloureux.Emmanuel Macron, accompagné du Premier ministre Sébastien Lecornu, de la ministre des Armées Catherine Vautrin et de la ministre déléguée Alice Rufo, a assisté au dévoilement d’une plaque à l’Hôtel national des Invalides.Cette cérémonie avait pour but “de leur rendre hommage, conformément à la volonté du chef de l’Etat de reconnaître et d’enseigner la tragédie des +Malgré-Nous+”, selon l’Elysée.Emmanuel Macron a remercié les invités présents de “porter cette mémoire”. “Elle est gravée maintenant dans la pierre de cette enceinte. Il faudra continuer de la transmettre”, a-t-il dit.Sur les Champs-Elysées, le président a ensuite déposé une gerbe tricolore devant la statue de l’homme d’Etat Georges Clemenceau, surnommé “le père de la victoire” pour son rôle dans la Première Guerre mondiale.Puis son convoi a remonté l’avenue jusqu’à l’Arc de Triomphe. Sous les notes de La Marseillaise, Emmanuel Macron a rendu honneur au drapeau et passé en revue les troupes, avant de se recueillir devant la tombe du Soldat inconnu.Les commémorations ont réuni une multitude de personnalités politiques, comme le président du Sénat Gérard Larcher, la maire de Paris Anne Hidalgo ou encore la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet.

Macron commémore le 11-Novembre et honore les incorporés de force dans l’armée allemande

Emmanuel Macron a présidé mardi les cérémonies du 107e anniversaire de l’Armistice de 1918 sur les Champs-Elysées et à l’Arc de Triomphe, rendant aussi hommage aux Alsaciens et Mosellans enrôlés de force à l’armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale.Les cérémonies du 11-Novembre marquent la fin de la Première Guerre mondiale mais sont dédiées à tous les soldats tombés pour la France, quels que soient les conflits.Le chef de l’Etat a débuté son programme en mettant en lumière le sort des “Malgré-Nous” de la Seconde Guerre mondiale. Il s’agit d’environ 130.000 Alsaciens et Mosellans qui, considérés comme Allemands après l’annexion de ces territoires, avaient dû intégrer l’armée allemande.Environ 40.000 de ces hommes ne sont jamais revenus: 30.000 ont péri lors des combats ou en captivité et 10.000 à 12.000 sont portés disparus.Le sort des “Malgré-Nous”, accusés après la guerre d’avoir trahi, est longtemps resté tabou et demeure un sujet douloureux.Emmanuel Macron, accompagné du Premier ministre Sébastien Lecornu, de la ministre des Armées Catherine Vautrin et de la ministre déléguée Alice Rufo, a assisté au dévoilement d’une plaque à l’Hôtel national des Invalides.Cette cérémonie avait pour but “de leur rendre hommage, conformément à la volonté du chef de l’Etat de reconnaître et d’enseigner la tragédie des +Malgré-Nous+”, selon l’Elysée.Emmanuel Macron a remercié les invités présents de “porter cette mémoire”. “Elle est gravée maintenant dans la pierre de cette enceinte. Il faudra continuer de la transmettre”, a-t-il dit.Sur les Champs-Elysées, le président a ensuite déposé une gerbe tricolore devant la statue de l’homme d’Etat Georges Clemenceau, surnommé “le père de la victoire” pour son rôle dans la Première Guerre mondiale.Puis son convoi a remonté l’avenue jusqu’à l’Arc de Triomphe. Sous les notes de La Marseillaise, Emmanuel Macron a rendu honneur au drapeau et passé en revue les troupes, avant de se recueillir devant la tombe du Soldat inconnu.Les commémorations ont réuni une multitude de personnalités politiques, comme le président du Sénat Gérard Larcher, la maire de Paris Anne Hidalgo ou encore la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet.

Après la dermatose, les éleveurs des Alpes reconstituent leurs troupeaux

D’imposantes Montbéliardes sortent prudemment du camion: Tomate, Rome, Sexy et Oasis arrivent pour reconstituer le troupeau de Nicolas Prud’homme, éleveur laitier à Saint-Ferréol, en Haute-Savoie, frappé par l’épidémie de dermatose nodulaire contagieuse.Touché par l’épizootie, une partie de son cheptel, soit 68 bêtes, a été abattu cet été. “C’était une période très difficile, avec des moments durs à vivre”, confie pudiquement le Savoyard, également président du syndicat FDSEA pour le canton de Faverges.Mais ce matin ensoleillé de novembre, le sourire lui revient.”Celle-là, elle m’avait tapé dans l’oeil quand je l’ai vue”, lâche l’éleveur, en désignant Oasis: “elle est puissante, a un bon bassin, de bons aplombs, une mamelle encore fonctionnelle après cinq veaux”.”Le troupeau c’est un effectif, comme un club de foot”, explique Nicolas Prud’homme. Les élevages ont leurs vedettes, les éleveurs recherchent une star, “un peu comme un Ousmane Dembélé” : “c’est le travail de toute une vie”.Cet été, il a perdu deux bêtes de grande valeur pour leur génétique, leur production et leur morphologie, et plusieurs autres pas loin d’être aussi des championnes.Le geste fraternel de son confrère Thierry Dumoulin qui a accepté de lui vendre Oasis, au lieu de la garder pour son propre élevage, le touche d’autant plus : “On ne veut pas la charité. Mais faire l’effort de nous vendre un animal comme ça, c’est phénoménal.” – Lot par lot -“Autant faire plaisir à des éleveurs qui ont quand même eu le mérite de se sacrifier pour les autres”, commente le vendeur, venu de Savoie. Si les confrères n’avaient pas abattu leurs troupeaux, “peut-être qu’on n’aurait pas été touché pareil”, dit-il. Un esprit de solidarité lié aussi à une situation malheureusement familière: dans les années 1990, sa famille avait perdu ses bêtes dans l’épidémie de brucellose. Il le sait, c’est un “traumatisme pour l’éleveur”. Cet été fatal pour ses bêtes, Nicolas Prud’homme “va y penser toute sa vie. Mais je pense qu’il a de quoi rebondir”, espère Thierry Dumoulin.Trois vaches la semaine passée, huit la veille au matin puis trois dans l’après-midi. Les arrivées se poursuivront la semaine prochaine. Par petits lots, pour une acclimatation en douceur des animaux, dont le lait sert à produire du reblochon.Pour stopper la propagation de la maladie, transmise via des insectes piqueurs mais qui n’atteint pas l’homme, les autorités avaient imposé d’abattre toutes les bêtes d’un troupeau vivant ensemble dès qu’un cas était détecté. La mesure, très contestée par les syndicats Coordination rurale et Confédération paysanne, s’est doublée d’une campagne massive de vaccination. Sur 2.700 animaux abattus en France, plus de 1.700 l’ont été dans une zone se partageant entre la Haute-Savoie, la Savoie et l’Ain, premier épicentre de la maladie désormais plus présente dans les Pyrénées.- Faire ses comptes -Pour reconstituer les élevages laitiers des Alpes, il faut 500 ou 600 vaches, selon Cédric Laboret, président de la Chambre d’agriculture Savoie Mont Blanc. “Aujourd’hui, plus des deux tiers des animaux ont déjà été trouvés et amenés dans les fermes”, estime-t-il. Tout la filière a répondu à l’appel: Etat et préfecture, mutuelle, banques, coopératives et interprofession (lait, fromagers, affineurs…), syndicat, etc. L’Aftalp par exemple, l’association des fromages traditionnels des Alpes, a organisé une importante cagnotte de soutien.Nicolas Prud’homme n’a pas encore fait ses comptes. Les dossiers d’indemnisation sont encore en cours, il estime avoir pour l’instant touché un tiers des sommes promises. A l’achat, une vache revient à 2.400-2.500 euros en moyenne par tête.”Il nous faudra cinq ans pour que nos exploitations soient au niveau d’avant crise”, avance-t-il, en invitant la ministre Annie Genevard à revenir “pour faire un bilan”. Les agriculteurs attendent également l’issue de l’enquête sur l’origine de la contamination. “Parce que sinon, il n’y a pas de raison que ça ne se reproduise pas”, met en garde Cédric Laboret.

Foot: Cristiano Ronaldo affirme que le Mondial-2026 sera “à coup sûr” son dernier

Le Portugais Cristiano Ronaldo a déclaré mardi que la Coupe du Monde 2026 serait la dernière de sa carrière, alors qu’il entame la fin de l’un des parcours les plus exceptionnels de l’histoire du football.Interrogé par visio-conférence lors d’un forum sur le tourisme à Ryad pour savoir si le Mondial-2026, qui aura lieu cet été aux Etats-Unis, au Mexique et au Canada, serait son dernier, le quintuple Ballon d’or a répondu: “oui, à coup sûr, j’aurai 41 ans et je pense que ça sera le moment”.Ronaldo a également évoqué sa retraite, réaffirmant qu’il raccrocherait bientôt les crampons “soyons honnêtes, quand je dis bientôt, cela signifie probablement encore un ou deux ans”, a-t-il affirmé.Le Portugal n’est pas encore qualifié pour la prochaine Coupe du monde, mais pourrait l’être en battant l’Irlande jeudi.Ronaldo a rejoint le club saoudien d’Al-Nassr en 2023 après son deuxième passage à Manchester United.Depuis son arrivée en grande pompe en Arabie saoudite, d’autres joueurs de renom l’ont rejoint dans la Saudi Pro League, à l’image de son ancien coéquipier au Real Madrid Karim Benzema, et le royaume s’est vu attribuer l’organisation de la Coupe du monde 2034.Sous l’impulsion du prince héritier et dirigeant de facto du royaume, Mohammed ben Salmane, le plan de réformes Vision 2030 ambitionne d’ouvrir le pays et diversifier son économie largement dépendante du pétrole. Le sport tient une place prépondérante dans cette stratégie. Malgré une carrière exceptionnelle, Ronaldo, capitaine des Lusitaniens, n’a pas encore réussi à mener le Portugal à la victoire en Coupe du monde.Il s’était toutefois approché du trophée en 2006, lorsque le Portugal s’était incliné face à la France en demi-finale.  Il a en revanche remporté l’Euro-2016 avec son pays.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

En Irlande, la bataille pour le climat se joue dans les champs

Dans une ferme du sud de l’Irlande, des colliers high-tech contrôlent la santé des vaches, la salle de traite fonctionne à l’énergie solaire et éolienne. Objectif: la neutralité carbone, dans un pays où 40% des émissions de gaz à effet de serre proviennent du secteur agricole.Les émissions de cette ferme battue par les vents ont chuté de 27% depuis le lancement du projet Farm Zero C en 2021, se félicite auprès de l’AFP Padraig Walsh, l’un des responsables de cette initiative unique en Irlande qui fait travailler ensemble des agriculteurs, la coopérative laitière Carbery regroupant plus de 1.100 producteurs, et des chercheurs du laboratoire BiOrbic.”Nous essayons de créer un système neutre en carbone et économiquement viable”, explique-t-il. Pour concrétiser cette ambition, de nouvelles pratiques ont été mises en place dans cette ferme à Bandon, qui compte 250 vaches laitières.Des trèfles sont cultivés afin de réduire l’usage d’engrais chimiques : la plante, de la famille des légumineuses, est capable de capter l’azote de l’air et de le transformer en nutriments pour les plantes.Les vaches ont été équipées de colliers connectés permettant de surveiller leur état de santé. Ces appareils doivent permettre d’améliorer le suivi sanitaire des animaux, et ainsi de réduire les émissions de gaz de ces ruminants, notamment de méthane. La salle de traite, elle, fonctionne à 80% à l’énergie solaire et éolienne.Enfin, des haies et des broussailles ont été plantée, offrant un refuge aux pollinisateurs et aux oiseaux.Mais le méthane représente encore environ trois quarts de l’empreinte carbone du site, indique Padraig Walsh.Alors, le projet Farm Zero C explore plusieurs pistes, dont la génétique des troupeaux et le recours à des additifs alimentaires, pour réduire les émissions des vaches, et collecte des données sur la séquestration du carbone dans les sols.- Objectifs climatiques -L’expérimentation Farm Zero C fait figure de modèle alors que l’agriculture compte pour près de 40% des émissions de gaz à effet de serre de l’Irlande, bien au-delà de la moyenne européenne, à 12%.L’agriculture irlandaise, dominée par l’élevage, la production laitière et comptant un cheptel de 7 millions de têtes de bétail, dégage même davantage de gaz à effet de serre que les secteurs des transports et des l’énergie réunis. Les bovins rejettent du méthane en ruminant et l’utilisation d’engrais libère du protoxyde d’azote — le troisième gaz à effet de serre le plus puissant après le dioxyde de carbone et le méthane.Les prairies verdoyantes du pays sont désormais au cœur du débat sur la manière dont Dublin peut tenir ses promesses climatiques: dans le cadre des objectifs de l’UE, l’Irlande doit réduire d’ici 2030 ses émissions de 40% par rapport aux niveaux de 2005.Toutes les mesures préconisées par Farm Zero C ne seront pas forcément adoptées ailleurs, mais “nous recommandons aux agriculteurs d’essayer une ou deux choses sur leurs exploitations”, explique M. Walsh.”Les agriculteurs se sentent un peu diabolisés, alors qu’ils ont déjà fait beaucoup d’efforts pour réduire leurs émissions à leurs propres frais. Ils ont besoin de plus de soutien”, plaide-t-il. “Ici, il n’y a que des exploitations familiales, et elles sont toutes sous pression”.- Changement sociétal -Mais aux championnats annuels de labour, qui mettent à l’honneur les méthodes agricoles traditionnelles et attirent chaque année des centaines de milliers de visiteurs, ces expérimentations sont accueillies avec scepticisme.”Faire de l’agriculture durable doit être viable d’un point de vue économique”, souligne Mary Garvey, agricultrice de 47 ans. “Les agriculteurs les plus âgés ont passé la moitié de leur vie à rendre leurs terres plus fertiles pour l’élevage, et aujourd’hui on leur demande de revenir en arrière”, déplore-t-elle.Selon l’auteur et militant écologiste John Gibbons, les puissants lobbies agroalimentaires ainsi que les politiques gouvernementales sont les principaux responsables du bilan climatique du secteur agricole. Le secteur laitier irlandais, qui s’est fortement développé après la levée des quotas laitiers de l’UE en 2015, a été stimulé par des incitations gouvernementales, ce qui a abouti à une hausse des émissions, dit-il.”Nous avons besoin d’un modèle agricole plus diversifié, avec moins de bovins, et davantage de cultures maraîchères, de productions biologiques”, analyse-t-il pour l’AFP.Selon lui, même avec les progrès technologiques, les émissions ne baisseront pas de manière significative sans un changement sociétal vers un système alimentaire davantage basé sur les végétaux.

China’s ‘Singles Day’ shopping fest loses its shine for weary consumers

Chinese shoppers worried about the economy and overwhelmed by near-constant retail promotions are growing weary of the annual “Singles Day” sales bonanza, a discouraging sign as the government tries to boost consumption.”Singles Day” — named for its 11/11 date and first launched by tech giant Alibaba in 2009 — has ballooned into a month-long promotional period for e-commerce platforms.The shopping spree was once an annual opportunity for Alibaba and major rival JD.com to announce new purchase records, but they have withheld detailed sales totals in recent years.”The discounts aren’t as attractive now,” said 29-year-old Shanghai resident Zhang Jing, who told AFP she bought “nothing” during this year’s sales.Zhang said she was discouraged by online platforms’ increasingly complex promotions, which often require shoppers to claim multiple coupons or combine purchases in a specific order before they can enjoy a discount.”I’ve never participated in these complicated rules, not once,” she said.Shi Xuebin, the 42-year-old owner of a clothing boutique, said she bought a new iPhone 17, but only because “I wanted to buy a new phone in the first place”.She told AFP she had bought far fewer Singles Day products compared to last year and that she had noticed a belt-tightening trend among Chinese consumers.- ‘Downgrading consumption’ -“I feel the general economy hasn’t been great this year and people are avoiding buying things that aren’t absolutely necessary,” Shi said.”Before, if you liked something, you’d buy it without much thought… but now, there’s a real sense of downgrading consumption.”China’s leaders have fought to overcome sluggish domestic spending, a protracted crisis in the property sector and a trade war with the United States.The Communist Party’s top brass vowed to “vigorously boost consumption” after a key planning meeting in Beijing last month.Consumer prices have been stagnant or in decline in recent months, although they rose in October after a weeklong national holiday boosted demand for travel and food.Zhu, a 30-year-old Shanghai resident who declined to give his full name, said his mother had taken advantage of November sales to stock up on household products such as laundry detergent and toilet paper. However, outside daily necessities, Zhu said he mostly shopped second-hand instead of buying new versions of the tools and books he needed for his calligraphy hobby.”We’re pretty practical — if I need something I will buy it but if I don’t need it, I just won’t get it no matter how cheap it is,” he told AFP.