Deux ponts s’effondrent en Russie, au moins sept morts

Deux ponts se sont effondrés dans la nuit de samedi à dimanche dans le sud-ouest de la Russie, près de la frontière ukrainienne, provoquant des déraillements de trains dont l’un a fait au moins sept morts et 66 blessés, selon les autorités.La compagnie ferroviaire a évoqué une “interférence illégale” comme cause de la première catastrophe, qui s’est produite samedi soir dans la région de Briansk.Les autorités russes n’ont à ce stade fait aucun lien avec le conflit en Ukraine, laquelle n’a pas officiellement commenté l’incident.”L’effondrement d’un pont sur des voies ferrées a fait sept morts”, a écrit le gouverneur régional Alexandre Bogomaz sur Telegram. Il a ensuite évoqué le chiffre de 66 blessés, dont trois enfants, dans une mise à jour tôt dimanche, après avoir précédemment fait état de 69 blessés.L’accident du train N.86 qui reliait Klimov, dans la région de Belgorod (sud-ouest), à Moscou, s’est produit à 22H44 locales (19H44 GMT) au niveau de Pilchino-Vygonitchi, ont indiqué les Chemins de fer de Moscou sur Telegram.Selon la compagnie nationale, l’effondrement du pont est dû à une “interférence illégale dans l’opération de transport”. Elle a précisé que la circulation des autres trains n’était pas perturbée.Des vidéos publiées sur les réseaux sociaux montrent des secouristes s’activer sur les lieux, alors qu’un important éboulis recouvre ce qui semble être un train de la compagnie.Le secteur du désastre se situe à environ une centaine de kilomètres de l’Ukraine, contre laquelle la Russie a lancé une offensive d’ampleur depuis février 2022.Un journaliste de l’AFP a constaté dans le centre de Moscou des ambulances garées à la gare de Kiev, attendant l’arrivée de passagers blessés.- Deuxième pont effondré -Dimanche matin, le gouverneur de la région voisine de Koursk, Alexandre Khinshtein, a rapporté sur Telegram l’effondrement d’un autre pont, ferroviaire cette fois-ci, sur lequel circulait une locomotive qui a “chuté” sur l’autoroute passant en dessous et “pris feu”.Les conducteurs, dont il n’a pas précisé le nombre, ont été blessés et conduits à l’hôpital, a-t-il poursuivi.Comme Belgorod et Briansk, la région de Koursk est frontalière de l’Ukraine. Les forces de Kiev s’y étaient un temps emparées de 1.400 kilomètres carrés après un assaut surprise en août 2024, avant qu’elle ne soit reprise en avril.Des cas de sabotages de voies ferrées russes se sont produits dans les zones à proximité de l’Ukraine.Début avril, la justice de la région de Volgograd (sud-ouest), non-frontalière de l’Ukraine mais tout de même relativement proche, a rapporté la condamnation à 14 ans de prison d’un jeune homme de 23 ans, déclaré coupable d’avoir mis le feu à des infrastructures ferroviaires. Il avait reconnu les faits, qualifiés d’acte pro-Ukraine.Dans la région voisine de Saratov (sud-ouest), deux hommes de 24 ans ont reçu des peines de 14 et 12 ans de prison dans une affaire similaire.La plupart des attaques de ce type sont menées par des jeunes individus, parfois mineurs.L’Ukraine ne commente généralement pas les sabotages sur le territoire russe. Mais il peut arriver qu’elle s’en félicite, considérant qu’il s’agit de ripostes légitimes aux offensives de la Russie contre son propre réseau ferroviaire.

Russie: au moins sept morts dans l’effondrement d’un pont sur un train dans la région de Briansk

Au moins sept personnes ont été tuées et près de 70 autres blessées dans l’effondrement d’un pont sur une voie ferrée dans le sud-ouest de la Russie, qui a fait dérailler un train samedi soir près de la frontière ukrainienne, ont indiqué les autorités russes.La compagnie ferroviaire a évoqué pour sa part une “interférence illégale” comme cause de la catastrophe qui s’est produite dans la région de Briansk.Les autorités russes n’ont à ce stade fait aucun lien avec le conflit en Ukraine, laquelle n’a pas officiellement commenté l’incident.”L’effondrement d’un pont sur des voies ferrées a fait sept morts”, a écrit le gouverneur régional Alexandre Bogomaz sur Telegram. Il a ensuite évoqué le chiffre de “69 blessés, dont trois enfants. Trois victimes sont dans un état grave, dont un enfant”, ajoutant que “44 personnes ont été hospitalisées”, dans une mise à jour tôt dimanche.L’accident du train N.86 qui reliait Klimov, dans la région de Belgorod (sud-ouest), à Moscou, s’est produit à 22H44 locales (19H44 GMT) au niveau de Pilchino-Vygonitchi, ont indiqué les Chemins de fer de Moscou sur Telegram.Selon la compagnie nationale, l’effondrement du pont est dû à une “interférence illégale dans l’opération de transport”. Elle a précisé que la circulation des autres trains n’était pas perturbée.Des vidéos publiées sur les réseaux sociaux montrent des secouristes s’activer sur les lieux, alors qu’un important éboulis recouvre ce qui semble être un train de la compagnie.- Des cas de sabotages -Les régions russes de Belgorod et Briansk sont frontalières de l’Ukraine. Le secteur du désastre se situe à environ une centaine de kilomètres de ce pays, contre lequel la Russie a lancé une offensive d’ampleur depuis février 2022.Des cas de sabotages de voies ferrées russes ont existé dans les zones à proximité de l’Ukraine.Début avril, la justice de la région de Volgograd (sud-ouest), non-frontalière de l’Ukraine mais tout de même relativement proche, a rapporté la condamnation à 14 ans de prison un jeune homme de 23 ans, déclaré coupable d’avoir mis le feu à des infrastructures ferroviaires. Il avait reconnu les faits, qualifiés d’acte pro-Ukraine.Dans la région voisine de Saratov (sud-ouest), deux hommes de 24 ans ont reçu des peines de 14 et 12 ans de prison dans une affaire similaire.La plupart des attaques de ce type sont menées par des jeunes individus, parfois mineurs.L’Ukraine ne commente généralement pas les sabotages sur le territoire russe. Mais il peut arriver qu’elle s’en félicite, considérant qu’il s’agit de ripostes légitimes aux offensives de la Russie contre son propre réseau ferroviaire.

Russie: au moins sept morts dans l’effondrement d’un pont sur un train dans la région de Briansk

Au moins sept personnes ont été tuées et près de 70 autres blessées dans l’effondrement d’un pont sur une voie ferrée dans le sud-ouest de la Russie, qui a fait dérailler un train samedi soir près de la frontière ukrainienne, ont indiqué les autorités russes.La compagnie ferroviaire a évoqué pour sa part une “interférence illégale” comme cause de la catastrophe qui s’est produite dans la région de Briansk.Les autorités russes n’ont à ce stade fait aucun lien avec le conflit en Ukraine, laquelle n’a pas officiellement commenté l’incident.”L’effondrement d’un pont sur des voies ferrées a fait sept morts”, a écrit le gouverneur régional Alexandre Bogomaz sur Telegram. Il a ensuite évoqué le chiffre de “69 blessés, dont trois enfants. Trois victimes sont dans un état grave, dont un enfant”, ajoutant que “44 personnes ont été hospitalisées”, dans une mise à jour tôt dimanche.L’accident du train N.86 qui reliait Klimov, dans la région de Belgorod (sud-ouest), à Moscou, s’est produit à 22H44 locales (19H44 GMT) au niveau de Pilchino-Vygonitchi, ont indiqué les Chemins de fer de Moscou sur Telegram.Selon la compagnie nationale, l’effondrement du pont est dû à une “interférence illégale dans l’opération de transport”. Elle a précisé que la circulation des autres trains n’était pas perturbée.Des vidéos publiées sur les réseaux sociaux montrent des secouristes s’activer sur les lieux, alors qu’un important éboulis recouvre ce qui semble être un train de la compagnie.- Des cas de sabotages -Les régions russes de Belgorod et Briansk sont frontalières de l’Ukraine. Le secteur du désastre se situe à environ une centaine de kilomètres de ce pays, contre lequel la Russie a lancé une offensive d’ampleur depuis février 2022.Des cas de sabotages de voies ferrées russes ont existé dans les zones à proximité de l’Ukraine.Début avril, la justice de la région de Volgograd (sud-ouest), non-frontalière de l’Ukraine mais tout de même relativement proche, a rapporté la condamnation à 14 ans de prison un jeune homme de 23 ans, déclaré coupable d’avoir mis le feu à des infrastructures ferroviaires. Il avait reconnu les faits, qualifiés d’acte pro-Ukraine.Dans la région voisine de Saratov (sud-ouest), deux hommes de 24 ans ont reçu des peines de 14 et 12 ans de prison dans une affaire similaire.La plupart des attaques de ce type sont menées par des jeunes individus, parfois mineurs.L’Ukraine ne commente généralement pas les sabotages sur le territoire russe. Mais il peut arriver qu’elle s’en félicite, considérant qu’il s’agit de ripostes légitimes aux offensives de la Russie contre son propre réseau ferroviaire.

Recycling contaminated soil from Fukushima: Japan’s dilemma

To reduce radiation across Japan’s northern Fukushima region after the 2011 nuclear disaster, authorities scraped a layer of contaminated soil from swathes of land.Now, as young farmers seek to bring life back to the region once known for its delicious fruit, authorities are deliberating what to do with the mass of removed soil — enough to fill more than 10 baseball stadiums.Here are some key things to know:- Why was the soil removed? -On March 11, 2011, Japan’s strongest earthquake on record triggered a huge tsunami that hit the Fukushima Daiichi nuclear plant, causing a devastating meltdown.Topsoil was collected as part of large-scale decontamination efforts that also included blasting buildings and roads with high-pressure jets of water.Almost all areas of Fukushima have gradually been declared safe, but many evacuees have been reluctant to return because they remain worried about radiation, or have fully resettled elsewhere.Fukushima has, however, welcomed new residents such as 25-year-old kiwi farmer Takuya Haraguchi.”I want people to become interested in and learn about what Fukushima is really like these days,” he told AFP.- Where is the soil being stored? -A vast quantity of soil — 14 million cubic metres — is being stored at interim storage facilities near the Fukushima Daiichi plant.The government has promised residents of Fukushima region that it will find permanent storage for the soil elsewhere in the country by 2045.For now, the huge mounds are kept inside guarded grounds, protected by layers of clean soil and a manmade sheet to prevent runoff into the environment.- What will Japan do with it? – The government wants to use the soil for building road and railway embankments among other projects.It has vowed to do this outside Fukushima to avoid further burdening the region, where the crippled nuclear plant generated electricity not for local residents, but for Tokyo and its surrounding urban areas.So far few takers have been found in other parts of Japan, and some local officials suggest that realistically, a portion of the soil may need to stay in Fukushima.The prime minister’s office recently said it would symbolically recycle some of the soil to show it is safe, with reports saying it will be used in flower beds.- How safe is the soil? -Around 75 percent of the stored soil has a radioactivity level equivalent to or less than one X-ray per year for people who directly stand on or work with it, according to the environment ministry.Asphalt, farm soil or layers of other materials should be used to seal in the radioactivity, said Akira Asakawa, a ministry official working on the Fukushima soil project.In a test, the government has constructed roads and fields in Fukushima by using the contaminated soil as filling material.Those locations did not show elevated levels of radioactivity, and there was no runoff of radioactive material to surrounding areas, Asakawa said.- What pushback has there been? -In 2022, local communities reacted angrily to plans floated by the national government to bring the Fukushima soil to a popular park in Tokyo and other areas near the capital.That plan has not moved forward and other locations have not yet been secured, despite public sympathy for the people of Fukushima.The environment ministry says it will step up efforts to explain the safety of its plan to the public from this year.Â