Foot: le Parisien Ousmane Dembélé joueur de la saison en Ligue des champions (UEFA)
L’attaquant du PSG Ousmane Dembélé a été désigné joueur de la saison de Ligue des champions par l’UEFA dimanche, au lendemain de la finale remportée par le club contre l’Inter Milan à Munich (5-0).Cette récompense pourrait peser lourd en vue du Ballon d’Or, distinction individuelle suprême, qui sera décerné le 22 septembre. Ousmane Dembélé a inscrit 33 buts et donné 15 passes décisives toutes compétitions confondues cette saison.L’attaquant, déjà précieux au PSG où il est arrivé à l’été 2023, a pris une nouvelle dimension durant l’hiver de cette saison après avoir été replacé en “faux numéro 9″, mélange de meneur de jeu et d’avant-centre, par son entraîneur Luis Enrique.”Moi je donnerais le Ballon d’Or à Ousmane Dembélé, simplement pour sa manière de défendre”, a déclaré le coach espagnol samedi après le match, ajoutant: “Ca c’est de l’humilité, je pense sincèrement qu’il mérite de le gagner non seulement pour ses buts mais aussi sa défense”.Les images de son pressing incessant sur le gardien adverse Yann Sommer, samedi, ont été abondamment relayées sur les réseaux sociaux.Lamine Yamal, Raphinha ou encore Gianluigi Donnarumma font partie des autres favoris pour le Ballon d’Or.De son côté, Désiré Doué a été désigné meilleur jeune joueur de la Ligue des champions 2024-25. Celui qui aura 20 ans mardi a inscrit un doublé et donné une passe décisive, samedi.Dembélé, Doué et cinq autres joueurs parisiens font partie de l’équipe type de la saison de Ligue des champions, désignée par les observateurs techniques de l’UEFA: le capitaine Marquinhos, Gianluigi Donnarumma, Nuno Mendes, Achraf Hakimi et Vitinha.Les autres joueurs sont les Barcelonais Lamine Yamal et Raphinha, le joueur d’Arsenal Declan Rice et l’Intériste Alessandro Bastoni.
Gaza: les secours font état d’au moins 31 morts dans des tirs israéliens en marge de distributions d’aide
Les secours dans la bande de Gaza ont indiqué qu’au moins 31 personnes avaient été tuées par des tirs israéliens dimanche près d’un centre de distribution d’aide humanitaire, l’organisation chargée de la distribution et soutenue par les Etats-Unis niant tout incident.Israël fait face à une pression internationale croissante pour mettre fin à la guerre déclenchée par l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur son sol le 7 octobre 2023.La situation humanitaire est désastreuse dans le territoire palestinien, où Israël a imposé un blocus complet pendant plus de deux mois. Partiellement assoupli fin mai, ce siège a entraîné de graves pénuries de nourriture, de médicaments et d’autres biens de première nécessité.La Fondation humanitaire de Gaza (GHF), officiellement une société privée dotée d’un financement opaque, affirme avoir distribué des millions de repas depuis le début de ses opérations la semaine dernière, mais son déploiement a été marqué par des scènes chaotiques dans les centres de distribution et par des informations faisant état de victimes de tirs israéliens à proximité de ses sites.La Défense civile a indiqué dimanche que des tirs israéliens avaient visé le matin même des personnes qui se dirigeaient vers un centre de distribution d’aide alimentaire dans le gouvernorat de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, faisant au moins 31 morts et plus de 176 blessés.L’armée israélienne a nié avoir tiré sur des civils tandis qu’un porte-parole de la GHF a démenti des informations “fausses et fabriquées de toutes pièces”.”Les conclusions d’une enquête initiale indiquent que l’armée n’a pas tiré sur des civils qui se trouvaient à proximité ou à l’intérieur du site”, a déclaré l’armée. “Il y avait beaucoup de monde, c’était le chaos” et “l’armée a tiré depuis des drones et des chars”, a raconté à l’AFP Abdallah Barbakh, 58 ans, disant s’être rendu sur place.Réagissant à ces informations, Philippe Lazzarini, chef de l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), interdite en Israël depuis le début de l’année, a déploré que la distribution d’aide humanitaire à Gaza soit devenue un “piège mortel”.- “Carnage absolu” -Victoria Rose, une chirurgienne britannique se trouvant à l’hôpital Nasser de Khan Younès, là où ont été transportés de nombreux blessés, a décrit une scène de “carnage absolu” dans l’établissement.Des images de l’AFP montrent des habitants évacuant des morts sur une charrette tirée par un âne et une foule compacte d’hommes, certains chargés de colis, revenant du centre, dans un paysage désertique et dévasté.La Défense civile a également déclaré qu’une personne avait été tuée et de nombreuses autres blessées par des tirs israéliens près d’un autre site d’aide humanitaire dans le centre du territoire.Près de 20 mois après le début de la guerre, les négociations en vue d’un cessez-le-feu et d’un accord pour la libération des otages retenus dans la bande de Gaza n’ont pas abouti et Israël a mis fin le 18 mars à une trêve de deux mois.Sur 251 personnes enlevées le 7 octobre 2023, 57 restent retenues à Gaza, au moins 34 d’entre elles étant mortes, selon les autorités israéliennes.Le Hamas a affirmé samedi avoir répondu “de manière positive” à une proposition américaine présentée cette semaine, mais l’émissaire des Etats-Unis pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, a jugé cette réponse “complètement inacceptable”, critiquant un retour en arrière. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a lui aussi jugé que la réponse du Hamas faisait “reculer le processus”.Dimanche, le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a dit avoir ordonné à l’armée d’aller de l’avant dans la bande de Gaza, “indépendamment de toute négociation”, afin d’accroître la pression sur le Hamas pour qu’il libère les otages.- “Amendements” du Hamas -De son côté, un dirigeant du Hamas a reproché aux Américains d’être revenus sur ce qui avait été convenu précédemment.”Nous avons exigé des amendements aux clauses qui ne garantissent pas la fin des massacres” ainsi que la fin de la guerre et le retrait d’Israël de Gaza, a déclaré dimanche Mahmoud al-Mardawi.”Ironiquement, les amendements que nous avons demandés sont identiques, mot pour mot, à ce qui avait été convenu avec le médiateur américain au cours des dernières semaines”, a-t-il affirmé.Un autre dirigeant de Hamas, Bassem Naïm, a déclaré: “Pourquoi, à chaque fois, la réponse d’Israël est-elle considérée comme la seule réponse à négocier?”. Fin mai, M. Netanyahu avait conditionné la fin de la guerre à l'”exil” du Hamas et au “désarmement” de Gaza, des exigences jusque-là rejetées par le mouvement palestinien qui y a pris le pouvoir en 2007.L’attaque du 7 octobre a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles. Plus de 54.418 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne militaire israélienne de représailles, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l’ONU.
Gaza: les secours font état d’au moins 31 morts dans des tirs israéliens en marge de distributions d’aide
Les secours dans la bande de Gaza ont indiqué qu’au moins 31 personnes avaient été tuées par des tirs israéliens dimanche près d’un centre de distribution d’aide humanitaire, l’organisation chargée de la distribution et soutenue par les Etats-Unis niant tout incident.Israël fait face à une pression internationale croissante pour mettre fin à la guerre déclenchée par l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur son sol le 7 octobre 2023.La situation humanitaire est désastreuse dans le territoire palestinien, où Israël a imposé un blocus complet pendant plus de deux mois. Partiellement assoupli fin mai, ce siège a entraîné de graves pénuries de nourriture, de médicaments et d’autres biens de première nécessité.La Fondation humanitaire de Gaza (GHF), officiellement une société privée dotée d’un financement opaque, affirme avoir distribué des millions de repas depuis le début de ses opérations la semaine dernière, mais son déploiement a été marqué par des scènes chaotiques dans les centres de distribution et par des informations faisant état de victimes de tirs israéliens à proximité de ses sites.La Défense civile a indiqué dimanche que des tirs israéliens avaient visé le matin même des personnes qui se dirigeaient vers un centre de distribution d’aide alimentaire dans le gouvernorat de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, faisant au moins 31 morts et plus de 176 blessés.L’armée israélienne a nié avoir tiré sur des civils tandis qu’un porte-parole de la GHF a démenti des informations “fausses et fabriquées de toutes pièces”.”Les conclusions d’une enquête initiale indiquent que l’armée n’a pas tiré sur des civils qui se trouvaient à proximité ou à l’intérieur du site”, a déclaré l’armée. “Il y avait beaucoup de monde, c’était le chaos” et “l’armée a tiré depuis des drones et des chars”, a raconté à l’AFP Abdallah Barbakh, 58 ans, disant s’être rendu sur place.Réagissant à ces informations, Philippe Lazzarini, chef de l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), interdite en Israël depuis le début de l’année, a déploré que la distribution d’aide humanitaire à Gaza soit devenue un “piège mortel”.- “Carnage absolu” -Victoria Rose, une chirurgienne britannique se trouvant à l’hôpital Nasser de Khan Younès, là où ont été transportés de nombreux blessés, a décrit une scène de “carnage absolu” dans l’établissement.Des images de l’AFP montrent des habitants évacuant des morts sur une charrette tirée par un âne et une foule compacte d’hommes, certains chargés de colis, revenant du centre, dans un paysage désertique et dévasté.La Défense civile a également déclaré qu’une personne avait été tuée et de nombreuses autres blessées par des tirs israéliens près d’un autre site d’aide humanitaire dans le centre du territoire.Près de 20 mois après le début de la guerre, les négociations en vue d’un cessez-le-feu et d’un accord pour la libération des otages retenus dans la bande de Gaza n’ont pas abouti et Israël a mis fin le 18 mars à une trêve de deux mois.Sur 251 personnes enlevées le 7 octobre 2023, 57 restent retenues à Gaza, au moins 34 d’entre elles étant mortes, selon les autorités israéliennes.Le Hamas a affirmé samedi avoir répondu “de manière positive” à une proposition américaine présentée cette semaine, mais l’émissaire des Etats-Unis pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, a jugé cette réponse “complètement inacceptable”, critiquant un retour en arrière. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a lui aussi jugé que la réponse du Hamas faisait “reculer le processus”.Dimanche, le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a dit avoir ordonné à l’armée d’aller de l’avant dans la bande de Gaza, “indépendamment de toute négociation”, afin d’accroître la pression sur le Hamas pour qu’il libère les otages.- “Amendements” du Hamas -De son côté, un dirigeant du Hamas a reproché aux Américains d’être revenus sur ce qui avait été convenu précédemment.”Nous avons exigé des amendements aux clauses qui ne garantissent pas la fin des massacres” ainsi que la fin de la guerre et le retrait d’Israël de Gaza, a déclaré dimanche Mahmoud al-Mardawi.”Ironiquement, les amendements que nous avons demandés sont identiques, mot pour mot, à ce qui avait été convenu avec le médiateur américain au cours des dernières semaines”, a-t-il affirmé.Un autre dirigeant de Hamas, Bassem Naïm, a déclaré: “Pourquoi, à chaque fois, la réponse d’Israël est-elle considérée comme la seule réponse à négocier?”. Fin mai, M. Netanyahu avait conditionné la fin de la guerre à l'”exil” du Hamas et au “désarmement” de Gaza, des exigences jusque-là rejetées par le mouvement palestinien qui y a pris le pouvoir en 2007.L’attaque du 7 octobre a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles. Plus de 54.418 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne militaire israélienne de représailles, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l’ONU.
US says trade row with China could ease after Trump-Xi talks
A logjam in the trade talks between the United States and China could be broken once Presidents Donald Trump and Xi Jinping speak, US officials said Sunday — a conversation they said could happen soon.Trump on Friday accused Beijing of violating a deal reached last month in Geneva to temporarily lower staggeringly high tariffs the world’s two biggest economies had imposed on each other, in a pause to last 90 days.China’s slow-walking on export license approvals for rare earths and other elements needed to make cars and chips have fueled US frustration, The Wall Street Journal reported Friday — a concern since confirmed by US officials. But US Treasury Secretary Scott Bessent seemed to take the pressure down a notch on Sunday, telling CBS’s “Face the Nation” that the gaps could soon be bridged.”I’m confident that when President Trump and Party Chairman Xi have a call that this will be ironed out,” Bessent said, however noting that China was “withholding some of the products that they agreed to release during our agreement.”When asked if rare earths were one of those products, Bessent said, “Yes.””Maybe it’s a glitch in the Chinese system. Maybe it’s intentional. We’ll see after the president speaks with” Xi, he said.On when a Trump-Xi call could take place, Bessent said: “I believe we will see something very soon.”Kevin Hassett, director of the White House’s National Economic Council told ABC that the call could happen “this week” but that he had no confirmation of a scheduled time.Since Trump returned to the presidency, he has slapped sweeping tariffs on most US trading partners, with especially high rates on Chinese imports.New tit-for-tat levies on both sides reached three digits before the de-escalation this month, where Washington agreed to temporarily reduce additional tariffs on Chinese imports from 145 percent to 30 percent.China, meanwhile, lowered its added duties from 125 percent to 10 percent.Commerce Secretary Howard Lutnick told “Fox News Sunday” that China was “slow-rolling the deal,” adding: “We are taking certain actions to show them what it feels like on the other side of that equation.””Our president understands what to do. He’s going to go work it out,” Lutnick said.Lutnick also said that a US court battle over Trump’s tariff strategy — one court’s ruling to block the tariffs has been stayed pending an appeal — would ultimately end with a win for the president. “Tariffs are not going away,” Lutnick said.- ‘We’ve got to be ready’ -Separate from the China deal, Trump said Friday he would double sector-specific tariffs on steel and aluminum to 50 percent starting June 4 — sparking ire from the European Union, which said it would retaliate.Hassett said China’s dumping of low-cost steel was hurting US industry — which in turn was hindering US military preparedness.”The bottom line is that we’ve got to be ready in case things don’t happen the way we want, because if we have cannons but not cannonballs, then we can’t fight a war,” Hassett told “This Week.” “And if we don’t have steel, then the US isn’t ready, and we’re not preparing ourselves for something,” he added. “We have to have a steel industry that’s ready for American defense.”
Pluies de mousson en Inde: au moins 30 morts, selon un nouveau bilan
Des inondations et des glissements de terrain, survenus après des pluies de mousson ces deux derniers jours, ont tué au moins 30 personnes dans le nord-est de l’Inde, selon un nouveau bilan officiel dimanche.Des responsables des services de gestion des catastrophes ont précisé que huit personnes étaient décédées dans l’Etat d’Assam, et neuf dans celui d’Arunachal Pradesh, essentiellement dans des glissements de terrain.Cinq autres ont trouvé la mort dans l’État voisin de Mizoram, ont déclaré les autorités de l’État. Six personnes ont perdu la vie dans l’Etat de Meghalaya et au moins deux autres dans ceux de Nagaland et de Tripura.Le précédent bilan des pluies torrentielles dans le nord-est de l’Inde, donné samedi, faisait état de cinq morts dans l’Etat d’Assam.Les inondations et les glissements de terrain meurtriers liés à la pluie sont fréquents en Asie du Sud pendant la période de la mousson, mais les experts affirment que le changement climatique en accroît la fréquence et la gravité. Des dizaines de personnes meurent chaque année pendant la saison des pluies en Inde, pays de 1,4 milliard d’habitants.Une alerte rouge a été émise pour plusieurs zones de la région Nord-Est après les pluies incessantes des derniers jours. Les rivières gonflées par les pluies diluviennes — y compris le puissant Brahmapoutre, qui prend sa source dans l’Himalaya et traverse le nord-est de l’Inde avant de se jeter dans son delta au Bangladesh — ont débordé dans toute la région.L’armée indienne a déclaré avoir sauvé des centaines de personnes “lors d’une opération massive” dans l’État de Manipur. “Des personnes ont été déplacées vers des endroits plus sûrs”, a précisé l’armée samedi. “De la nourriture, de l’eau et des médicaments essentiels ont été fournis”, selon elle.
Pluies de mousson en Inde: au moins 30 morts, selon un nouveau bilan
Des inondations et des glissements de terrain, survenus après des pluies de mousson ces deux derniers jours, ont tué au moins 30 personnes dans le nord-est de l’Inde, selon un nouveau bilan officiel dimanche.Des responsables des services de gestion des catastrophes ont précisé que huit personnes étaient décédées dans l’Etat d’Assam, et neuf dans celui d’Arunachal Pradesh, essentiellement dans des glissements de terrain.Cinq autres ont trouvé la mort dans l’État voisin de Mizoram, ont déclaré les autorités de l’État. Six personnes ont perdu la vie dans l’Etat de Meghalaya et au moins deux autres dans ceux de Nagaland et de Tripura.Le précédent bilan des pluies torrentielles dans le nord-est de l’Inde, donné samedi, faisait état de cinq morts dans l’Etat d’Assam.Les inondations et les glissements de terrain meurtriers liés à la pluie sont fréquents en Asie du Sud pendant la période de la mousson, mais les experts affirment que le changement climatique en accroît la fréquence et la gravité. Des dizaines de personnes meurent chaque année pendant la saison des pluies en Inde, pays de 1,4 milliard d’habitants.Une alerte rouge a été émise pour plusieurs zones de la région Nord-Est après les pluies incessantes des derniers jours. Les rivières gonflées par les pluies diluviennes — y compris le puissant Brahmapoutre, qui prend sa source dans l’Himalaya et traverse le nord-est de l’Inde avant de se jeter dans son delta au Bangladesh — ont débordé dans toute la région.L’armée indienne a déclaré avoir sauvé des centaines de personnes “lors d’une opération massive” dans l’État de Manipur. “Des personnes ont été déplacées vers des endroits plus sûrs”, a précisé l’armée samedi. “De la nourriture, de l’eau et des médicaments essentiels ont été fournis”, selon elle.