Espagne: le Real Madrid poursuit son sans-faute, Mbappé et Vinicius décisifs
Porté par ses stars Kylian Mbappé et Vinicius Junior, tous deux décisifs, le Real Madrid, leader toujours invaincu, a logiquement dominé le promu Levante (4-1) mardi, signant une sixième victoire en six journées de Liga.Le géant espagnol (1er, 18 points) prolonge ainsi son début de saison parfait sous les ordres de son nouvel entraîneur Xabi Alonso et prend provisoirement cinq longueurs d’avance sur son grand rival, le FC Barcelone (2e, 13 points) et douze sur son voisin, l’Atlético (12e, 6 points), qu’il affronte samedi (16h15).Mbappé, auteur d’un doublé en seconde période, d’abord sur un pénalty transformé avec une panenka (64e, s.p), puis en faisant parler sa vitesse, bien lancé par Güler (66e), a confirmé son début de saison stratosphérique, avec désormais 11 réalisations en 9 matches toutes compétitions confondues en club et en sélection.Il a superbement pris le relai de son compère brésilien Vinicius, qui avait ouvert le score d’un coup de génie de l’extérieur du pied droit (28e) et parfaitement servi en contre le jeune argentin Franco Mastantuono, buteur pour la première fois sous le maillot merengue (38e).L’attaquant camerounais Etta Eyong, opportuniste devant le gardien belge Thibaut Courtois, avait réduit l’écart en début de deuxième mi-temps (54e) pour les promus (16e, 4 points).- Bilbao accroché -Plus tôt dans la soirée, l’Athletic Bilbao (5e, 10 points) a été tenu en échec (1-1) sur sa pelouse de San Mamés par Gérone (20e, 2 points) et a enchaîné un quatrième match sans victoire toutes compétitions confondues. Le petit club catalan, qui jouait la Ligue des champions la saison dernière, a cru tenir son premier succès de la saison après l’ouverture du score par le Marocain Azzedine Ounahi (9e), mais il reste lanterne rouge avec un bilan de quatre défaites et deux nuls en six journées. L’Espanyol Barcelone (4e, 11 points), belle surprise du début de saison, a arraché le nul sur le fil (2-2) à domicile contre Valence (9e, 8 points), grâce à un but de son capitaine Javi Puado dans le temps additionnel (90+6).Sauvé par sa recrue israélienne Manor Solomon (86e), Villarreal (3e, 13 points), a renversé le Séville FC (10e, 7 points) en toute fin de match (2-1).Cette sixième journée se poursuit mercredi, avec notamment le premier derby madrilène de la semaine entre l’Atlético Madrid (12e, 6 points) et le Rayo Vallecano (14e, 5 points), puis jeudi, avec le déplacement du Barça (2e, 13 points) chez le promu Oviedo (17e, 3 points).
Trump says Ukraine can win back all territory, in sudden shift
US President Donald Trump said Tuesday that Ukraine could win back all of its territory from Russia, in an astonishing turnaround on the war after meeting President Volodymyr Zelensky.Trump’s suggestion that Kyiv could win, with financial support from EU and NATO, marks an extraordinary shift after months of saying Ukraine would likely have to cede land to its larger neighbor.Zelensky hailed Trump’s comments as a “big shift.”In a further jibe at Moscow, he also called for NATO countries to shoot down any Russian fighter jets violating their airspace, following a series of incidents that have rattled US allies in Eastern Europe.”I think Ukraine, with the support of the European Union, is in a position to fight and WIN all of Ukraine back in its original form,” Trump said in a Truth Social Post after meeting Zelensky at the United Nations.Trump added that on top of being able to take back the country in its original form, Kyiv could “maybe even go further than that!” — although he did not elaborate on what he meant.- ‘BIG economic trouble’ -The US leader’s comments mark the latest in a series of reversals on Ukraine, including a sudden pivot to peace talks with Russian President Vladimir Putin early this year that stunned allies.Trump had also shown lukewarm support for Ukraine, telling Zelensky during a televised Oval Office bust-up in February that “you don’t have the cards” to beat Russia.But his new shift reflected his growing frustration with Putin since a summit in Alaska on August 15 failed to produce a breakthrough, and was instead followed by increased Russian attacks. Trump told reporters on Tuesday that he had counted on a bond with Putin to bring an end to the three-and-a-half-year-old war — but “unfortunately, that relationship didn’t mean anything.”In his post, Trump said he had changed his view on the war “after getting to know and fully understand the Ukraine/Russia Military and Economic situation and, after seeing the Economic trouble it is causing Russia.””Putin and Russia are in BIG Economic trouble, and this is the time for Ukraine to act,” Trump said.He added that Russia was “fighting aimlessly” after more than three years of war and was now a “paper tiger” instead of a serious nuclear force.- ‘Good luck to all!’ -Amid astonishment in Europe about Trump’s sudden shift, there were concerns in some capitals that the US president’s message may not have been quite what it seemed.The references to EU and NATO, combined with his closing comment “Good luck to all!”, led to fears that he may be trying to wash his hands of a conflict that he blames on his predecessor Joe Biden.Trump, who has repeatedly pushed NATO to take more of the burden for supporting Ukraine, insisted Washington would continue to give NATO weapons “to do what they want with them.”Trump’s announcement came shortly after Zelensky briefed him on what he said were Ukraine’s recent military successes against Russia, despite Moscow’s grinding advances in the east of the country.”This post of Trump is a big shift,” Zelensky said in a press conference.Zelensky meanwhile, raised the alarm over Russia’s recent drone intrusions into NATO nations, saying Putin was probing the “weak places” in the alliance’s defenses.Trump said NATO forces would be within their rights to act.”Yes I do,” Trump said when a reporter asked if NATO countries should shoot down Russian aircraft if they enter their airspace.Recent incidents include NATO scrambling jets after three Russian fighters on Friday breached Estonian airspace, and Poland saying earlier this month that Russian drones had repeatedly crossed into its territory during an attack on Ukraine.
Macron met Trump au défi de stopper la guerre à Gaza pour décrocher le Nobel
Emmanuel Macron a mis mardi Donald Trump au défi de stopper la guerre à Gaza s’il veut décrocher le prix Nobel de la paix, avant un échange à l’ONU qui a permis aux deux dirigeants d’afficher leurs désaccords sur la Palestine mais aussi quelques convergences.”Il y en a un qui peut faire quelque chose, c’est le président américain”, a reconnu le chef de l’Etat français dans un entretien à la chaîne française BFMTV depuis New York, au lendemain de sa reconnaissance d’un Etat palestinien. Il l’a exhorté à “faire pression sur le gouvernement d’Israël”, soulignant que les Etats-Unis lui livraient des “armes qui permettent de mener la guerre à Gaza”, contrairement à la France.”Je vois un président américain qui est mobilisé, qui l’a redit ce matin à la tribune (des Nations unies): +Je veux la paix. J’ai réglé sept conflits+. Qui veut le prix Nobel de la paix. Le prix Nobel de la paix n’est possible que si vous arrêtez ce conflit”, a lancé Emmanuel Macron.Les deux hommes se sont ensuite retrouvés pour une rencontre. Interrogé sur les propos de son homologue français, le milliardaire républicain a d’abord éludé: pour le Nobel, “c’est Gaza, c’est la Russie, c’est un peu tout”, a-t-il estimé.Il a glissé au passage qu’Emmanuel Macron l’avait “aidé” à résoudre les “sept conflits” auxquels il revendique d’avoir mis fin, alors qu’il avait pesté dans la matinée, devant l’Assemblée générale de l’ONU, sur l’absence de soutien international.Quant au conflit à Gaza, “nous voulons y mettre fin”, a assuré Donald Trump, espérant un “résultat très rapidement”. Il devait tenir un peu plus tard une réunion avec plusieurs pays arabes.- “Récompense” au Hamas? -Les désaccords ne sont pas effacés sur cette question sensible.Emmanuel Macron, pourfendeur de l’offensive israélienne à Gaza, a reconnu lundi, à l’ONU, un Etat palestinien, avec une dizaine d’autres pays dont le Royaume-Uni et le Canada.Le président américain, principal allié du gouvernement israélien de Benjamin Netanyahu, a lui répondu mardi à la même tribune qu’il s’agissait d’une “récompense” pour les “atrocités” commises par le Hamas, le mouvement islamiste palestinien auteur de l’attaque sanglante du 7 octobre 2023 en Israël.A côté du président, il l’a redit: “Cela honore le Hamas, et on ne peut pas faire cela en raison du 7-Octobre”.”C’est totalement faux de dire que c’est une récompense au Hamas”, a protesté Emmanuel Macron sur BFMTV. Au contraire, selon lui, “c’est le seul manière d’isoler” le mouvement islamiste.En face-à-face, il a plaidé que la solution militaire avait été “une grande réussite” contre les dirigeants du Hamas, mais qu’elle “ne fonctionne pas pour démanteler” l’organisation.”Ce n’est pas la bonne façon d’agir. Nous avons donc besoin d’un processus complet”, a-t-il insisté.Il a défendu une fois de plus le plan franco-saoudien en faveur de la solution à deux Etats, israélien et palestinien, qui a été endossé par 142 pays à l’ONU. Et qui prévoit le désarmement du Hamas, exclu de toute gouvernance palestinienne future.Au-delà de ces divergences, Emmanuel Macron et Donald Trump ont fait quelques pas l’un vers l’autre, faisant même assaut d’amabilités, au moment où leurs vues semblent converger plus que jamais sur l’Ukraine.Le premier a dit espérer que Washington puisse porter “un plan de paix crédible” complémentaire pour Gaza, tandis que le second lui a dit, en se tournant vers lui: “Je comprends votre position”, “nous devons juste résoudre cela”.Le président français a aussi tenté encore une fois d’apaiser les craintes israéliennes sur son “projet de paix”.Il a d’ailleurs expliqué qu’Israël aurait son mot à dire pour que la nouvelle entité prenne véritablement forme, y compris en disant “oui ou non sur chaque membre” d’une “autorité de transition” à Gaza.Au final, “le jour où l’Etat de Palestine est créé, c’est le jour où l’Etat d’Israël le reconnaît”, a-t-il insisté.
“La plus grande arnaque” de l’Histoire: à l’ONU, Trump s’en prend à la science du climat
Les énergies renouvelables, une “blague”, le charbon “propre et magnifique”, et le changement climatique, “la plus grande arnaque” de l’Histoire. Donald Trump a profité mardi de son retour à l’ONU pour s’en prendre à la lutte contre le changement climatique.A la veille d’un sommet climat organisé par le secrétaire général de l’ONU et le président brésilien qui accueillera la COP30 dans quelques semaines, le président américain a rejeté les conclusions de la science, au grand dam des défenseurs de la lutte contre le réchauffement.”Le changement climatique (…) est la plus grande arnaque jamais menée contre le monde à mon avis”, a-t-il lancé, des mots peut-être destinés à sa base politique qui voit la science climatique comme un nouveau front des batailles culturelles.”L’empreinte carbone est une supercherie inventée par des gens aux intentions malveillantes”, a ajouté le président, qui a reçu des centaines de millions de dollars de l’industrie pétrolière lors de sa campagne électorale de 2024.L’empreinte carbone fait référence aux émissions totales d’émissions de gaz à effet de serre créées par une personne, un groupe ou un produit, mesurées en unités de dioxyde de carbone ou équivalent.Le terme a été en fait popularisé au milieu des années 2000 par une agence de publicité travaillant pour le géant pétrolier BP, vu par ses critiques comme une tentative de reporter la responsabilité des émissions sur les individus plutôt que sur les entreprises.”Nous nous débarrassons d’ailleurs de ce qui est faussement nommé renouvelables, c’est une blague, elles ne marchent pas, elles sont trop chères”, a poursuivi Donald Trump, dont le gouvernement a lancé une bataille contre le solaire et l’éolien, renforcée par une nouvelle loi qui met fin à des crédits d’impôts dédiés.- “Du tort” aux Américains -Washington a particulièrement les éoliennes en ligne de mire et tente de stopper des projets proches d’être terminés tout en renforçant les procédures pour obtenir des permis.Donald Trump a qualifié cette technologie de “tellement pathétique, tellement mauvaise”, et s’est au contraire vanté d’avoir enclenché un mouvement pour forer davantage et accéder à de nouvelles réserves de pétrole, de gaz et de charbon.Lors de son premier mandat, Donald Trump avait fait sortir les Etats-Unis de l’accord de Paris sur le climat, avant que son successeur Joe Biden y revienne.Depuis le début de son deuxième mandat, il a non seulement pris la même décision de quitter l’accord de 2015 visant à limiter le réchauffement à +1.5°C idéalement, mais se bat pour les intérêts des industries du pétrole et du gaz.Washington menace désormais de punir les pays qui participent au système de l’Organisation maritime internationale pour la tarification du carbone dans le transport maritime, et inclut les ventes de gaz naturel liquéfié américain dans des accords commerciaux.Au contraire, la Chine, dont le discours au sommet climat de mercredi sur ses engagements de réduction d’émissions est très attendu, exporte panneaux solaires et véhicules électriques à tour de bras.”Le président Trump et son administration continuent à cracher des mensonges et de la désinformation sur la science climatique et les bénéfices écrasants des énergies propres, faisant gravement du tort au peuple américain”, a commenté auprès de l’AFP Rachel Cleetus, de l’association Union of Concerned Scientists.”Le changement climatique est là, il coûte cher”, insiste-t-elle, “et les gens ont besoin de vraies solutions, pas de propagande destinée à gonfler les profits des pollueurs du secteur des énergies fossiles”.”Presque tous les gouvernements dans le monde reconnaissent que le changement climatique n’est pas une supercherie mais un défi majeur (…) Prétendre le contraire revient simplement à nier la réalité”, a indiqué de son côté Laurence Tubiana, présidente de la Fondation européenne pour le climat et architecte de l’accord de Paris.
US stocks retreat from records as tech giants fall
Wall Street’s bull run showed signs of fatigue Tuesday as major indices retreated from records on drops by Amazon, Nvidia and other tech giants.The pullback followed comments from Federal Reserve Chair Jerome Powell warning that cutting interest rates “too aggressively” could stoke inflation, while the central bank boss also emphasized the need to try to prevent the labor market from softening “unnecessarily.”All three major US indices have finished at records the last three days.”Today’s pullback after fresh record highs could reflect market participants giving credence to valuation concerns amid a historic run, particularly in the mega-cap space, though investors have repeatedly shown a willingness to buy dips throughout this rally,” said Briefing.com.The tech-rich Nasdaq led US indices lower, dropping one percent. Nvidia, which rallied on Monday after announcing a $100 billion investment in OpenAI to build infrastructure for next-generation artificial intelligence, retreated on Tuesday, losing 2.8 percent. While “leading tech companies are investing hundreds of billions in generative AI… some investors continue to question if this is money well spent,” said David Morrison, senior market analyst at Trade Nation.Earlier, London ended the day flat and Paris and Frankfurt added barely half of one percent as investors digested purchasing managers’ index (PMI) data — a closely watched gauge of economic health. The index showed eurozone business activity hit a 16-month high in September, partly driven by solid growth in Germany, while France weighed on performance.Britain’s reading came in below expectations, suggesting the economy is losing momentum, analysts noted, as inflation fears linger.With trade subdued by a holiday in Japan and an approaching typhoon in Hong Kong, Asian markets mostly drifted as Hong Kong and Shanghai both closed lower. Taipei jumped more than one percent, with chip titan TSMC soaring over three percent as it tracked US counterpart Nvidia, which announced a $100-billion investment in OpenAI for next-generation artificial intelligence.Oil prices rose after President Donald Trump called on Europe to completely halt oil imports from the country over the Ukraine war. The US president also threatened sanctions on Russia in a speech that tilted more heavily in support of Ukraine than earlier Trump stances.- Key figures at around 2050 GMT -New York – Dow: DOWN 0.2 percent at 46,292.78 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.6 percent at 6,656.92 (close)New York – Nasdaq Composite: DOWN 1.0 percent at 22,573.47 (close)London – FTSE 100: FLAT at 9,223.32 (close)Paris – CAC 40: UP 0.5 percent at 7,872.02 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.4 percent at 23,611.33 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.7 percent at 26,159.12 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.2 percent at 3,821.83 (close)Tokyo – Nikkei 225: Closed for a holidayEuro/dollar: DOWN at $1.1816 from $1.1803 on MondayPound/dollar: UP at $1.3524 from $1.3514Dollar/yen: DOWN at 147.66 yen from 147.72 yenEuro/pound: UP at 87.37 pence from 87.34 penceWest Texas Intermediate: UP 1.8 percent at $63.41 per barrelBrent North Sea Crude: UP 1.6 percent at $67.63 per barrel
US stocks retreat from records as tech giants fall
Wall Street’s bull run showed signs of fatigue Tuesday as major indices retreated from records on drops by Amazon, Nvidia and other tech giants.The pullback followed comments from Federal Reserve Chair Jerome Powell warning that cutting interest rates “too aggressively” could stoke inflation, while the central bank boss also emphasized the need to try to prevent the labor market from softening “unnecessarily.”All three major US indices have finished at records the last three days.”Today’s pullback after fresh record highs could reflect market participants giving credence to valuation concerns amid a historic run, particularly in the mega-cap space, though investors have repeatedly shown a willingness to buy dips throughout this rally,” said Briefing.com.The tech-rich Nasdaq led US indices lower, dropping one percent. Nvidia, which rallied on Monday after announcing a $100 billion investment in OpenAI to build infrastructure for next-generation artificial intelligence, retreated on Tuesday, losing 2.8 percent. While “leading tech companies are investing hundreds of billions in generative AI… some investors continue to question if this is money well spent,” said David Morrison, senior market analyst at Trade Nation.Earlier, London ended the day flat and Paris and Frankfurt added barely half of one percent as investors digested purchasing managers’ index (PMI) data — a closely watched gauge of economic health. The index showed eurozone business activity hit a 16-month high in September, partly driven by solid growth in Germany, while France weighed on performance.Britain’s reading came in below expectations, suggesting the economy is losing momentum, analysts noted, as inflation fears linger.With trade subdued by a holiday in Japan and an approaching typhoon in Hong Kong, Asian markets mostly drifted as Hong Kong and Shanghai both closed lower. Taipei jumped more than one percent, with chip titan TSMC soaring over three percent as it tracked US counterpart Nvidia, which announced a $100-billion investment in OpenAI for next-generation artificial intelligence.Oil prices rose after President Donald Trump called on Europe to completely halt oil imports from the country over the Ukraine war. The US president also threatened sanctions on Russia in a speech that tilted more heavily in support of Ukraine than earlier Trump stances.- Key figures at around 2050 GMT -New York – Dow: DOWN 0.2 percent at 46,292.78 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.6 percent at 6,656.92 (close)New York – Nasdaq Composite: DOWN 1.0 percent at 22,573.47 (close)London – FTSE 100: FLAT at 9,223.32 (close)Paris – CAC 40: UP 0.5 percent at 7,872.02 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.4 percent at 23,611.33 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.7 percent at 26,159.12 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.2 percent at 3,821.83 (close)Tokyo – Nikkei 225: Closed for a holidayEuro/dollar: DOWN at $1.1816 from $1.1803 on MondayPound/dollar: UP at $1.3524 from $1.3514Dollar/yen: DOWN at 147.66 yen from 147.72 yenEuro/pound: UP at 87.37 pence from 87.34 penceWest Texas Intermediate: UP 1.8 percent at $63.41 per barrelBrent North Sea Crude: UP 1.6 percent at $67.63 per barrel





