Erika Kirk, widow of influential activist, endorses Vance for US President

The widow of murdered right-wing activist Charlie Kirk has endorsed JD Vance for president in 2028, firing an early starting gun on the White House race, and offering the backing of the influential youth organization founded by her husband.Erika Kirk, whose husband’s Turning Point USA was a major player in mobilizing young people to vote for Donald Trump in 2024, told thousands of attendees she was backing the vice president to become the 48th president.”We are going to get my husband’s friend JD Vance elected for 48 in the most resounding way possible,” she said on Thursday night at AmericaFest, the first major Turning Point gathering since Charlie Kirk was killed.Vance is due to speak at the gathering on Sunday.The endorsement comes as the Make America Great Again (MAGA) movement begins to look to a future without Trump.Vance has not yet committed to running in 2028, but he is widely expected to put himself forward.An early endorsement from a group that has become increasingly powerful within the movement could help to create momentum that makes a Vance candidacy seem inevitable.But it also comes at a time that fractures in the MAGA movement are becoming increasingly obvious, and as some key figures are starting to express frustration and disillusionment with Trump.Last month, firebrand Congresswoman Marjorie Taylor Greene launched a blistering attack on Trump’s second-term agenda, which she said was betraying voters.Greene, until recently one of Trump’s most loyal lieutenants, has said she will leave congress in January, with some commentators speculating that she might make a tilt at 2028.Other figures on the right, including white nationalist Nick Fuentes, also appear to be trying to lay claim to the crown.Vance was close to Charlie Kirk in the months and years before he was shot dead on a Utah college campus, in a political assassination that shocked America and sent conservatives into shocked mourning.The vice president flew to Utah to console Erika Kirk and to accompany Charlie Kirk’s body back to the couple’s Arizona home.Footage showed Vance walking with the coffin as it was loaded onto Air Force Two.Charlie Kirk, 31, was a talented speaker who toured college campuses where he challenged young people to debates on hot-button issues.Edited clips of these confrontations helped build a large social media following, which he parlayed into a movement that worked to mobilize young voters on right-wing issues.A month after his death, Trump posthumously awarded him the Presidential medal of Freedom, hailing the young activist as a “martyr for truth and freedom.”

Budget: députés et sénateurs échouent à se mettre d’accord, pas de budget avant la fin de l’année

Députés et sénateurs ont échoué à s’entendre vendredi sur le budget de l’État, écartant la perspective d’un texte adopté avant la fin de l’année, un échec au moins provisoire pour le Premier ministre Sébastien Lecornu.Entre le gouvernement et les socialistes d’un côté, la droite sénatoriale et les oppositions de l’autre, chacun se renvoie la balle sur la responsabilité de cette impasse.Face à ce scénario, le gouvernement avait déjà annoncé qu’il préparait une loi spéciale pour permettre le prélèvement des impôts et assurer la continuité de l’Etat, avant une reprise des débats sur le budget début 2026.Cette procédure exceptionnelle avait déjà été activée l’an dernier après la chute du gouvernement Barnier. Le texte devrait être examiné par les deux chambres au début de la semaine prochaine, après un probable passage lors du Conseil des ministres convoqué lundi soir, au retour d’un déplacement d’Emmanuel Macron aux Emirats arabes unis.Le Premier ministre a également annoncé réunir, à partir de lundi, les principaux responsables politiques pour les “consulter sur la marche à suivre pour protéger les Français et trouver les conditions d’une solution”.L’échec de la commission mixte paritaire (CMP), où sept députés et sept sénateurs n’ont pas réussi à se mettre d’accord, marque la fin de deux mois de discussions parlementaires autour de ce texte financier crucial.Dès le départ, le compromis semblait quasi impossible entre une droite sénatoriale attachée aux économies et aux baisses d’impôts et une Assemblée où la gauche réclamait plus de recettes et moins de coupes budgétaires.Et le pari de Sébastien Lecornu de faire adopter le budget sans recours au 49.3 dans une chambre basse sans majorité était particulièrement ambitieux.- La faute à qui ? -C’est donc un échec pour le Premier ministre, même s’il a réussi à faire adopter mardi l’autre budget, celui de la Sécurité sociale, en obtenant un vote favorable des socialistes en échange d’une suspension de la réforme des retraites.Pour l’exécutif et le PS, le coupable est tout désigné : les sénateurs LR, accusés d’intransigeance sur les recettes à trouver.Le patron du Parti socialiste Olivier Faure a accusé la droite sénatoriale de “faire le choix de bloquer le pays”. Sébastien Lecornu a plus sobrement regretté “l’absence de volonté d’aboutir de certains parlementaires”.Car, derrière les désaccords budgétaires, une guerre des chefs s’exacerbe à mesure que les échéances électorales se rapprochent.Une ministre accuse ainsi Bruno Retailleau, patron de LR, d’avoir attisé la radicalité des sénateurs de son parti, dans une guerre larvée avec le chef des députés LR Laurent Wauquiez.Au Palais du Luxembourg, on renvoie la balle à Matignon.”La responsabilité de cet échec incombe au gouvernement qui a soigneusement, méthodiquement, scrupuleusement organisé l’impossibilité d’un accord”, ont rétorqué Mathieu Darnaud (Les Républicains) et Hervé Marseille (UDI), chefs des groupes LR et centriste du Sénat, très remontés, dans un communiqué commun.Bruno Retailleau avait émis les mêmes critiques un peu plus tôt, fustigeant un texte qui “aurait envoyé la France dans le mur de la dette” et appelant le gouvernement à recourir au 49.3 à la rentrée. A l’Assemblée, la gauche, hors socialistes, a dénoncé un gouvernement qui se “défausse” sur les parlementaires, selon les mots d’Eric Coquerel (LFI), président de la commission des Finances.Pour le groupe écologistes, l’échec est dû à “la désunion profonde du bloc gouvernemental, incapable de s’accorder sur des priorités claires et de construire une majorité parlementaire”. – “Sparadrap” -Cap sur la loi spéciale donc, avant la reprise des discussions en janvier.A moins que le gouvernement ne se dirige vers les ordonnances avant la fin de l’année, s’interroge Jean-Philippe Tanguy pour le Rassemblement national. Son groupe continue d’appeler à un retour aux urnes, “seule solution” à la crise, dit-il.La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a rappelé vendredi matin le coût d’une loi spéciale. “L’an dernier, on avait estimé à 12 milliards le coût d’avoir six à huit semaines sans budget.””C’est un sparadrap”, cela permet de “faire tourner le pays” mais il faudra bien que le Parlement s’accorde en début d’année, a aussi répété dans la matinée Mme Bregeon.Outre l’urgence de disposer d’un budget, s’ajoutera la volonté du monde politique de tourner la page budgétaire avant les municipales de mars.cma-sl-ama-sac/jmt/pcl

Budget: députés et sénateurs échouent à se mettre d’accord, pas de budget avant la fin de l’année

Députés et sénateurs ont échoué à s’entendre vendredi sur le budget de l’État, écartant la perspective d’un texte adopté avant la fin de l’année, un échec au moins provisoire pour le Premier ministre Sébastien Lecornu.Entre le gouvernement et les socialistes d’un côté, la droite sénatoriale et les oppositions de l’autre, chacun se renvoie la balle sur la responsabilité de cette impasse.Face à ce scénario, le gouvernement avait déjà annoncé qu’il préparait une loi spéciale pour permettre le prélèvement des impôts et assurer la continuité de l’Etat, avant une reprise des débats sur le budget début 2026.Cette procédure exceptionnelle avait déjà été activée l’an dernier après la chute du gouvernement Barnier. Le texte devrait être examiné par les deux chambres au début de la semaine prochaine, après un probable passage lors du Conseil des ministres convoqué lundi soir, au retour d’un déplacement d’Emmanuel Macron aux Emirats arabes unis.Le Premier ministre a également annoncé réunir, à partir de lundi, les principaux responsables politiques pour les “consulter sur la marche à suivre pour protéger les Français et trouver les conditions d’une solution”.L’échec de la commission mixte paritaire (CMP), où sept députés et sept sénateurs n’ont pas réussi à se mettre d’accord, marque la fin de deux mois de discussions parlementaires autour de ce texte financier crucial.Dès le départ, le compromis semblait quasi impossible entre une droite sénatoriale attachée aux économies et aux baisses d’impôts et une Assemblée où la gauche réclamait plus de recettes et moins de coupes budgétaires.Et le pari de Sébastien Lecornu de faire adopter le budget sans recours au 49.3 dans une chambre basse sans majorité était particulièrement ambitieux.- La faute à qui ? -C’est donc un échec pour le Premier ministre, même s’il a réussi à faire adopter mardi l’autre budget, celui de la Sécurité sociale, en obtenant un vote favorable des socialistes en échange d’une suspension de la réforme des retraites.Pour l’exécutif et le PS, le coupable est tout désigné : les sénateurs LR, accusés d’intransigeance sur les recettes à trouver.Le patron du Parti socialiste Olivier Faure a accusé la droite sénatoriale de “faire le choix de bloquer le pays”. Sébastien Lecornu a plus sobrement regretté “l’absence de volonté d’aboutir de certains parlementaires”.Car, derrière les désaccords budgétaires, une guerre des chefs s’exacerbe à mesure que les échéances électorales se rapprochent.Une ministre accuse ainsi Bruno Retailleau, patron de LR, d’avoir attisé la radicalité des sénateurs de son parti, dans une guerre larvée avec le chef des députés LR Laurent Wauquiez.Au Palais du Luxembourg, on renvoie la balle à Matignon.”La responsabilité de cet échec incombe au gouvernement qui a soigneusement, méthodiquement, scrupuleusement organisé l’impossibilité d’un accord”, ont rétorqué Mathieu Darnaud (Les Républicains) et Hervé Marseille (UDI), chefs des groupes LR et centriste du Sénat, très remontés, dans un communiqué commun.Bruno Retailleau avait émis les mêmes critiques un peu plus tôt, fustigeant un texte qui “aurait envoyé la France dans le mur de la dette” et appelant le gouvernement à recourir au 49.3 à la rentrée. A l’Assemblée, la gauche, hors socialistes, a dénoncé un gouvernement qui se “défausse” sur les parlementaires, selon les mots d’Eric Coquerel (LFI), président de la commission des Finances.Pour le groupe écologistes, l’échec est dû à “la désunion profonde du bloc gouvernemental, incapable de s’accorder sur des priorités claires et de construire une majorité parlementaire”. – “Sparadrap” -Cap sur la loi spéciale donc, avant la reprise des discussions en janvier.A moins que le gouvernement ne se dirige vers les ordonnances avant la fin de l’année, s’interroge Jean-Philippe Tanguy pour le Rassemblement national. Son groupe continue d’appeler à un retour aux urnes, “seule solution” à la crise, dit-il.La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a rappelé vendredi matin le coût d’une loi spéciale. “L’an dernier, on avait estimé à 12 milliards le coût d’avoir six à huit semaines sans budget.””C’est un sparadrap”, cela permet de “faire tourner le pays” mais il faudra bien que le Parlement s’accorde en début d’année, a aussi répété dans la matinée Mme Bregeon.Outre l’urgence de disposer d’un budget, s’ajoutera la volonté du monde politique de tourner la page budgétaire avant les municipales de mars.cma-sl-ama-sac/jmt/pcl

Budget: députés et sénateurs échouent à se mettre d’accord, pas de budget avant la fin de l’année

Députés et sénateurs ont échoué à s’entendre vendredi sur le budget de l’État, écartant la perspective d’un texte adopté avant la fin de l’année, un échec au moins provisoire pour le Premier ministre Sébastien Lecornu.Entre le gouvernement et les socialistes d’un côté, la droite sénatoriale et les oppositions de l’autre, chacun se renvoie la balle sur la responsabilité de cette impasse.Face à ce scénario, le gouvernement avait déjà annoncé qu’il préparait une loi spéciale pour permettre le prélèvement des impôts et assurer la continuité de l’Etat, avant une reprise des débats sur le budget début 2026.Cette procédure exceptionnelle avait déjà été activée l’an dernier après la chute du gouvernement Barnier. Le texte devrait être examiné par les deux chambres au début de la semaine prochaine, après un probable passage lors du Conseil des ministres convoqué lundi soir, au retour d’un déplacement d’Emmanuel Macron aux Emirats arabes unis.Le Premier ministre a également annoncé réunir, à partir de lundi, les principaux responsables politiques pour les “consulter sur la marche à suivre pour protéger les Français et trouver les conditions d’une solution”.L’échec de la commission mixte paritaire (CMP), où sept députés et sept sénateurs n’ont pas réussi à se mettre d’accord, marque la fin de deux mois de discussions parlementaires autour de ce texte financier crucial.Dès le départ, le compromis semblait quasi impossible entre une droite sénatoriale attachée aux économies et aux baisses d’impôts et une Assemblée où la gauche réclamait plus de recettes et moins de coupes budgétaires.Et le pari de Sébastien Lecornu de faire adopter le budget sans recours au 49.3 dans une chambre basse sans majorité était particulièrement ambitieux.- La faute à qui ? -C’est donc un échec pour le Premier ministre, même s’il a réussi à faire adopter mardi l’autre budget, celui de la Sécurité sociale, en obtenant un vote favorable des socialistes en échange d’une suspension de la réforme des retraites.Pour l’exécutif et le PS, le coupable est tout désigné : les sénateurs LR, accusés d’intransigeance sur les recettes à trouver.Le patron du Parti socialiste Olivier Faure a accusé la droite sénatoriale de “faire le choix de bloquer le pays”. Sébastien Lecornu a plus sobrement regretté “l’absence de volonté d’aboutir de certains parlementaires”.Car, derrière les désaccords budgétaires, une guerre des chefs s’exacerbe à mesure que les échéances électorales se rapprochent.Une ministre accuse ainsi Bruno Retailleau, patron de LR, d’avoir attisé la radicalité des sénateurs de son parti, dans une guerre larvée avec le chef des députés LR Laurent Wauquiez.Au Palais du Luxembourg, on renvoie la balle à Matignon.”La responsabilité de cet échec incombe au gouvernement qui a soigneusement, méthodiquement, scrupuleusement organisé l’impossibilité d’un accord”, ont rétorqué Mathieu Darnaud (Les Républicains) et Hervé Marseille (UDI), chefs des groupes LR et centriste du Sénat, très remontés, dans un communiqué commun.Bruno Retailleau avait émis les mêmes critiques un peu plus tôt, fustigeant un texte qui “aurait envoyé la France dans le mur de la dette” et appelant le gouvernement à recourir au 49.3 à la rentrée. A l’Assemblée, la gauche, hors socialistes, a dénoncé un gouvernement qui se “défausse” sur les parlementaires, selon les mots d’Eric Coquerel (LFI), président de la commission des Finances.Pour le groupe écologistes, l’échec est dû à “la désunion profonde du bloc gouvernemental, incapable de s’accorder sur des priorités claires et de construire une majorité parlementaire”. – “Sparadrap” -Cap sur la loi spéciale donc, avant la reprise des discussions en janvier.A moins que le gouvernement ne se dirige vers les ordonnances avant la fin de l’année, s’interroge Jean-Philippe Tanguy pour le Rassemblement national. Son groupe continue d’appeler à un retour aux urnes, “seule solution” à la crise, dit-il.La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a rappelé vendredi matin le coût d’une loi spéciale. “L’an dernier, on avait estimé à 12 milliards le coût d’avoir six à huit semaines sans budget.””C’est un sparadrap”, cela permet de “faire tourner le pays” mais il faudra bien que le Parlement s’accorde en début d’année, a aussi répété dans la matinée Mme Bregeon.Outre l’urgence de disposer d’un budget, s’ajoutera la volonté du monde politique de tourner la page budgétaire avant les municipales de mars.cma-sl-ama-sac/jmt/pcl

French court rejects Shein suspension

A French court on Friday rejected the state’s request to suspend Shein’s site in France as “disproportionate” after the Asian e-commerce giant removed illicit products sold on its platform.The French government said it would appeal the ruling.French authorities had requested the ultra-fast-fashion giant’s site be blocked for three months after weapons, banned medications and childlike sex dolls were found on the platform.The authorities asked that the platform only be reopened if it applied strict new measures to prevent a repeat of the offences.The Paris judicial court acknowledged a “serious harm to public order”, but found their sale of the items in question had been “sporadic” and noted that Shein had removed the products.The court nevertheless issued an “injunction” to Shein not to resume selling “sexual products that could constitute pornographic content, without implementing age-verification measures”. The state’s request that Shein “at a minimum” maintain the suspension of its marketplace, which hosts products sold by third-party vendors, was not granted. “Only certain products on the marketplace were identified, in these proceedings, as manifestly illegal and harmful, while the ‘fr.Shein.com’ platform offers several hundred thousand items for sale,” said the court ruling.Despite the court’s decision, Shein’s marketplace is not expected to fully reopen right away, but gradually, its lawyers said.The company has acknowledged difficulties in implementing an effective age filter for pornographic products.As a result, the adults-only sexual category would remain closed for the time being, as is the case worldwide since the uproar over the sale of childlike sex dolls on the platform broke out in France in November.In a statement to AFP, the French government said that it would appeal the court decision.”Convinced of the systemic risk of the model linked to Shein, and at the request of the prime minister, the government will appeal this decision in the coming days,” said the statement.A number of other e-commerce giants have also faced pressure on the European stage in recent months. Brussels in November requested formal information from Shein, which could lead to probes and even fines. But that does not in itself suggest the law has been broken, nor is it a move towards punishment.Earlier in December, EU finance ministers agreed to impose a three-euro ($3.5) duty on low-value imports into the bloc from July 2026 to help tackle a flood of small parcels ordered via sites such as Shein. European retailers argue they face unfair competition from overseas platforms, which they claim do not always comply with the European Union’s stringent rules on products.

Pandya blitz powers India to T20 series win over South Africa

Hardik Pandya led India’s batting assault with his 16-ball 50 to set up a 30-run win over South Africa and clinch the series 3-1 in the fifth T20 on Friday.A punishing 105-run fourth partnership between Pandya, who hammered 63 off off 25 balls, and Tilak Varma (73) swept India to 231-5 at the world’s biggest cricket stadium in Ahmedabad.In reply, South Africa started strongly thanks to a 35-ball 65 by Quinton de Kock, who played his 100th T20 for the national team, but the opener’s departure triggered a collapse and the Proteas ended on 201-8.The win sealed India’s eighth consecutive T20 series triumph, a streak that began in December 2023.”From the start of the series, we wanted to stick to a particular brand of cricket and we did exactly that,” said India skipper Suryakumar Yadav.”We wanted to express ourselves in all departments and the results are right there in front of everyone.”South Africa began the tour with a stunning 2-0 triumph in the Test series but the white ball contests proved disappointing as they also lost the one-day series 2-1.Pace bowler Jasprit Bumrah returned figures of 2-17 including the key wicket of De Kock who chipped a yorker straight back to him.Spinner Varun Chakravarthy took four wickets, bowling Donovan Ferreira and George Linde. He returned with 10 wickets in four matches to be named player of the series.The series was part of the build-up for the T20 World Cup which starts in February in India and Sri Lanka.Put in to bat after the fourth match was abandoned due to fog in Lucknow, Indian openers Sanju Samson and Abhishek Sharma started briskly before Pandya tore into the opposition attack.Seam bowler Corbin Bosch cut short left-handed Abhishek’s knock on 34 and Samson fell for 37, bowled off left-arm spinner Linde.- Suryakumar’s batting flop -India lost their third wicket when Suryakumar got out for five to extend his lean run with the bat.T20 specialist Suryakumar has managed just 244 runs across his last 22 innings in this format with no fifties.”Only thing is we couldn’t find Surya the batter, I think he’s missing somewhere,” said Suryakumar. “But he’ll come back strong.”Pandya walked in and smacked Bosch for a six to signal his intent with the bat and in the next over hammered Linde for two sixes and two fours and was named player of the match.The middle-order batter registered India’s second fastest T20 fifty, behind Yuvraj Singh’s record 12-ball half-century in 2007.The left-handed Varma also impressed with his clean hitting but Pandya’s carnage that included five fours and five sixes stole the show.Pandya finally fell to Ottneil Baartman and Varma got run out on the penultimate ball but the pair helped India add 116 runs from the last eight overs.Vice-captain Shubman Gill missed the match after he injured his right foot while batting in the nets in Lucknow.In the South African chase, De Kock’s 51-run second-wicket partnership with Dewald Brevis, who made 31 off 17 balls, gave the Proteas hope but regular wickets and a rising asking-rate proved too much.”230 was always gonna require a near-to-perfect chase,” said South Africa skipper Aiden Markram. “Top three set it up, middle-order couldn’t take it forward. But these lessons could prove to be very valuable looking ahead to the World Cup.”

Le bras de fer judiciaire entre Shein et le gouvernement continue

Le gouvernement a annoncé vendredi soir faire appel de la décision du tribunal judiciaire de Paris, qui a rejeté la demande de l’Etat de blocage provisoire du site Shein en France, jugeant la mesure “disproportionnée” après le retrait volontaire des produits illicites vendus par le géant asiatique du commerce en ligne.”Le tribunal judiciaire (…) n’a pas souhaité ordonner des mesures pour éviter la mise en vente de poupées pédopornographiques, armes de catégorie A et médicaments”, a souligné le gouvernement. “De ce fait, convaincu du risque systémique du modèle lié à Shein, et à la demande du Premier ministre, le gouvernement fera appel de cette décision dans les prochains jours”, selon son communiqué.La demande de l’Etat de réclamer “a minima” le maintien de la suspension par Shein de sa place de marché (marketplace), qui héberge les produits commercialisés par des vendeurs tiers, n’a pas été entendue.Des poupées sexuelles à l’apparence de fillettes, des armes de catégorie A et des médicaments interdits retrouvés sur la plateforme avaient poussé l’Etat à demander une mesure radicale: bloquer le site du géant de la mode ultra-éphémère et assortir sa réouverture de conditions strictes.Le tribunal a reconnu l’existence d’un “dommage grave à l’ordre public, à la protection des mineurs, ou encore à la santé et à la sécurité des acheteurs potentiels et des tiers”, mais a estimé que ces ventes étaient “ponctuelles” et constaté que la plateforme avait retiré les produits.La justice a toutefois fait “injonction” à Shein de ne pas rétablir la vente de “produits sexuels pouvant caractériser un contenu à caractère pornographique, sans la mise en place de mesures de vérification d’âge”.- Réaction “rigoureuse et rapide” -“Seuls certains produits de la marketplace ont été identifiés, dans la présente procédure, comme manifestement illicites et dommageables, alors que la plateforme +fr.Shein.com+ propose à la vente plusieurs centaines de milliers d’articles”, a relevé le tribunal dans sa décision.Les juges expliquent n’avoir pas observé que les objets interdits avaient été mis en vente “de façon récurrente et massive” et ont au contraire salué la réaction “rigoureuse et rapide” de Shein après le signalement de la présence de ces articles fin octobre.Le groupe, fondé en Chine et basé à Singapour, avait bloqué de lui-même toute sa marketplace en France. Depuis le 5 novembre, Shein ne vend plus que ses collections de vêtements à bas prix, sans cesse renouvelées, fabriquées en Chine et en matières synthétiques pour l’essentiel. Le temps de faire “un audit complet” et de corriger les “failles” de son site.La marketplace Shein ne devait pas rouvrir dès vendredi, mais de manière progressive, a expliqué une source proche du dossier.L’audit interne est “toujours en cours” pour faire le bilan sur les failles constatées. Et dans un premier temps seuls les vendeurs tiers européens et français qui auront passé ce contrôle interne pourront être hébergés à nouveau sur le site Shein, a ajouté cette source.- Filtre d’âge -Les avocats de Shein avaient reconnu pendant l’audience au tribunal, le 5 décembre, des difficultés à instaurer un filtre d’âge efficace pour les produits pornographiques. En conséquence, la catégorie sexuelle réservée aux adultes a même été fermée au niveau mondial depuis le scandale apparu en France.La plateforme, qui se disait victime d’une véritable “cabale” politique et médiatique, selon les termes de ses avocats lors de l’audience, a salué la décision du tribunal, dans un communiqué transmis à l’AFP.”Nous sommes engagés à poursuivre l’amélioration continue de nos processus de contrôle, en étroite collaboration avec les autorités françaises, et nous avons intensifié ces initiatives avec l’ambition d’établir des standards parmi les plus exigeants de l’industrie”, avance l’entreprise.L’Etat exigeait que Shein soit suspendue tant qu’elle ne garantissait pas de mesures efficaces pour éviter que des produits interdits similaires soient remis en vente. Il demandait aussi au groupe asiatique de mettre en place un filtrage d’âge pour empêcher les mineurs d’accéder aux contenus pornographiques. Le tout sous contrôle de l’Arcom, régulateur du numérique.Le tribunal ne l’a entendu que sur les demandes de filtrage d’âge concernant les produits réservés aux adultes, afin d’éviter de “graves conséquences” pour les mineurs.Shein n’en a pas pour autant fini avec la justice: une enquête pénale a été ouverte par le parquet de Paris et confiée à l’Office des mineurs, qui enquête également sur les plateformes AliExpress, Temu, Wish et eBay.

Le bras de fer judiciaire entre Shein et le gouvernement continue

Le gouvernement a annoncé vendredi soir faire appel de la décision du tribunal judiciaire de Paris, qui a rejeté la demande de l’Etat de blocage provisoire du site Shein en France, jugeant la mesure “disproportionnée” après le retrait volontaire des produits illicites vendus par le géant asiatique du commerce en ligne.”Le tribunal judiciaire (…) n’a pas souhaité ordonner des mesures pour éviter la mise en vente de poupées pédopornographiques, armes de catégorie A et médicaments”, a souligné le gouvernement. “De ce fait, convaincu du risque systémique du modèle lié à Shein, et à la demande du Premier ministre, le gouvernement fera appel de cette décision dans les prochains jours”, selon son communiqué.La demande de l’Etat de réclamer “a minima” le maintien de la suspension par Shein de sa place de marché (marketplace), qui héberge les produits commercialisés par des vendeurs tiers, n’a pas été entendue.Des poupées sexuelles à l’apparence de fillettes, des armes de catégorie A et des médicaments interdits retrouvés sur la plateforme avaient poussé l’Etat à demander une mesure radicale: bloquer le site du géant de la mode ultra-éphémère et assortir sa réouverture de conditions strictes.Le tribunal a reconnu l’existence d’un “dommage grave à l’ordre public, à la protection des mineurs, ou encore à la santé et à la sécurité des acheteurs potentiels et des tiers”, mais a estimé que ces ventes étaient “ponctuelles” et constaté que la plateforme avait retiré les produits.La justice a toutefois fait “injonction” à Shein de ne pas rétablir la vente de “produits sexuels pouvant caractériser un contenu à caractère pornographique, sans la mise en place de mesures de vérification d’âge”.- Réaction “rigoureuse et rapide” -“Seuls certains produits de la marketplace ont été identifiés, dans la présente procédure, comme manifestement illicites et dommageables, alors que la plateforme +fr.Shein.com+ propose à la vente plusieurs centaines de milliers d’articles”, a relevé le tribunal dans sa décision.Les juges expliquent n’avoir pas observé que les objets interdits avaient été mis en vente “de façon récurrente et massive” et ont au contraire salué la réaction “rigoureuse et rapide” de Shein après le signalement de la présence de ces articles fin octobre.Le groupe, fondé en Chine et basé à Singapour, avait bloqué de lui-même toute sa marketplace en France. Depuis le 5 novembre, Shein ne vend plus que ses collections de vêtements à bas prix, sans cesse renouvelées, fabriquées en Chine et en matières synthétiques pour l’essentiel. Le temps de faire “un audit complet” et de corriger les “failles” de son site.La marketplace Shein ne devait pas rouvrir dès vendredi, mais de manière progressive, a expliqué une source proche du dossier.L’audit interne est “toujours en cours” pour faire le bilan sur les failles constatées. Et dans un premier temps seuls les vendeurs tiers européens et français qui auront passé ce contrôle interne pourront être hébergés à nouveau sur le site Shein, a ajouté cette source.- Filtre d’âge -Les avocats de Shein avaient reconnu pendant l’audience au tribunal, le 5 décembre, des difficultés à instaurer un filtre d’âge efficace pour les produits pornographiques. En conséquence, la catégorie sexuelle réservée aux adultes a même été fermée au niveau mondial depuis le scandale apparu en France.La plateforme, qui se disait victime d’une véritable “cabale” politique et médiatique, selon les termes de ses avocats lors de l’audience, a salué la décision du tribunal, dans un communiqué transmis à l’AFP.”Nous sommes engagés à poursuivre l’amélioration continue de nos processus de contrôle, en étroite collaboration avec les autorités françaises, et nous avons intensifié ces initiatives avec l’ambition d’établir des standards parmi les plus exigeants de l’industrie”, avance l’entreprise.L’Etat exigeait que Shein soit suspendue tant qu’elle ne garantissait pas de mesures efficaces pour éviter que des produits interdits similaires soient remis en vente. Il demandait aussi au groupe asiatique de mettre en place un filtrage d’âge pour empêcher les mineurs d’accéder aux contenus pornographiques. Le tout sous contrôle de l’Arcom, régulateur du numérique.Le tribunal ne l’a entendu que sur les demandes de filtrage d’âge concernant les produits réservés aux adultes, afin d’éviter de “graves conséquences” pour les mineurs.Shein n’en a pas pour autant fini avec la justice: une enquête pénale a été ouverte par le parquet de Paris et confiée à l’Office des mineurs, qui enquête également sur les plateformes AliExpress, Temu, Wish et eBay.