Global stocks struggle after Fed signals slower rate cuts
Global stock markets ended the week on a sour note Friday as traders mulled Federal Reserve Chair Jerome Powell’s comments that the US central bank was not on a preset path to cut interest rates. After Powell indicated the Fed was in no hurry to cut rates as it monitors inflation’s downward trajectory, Wall Street turned red, with all three major indices closing lower.”Certainly Powell’s speech has triggered some skepticism about the path of rates, with potentially December being a skip instead of another cut,” Edward Jones senior investment strategist Angelo Kourkafas told AFP.”But we do have another inflation and jobs report before that, so there is still a good sense we might see another rate cut in December,” he added.Leading the way down were a clutch of vaccine-makers’ stocks after US President-elect Donald Trump indicated he would appoint vaccine skeptic Robert F. Kennedy Jr. as his health secretary.Tokyo ended the day just in the green, with other major Asian markets stalling.In Europe, London was off just 0.1 percent, digesting disappointing growth data. Frankfurt and Paris also ended in the red to round off a painful week fueled by worries over another disruptive China-US trade war under Trump.Disappointing US retail sales in October did not help overall sentiment as oil prices also drifted down.- No hurry to cut -In a speech Thursday, Powell said that “the economy is not sending any signals that we need to be in a hurry to lower rates.”While the US central bank is expected to cut interest rates again next month, investors are scaling back their bets on how many cuts will be made next year.Investors are worried tax cuts and tariffs planned by Trump could reignite inflation.”The (Trump) administration’s renewed focus on tariffs could weigh heavily on currencies of trade-exposed economies, particularly those in Asia and the eurozone,” said Charu Chanana, chief investment strategist at Saxo Markets.European markets stuttered as the European Commission predicted economic growth would pick up slightly and inflation would keep falling in the eurozone next year, but warned of growing risks linked to geopolitical tensions.In Asia, Shanghai shed 1.5 percent but Tokyo rose despite data showing a slowdown in Japanese economic growth.China’s retail sales beat expectations, expanding 4.8 percent year-on-year in October, according to data published Friday, lifting hopes for the world’s number two economy. It was the best performance since February.The figures provided optimism that the country’s consumers are becoming more confident and follow a slew of measures out of Beijing in recent weeks aimed at kickstarting growth.In the cryptocurrency markets, Bitcoin clambered back above $90,000, two days after striking a record high of $93,462.Observers have predicted it may soon break the $100,000 mark after Trump’s pro-crypto comments during his election campaign.- Key figures around 2130 GMT -New York – Dow: DOWN 0.7 percent at 43,444.99 points (close)New York – S&P 500: DOWN 1.3 percent at 5,870.62 (close)New York – Nasdaq Composite: DOWN 2.2 percent at 18,680.12 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 8,063.61 (close) Paris – CAC 40: DOWN 0.6 percent at 7,269.63 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.3 percent at 19,210.81 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.3 percent at 38,642.91 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.1 percent at 19,426.34 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.5 percent at 3,330. 73 (close)Euro/dollar: UP at $1.0536 from $1.0524Pound/dollar: DOWN at $1.2611 from $1.2662Dollar/yen: DOWN at 154.32 yen from 156.28 yen on ThursdayEuro/pound: UP at 83.52 pence from 83.11 penceWest Texas Intermediate: DOWN 2.5 percent at $67.02 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 2.1 percent at $71.04 per barrel
Former AFCON champions Ghana bow out as minnows Comoros qualifyFri, 15 Nov 2024 21:40:04 GMT
Leicester City striker Jordan Ayew scored for Ghana in a 1-1 draw with Angola on Friday, but could not prevent the four-time champions becoming the biggest casualties of 2025 Africa Cup of Nations qualifying.While Ghana were eliminated, minnows Comoros and Mali, Zambia and Zimbabwe qualified, swelling the list of countries heading to Morocco to 19, …
Réquisitions d’inéligibilité: Marine Le Pen estime qu’on réclame sa “mort politique”
“C’est ma mort politique qui est réclamée”, a considéré vendredi sur TF1 Marine Le Pen après la peine d’inéligibilité avec exécution immédiate qui a été requise contre elle par les procureurs lors du procès des assistants d’eurodéputés RN.Le parquet a également demandé, contre la triple candidate malheureuse à la présidentielle, cinq ans d’emprisonnement dont deux ferme et 300.000 euros d’amende.Les plaidoiries de la défense sont attendues lundi, avant un jugement du tribunal correctionnel qui doit être rendu début 2025.”Ma survie politique, évidemment, va dépendre de la mise en Å“uvre de cette condamnation à la mort politique, avec exécution provisoire ou non”, a estimé Mme Le Pen lors d’un entretien au journal de 20H00. “Et c’est, je crois, le but depuis le départ de cette opération qui a été lancée par un socialiste, M. (Martin) Schulz, (à l’époque) président du Parlement européen, en accord avec la socialiste Mme (Christiane) Taubira, ministre de la justice de l’époque”, a-t-elle poursuivi.En évoquant un réquisitoire “outrancier” et “sans commune mesure avec le moindre réquisitoire du même type”, la députée du Pas-de-Calais a fait part d’un “sentiment de révolte”, selon elle également ressenti par “des millions de Français”, “et même au delà de mon propre camp politique, puisque l’indignation qu’a suscitée ce réquisitoire a traversé en quelque sorte toute la classe politique”.Les macronistes Gérald Darmanin, Christian Estrosi ou Karl Olive, mais également Jean-Luc Mélenchon ont fait part de leurs réserves quant à l’idée d’une condamnation à une peine d’inéligibilité avec effet immédiat.”En réalité, je me suis rendu compte que ce n’était pas la justiciable qui était jugée, que c’était la cible politique qui était jugée”, a encore protesté celle qui comparaît aux côtés de 24 autres prévenus, soupçonnés d’avoir embauché des assistants d’eurodéputés dont les missions n’étaient en fait qu’au seul bénéfice du parti d’extrême droite.Interrogée quant à une volonté de “faire pression sur la justice”, alors que le RN a notamment lancé une pétition en ligne pour protester contre ces réquisitions du parquet, Marine Le Pen a répondu “Jamais de la vie”.”Mais il a bien fallu donner la possibilité à ceux qui étaient indignés (…) d’exprimer cette indignation, mais de la manière la plus pacifique qui soit, c’est-à -dire par l’intermédiaire d’une pétition”, s’est-elle encore justifiée.
Nigerian UN nurse escapes jihadist kidnappers after six yearsFri, 15 Nov 2024 19:47:54 GMT
A Nigerian nurse who was kidnapped by Islamic State-affiliated jihadists has escaped after six years in which she was forced into two marriages, it was announced Friday.The Nigerian military presented Alice Loksha, who had been a health worker for the UN children’s agency UNICEF in the northeast of the country, to reporters at a military …
India in record six-hitting spree to rout South AfricaFri, 15 Nov 2024 19:46:35 GMT
Sanju Samson and Tilak Varma hit centuries as India thrashed South Africa by 135 runs in the fourth and final Twenty20 international at the Wanderers Stadium on Friday.Samson made 109 not out and Varma hit an unbeaten 120 in an Indian total of 283 for one, which included 23 sixes – a record for a …
India in record six-hitting spree to rout South AfricaFri, 15 Nov 2024 19:46:35 GMT Read More »
Le gouvernement veut rassurer les agriculteurs avant une nouvelle mobilisation
Le gouvernement a cherché vendredi à rassurer les agriculteurs en difficulté en précisant les modalités des prêts auxquels ils pourront prétendre avant un nouveau cycle de mobilisation du secteur qui débutera lundi. “Je ferai tout ce que je pourrai” et “toutes les promesses faites aux agriculteurs qui ont manifesté en début d’année seront respectées”, a assuré le Premier ministre Michel Barnier sur le réseau de radios locales France Bleu, en marge des Assises des départements à Angers.Le chef du gouvernement a redit son opposition à l’accord commercial entre l’Union européenne et les pays latino-américains du Mercosur, alors qu’Emmanuel Macron entend plaider à partir de samedi en Amérique latine contre la possible signature prochaine de cet accord de libre-échange controversé et particulièrement redouté par les agriculteurs français.Le ministère de l’Agriculture a de son côté précisé les modalités des prêts bonifiés, une demande pressante des organisations syndicales qui ont salué ces mesures tout en exigeant leur mise en place “urgente”.Deux dispositifs seront mis en place sous forme de prêts distribués par les banques souhaitant participer, indique le ministère de l’Agriculture dans un communiqué alors que le monde agricole s’apprête à lancer une vaste mobilisation au nom de sa survie.Des annonces “qui vont incontestablement dans le bon sens”, a réagi l’alliance syndicale majoritaire FNSEA-Jeunes Agriculteurs dans un communiqué. – “Urgence” -Selon le ministère, un premier dispositif est pensé pour faire face aux difficultés conjoncturelles (aléas climatiques ou sanitaires), sous forme de prêts de moyen terme plafonnés à 50.000 euros par exploitation. Seront éligibles les agriculteurs ayant perdu au moins 20% de leur chiffre d’affaires en 2024 par rapport à leur moyenne historique de référence.”Grâce à un effort partagé entre la banque prêteuse et l’Etat”, le coût de ce prêt atteindra des taux d’intérêt maximum de 1,75% pour un prêt de 24 mois et 2,35% pour un prêt de 36 mois, est-il précisé. Une bonification supplémentaire sera octroyée aux jeunes installés depuis moins de cinq ans.Le ministère affirme que ces prêts seront mis à disposition “dans les plus brefs délais”, après un appel à manifestation d’intérêt auprès des banques.Une second dispositif concernera les difficultés “plus structurelles du fait, par exemple, de l’impact du changement climatique”. Elle prendra la forme de “prêts de consolidation à long terme (maximum 12 ans)”, octroyés par les établissements bancaires et adossés à une garantie publique déployée par Bpifrance.Le montant de ce prêt sera plafonné à 200.000 euros. Le dispositif de garantie sera opérationnel début 2025. Y seront éligibles les agriculteurs dont le taux d’endettement global est supérieur à 50%.”Grâce à cet effort exceptionnel de l’Etat et des banques, les agriculteurs les plus en difficulté pourront surmonter des situations financières qui, sans cela, auraient pu se révéler dramatiques”, a commenté la ministre Annie Genevard, qui a réuni vendredi les principaux établissements bancaires.Le communiqué gouvernemental ne précise pas le coût de ces opérations pour les finances publiques.Jeunes Agriculteurs et la FNSEA “demandent au gouvernement que ces mesures soient mises en place de manière urgente au niveau local” et “continuent de porter la demande d’un accompagnement spécifique via le FAC” (fonds d’allègement des charges) pour évaluer les situations les plus complexes et les accompagner de manière plus appuyée.Moins d’un an après un mouvement inédit de colère dans les campagnes, qui avait abouti en janvier à des blocages de sections d’autoroutes dans le pays, les principaux syndicats agricoles appellent leurs troupes à manifester à nouveau.Percutés par les mauvaises récoltes et les maladies animales émergentes, ils estiment n’avoir toujours pas récolté les fruits de la mobilisation de l’hiver dernier: la concrétisation des 70 engagements alors pris par le gouvernement Attal a été ralentie par la dissolution de l’Assemblée nationale.Et ils jugent les normes toujours aussi complexes, et les revenus insuffisants.Â
Le PNF demande un procès pour corruption contre Rachida Dati et Carlos Ghosn
La menace d’un procès est plus forte que jamais pour Rachida Dati: le Parquet national financier (PNF) a confirmé vendredi avoir demandé que l’emblématique ministre de la Culture ainsi que l’ex-tout puissant patron de Renault-Nissan Carlos Ghosn soient jugés pour corruption et trafic d’influence.Les deux mis en cause contestent les accusations dans un dossier judiciaire instruit depuis 2019 à Paris et aux lourds enjeux politiques, Rachida Dati étant l’une des principales figures du gouvernement de Michel Barnier.Le “réquisitoire” du PNF est “infamant” et “choquant à plus d’un titre”, s’est élevée Mme Dati dans un communiqué, en dénonçant une “instrumentalisation de cette affaire par (s)es opposants politiques”. La ministre, 58 ans, est soupçonnée d’avoir perçu, “en toute confidentialité, voire en toute opacité”, 900.000 euros entre 2010 et 2012 pour des prestations de conseil actées dans une convention d’honoraires signée le 28 octobre 2009 avec RNBV, filiale de l’alliance Renault-Nissan, mais sans avoir réellement travaillé, alors qu’elle était avocate et député européenne (2009-2019).Les investigations ont cherché également à déterminer si cette convention d’honoraires avait pu servir à masquer une activité de lobbying au Parlement européen, interdite à tout élu.Après avoir été initialement placée sous le statut plus favorable de témoin assistée, Mme Dati avait été mise en examen en juillet 2021.Dans le détail, le PNF a confirmé avoir requis mercredi contre elle un procès pour recel d’abus de pouvoir et d’abus de confiance, corruption et trafic d’influence passifs par personne investie d’un mandat électif public au sein d’une organisation internationale, le Parlement européen.”Un réquisitoire n’est que la vision du parquet d’un dossier”, ont réagi les avocats de Mme Dati auprès de l’AFP.- “Contrecarrer” -“Ce réquisitoire intervient à contre-courant de tous les éléments que nous avons apportés: témoignages, pièces, documents…” et qui attestent, selon Mes Olivier Baratelli et Olivier Pardo, de “l’innocence” de leur cliente.”S’ouvre maintenant un délai légal au cours duquel nous allons répondre point par point pour contrecarrer cette vision parcellaire et inexacte”, ont affirmé les deux conseils.Mme Dati assure affronter “cette nouvelle épreuve avec sérénité et détermination”.La ministre de la Culture, qui a aussi été garde des Sceaux sous Nicolas Sarkozy, considère notamment ces faits comme prescrits et a multiplié les recours pour mettre fin aux poursuites. En vain.- “Régularité” -Carlos Ghosn, 70 ans, est visé depuis avril 2023 par un mandat d’arrêt international dans ce dossier. Il fait également l’objet d’un autre mandat d’arrêt depuis 2022 dans des investigations à Nanterre encore en cours, notamment pour abus de biens sociaux et blanchiment en bande organisée en lien avec le distributeur omanais Suhail Bahwan Automobiles.A Paris, l’ancien magnat de l’automobile risque un procès pour abus de pouvoirs par dirigeant de société, abus de confiance, corruption et trafic d’influence actifs, dans un dossier où l’entreprise Renault s’est constituée partie civile.Celui qui possède les nationalités libanaise, française et brésilienne a été arrêté fin 2018 au Japon où il devait être jugé pour des malversations financières présumées quand il était à la tête de Renault-Nissan. Il a trouvé refuge au Liban fin 2019 après une fuite rocambolesque du Japon.Ses avocats, Me Jacqueline Laffont-Haïk, Cloé Fonteix, Martin Reynaud et Léon Del Forno, ont indiqué à l’AFP que leur client était “bloqué sur le territoire libanais en vertu d’une décision de justice”.Carlos Ghosn “conteste la régularité du mandat d’arrêt sur la base de laquelle le parquet sollicite son renvoi, car il constitue en l’état de cette situation un détournement de procédure. Enfin, il rappelle son impossibilité d’avoir accès aux éléments du dossier et de participer à l’instruction, en violation flagrante des droits de la défense”, ont-ils ajouté.La décision finale sur la tenue d’un procès éventuel revient aux juges d’instruction parisiens chargés du dossier, le PNF précisant qu’un recours est toujours pendant devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris.Dans ce dossier, trois personnes avaient été placées sous le statut de témoin assisté: Mouna Sepehri, ancien bras droit de Carlos Ghosn, Christian Husson, directeur juridique de Renault au moment des faits, et le criminologue Alain Bauer.Le parquet a précisé qu'”un non-lieu a été requis sur le volet des contrats conclus entre la société RNBV et la société AB Conseil” d’Alain Bauer, qui avait touché un million d’euros entre 2012 et 2016 pour des activités de consultant en sécurité.