India withdraws pilot rest policy after IndiGo chaos
India’s aviation ministry on Friday rolled back a new policy of weekly rest for pilots after chaos caused by hundreds of flight cancellations by the country’s biggest airline, IndiGo.Airports across India have been in disarray since Monday, with the private carrier blaming the disruption on “unforeseen operational challenges”.On Thursday, IndiGo admitted to aviation regulators that “misjudgement and planning gaps” in adapting to new rules led to the operational meltdown, even though it had two years to prepare for the switch.The new rules came into effect last month with the aim of giving pilots more rest periods to enhance passenger safety.India’s civil aviation minister Ram Mohan Naidu said the “Flight Duty Time Limitations” rules “have been placed in abeyance with immediate effect”.”Without compromising on air safety, this decision has been taken solely in the interest of passengers, especially senior citizens, students, patients, and others who rely on timely air travel for essential needs,” Naidu said in a statement. Naidu said his ministry expected that “flight schedules will begin to stabilise and return to normal by tomorrow”. IndiGo, which cancelled all domestic flights Friday from New Delhi and Chennai, apologised for “the immense inconvenience and distress” caused to travellers. In a video statement, the company’s CEO Pieter Elbers said late Friday the relaxation of the rules was “of great help” but there was “still lots of work in progress”. Friday was the “most severely impacted day” with “well over a thousand” cancellations, Elbers said.He added that the company expected cancellations to fall below 1,000 on Saturday ahead of a return to normal between December 10 and 15.IndiGo, which commands 60 percent of India’s domestic market, operates over 2,000 flights a day.Earlier on Friday, passengers vented their frustration online, including Singapore’s ambassador to India, Simon Wong, who said he was “lost for words”.”I joined the tens of thousands of passengers stranded by #Indigo… My sincere apologies to my young staff waiting for me to attend his #shaadi (wedding). Lost for words,” a post on the embassy’s official X handle said.A passenger at Delhi airport told broadcaster NDTV that he had received no update from the airline for the last 12 hours.Prime Minister Narendra Modi’s main opponent, Rahul Gandhi from the Congress party, blamed the fiasco on the government’s “monopoly model”.”Once again, it’s ordinary Indians who pay the price – in delays, cancellations and helplessness. India deserves fair competition in every sector, not match-fixing monopolies,” he said in a post on X.The crisis is one of the biggest challenges faced by the no-frills airline, which has built its reputation on punctuality.Last week, 200 IndiGo planes were affected when Airbus issued an alert for an urgent upgrade for 6,000 aircraft worldwide.India is one of the world’s fastest growing aviation markets, hitting 500,000 daily flyers last month for the first time.
“Ne cédez pas aux sirènes de la division”, lance Macron à la fin de son voyage en Chine
“Ne cédez pas aux sirènes de la division” : le président français Emmanuel Macron a achevé vendredi sa visite d’Etat en Chine sur un message choc à des étudiants, après une séquence plus intimiste avec son homologue Xi Jinping et la promesse de l’arrivée de nouveaux pandas géants en France d’ici 2027.Le chef de l’Etat a été accueilli en rockstar à l’université de Chengdu (centre). Des centaines d’étudiants, massés derrière des barrières, l’attendaient aux cris de “Makelong” (Macron en chinois).Très applaudi à son entrée dans l’amphithéâtre, il s’est “excusé” d’arriver sans cravate, dans la même tenue décontractée qu’auparavant auprès de Xi Jinping, marque d'”un moment amical”.”Ne cédez pas aux sirènes de la division”, a-t-il lancé en référence aux fractures de l’ordre international. “S’il y a beaucoup de gens qui vont vous expliquer que l’Europe est vieille, que l’Europe ou les pays les plus riches, ceux qu’on trouve au G7, sont arrogants (…) tout ça sont des récits, des inventions”.Durant une heure d’échange, il a tiré, à coup de formules choc, les conclusions de sa visite d’Etat entamée mercredi soir et durant laquelle il a appelé la Chine à faire pression sur la Russie pour mettre fin à la guerre en Ukraine et à réduire les déséquilibres commerciaux.”Il faut remettre les cinq membres permanents du Conseil de sécurité autour de la table pour traiter des grands sujets”, a-t-il martelé, en invoquant la “tradition diplomatique”.”Venez en France étudier ! Apprendre la langue française, mais (aussi) étudier l’intelligence artificielle, étudier les mathématiques…”, a-t-il lancé.- “En discussion” -Pour réduire son déficit commercial envers la Chine, l’Europe doit accepter des investissements chinois chez elle dans les batteries de voitures électriques, les éoliennes et d’autres technologies, a-t-il réitéré.Mais elle devra aussi se protéger dans les secteurs les plus vulnérables, a-t-il pointé, plaidant la “préférence européenne” dans l’automobile pour protéger sa “base de production” face au rouleau compresseur des véhicules électriques chinois.Juste auparavant, le directeur du zoo de Beauval (Loir-et-Cher) Rodolphe Delord avait annoncé l’arrivée d’ici début 2027 de nouveaux pandas géants en France, après le retour fin novembre du couple prêté par la Chine depuis 2012.L’épouse du président, Brigitte Macron, s’est rendue à son côté au Centre de conservation des pandas géants de Chengdu, où les deux plantigrades âgés de 17 ans viennent tout juste de revenir.Elle y a retrouvé Yuan Meng, le premier des pandas géants nés en France en 2017, dont elle est la marraine. Indifférent à ses visiteurs, il s’est contenté de continuer à manger du bambou sans s’approcher de son hôte de marque.Le président a terminé sa visite par un échange de balles avec les pongistes français Alexis et Félix Lebrun, présents en Chine pour une coupe du monde.- “Volonté de paix” -Loin du monumental Palais du Peuple de Pékin où ils s’étaient rencontrés jeudi, le président Xi, accompagné de son épouse Peng Liyuan, a joué le guide vendredi matin pour le couple présidentiel français arrivé main dans la main sur le site séculaire du barrage de Dujiangyan (sud-ouest), inscrit au patrimoine mondial, dans un décor verdoyant et montagneux de carte postale.Xi Jinping a loué “la sagesse” des anciens appliquée aux éléments. “C’est un système d’ingénierie écologique et qui incarne l’harmonie entre l’homme et la nature, et cet esprit d’ingénierie rayonne dans tous les domaines, que ce soit pour la maîtrise de l’eau ou la gouvernance de l’Etat, nous pouvons toujours nous en inspirer”, a-t-il dit.”Impressionnant de voir que la nature a été ainsi maîtrisée par l’homme”, s’est extasié M. Macron.Jeudi à Pékin, le président français s’était livré à un échange autrement plus délicat, pressant son homologue d’œuvrer à la fin de la guerre en Ukraine et de corriger les déséquilibres commerciaux avec la France et l’Europe.La Chine n’a jamais condamné l’invasion de l’Ukraine par la Russie, un partenaire primordial, et lui achète massivement du pétrole, alimentant ainsi sa machine de guerre.”J’ai vu une volonté du Président Xi de contribuer à la stabilité et à la paix”, a toutefois assuré Emmanuel Macron après ses échanges.
“Ne cédez pas aux sirènes de la division”, lance Macron à la fin de son voyage en Chine
“Ne cédez pas aux sirènes de la division” : le président français Emmanuel Macron a achevé vendredi sa visite d’Etat en Chine sur un message choc à des étudiants, après une séquence plus intimiste avec son homologue Xi Jinping et la promesse de l’arrivée de nouveaux pandas géants en France d’ici 2027.Le chef de l’Etat a été accueilli en rockstar à l’université de Chengdu (centre). Des centaines d’étudiants, massés derrière des barrières, l’attendaient aux cris de “Makelong” (Macron en chinois).Très applaudi à son entrée dans l’amphithéâtre, il s’est “excusé” d’arriver sans cravate, dans la même tenue décontractée qu’auparavant auprès de Xi Jinping, marque d'”un moment amical”.”Ne cédez pas aux sirènes de la division”, a-t-il lancé en référence aux fractures de l’ordre international. “S’il y a beaucoup de gens qui vont vous expliquer que l’Europe est vieille, que l’Europe ou les pays les plus riches, ceux qu’on trouve au G7, sont arrogants (…) tout ça sont des récits, des inventions”.Durant une heure d’échange, il a tiré, à coup de formules choc, les conclusions de sa visite d’Etat entamée mercredi soir et durant laquelle il a appelé la Chine à faire pression sur la Russie pour mettre fin à la guerre en Ukraine et à réduire les déséquilibres commerciaux.”Il faut remettre les cinq membres permanents du Conseil de sécurité autour de la table pour traiter des grands sujets”, a-t-il martelé, en invoquant la “tradition diplomatique”.”Venez en France étudier ! Apprendre la langue française, mais (aussi) étudier l’intelligence artificielle, étudier les mathématiques…”, a-t-il lancé.- “En discussion” -Pour réduire son déficit commercial envers la Chine, l’Europe doit accepter des investissements chinois chez elle dans les batteries de voitures électriques, les éoliennes et d’autres technologies, a-t-il réitéré.Mais elle devra aussi se protéger dans les secteurs les plus vulnérables, a-t-il pointé, plaidant la “préférence européenne” dans l’automobile pour protéger sa “base de production” face au rouleau compresseur des véhicules électriques chinois.Juste auparavant, le directeur du zoo de Beauval (Loir-et-Cher) Rodolphe Delord avait annoncé l’arrivée d’ici début 2027 de nouveaux pandas géants en France, après le retour fin novembre du couple prêté par la Chine depuis 2012.L’épouse du président, Brigitte Macron, s’est rendue à son côté au Centre de conservation des pandas géants de Chengdu, où les deux plantigrades âgés de 17 ans viennent tout juste de revenir.Elle y a retrouvé Yuan Meng, le premier des pandas géants nés en France en 2017, dont elle est la marraine. Indifférent à ses visiteurs, il s’est contenté de continuer à manger du bambou sans s’approcher de son hôte de marque.Le président a terminé sa visite par un échange de balles avec les pongistes français Alexis et Félix Lebrun, présents en Chine pour une coupe du monde.- “Volonté de paix” -Loin du monumental Palais du Peuple de Pékin où ils s’étaient rencontrés jeudi, le président Xi, accompagné de son épouse Peng Liyuan, a joué le guide vendredi matin pour le couple présidentiel français arrivé main dans la main sur le site séculaire du barrage de Dujiangyan (sud-ouest), inscrit au patrimoine mondial, dans un décor verdoyant et montagneux de carte postale.Xi Jinping a loué “la sagesse” des anciens appliquée aux éléments. “C’est un système d’ingénierie écologique et qui incarne l’harmonie entre l’homme et la nature, et cet esprit d’ingénierie rayonne dans tous les domaines, que ce soit pour la maîtrise de l’eau ou la gouvernance de l’Etat, nous pouvons toujours nous en inspirer”, a-t-il dit.”Impressionnant de voir que la nature a été ainsi maîtrisée par l’homme”, s’est extasié M. Macron.Jeudi à Pékin, le président français s’était livré à un échange autrement plus délicat, pressant son homologue d’œuvrer à la fin de la guerre en Ukraine et de corriger les déséquilibres commerciaux avec la France et l’Europe.La Chine n’a jamais condamné l’invasion de l’Ukraine par la Russie, un partenaire primordial, et lui achète massivement du pétrole, alimentant ainsi sa machine de guerre.”J’ai vu une volonté du Président Xi de contribuer à la stabilité et à la paix”, a toutefois assuré Emmanuel Macron après ses échanges.
Signing up to DR Congo peace is one thing, delivery anotherFri, 05 Dec 2025 15:21:04 GMT
Signing an accord is one thing but actual implementation of a peace deal inked Thursday in Washington to end the conflict in eastern Democratic Republic of Congo (DRC) promises to be highly complex amid ongoing intense fighting.- Transactional diplomacy -The Washington agreement comprises three components, the first not surprisingly concerning a cessation of hostilities via …
Signing up to DR Congo peace is one thing, delivery anotherFri, 05 Dec 2025 15:21:04 GMT Read More »
‘Amazing’ figurines find in Egyptian tomb solves mysteryFri, 05 Dec 2025 15:16:06 GMT
A treasure trove of 225 funerary figurines have been discovered inside a tomb in the ancient Egyptian capital of Tanis in the Nile Delta, a rare find that has also solved a long-running mystery. “Finding figurines in place inside a royal tomb has not happened in the Tanis necropolis since 1946,” French egyptologist Frederic Payraudeau told …
‘Amazing’ figurines find in Egyptian tomb solves mysteryFri, 05 Dec 2025 15:16:06 GMT Read More »
‘Amazing’ figurines find in Egyptian tomb solves mystery
A treasure trove of 225 funerary figurines have been discovered inside a tomb in the ancient Egyptian capital of Tanis in the Nile Delta, a rare find that has also solved a long-running mystery. “Finding figurines in place inside a royal tomb has not happened in the Tanis necropolis since 1946,” French egyptologist Frederic Payraudeau told reporters in Paris on Friday. Such a find has also never happened before further south in Egypt’s Valley of the Kings near modern Luxor — apart from the tomb of the famous boy king Tutankhamun in 1922 — because most such sites have been looted throughout history, he added.Payraudeau, who leads the French Tanis excavation mission, said the remarkable discovery was made on the morning of October 9.The team had already excavated the other three corners of a narrow tomb occupied by an imposing, unnamed sarcophagus.”When we saw three or four figurines together, we knew right away it was going to be amazing,” Payraudeau said.”I ran out to tell my colleagues and the officials. After that it was a real struggle. It was the day before the weekend — normally, we stop at 2 pm. We thought: ‘This is not possible.'”The team then set up lights to work through the night.It took 10 days to carefully extract all of the 225 small green figurines. They were “carefully arranged in a star shape around the sides of a trapezoidal pit and in horizontal rows at the bottom,” Payraudeau said.The funerary figurines, which are known as ushabti, were intended as servants to accompany the dead into the afterlife.More than half the figurines are women, which is “quite exceptional”, Payraudeau said.Located in the Nile Delta, Tanis was founded around 1050 BC as the capital of the Egyptian kingdom during the 21st dynasty.At the time, the Valley of the Kings — which had been looted during the reign of pharaohs including Ramses — was abandoned and the royal necropolis was moved to Tanis, Payraudeau said.- One mystery leads to another -The royal symbol on the newly discovered figurines also solves a long-standing mystery by identifying who was buried in the sarcophagus. It was pharaoh Shoshenq III, who reigned from 830 to 791 BC. This was “astonishing” because the walls of a different tomb at the site — and the largest sarcophagus there — bear his name, Payraudeau said.”Why isn’t he buried in this tomb?” the expert asked.”Obviously, for a pharaoh, building a tomb is a gamble because you can never be sure your successor will bury you there,” he said.”Clearly, we have new proof that these gambles are not always successful,” Payraudeau said with a smile.Shoshenq III’s four-decade reign was turbulent, marred by a “very bloody civil war between upper and lower Egypt, with several pharaohs fighting for power,” he said.So it is possible that the royal succession did not go as planned and the pharaoh was not buried in his chosen tomb.Another possibility is that his remains were moved later due to looting. But it is “difficult to imagine that a 3.5 by 1.5 metre granite sarcophagus could have been reinstalled in such a small place,” Payraudeau said.After the figurines are studied, they will be displayed in an Egyptian museum, Payraudeau said.






