Les adolescents partagés dans le monde face à l’interdiction des réseaux sociaux aux jeunes Australiens

“Un peu extrême” ou “une bonne chose” ? L’AFP a recueilli les réactions d’usagers des réseaux sociaux à travers le monde avant l’entrée en vigueur mercredi de l’interdiction pilote de ceux-ci aux moins de 16 ans en Australie.- Bombay (Inde): “Rien n’est noir ou blanc” -Sur le front de mer de Bombay, en Inde, Pratigya …

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Nigeria: une centaine d’écoliers libérés après leur kidnapping

Plus de deux semaines après leur enlèvement en pleine nuit dans leur dortoir scolaire, une partie des élèves d’une école catholique du centre-nord du Nigeria ont été libérés et reçus lundi par le gouverneur de l’Etat de Niger avant d’être examinés par des médecins et de retrouver leurs familles.Une centaine d’élèves, pour la plupart âgés …

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“Un peu extrême” ou “une bonne chose” ? L’AFP a recueilli les réactions d’usagers des réseaux sociaux à travers le monde avant l’entrée en vigueur mercredi de l’interdiction pilote de ceux-ci aux moins de 16 ans en Australie.- Bombay (Inde): “Rien n’est noir ou blanc” -Sur le front de mer de Bombay, en Inde, Pratigya …

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Un an après la chute d’Assad, le président Chareh s’engage à promouvoir la “coexistence” et la justice

Le président syrien, Ahmad al-Chareh, s’est engagé lundi à faire prévaloir la “coexistence” et la justice, dans un discours marquant le premier anniversaire de la chute de Bachar al-Assad, célébré dans les rues par des dizaines de milliers de Syriens. Feux d’artifice, prières et drapeaux, l’atmosphère était joyeuse dans les rues de Damas, envahies, comme dans …

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Peace deal at risk as DR Congo, Burundi slam Rwanda and M23 advancesMon, 08 Dec 2025 20:29:20 GMT

A just-signed agreement aimed at ending the conflict in the Democratic Republic of Congo looked to be unravelling Monday with the DRC and Burundi slamming neighbouring Rwanda after the Rwanda-backed M23 armed group attacked border areas.DRC President Felix Tshisekedi accused Rwanda of “violating” the accord — signed only last Thursday in Washington at the urging …

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Budget de la Sécu: à la veille du vote, le gouvernement multiplie les mains tendues

A la veille d’un scrutin qui s’annonce extrêmement serré, le patron du PS Olivier Faure a appelé ses députés à voter pour le projet de budget de la Sécurité sociale, menacé de rejet par les refus de LR et d’Horizons de le soutenir. De son côté, le gouvernement a multiplié les gestes pour tenter de convaincre, notamment les Ecologistes. La ministre de la Santé Stéphanie Rist a annoncé avoir déposé un amendement pour augmenter l’objectif des dépenses de l’assurance maladie “de 2 à 3%”. L’objectif de 2% était jugé insuffisant par beaucoup, notamment la gauche, pour suivre les dépenses nécessaires à l’hôpital comme à la ville.Mais les écologistes, qui doivent se réunir mardi matin en réunion de groupe pour arrêter leur position de vote, ont accueilli cette annonce avec prudence. “J’ai l’impression que les écologistes comptent pour le gouvernement depuis à peu près trois jours”, a critiqué sur BFMTV lundi soir la patronne du parti, Marine Tondelier. Elle s’est également interrogée sur la hausse annoncée par Mme Rist: “Est-ce que c’est vraiment de l’argent en plus pour les hôpitaux?”, alors que la ministre a déclaré qu’elle était faite notamment pour “rendre compte du fait qu’il n’y aura pas de hausse des franchises médicales” en 2026. L’avenir du Premier ministre Sébastien Lecornu, qui a renoncé à recourir au 49.3 pour faire adopter le texte sans vote, pourrait dépendre du scrutin de mardi. Même si la porte-parole du gouvernement Maud Bregeon a jugé qu’une démission “n’aurait pas de sens”.- “Pas satisfaisant” – Le vote des socialistes comme des Ecologistes a pris une importance cruciale avec le refus des patrons de LR, Bruno Retailleau, et d’Horizons, Edouard Philippe, de soutenir ce budget. Ces deux responsables, qui ont aussi 2027 en ligne de mire, jugent que Sébastien Lecornu a fait trop de concessions aux socialistes. Ce texte “n’est pas satisfaisant” mais “je ne suis pas partisan du chaos, je ne propose pas de voter contre”, a déclaré lundi soir sur LCI Édouard Philippe, en recommandant aux députés de son parti de s’abstenir. Chez les Républicains, l’ancien Premier ministre Michel Barnier a déclaré sur TF1 prévoir de s'”abstenir, comme d’ailleurs un grand nombre de parlementaires LR”.Moins affirmatif, le député LR Philippe Juvin a dit sur BFMTV réserver sa réponse, en résumant l’enjeu ainsi: “Est-ce qu’il vaut mieux voter un budget qui n’est pas du tout satisfaisant, celui qu’on nous propose, ou est-ce que l’absence de budget est pire?”.Sans texte l’année prochaine, le gouvernement a maintes fois averti que le déficit de la Sécu plongerait autour des 30 milliards d’euros en 2026, contre 23 en 2025.- Changement d’alliance -Allié improbable venu à la rescousse du Premier ministre lundi, le Premier secrétaire du PS Olivier Faure a lui plaidé en faveur d’un “vote pour”. “Le Premier ministre s’est engagé (sur la suspension de la réforme des retraites), il s’est montré fiable dans toute la discussion. Je souhaite que nous puissions à notre tour être fiables”, a-t-il dit sur BFMTV/RMC. Il a estimé avoir obtenu “toute une série d’avancées” en “faisant sauter” le gel des pensions de retraite, des prestations sociales, le doublement des franchises médicales…Lundi soir, Boris Vallaud, le chef des députés socialistes, a confirmé au Monde que la “quasi-unanimité du groupe socialiste s’est prononcée en faveur d’un vote pour”, malgré quelques députés plaidant pour une abstention. Il a espéré que la “discipline de groupe” soit “respectée” mardi.Outre les socialistes, Renaissance, le MoDem, et le groupe indépendant Liot devraient voter majoritairement pour, quand les insoumis et l’alliance RN-UDR devraient voter contre. Les communistes se dirigent vers un vote majoritairement contre.Les voix des écologistes — que le sénateur Yannick Jadot a appelé “au minimum à s’abstenir” — ou même des non-inscrits, pourraient donc s’avérer cruciales. Tout comme la répartition des voix finale chez LR et Horizons. Sans surprise, l’annonce de M. Faure a fait bondir les Insoumis. Leur coordinateur national Manuel Bompard a dénoncé “le changement d’alliance du Parti socialiste” qui valide “une hausse du prix des mutuelles de 1 milliard d’euros, une limitation à un mois des arrêts de travail…”Réagissant sur France Inter Gabriel Attal, le patron des députés Renaissance, s’est lui réjoui que “le travail (parlementaire) (ait) permis de dégager des compromis”.Même si il est adopté mardi, le budget de la Sécurité sociale devra faire encore un aller-retour avec le Sénat. Le projet de budget de l’Etat, encore plus clivant, est, de son côté, toujours en cours d’examen au Sénat.

Budget de la Sécu: à la veille du vote, le gouvernement multiplie les mains tendues

A la veille d’un scrutin qui s’annonce extrêmement serré, le patron du PS Olivier Faure a appelé ses députés à voter pour le projet de budget de la Sécurité sociale, menacé de rejet par les refus de LR et d’Horizons de le soutenir. De son côté, le gouvernement a multiplié les gestes pour tenter de convaincre, notamment les Ecologistes. La ministre de la Santé Stéphanie Rist a annoncé avoir déposé un amendement pour augmenter l’objectif des dépenses de l’assurance maladie “de 2 à 3%”. L’objectif de 2% était jugé insuffisant par beaucoup, notamment la gauche, pour suivre les dépenses nécessaires à l’hôpital comme à la ville.Mais les écologistes, qui doivent se réunir mardi matin en réunion de groupe pour arrêter leur position de vote, ont accueilli cette annonce avec prudence. “J’ai l’impression que les écologistes comptent pour le gouvernement depuis à peu près trois jours”, a critiqué sur BFMTV lundi soir la patronne du parti, Marine Tondelier. Elle s’est également interrogée sur la hausse annoncée par Mme Rist: “Est-ce que c’est vraiment de l’argent en plus pour les hôpitaux?”, alors que la ministre a déclaré qu’elle était faite notamment pour “rendre compte du fait qu’il n’y aura pas de hausse des franchises médicales” en 2026. L’avenir du Premier ministre Sébastien Lecornu, qui a renoncé à recourir au 49.3 pour faire adopter le texte sans vote, pourrait dépendre du scrutin de mardi. Même si la porte-parole du gouvernement Maud Bregeon a jugé qu’une démission “n’aurait pas de sens”.- “Pas satisfaisant” – Le vote des socialistes comme des Ecologistes a pris une importance cruciale avec le refus des patrons de LR, Bruno Retailleau, et d’Horizons, Edouard Philippe, de soutenir ce budget. Ces deux responsables, qui ont aussi 2027 en ligne de mire, jugent que Sébastien Lecornu a fait trop de concessions aux socialistes. Ce texte “n’est pas satisfaisant” mais “je ne suis pas partisan du chaos, je ne propose pas de voter contre”, a déclaré lundi soir sur LCI Édouard Philippe, en recommandant aux députés de son parti de s’abstenir. Chez les Républicains, l’ancien Premier ministre Michel Barnier a déclaré sur TF1 prévoir de s'”abstenir, comme d’ailleurs un grand nombre de parlementaires LR”.Moins affirmatif, le député LR Philippe Juvin a dit sur BFMTV réserver sa réponse, en résumant l’enjeu ainsi: “Est-ce qu’il vaut mieux voter un budget qui n’est pas du tout satisfaisant, celui qu’on nous propose, ou est-ce que l’absence de budget est pire?”.Sans texte l’année prochaine, le gouvernement a maintes fois averti que le déficit de la Sécu plongerait autour des 30 milliards d’euros en 2026, contre 23 en 2025.- Changement d’alliance -Allié improbable venu à la rescousse du Premier ministre lundi, le Premier secrétaire du PS Olivier Faure a lui plaidé en faveur d’un “vote pour”. “Le Premier ministre s’est engagé (sur la suspension de la réforme des retraites), il s’est montré fiable dans toute la discussion. Je souhaite que nous puissions à notre tour être fiables”, a-t-il dit sur BFMTV/RMC. Il a estimé avoir obtenu “toute une série d’avancées” en “faisant sauter” le gel des pensions de retraite, des prestations sociales, le doublement des franchises médicales…Lundi soir, Boris Vallaud, le chef des députés socialistes, a confirmé au Monde que la “quasi-unanimité du groupe socialiste s’est prononcée en faveur d’un vote pour”, malgré quelques députés plaidant pour une abstention. Il a espéré que la “discipline de groupe” soit “respectée” mardi.Outre les socialistes, Renaissance, le MoDem, et le groupe indépendant Liot devraient voter majoritairement pour, quand les insoumis et l’alliance RN-UDR devraient voter contre. Les communistes se dirigent vers un vote majoritairement contre.Les voix des écologistes — que le sénateur Yannick Jadot a appelé “au minimum à s’abstenir” — ou même des non-inscrits, pourraient donc s’avérer cruciales. Tout comme la répartition des voix finale chez LR et Horizons. Sans surprise, l’annonce de M. Faure a fait bondir les Insoumis. Leur coordinateur national Manuel Bompard a dénoncé “le changement d’alliance du Parti socialiste” qui valide “une hausse du prix des mutuelles de 1 milliard d’euros, une limitation à un mois des arrêts de travail…”Réagissant sur France Inter Gabriel Attal, le patron des députés Renaissance, s’est lui réjoui que “le travail (parlementaire) (ait) permis de dégager des compromis”.Même si il est adopté mardi, le budget de la Sécurité sociale devra faire encore un aller-retour avec le Sénat. Le projet de budget de l’Etat, encore plus clivant, est, de son côté, toujours en cours d’examen au Sénat.

Budget de la Sécu: à la veille du vote, le gouvernement multiplie les mains tendues

A la veille d’un scrutin qui s’annonce extrêmement serré, le patron du PS Olivier Faure a appelé ses députés à voter pour le projet de budget de la Sécurité sociale, menacé de rejet par les refus de LR et d’Horizons de le soutenir. De son côté, le gouvernement a multiplié les gestes pour tenter de convaincre, notamment les Ecologistes. La ministre de la Santé Stéphanie Rist a annoncé avoir déposé un amendement pour augmenter l’objectif des dépenses de l’assurance maladie “de 2 à 3%”. L’objectif de 2% était jugé insuffisant par beaucoup, notamment la gauche, pour suivre les dépenses nécessaires à l’hôpital comme à la ville.Mais les écologistes, qui doivent se réunir mardi matin en réunion de groupe pour arrêter leur position de vote, ont accueilli cette annonce avec prudence. “J’ai l’impression que les écologistes comptent pour le gouvernement depuis à peu près trois jours”, a critiqué sur BFMTV lundi soir la patronne du parti, Marine Tondelier. Elle s’est également interrogée sur la hausse annoncée par Mme Rist: “Est-ce que c’est vraiment de l’argent en plus pour les hôpitaux?”, alors que la ministre a déclaré qu’elle était faite notamment pour “rendre compte du fait qu’il n’y aura pas de hausse des franchises médicales” en 2026. L’avenir du Premier ministre Sébastien Lecornu, qui a renoncé à recourir au 49.3 pour faire adopter le texte sans vote, pourrait dépendre du scrutin de mardi. Même si la porte-parole du gouvernement Maud Bregeon a jugé qu’une démission “n’aurait pas de sens”.- “Pas satisfaisant” – Le vote des socialistes comme des Ecologistes a pris une importance cruciale avec le refus des patrons de LR, Bruno Retailleau, et d’Horizons, Edouard Philippe, de soutenir ce budget. Ces deux responsables, qui ont aussi 2027 en ligne de mire, jugent que Sébastien Lecornu a fait trop de concessions aux socialistes. Ce texte “n’est pas satisfaisant” mais “je ne suis pas partisan du chaos, je ne propose pas de voter contre”, a déclaré lundi soir sur LCI Édouard Philippe, en recommandant aux députés de son parti de s’abstenir. Chez les Républicains, l’ancien Premier ministre Michel Barnier a déclaré sur TF1 prévoir de s'”abstenir, comme d’ailleurs un grand nombre de parlementaires LR”.Moins affirmatif, le député LR Philippe Juvin a dit sur BFMTV réserver sa réponse, en résumant l’enjeu ainsi: “Est-ce qu’il vaut mieux voter un budget qui n’est pas du tout satisfaisant, celui qu’on nous propose, ou est-ce que l’absence de budget est pire?”.Sans texte l’année prochaine, le gouvernement a maintes fois averti que le déficit de la Sécu plongerait autour des 30 milliards d’euros en 2026, contre 23 en 2025.- Changement d’alliance -Allié improbable venu à la rescousse du Premier ministre lundi, le Premier secrétaire du PS Olivier Faure a lui plaidé en faveur d’un “vote pour”. “Le Premier ministre s’est engagé (sur la suspension de la réforme des retraites), il s’est montré fiable dans toute la discussion. Je souhaite que nous puissions à notre tour être fiables”, a-t-il dit sur BFMTV/RMC. Il a estimé avoir obtenu “toute une série d’avancées” en “faisant sauter” le gel des pensions de retraite, des prestations sociales, le doublement des franchises médicales…Lundi soir, Boris Vallaud, le chef des députés socialistes, a confirmé au Monde que la “quasi-unanimité du groupe socialiste s’est prononcée en faveur d’un vote pour”, malgré quelques députés plaidant pour une abstention. Il a espéré que la “discipline de groupe” soit “respectée” mardi.Outre les socialistes, Renaissance, le MoDem, et le groupe indépendant Liot devraient voter majoritairement pour, quand les insoumis et l’alliance RN-UDR devraient voter contre. Les communistes se dirigent vers un vote majoritairement contre.Les voix des écologistes — que le sénateur Yannick Jadot a appelé “au minimum à s’abstenir” — ou même des non-inscrits, pourraient donc s’avérer cruciales. Tout comme la répartition des voix finale chez LR et Horizons. Sans surprise, l’annonce de M. Faure a fait bondir les Insoumis. Leur coordinateur national Manuel Bompard a dénoncé “le changement d’alliance du Parti socialiste” qui valide “une hausse du prix des mutuelles de 1 milliard d’euros, une limitation à un mois des arrêts de travail…”Réagissant sur France Inter Gabriel Attal, le patron des députés Renaissance, s’est lui réjoui que “le travail (parlementaire) (ait) permis de dégager des compromis”.Même si il est adopté mardi, le budget de la Sécurité sociale devra faire encore un aller-retour avec le Sénat. Le projet de budget de l’Etat, encore plus clivant, est, de son côté, toujours en cours d’examen au Sénat.

Trump unveils $12 bn aid for farmers rocked by tariffs

US President Donald Trump announced a $12 billion aid package for American farmers on Monday, targeting a key support base that has been hit by the fallout from his trade and tariff policies.The Republican said he was taking “very vital action to protect and defend American farmers,” during a roundtable with agricultural producers at the White House.Trump has faced mounting pressure to help farmers, whose support helped win him a second term in office but who have been battered by the impact of his sweeping tariffs.Since Trump’s return in January, many US farmers have been hit by factors including retaliatory measures from trading partners and tariffs on imported goods used in farming.”We love our farmers, and as you know the farmers like me,” Trump said during the roundtable.Trump said the $12 billion in aid for farmers would be funded by a “relatively small portion” of the revenue from tariffs.Most of the bailout involves one-off payments to crop farmers.Washington’s trade row this year with superpower rival Beijing saw soybean exports plunge and Chinese buyers holding off new orders from the US autumn harvest.Amid the lower demand, soybean prices fell as well, hitting the sector hard, although a recent trade truce sought to ensure renewed Chinese purchases of agriculture goods ranging from soybeans to sorghum.Trump said he believed Chinese President Xi Jinping would do “even more than he promised to do” on soybeans, following their recent meeting at a summit in South Korea.- ‘Affordability problem’ -The US president repeatedly blamed former president Joe Biden for the problems faced by American farmers.But the situation has echoes of Trump’s first presidency, when retaliatory tariffs caused over $27 billion in US agriculture export losses from 2018 to 2019.The government, in turn, provided $23 billion to assist farmers hit by trade disputes at the time.Trump’s Agriculture Secretary Brooke Rollins said the government was releasing an initial $11 billion for crops and would hold back another $1 billion for where it was needed most.Trump has also recently vowed to support US cattle farmers as beef prices surged in part due to a tighter supply of herds.Costs had risen for various reasons including drought and lower imports from Mexico due to a pest in herds there, adding to cost-of-living pressures that American households are facing.Trump’s farm aid announcement came amid mounting dissatisfaction with his economic policies, particularly over tariffs and the cost of living.The 79-year-old will hit the road in coming months to push his economic agenda, starting with a speech in Pennsylvania on Tuesday.Trump appeared to soften his message a little on Monday, acknowledging an affordability “problem” after repeatedly dismissing it in recent weeks as a “hoax” and a “con job” by rival Democrats.”The Democrats caused the affordability problem and we’re fixing it,” he said.