Un partenariat entre une entreprise d’IA et le gouvernement sous le feu des critiques

Un accord entre le gouvernement et Doctrine, une entreprise française de l’IA dans le secteur juridique, qui va équiper des agents de l’Etat, fait grincer des dents un secteur qui pointe une récente condamnation pour concurrence déloyale de cette entreprise détenue par un fonds américain.La lettre d’engagement signée mardi par le ministre délégué de la …

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Au Liban, une mère en quête de justice pour sa famille tuée par Israël

En l’espace d’un instant, Amani Bazzi a perdu son mari et trois de ses jeunes enfants, tués par une frappe israélienne dans le sud du Liban au retour d’un déjeuner familial. Deux mois plus tard, elle se dit prête à combattre “jusqu’au bout” pour “obtenir justice”.”Nos enfants étaient toute notre vie, nous faisions tout ensemble”, …

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Etats-Unis: la démission d’une Trumpiste historique expose les fractures des Républicains

Lorsque Marjorie Taylor Greene a annoncé sa démission du Congrès américain, cette trumpiste historique a violemment stigmatisé les dysfonctionnements de Washington. Elle a aussi exposé la lassitude d’élus républicains, exaspérés par l’hyperprésident Trump et décontenancés par ses choix politiques.La députée ultra-conservatrice de 51 ans a provoqué la stupéfaction vendredi avec cette annonce, accompagnée d’une attaque …

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India’s Ahmedabad: ancient city with sporting dreams, dark history

India’s historic city of Ahmedabad will host the 2030 Commonwealth Games, a landmark event for a metropolis that is a power centre for some of the country’s most influential politicians.The event is widely seen as a stepping stone towards India’s ambition to host the 2036 Olympics.The city of more than seven million people is the economic and political heart of Gujarat state, a stronghold of the ruling Hindu-nationalist Bharatiya Janata Party (BJP).Summer temperatures routinely push past 50C, yet Ahmedabad is one of India’s most dynamic urban centres, home to major industries, political heavyweights and expanding infrastructure.- Sporting dreams -India says that the 2030 Commonwealth Games will be a “full-fledged” multisport event, including disciplines it hopes to push into the Olympic programme, such as tag team sports kabaddi and kho kho.Despite its population of 1.4 billion people, India has won only 10 Olympic gold medals in its history.Beyond cricket — which returns at the 2028 Los Angeles Games — its strongest sports traditionally include hockey and wrestling.”The 2030 Games will also reinforce India’s long-term ambition to become a global sporting hub,” the sports and youth ministry said in a statement. – Power base -Ahmedabad is a political and economic powerhouse — Prime Minister Narendra Modi was Gujarat’s chief minister from 2001 to 2014.His close ally and fellow Gujarati, Home Minister Amit Shah, welcomed the Games announcement as “a day of immense joy and pride”.Shah’s son, International Cricket Council chairman Jay Shah, called the decision a “momentous occasion for Indian sports”.The city is home to the Adani Group, the ports-to-power conglomerate led by tycoon Gautam Adani, a longtime associate of Modi, and sponsor of India’s team at the Paris Olympics.Asia’s richest person, Mukesh Ambani, also has deep roots in Gujarat. His Reliance Group operates the world’s largest oil refining complex in the state, as well as a privately run mega-zoo billed as the biggest “wild animal rescue centre”.- Gandhi’s home – Ahmedabad’s old walled city, a UNESCO World Heritage Site, preserves its 15th century winding lanes, massive gateways and intricately carved wooden homes.At the heart stands the imposing Bhadra Fort, along with centuries-old mosques, Hindu temples and stepwells — a stair-lined water reservoir.Nearby is Sabarmati Ashram, one of India’s most important heritage sites as Mahatma Gandhi’s residence during the independence movement.It was from here that he launched the 1930 Salt March, a defining moment in the struggle against British rule.- Giant infrastructure -The city already boasts the world’s largest-capacity cricket stadium, the 130,000-seat arena named after Modi.It hosted the 50-over 2023 Cricket World Cup final and is a key venue for the 2026 T20 World Cup.The stadium complex, which includes an Olympic-sized swimming pool, has also been the stage for high-profile political events.These included a 2020 rally for US President Donald Trump and a 2023 spectacle in which Modi circled the ground in a golden chariot alongside Australian Prime Minister Anthony Albanese.India’s previous hosting of the Commonwealth Games, in New Delhi in 2010, was marred by delays and corruption allegations.This time, the government hopes to project an image of a modern, fast-growing nation on track to become the world’s fourth-largest economy.Massive investments in roads, metro lines and sports facilities are planned to reshape the city.- Dark history -Ahmedabad was the epicentre of religious riots in 2002 that resulted in the deaths of at least 1,000 people, mostly Muslims, and drew international condemnation.Modi, then Gujarat’s chief minister, faced accusations that he failed to stop the violence, but India’s top court said there was no evidence to support that.More recently, the city was shaken by the June 12 Air India crash in which 241 people on a London-bound flight and 19 people on the ground were killed. One passenger survived.

Soldiers deployed near G.Bissau presidential palace after gunfireWed, 26 Nov 2025 14:37:26 GMT

Soldiers took control of the main road leading to Guinea-Bissau’s presidential palace Wednesday after heavy gunshots rang out, as the poverty-stricken west African country awaits results of a vote claimed by both major presidential candidates.The soldiers, drawn from the presidential guard and an elite gendarmerie unit, controlled the deserted area as calm returned and shooting …

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Deuxième condamnation définitive pour Nicolas Sarkozy avec Bygmalion

Une deuxième mention au casier judiciaire de l’ex-président, avant d’affronter le procès libyen en appel: la Cour de cassation a rendu définitive mercredi la condamnation de Nicolas Sarkozy dans l’affaire Bygmalion en rejetant son pourvoi.”Nicolas Sarkozy prend acte du rejet de son recours comme il l’a toujours fait des décisions rendues à son encontre”, ont réagi ses avocats à la Cour Patrice Spinosi et Emmanuel Piwnica dans un communiqué transmis à l’AFP.Passée au second plan avec l’incarcération de l’ancien chef de l’État à la prison parisienne de la Santé dans le cadre du procès libyen, cette procédure en cassation était son ultime recours en droit français dans ce dossier emblématique.Dans l’affaire Bygmalion, Nicolas Sarkozy a été condamné le 14 février 2024 par la cour d’appel de Paris à un an d’emprisonnement dont six mois ferme pour le financement illégal de sa campagne présidentielle perdue de 2012.Sa peine en appel, dont la cour avait ordonné l’aménagement pour la partie ferme (bracelet électronique, semi-liberté…), était légèrement inférieure à celle d’un an d’emprisonnement ferme prononcée en première instance en 2021.La Cour de cassation ayant rejeté les moyens soulevés par son pourvoi, “le candidat, le directeur de sa campagne et les deux directeurs du parti politique qui soutenait le candidat sont donc définitivement condamnés”, a indiqué dans un communiqué la plus haute instance judiciaire de France, qui juge le respect du droit et non le fond des dossiers.”Le candidat a personnellement donné son accord à ses collaborateurs pour qu’ils engagent des frais de campagne pour son compte, alors même qu’il savait que ces dépenses conduiraient à dépasser le plafond fixé par la loi”, a considéré la Cour de cassation dans sa décision. Nicolas Sarkozy sera donc convoqué dans les prochains semaines par le juge de l’application des peines pour mettre à exécution sa condamnation.”Nous allons réfléchir avec notre client sur l’opportunité de porter le litige devant la Cour européenne des droits de l’Homme”, ont indiqué Mes Spinosi et Piwnica.- Bracelet électronique -Les investigations ont révélé que, pour masquer l’explosion des dépenses de sa campagne – près de 43 millions d’euros pour un maximum autorisé de 22,5 millions -, un système de double facturation avait été mis en place imputant à l’UMP (devenue LR), sous couvert de conventions fictives, une grosse partie du coût des meetings.Contrairement à ses coprévenus, l’ex-chef de l’État n’était pas mis en cause pour ce système de fausses factures mais comme bénéficiaire, en tant que candidat, d’un financement politique illégal.En première instance comme en appel, Nicolas Sarkozy avait contesté “vigoureusement toute responsabilité pénale”, dénonçant “fables” et “mensonges”.Trois des dix condamnés en appel du procès Bygmalion s’étaient joints au pourvoi: le directeur de campagne, Guillaume Lambert, et les ex-cadres de l’UMP Eric Cesari et Pierre Chassat.En décembre 2024, la Cour de cassation avait déjà rendu définitive la condamnation de Nicolas Sarkozy à un an d’emprisonnement ferme sous bracelet électronique pour corruption et trafic d’influence dans l’affaire des écoutes, également appelée Bismuth.L’ancien président, aujourd’hui âgé de 70 ans, a porté un bracelet entre février et mai, avant l’obtention d’une libération conditionnelle avant mi-peine, notamment en raison de son âge.Cette deuxième condamnation définitive complique encore davantage les perspectives judiciaires de Nicolas Sarkozy, qui se prépare pour le procès en appel du dossier libyen prévu du 16 mars au 3 juin.Le 25 septembre, le tribunal correctionnel de Paris l’a condamné à cinq ans de prison pour avoir sciemment laissé ses collaborateurs démarcher la Libye du dictateur Mouammar Kadhafi pour solliciter un financement occulte de sa campagne présidentielle victorieuse de 2007.Pour déterminer sa peine, le tribunal avait tenu compte de l’affaire des écoutes, reprochant dans son jugement à M. Sarkozy d’avoir “relativisé cette condamnation” en “minimisant la gravité des faits”, mais avait en revanche écarté la condamnation Bygmalion en raison de son caractère alors non définitif.Nicolas Sarkozy, qui clame son innocence, a été incarcéré pendant trois semaines à la Santé, une détention inédite pour un ex-président dans l’histoire de la République française et qui a suscité de vifs débats.La cour d’appel de Paris l’a remis en liberté sous contrôle judiciaire le 10 novembre. L’ex-président va relater cette expérience carcérale dans un livre, “Le Journal d’un prisonnier”, qui paraîtra un mois exactement après sa sortie de prison.

Deuxième condamnation définitive pour Nicolas Sarkozy avec Bygmalion

Une deuxième mention au casier judiciaire de l’ex-président, avant d’affronter le procès libyen en appel: la Cour de cassation a rendu définitive mercredi la condamnation de Nicolas Sarkozy dans l’affaire Bygmalion en rejetant son pourvoi.”Nicolas Sarkozy prend acte du rejet de son recours comme il l’a toujours fait des décisions rendues à son encontre”, ont réagi ses avocats à la Cour Patrice Spinosi et Emmanuel Piwnica dans un communiqué transmis à l’AFP.Passée au second plan avec l’incarcération de l’ancien chef de l’État à la prison parisienne de la Santé dans le cadre du procès libyen, cette procédure en cassation était son ultime recours en droit français dans ce dossier emblématique.Dans l’affaire Bygmalion, Nicolas Sarkozy a été condamné le 14 février 2024 par la cour d’appel de Paris à un an d’emprisonnement dont six mois ferme pour le financement illégal de sa campagne présidentielle perdue de 2012.Sa peine en appel, dont la cour avait ordonné l’aménagement pour la partie ferme (bracelet électronique, semi-liberté…), était légèrement inférieure à celle d’un an d’emprisonnement ferme prononcée en première instance en 2021.La Cour de cassation ayant rejeté les moyens soulevés par son pourvoi, “le candidat, le directeur de sa campagne et les deux directeurs du parti politique qui soutenait le candidat sont donc définitivement condamnés”, a indiqué dans un communiqué la plus haute instance judiciaire de France, qui juge le respect du droit et non le fond des dossiers.”Le candidat a personnellement donné son accord à ses collaborateurs pour qu’ils engagent des frais de campagne pour son compte, alors même qu’il savait que ces dépenses conduiraient à dépasser le plafond fixé par la loi”, a considéré la Cour de cassation dans sa décision. Nicolas Sarkozy sera donc convoqué dans les prochains semaines par le juge de l’application des peines pour mettre à exécution sa condamnation.”Nous allons réfléchir avec notre client sur l’opportunité de porter le litige devant la Cour européenne des droits de l’Homme”, ont indiqué Mes Spinosi et Piwnica.- Bracelet électronique -Les investigations ont révélé que, pour masquer l’explosion des dépenses de sa campagne – près de 43 millions d’euros pour un maximum autorisé de 22,5 millions -, un système de double facturation avait été mis en place imputant à l’UMP (devenue LR), sous couvert de conventions fictives, une grosse partie du coût des meetings.Contrairement à ses coprévenus, l’ex-chef de l’État n’était pas mis en cause pour ce système de fausses factures mais comme bénéficiaire, en tant que candidat, d’un financement politique illégal.En première instance comme en appel, Nicolas Sarkozy avait contesté “vigoureusement toute responsabilité pénale”, dénonçant “fables” et “mensonges”.Trois des dix condamnés en appel du procès Bygmalion s’étaient joints au pourvoi: le directeur de campagne, Guillaume Lambert, et les ex-cadres de l’UMP Eric Cesari et Pierre Chassat.En décembre 2024, la Cour de cassation avait déjà rendu définitive la condamnation de Nicolas Sarkozy à un an d’emprisonnement ferme sous bracelet électronique pour corruption et trafic d’influence dans l’affaire des écoutes, également appelée Bismuth.L’ancien président, aujourd’hui âgé de 70 ans, a porté un bracelet entre février et mai, avant l’obtention d’une libération conditionnelle avant mi-peine, notamment en raison de son âge.Cette deuxième condamnation définitive complique encore davantage les perspectives judiciaires de Nicolas Sarkozy, qui se prépare pour le procès en appel du dossier libyen prévu du 16 mars au 3 juin.Le 25 septembre, le tribunal correctionnel de Paris l’a condamné à cinq ans de prison pour avoir sciemment laissé ses collaborateurs démarcher la Libye du dictateur Mouammar Kadhafi pour solliciter un financement occulte de sa campagne présidentielle victorieuse de 2007.Pour déterminer sa peine, le tribunal avait tenu compte de l’affaire des écoutes, reprochant dans son jugement à M. Sarkozy d’avoir “relativisé cette condamnation” en “minimisant la gravité des faits”, mais avait en revanche écarté la condamnation Bygmalion en raison de son caractère alors non définitif.Nicolas Sarkozy, qui clame son innocence, a été incarcéré pendant trois semaines à la Santé, une détention inédite pour un ex-président dans l’histoire de la République française et qui a suscité de vifs débats.La cour d’appel de Paris l’a remis en liberté sous contrôle judiciaire le 10 novembre. L’ex-président va relater cette expérience carcérale dans un livre, “Le Journal d’un prisonnier”, qui paraîtra un mois exactement après sa sortie de prison.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Certificats d’économie d’énergie: 4 à 6 centimes d’impact sur le carburant (pétroliers)

Les carburants à la pompe vont augmenter de 4 à 6 centimes par litre dès le 1er janvier, en réaction à l’évolution du dispositif des “certificats d’économies d’énergie” (CEE), estime mercredi l’Union française des industries pétrolières (Ufip).Ce dispositif créé en 2005, qui repose sur le principe du pollueur-payeur, oblige les fournisseurs d’énergie à financer des actions de réduction de la consommation d’énergie et d’amélioration de l’efficacité énergétique, une obligation revue à la hausse par le gouvernement à compter du 1er janvier.De ce fait, “je m’attends à ce que les prix à la pompe augmentent (…) de l’ordre de 4 à 6 centimes par litre”, a déclaré à l’AFP Olivier Gantois, directeur de l’Ufip Energies et mobilités, confirmant une information du quotidien Ouest France. M. Gantois indique par ailleurs que ce dispositif pèse actuellement d’environ 11 centimes dans le prix du litre de carburant.A la différence du gaz et de l’électricité, le marché des carburants “n’est pas régulé”, rappelle M. Gantois et donc, chaque distributeur décidera indépendamment des autres du niveau du prix qu’il pratiquera.Il est néanmoins “certain” qu’une telle augmentation “donc de 4 à 6 centimes, devrait être répercutée”, étant donné que “les marges nettes des distributeurs, ce qui reste dans leur poche, sont de l’ordre de 1 à 2 centimes d’euro”.Donc, les 11 centimes que pèsent aujourd’hui ces CEE dans le prix du litre de carburant “devraient devenir 15 à 17 centimes, et ça c’est dès le 1er janvier”, puisque le dispositif s’applique sur “tous les volumes d’énergie vendus en 2026, donc dès le premier janvier, les obligations vont augmenter de cet ordre de grandeur”.En échange d’octroyer une subvention à un ménage ou à une entreprise, par exemple pour remplacer une chaudière au fioul pour une pompe à chaleur, le fournisseur obtient un CEE. A chaque fin de période, il doit justifier qu’il a atteint l’objectif de CEE fixé par l’Etat.L’enveloppe représentait déjà 6 milliards d’euros en 2025, mais cette machine à financer les économies d’énergie et la décarbonation verra son enveloppe atteindre plus de 8 milliards d’euros en 2026, selon un décret du ministère de l’Economie publié début novembre.Côté gaz, Engie a fait savoir que pour les clients de ses contrats Passerelle, “les prix seront révisés le 1er janvier 2026 pour intégrer ces évolutions règlementaires des CEE”, ainsi que la création d’un dispositif pour soutenir le biogaz, avec une hausse moyenne “d’environ +3,5% du budget annuel” gaz de ces clients, sans modification du tarif d’abonnement.”Nous serons très vigilants à l’impact du dispositif sur l’évolution des prix en 2026″, a indiqué Bercy à l’AFP, soulignant que Matignon a demandé au ministre de l’Économie de travailler à des scénarios de baisse des prix de l’électricité.Le prix du litre de gazole s’élevait en moyenne au vendredi 21 novembre à 1,697 euro le litre, celui du super SP95-E10 à 1,707 euro le litre, selon le dernier relevé du ministère de la Transition écologique.

Russia welcomes ‘aspects’ of new US plan to end Ukraine war

Russia has seen the latest copy of a draft US plan to end the Ukraine war and views some of it positively, but wants a discussion about the other parts, the Kremlin said Wednesday.In comments to a Russian state TV reporter, Kremlin aide Yuri Ushakov said the new draft required “truly serious analysis” and that Russia had not yet discussed it with anyone.The plan has not yet been published.US President Donald Trump said Tuesday that it was a “fine-tuned” version of an earlier 28-point plan that Kyiv and Europe had rejected, and that he was sending officials to meet with both sides in the hopes of finalising it.Ushakov said of the plan on Wednesday: “Some aspects can be viewed positively, but many require special discussions among experts.”The original plan, widely criticised in Europe as heeding Moscow’s demands, would have seen Ukraine withdraw from its eastern Donetsk region and the US de facto recognise the Donetsk, Crimea and Lugansk regions as Russian. Ukraine said later it had reached an “understanding” with the US and that the two sides had pared back some of the points Kyiv disagreed with following talks in Geneva.It is not clear which points were removed and which remain, and deep differences remain in Russia and Ukraine’s negotiating positions.Russian President Vladimir Putin ordered a full-scale military assault on Ukraine in February 2022 — calling it a “special military operation”. Kyiv and its European allies say the war, the largest and deadliest on European soil since World War II, is an unprovoked and illegal land grab that has resulted in a tidal wave of violence and destruction.Tens of thousands of civilians and military personnel have been killed since the war began, while millions of Ukrainians have been forced to leave their homes.- Key sticking points -US special envoy Steve Witkoff will meet Russian President Vladimir Putin in Moscow next week in a bid to finalise the US administration’s plan, while US army secretary Dan Driscoll will meet the Ukrainian side, Trump said.Ushakov, a senior Russian diplomat and aide to Putin, said Wednesday that Russia needed “serious discussions” on the document.”The peace plan hasn’t been discussed in detail with anyone yet,” he told a state TV reporter.US officials were upbeat Tuesday about the drive to end the war, even as they acknowledged key sticking points remained over the plan.But Ukraine’s European allies, which regarded the original 28-point plan as a Kremlin wish list, have cautioned against conceding too much to Moscow.They drafted their own counter-proposal to the original plan, which Russia immediately smacked down.EU Commission Chief Ursula von der Leyen said Wednesday that days of negotiations to refine the US plan had begun to lay the groundwork for a possible settlement.But she warned Russia showed no sign of really wanting to stop the fighting.”I want to be clear from the very outset: Europe will stand with Ukraine and support Ukraine every step of the way,” she told EU lawmakers.As diplomatic efforts to end the war rumbled on, Ukraine reported another night of air attacks.A Russian drone attack on the southern Ukrainian region of Zaporizhzhia overnight left more than a dozen wounded and damaged tens of homes, governor Ivan Fedorov said.