Malawi president Chakwera concedes election defeatWed, 24 Sep 2025 11:43:50 GMT
Malawi’s President Lazarus Chakwera conceded defeat Wednesday in last week’s election, saying in an address to the nation that it was clear his rival and predecessor, Peter Mutharika, had an “insurmountable lead”.The dire state of the economy in the small southern African country of 21 million people dominated the September 16 vote, with critics accusing …
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Stocks torn between Fed rate warning, AI optimism
Europe’s main stock markets retreated Wednesday following gains in Asia and Wall Street losses, with focus on shares in technology giants and a warning from US Federal Reserve chief Jerome Powell on interest rates.Chinese tech firms stood out, with Alibaba shares rocketing after its chief executive said the e-commerce giant planned to ramp up spending on artificial intelligence.Investors have enjoyed a months-long rally for equities that has pushed some markets to record highs, but the run-up took a pause Tuesday amid talk that the gains may have gone too far.Another key driver has been expectations that the Fed will continue to cut US interest rates before the end of the year.However, Powell cooled expectations with a warning Tuesday that cutting rates too aggressively risked stoking inflation.Powell’s comments lent support to the dollar, which had come under pressure from rate-cut expectations.Investors are awaiting the release on Friday of the personal consumption expenditure (PCE) index, the Fed’s favoured gauge of US inflation, and key American jobs figures next week.On Wednesday, the Hong Kong and Shanghai stock markets rallied thanks to a surge of more than nine percent in Alibaba — which runs some of China’s biggest online shopping platforms — after CEO Eddie Wu unveiled plans to ramp up AI spending by about $53 billion.”The industry’s development speed far exceeded what we expected, and the industry’s demand for AI infrastructure also far exceeded our anticipation,” Wu told an audience at the firm’s annual developer conference in Hangzhou, China. Crude prices firmed Wednesday “after (US President) Donald Trump ramped up further pressure on sanctions on Russian oil”, noted Kathleen Brooks, research director at XTB.- Key figures at around 1100 GMT -London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 9,217.49 pointsParis – CAC 40: DOWN 0.3 percent at 7,847.15 Frankfurt – DAX: DOWN 0.1 percent at 23,603.69Tokyo – Nikkei 225: UP 0.3 percent at 45,630.31 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.4 percent at 26,518.65 (close)Shanghai – Composite: UP 0.8 percent at 3,853.64 (close)New York – Dow: DOWN 0.2 percent at 46,292.78 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1752 from $1.1816 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.3471 from $1.3524Dollar/yen: UP at 148.08 yen from 147.66 yenEuro/pound: DOWN at 87.27 pence from 87.37 penceBrent North Sea Crude: UP 0.8 percent at $67.52 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.0 percent at $64.06 per barrel
TotalEnergies désigné pour construire un parc éolien géant en mer au large de la Normandie
TotalEnergies a remporté, conjointement avec l’allemand RWE, l’appel d’offres du projet éolien en mer “Centre Manche 2”, plus grand programme d’énergie renouvelable en France, qui alimentera l’équivalent d’un million de foyers en électricité, a annoncé mercredi le gouvernement démissionnaire.L’investissement global s’élève à 4,5 milliards d’euros, le plus important de TotalEnergies dans l’Hexagone depuis une trentaine d’années, a précisé le groupe dans un communiqué séparé.Après le démarrage de la production prévu en 2033, ce parc éolien “alimentera en électricité verte l’équivalent de plus de 1 million de foyers français”, avance-t-il. “Nous sommes très fiers d’avoir remporté cet appel d’offres pour la construction du plus grand parc d’énergie renouvelable en France à ce jour”, s’est félicité Patrick Pouyanné, le PDG du groupe.Le projet “traduit le très fort attachement de notre compagnie à notre pays”, a-t-il ajouté.La France s’est donné comme objectif de disposer de 45 GW d’électricité issue de l’éolien en mer à horizon 2050. L’attribution de l’appel d’offres à TotalEnergies “porte à près de 7,8 GW la puissance cumulée” des programmes en service, en construction ou en cours de développement sur les côtes françaises, a souligné le ministère de l’Energie. Quatre parcs éoliens sont actuellement en exploitation en France, dont Saint-Brieuc, Fécamp et Saint-Nazaire, tous d’un peu moins de 500 MW. D’autres, comme Dieppe-Le Tréport et Yeu-Noirmoutier, également d’un peu moins de 500 MW, sont en construction ou en cours d’achèvement.Ce nouveau parc éolien en mer est le premier octroyé à TotalEnergies dans l’Hexagone. Il jouxte celui de Centre Manche 1, d’une puissance de 1 gigawatt, exploité par EDF renouvelables et Maple Power, dont les travaux doivent débuter en 2028 pour une entrée en service en 2032.”Avec ce second projet, la puissance éolienne en développement dans la zone +Centre Manche+ est donc portée à environ 2,5 GW, avec l’objectif de produire, à l’horizon du début des années 2030, l’équivalent de la consommation électrique d’environ 2 millions de foyers français”, selon le ministère.En revanche, un autre parc, situé en Sud-Atlantique au large de l’île d’Oléron, “n’a fait l’objet d’aucune offre au terme de la période de candidature”, a-t-il indiqué. Neuf candidats avaient dans un premier temps été préqualifiés, dont les français Engie, EDF Renouvelables, TotalEnergies, l’italien Eni ou encore l’allemand RWE.- Environnement et pêche -TotalEnergies, qui reste une des “majors” pétrolières mondiales, s’est donné pour objectif de produire 20% d’électricité, essentiellement d’origine renouvelable, sur le total de sa production d’énergie en 2030, le double par rapport à aujourd’hui.Le groupe dispose d’un portefeuille de projets éoliens offshore en Allemagne, au Royaume-Uni, en Corée du Sud, à Taïwan, aux Etats-Unis et aux Pays-Bas.Et alors que RWE, candidat à l’appel d’offres 8 lors de son lancement en 2022 mais qui veut désormais réduire ses investissements dans les renouvelables, a émis le souhait de quitter le consortium, TotalEnergies indique qu’en cas de départ du groupe allemand, il “poursuivra le projet en assumant l’ensemble des engagements du consortium, tout en veillant à trouver un nouveau partenaire”.L’ex-Total a changé sa dénomination sociale en 2021 pour devenir TotalEnergies et sceller sa transformation en compagnie multi-énergies, présente notamment dans les renouvelables.Malgré des critiques sur les éoliennes, il promet que Centre Manche 2 va “générer de fortes retombées économiques pour la Région Normandie” avec jusqu’à 2.500 personnes employées pendant les trois années de construction du champ éolien.TotalEnergies entend faire de ce projet “une réussite industrielle tout en s’assurant de son acceptabilité par le territoire”, a promis Patrick Pouyanné. Le lauréat “a pris des engagements sur l’économie locale et sur l’environnement, au travers notamment du recyclage des éoliennes (pales et aimants compris) et du recours à des PME” locales, a souligné le ministère.TotalEnergies, qui est régulièrement mis à l’index par les associations environnementales, va notamment consacrer 45 millions d’euros pour “éviter, réduire et compenser les impacts du projet” et s’engage à veiller à la bonne coexistence du parc avec les pêcheurs dans la région.
IA: le chinois Alibaba et l’américain Nvidia s’allient dans la technologie
Le géant chinois de l’internet Alibaba a annoncé mercredi une “collaboration majeure” avec le fabricant américain de semi-conducteurs Nvidia dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA) appliquée notamment aux robots humanoïdes.Le titre Alibaba a par ailleurs bondi de plus de 9% à la Bourse de Hong Kong, suite à des déclarations de son directeur général Eddie Wu assurant que l’entreprise allait renforcer ses investissements dans l’IA. En février, le géant chinois avait annoncé un investissement d’au moins 380 milliards de yuans (45 milliards d’euros) dans l’IA et le cloud sur trois ans.”Nous avançons activement avec ce plan d’investissement, et nous prévoyons d’aller plus loin”, a affirmé mercredi Eddie Wu, des propos qui ont fait s’envoler l’action Alibaba.Acteur central du développement de l’intelligence artificielle, Nvidia est devenu un enjeu stratégique au coeur de la rivalité entre Pékin et Washington en matière de technologie.Les Etats-Unis interdisent l’exportation vers la Chine des produits les plus avancés de l’entreprise californienne – des types de puces jugées cruciales pour l’actuelle révolution de l’IA générative.Géant du commerce en ligne en Chine, Alibaba a annoncé son partenariat avec Nvidia dans le domaine de l’IA physique.Sa branche cloud (informatique dématérialisée) a ainsi intégré “l’ensemble de la suite logicielle Nvidia Physical AI, marquant une collaboration majeure dans ce domaine”.Cette initiative offre aux développeurs “une plateforme complète” pour “accélérer les avancées en matière de robotique humanoïde et de solutions d’IA physique”, selon un communiqué de l’entreprise.L’IA physique permet aux machines autonomes de percevoir, de comprendre et d’effectuer des actions complexes dans le monde réel, selon le site internet de Nvidia. Alibaba a annoncé le partenariat lors de son forum annuel des développeurs à Hangzhou (est de la Chine), en présence de dirigeants d’Alibaba Cloud Intelligence et de Nvidia. Les autorités chinoises ont accusé courant septembre Nvidia d’avoir enfreint les règlements nationaux anti-monopole. Elles ont également fait part de préoccupations liées à la sécurité nationale vis-à-vis des produits de l’entreprise américaine.Le journal Financial Times a assuré la semaine dernière que Pékin avait demandé aux géants technologiques nationaux de mettre fin aux commandes des puces RTX Pro 6000D de Nvidia – des produits pourtant conçus spécialement pour la Chine.



