Ethiopia’s mega dam on the Nile ‘now complete’: PMThu, 03 Jul 2025 09:50:20 GMT
Ethiopia’s Prime Minister Abiy Ahmed on Thursday said a multi-billion-dollar mega-dam on the Blue Nile that has long worried neighbouring countries is complete and will be officially inaugurated in September.The Grand Ethiopian Renaissance Dam (GERD), launched in 2011 with a $4-billion budget, is considered Africa’s largest hydroelectric project, stretching 1.8 kilometres (just over one mile) …
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“38°C, ressenti 41°C” : les pressings s’adaptent, contraints de travailler sous une chaleur de plomb
Au plus fort de la vague de chaleur cette semaine à Paris, le thermomètre affiche 38°C. Et depuis 8h du matin, à l’intérieur du pressing Saint-Martin, dans le IIIe arrondissement, Hichem Regaieg lave et repasse les vêtements.Pour le soulager, quelques ventilateurs soufflent. Mais ils ne font que brasser de l’air chaud, auquel s’ajoute la chaleur émise par les trois machines de nettoyage fonctionnant en continu.”Quand vous faites du 8H-20H, c’est fatigant…”, déplore M. Regaieg, qui regrette de ne pas avoir l’autorisation d’installer une climatisation dans sa boutique, faute d’accord de la mairie. Pressings et blanchisseries, qui utilisent des machines particulièrement génératrices de chaleur, doivent adapter leur mode de travail et leurs horaires pour mieux supporter les fortes chaleurs de l’été et leurs pics caniculaires: pour les personnels et pour le matériel.Car, au-delà d’un impact physique sur les humains, la forte chaleur peut aussi engendrer des problèmes techniques: les machines sont censées être “adaptées” à ces températures, mais il arrive qu’elles dysfonctionnent.Le quadragénaire, qui travaille dans cet établissement depuis 13 ans, se rassure : “ce n’est pas tout le temps comme ça, heureusement”.”Et on fait des pauses !”, sourit-il en s’essuyant le front avec une serviette.- Éviter d’émettre de la chaleur -Mercredi matin dans un autre pressing de la capitale, dans le XVIIe arrondissement, Katia Mahni apprécie la relative fraîcheur matinale, après avoir travaillé l’après-midi mardi. La porte d’entrée grande ouverte laisse passer une légère brise, après une nuit où le mercure n’est pas descendu sous la barre des 21°C.La principale machine de cette petite boutique de la chaîne Sequoia Pressing “monte à 70°C”, explique Mme Mahni, désignant un boîtier métallique imposant derrière le comptoir. Pour réduire l’exposition à la chaleur, “on lance toutes les machines avant midi et on éteint tout l’après-midi”.”Mardi après-midi, on a tout éteint, même l’éclairage! Il faisait quand même 38°C, mais en ressenti 41°C”, soupire l’employée.Le repassage nécessite aussi un peu d’adaptation: “on repasse en aspiration et pas en soufflerie”, pour éviter d’émettre de la chaleur. Si cette boutique est restée ouverte aux horaires habituels, plus d’un tiers des 60 établissements gérés par Sequoia Pressing, deuxième acteur du secteur en France, ont dû fermer l’après-midi lors du pic de chaleur, selon le président et fondateur du groupe Nicolas de Bronac.”Pour les boutiques pour lesquelles on a une température qui n’est plus acceptable, on est obligé de les fermer et on prévient les clients”, indique-t-il à l’AFP.- “Extrêmement pénible” -L’arrivée des vacances d’été s’accompagnant d’une affluence particulière pour les pressings, avant le départ des clients, ces établissements ne peuvent en revanche pas se permettre de fermer complètement. Inès Rossignol, représentante de la Fédération française des pressings et blanchisseries (FFPB) dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, a créé sa boutique en périphérie de Lyon il y a 15 ans, après avoir été styliste dans la haute couture.”C’est un métier extrêmement pénible parce qu’on est toujours debout”, souligne-t-elle. “On a du mal à trouver des gens qui veulent travailler dans ces conditions, donc dans les pressings on fait très attention” aux employés, dit-elle.Alors que les canicules doivent se multiplier et s’intensifier dans les prochaines années, sous l’effet du réchauffement du climat, un décret impose aux employeurs depuis le 1er juillet de nouvelles obligations en matière de prévention contre les risques liés à la chaleur, dont l’aménagement des postes de travail (stores occultants, ventilation, brumisation…) et l’adaptation de l’organisation du travail, notamment des horaires.Une pratique que met déjà en Å“uvre Mme Rossignol: les jours de forte chaleur, elle arrive au pressing à 4H du matin pour faire tourner les machines, afin de “soulager le personnel”. L’après-midi, “on boit beaucoup d’eau” et “on fait des courants d’air avec des ventilateurs”. Impossible en revanche d’installer une climatisation, assure-t-elle, à cause de dépenses d’électricité déjà conséquentes.
“38°C, ressenti 41°C” : les pressings s’adaptent, contraints de travailler sous une chaleur de plomb
Au plus fort de la vague de chaleur cette semaine à Paris, le thermomètre affiche 38°C. Et depuis 8h du matin, à l’intérieur du pressing Saint-Martin, dans le IIIe arrondissement, Hichem Regaieg lave et repasse les vêtements.Pour le soulager, quelques ventilateurs soufflent. Mais ils ne font que brasser de l’air chaud, auquel s’ajoute la chaleur émise par les trois machines de nettoyage fonctionnant en continu.”Quand vous faites du 8H-20H, c’est fatigant…”, déplore M. Regaieg, qui regrette de ne pas avoir l’autorisation d’installer une climatisation dans sa boutique, faute d’accord de la mairie. Pressings et blanchisseries, qui utilisent des machines particulièrement génératrices de chaleur, doivent adapter leur mode de travail et leurs horaires pour mieux supporter les fortes chaleurs de l’été et leurs pics caniculaires: pour les personnels et pour le matériel.Car, au-delà d’un impact physique sur les humains, la forte chaleur peut aussi engendrer des problèmes techniques: les machines sont censées être “adaptées” à ces températures, mais il arrive qu’elles dysfonctionnent.Le quadragénaire, qui travaille dans cet établissement depuis 13 ans, se rassure : “ce n’est pas tout le temps comme ça, heureusement”.”Et on fait des pauses !”, sourit-il en s’essuyant le front avec une serviette.- Éviter d’émettre de la chaleur -Mercredi matin dans un autre pressing de la capitale, dans le XVIIe arrondissement, Katia Mahni apprécie la relative fraîcheur matinale, après avoir travaillé l’après-midi mardi. La porte d’entrée grande ouverte laisse passer une légère brise, après une nuit où le mercure n’est pas descendu sous la barre des 21°C.La principale machine de cette petite boutique de la chaîne Sequoia Pressing “monte à 70°C”, explique Mme Mahni, désignant un boîtier métallique imposant derrière le comptoir. Pour réduire l’exposition à la chaleur, “on lance toutes les machines avant midi et on éteint tout l’après-midi”.”Mardi après-midi, on a tout éteint, même l’éclairage! Il faisait quand même 38°C, mais en ressenti 41°C”, soupire l’employée.Le repassage nécessite aussi un peu d’adaptation: “on repasse en aspiration et pas en soufflerie”, pour éviter d’émettre de la chaleur. Si cette boutique est restée ouverte aux horaires habituels, plus d’un tiers des 60 établissements gérés par Sequoia Pressing, deuxième acteur du secteur en France, ont dû fermer l’après-midi lors du pic de chaleur, selon le président et fondateur du groupe Nicolas de Bronac.”Pour les boutiques pour lesquelles on a une température qui n’est plus acceptable, on est obligé de les fermer et on prévient les clients”, indique-t-il à l’AFP.- “Extrêmement pénible” -L’arrivée des vacances d’été s’accompagnant d’une affluence particulière pour les pressings, avant le départ des clients, ces établissements ne peuvent en revanche pas se permettre de fermer complètement. Inès Rossignol, représentante de la Fédération française des pressings et blanchisseries (FFPB) dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, a créé sa boutique en périphérie de Lyon il y a 15 ans, après avoir été styliste dans la haute couture.”C’est un métier extrêmement pénible parce qu’on est toujours debout”, souligne-t-elle. “On a du mal à trouver des gens qui veulent travailler dans ces conditions, donc dans les pressings on fait très attention” aux employés, dit-elle.Alors que les canicules doivent se multiplier et s’intensifier dans les prochaines années, sous l’effet du réchauffement du climat, un décret impose aux employeurs depuis le 1er juillet de nouvelles obligations en matière de prévention contre les risques liés à la chaleur, dont l’aménagement des postes de travail (stores occultants, ventilation, brumisation…) et l’adaptation de l’organisation du travail, notamment des horaires.Une pratique que met déjà en Å“uvre Mme Rossignol: les jours de forte chaleur, elle arrive au pressing à 4H du matin pour faire tourner les machines, afin de “soulager le personnel”. L’après-midi, “on boit beaucoup d’eau” et “on fait des courants d’air avec des ventilateurs”. Impossible en revanche d’installer une climatisation, assure-t-elle, à cause de dépenses d’électricité déjà conséquentes.
US-Vietnam trade deal sows new China standoff
Vietnam’s trade deal with the United States averts the most punishing of Donald Trump’s “reciprocal” levies but has provoked new friction between Washington and Beijing.Vietnam has the third-biggest trade surplus with the United States of any country after China and Mexico, and was targeted with one of the highest rates in the US president’s “Liberation Day” tariff blitz on April 2.The deal announced Wednesday is the first full pact Trump has sealed with an Asian nation, and analysts say it may give a glimpse of the template Washington will use with other countries still scrambling for accords.The 46 percent rate due to take effect next week has been averted, with Vietnam set to face a minimum 20 percent tariff in return for opening its market to US products including cars.But a 40 percent tariff will hit goods passing through the country to circumvent steeper trade barriers — a practice called “transshipping”.Washington has accused Hanoi of relabelling Chinese goods to skirt its tariffs, but raw materials from the world’s number two economy are the lifeblood of Vietnam’s manufacturing industries.”From a global perspective, perhaps the most interesting point is that this deal again seems in large part to be about China,” said Capital Economics.It said the terms on transshipment “will be seen as a provocation in Beijing, particularly if similar conditions are included in any other deals agreed over coming days”.Beijing’s foreign ministry spokeswoman Mao Ning said on Thursday “negotiations and agreements should not target or harm the interests of third parties”.- ‘Wouldn’t celebrate just yet’ -Shares in clothing companies and sport equipment manufacturers — which have a large footprint in Vietnam — rose on news of the deal in New York.But they later declined sharply as details were released.”This is a much better outcome than a flat 46 percent tariff, but I wouldn’t celebrate just yet,” said Hanoi-based Dan Martin, from Asian business advisory firm Dezan Shira & Associates.”Everything now depends on how the US decides to interpret and enforce the idea of transshipment,” he added.”If the US takes a broader view and starts questioning products that use foreign parts, even when value is genuinely added in Vietnam, it could end up affecting a lot of companies that are playing by the rules.”A Vietnam foreign ministry spokesman told reporters on Thursday that negotiators were still “in detailed discussion to concretise agreements”.But there are scant details about the transshipment arrangements in the deal, which Trump announced on his Truth Social platform. “The announced deal gives Vietnam a level of certainty that most other US trading partners do not have,” said American Chamber of Commerce in Hanoi chief Adam Sitkoff.But, he said, “assessing the pros and cons of the deal is difficult without seeing further details about what the tariffs actually mean”. “The answers to these questions can be the difference between celebrating or crying.”- ‘The looming question’ -Bloomberg Economics forecast Vietnam could lose a quarter of its exports to the United States in the medium term, endangering more than two percent of its gross domestic product as a result of the agreement.”The Vietnamese government will now find itself under pressure to ensure that country-of-origin rules are enforced,” explained Jack Sheehan, head of regional tax at Asian legal and tax firm DFDL.But uncertainty over how transshipping will be “defined or enforced” is likely to have diplomatic repercussions, said Bloomberg Economics expert Rana Sajedi.”The looming question now is how China will respond,” she said. “Beijing has made clear that it would respond to deals that came at the expense of Chinese interests.””The decision to agree to a higher tariff on goods deemed to be ‘transshipped’ through Vietnam may fall in that category,” added Sajedi. “Any retaliatory steps could have an outsized impact on Vietnam’s economy.” Â
Foot: mort de l’attaquant de Liverpool Diogo Jota dans un accident de la route en Espagne
L’attaquant portugais de Liverpool Diogo Jota et son frère sont morts durant la nuit de mercredi à jeudi dans un accident de la route dans le nord-ouest de l’Espagne, a-t-on appris auprès de la Garde civile.L’accident a eu lieu vers 00h30 sur une autoroute de la province de Zamora, au niveau de la commune de Cernadilla. Le véhicule a fait une “sortie de route” avant de prendre feu, a indiqué la Garde civile.Selon les premiers éléments de l’enquête, l’accident pourrait avoir été provoqué par un pneu qui aurait éclaté au moment où la voiture était en train d’effectuer un dépassement, a précisé cette source.Les deux passagers, Diogo Jota et son frère Andre, lui aussi footballeur professionnel en deuxième division portugaise, étaient décédés lorsque les services d’urgence sont arrivés, d’après la Garde civile.Diogo Jota, 28 ans, était arrivé à Liverpool en 2020. Il a joué depuis un rôle central dans les succès engrangés par les Reds, dont le titre de champion d’Angleterre la saison dernière.L’international portugais (48 sélections, 14 buts), qui a remporté une deuxième Ligue des nations avec la Seleçao il y a un mois, avait annoncé voilà quelques jours s’être marié le 22 juin, en publiant sur le réseau social X des photos de la cérémonie.
Dominique Tenza va présenter la matinale de BFMTV
Le journaliste Dominique Tenza, venu de M6, va coprésenter la matinale de BFMTV au côté de Perrine Storme à partir de la rentrée, a annoncé la chaîne d’info continue jeudi.”Sa grande expérience, son dynamisme et sa créativité permettront à la matinale de poursuivre son développement et de demeurer une référence”, selon le directeur général de BFMTV Fabien Namias, cité dans un communiqué.Présentateur titulaire des JT du week-end depuis janvier 2023, Dominique Tenza avait fait ses adieux au “19:45” le 22 juin, après 17 ans au sein du groupe M6, dont la radio RTL. A la matinale de BFMTV, il succède à Christophe Delay, qui va occuper la tranche de la mi-journée de la chaîne. L’autre coprésentatrice jusqu’alors, Adeline François, rejoint pour sa part LCP.Au Figaro début juin, Fabien Namias avait promis “un nouveau plateau, de nouveaux décors et de nouveaux incarnants” pour la matinale de BFMTV, créneau stratégique.La chaîne, installée depuis le 6 juin sur l’ex-canal de LCP et Public Sénat (numéro 13), se classe deuxième chaîne d’information derrière CNews en part d’audience (PDA). L’ancienne leader a fait face à de nombreuses défections de journalistes depuis son rachat par l’armateur CMA CGM mi-2024. Elle revendique toutefois chaque jour 12 millions de téléspectateurs en cumulé, contre 9 millions pour CNews.