Bateau pour Gaza: deux Français ont accepté leur expulsion d’Israël, quatre ont refusé

Deux militants français arrêtés par les autorités israéliennes à bord d’un bateau qui tentait d’arriver à Gaza ont accepté leur expulsion d’Israël et quatre autres, dont l’eurodéputée de la gauche radicale Rima Hassan, ont refusé, a indiqué mardi le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot.”A ce jour, deux d’entre eux ont accepté de signer les papiers les expulsant du territoire israélien et leur permettant de rentrer dans notre pays. Quatre l’ont refusé”, a déclaré à la presse M. Barrot, précisant que Mme Hassan faisait partie de ceux ayant décliné.Selon la diplomatie israélienne, ces derniers seront “traduits devant une autorité judiciaire pour autoriser leur expulsion”, selon un post sur X.Les deux ressortissants ayant signé un document autorisant leur expulsion sont un journaliste pour la chaîne qatarie Al Jazeera, Omar Faiad, et un médecin, Baptiste André, a précisé une source diplomatique française.M. Barrot, qui s’exprimait depuis Nice en marge de la conférence de l’ONU sur les océans, a également dénoncé “les manÅ“uvres de désinformation” d'”un certain nombre de responsables politiques”, alors que la gauche radicale en France s’est emparée de l’affaire, dénonçant des “arrestations illégales”.Jean-Luc Mélenchon, leader du mouvement LFI (la France insoumise, dont fait partie Rima Hassan) a notamment fustigé la “nullité des services français” en affirmant que les familles des ressortissants retenus en Israël n’avaient eu “aucune nouvelle” dans les premières heures suivant l’interpellation.”Les agents de notre ambassade sur place (…) exercent leur mission avec beaucoup de professionnalisme, de dévouement et de courage dans des conditions extrêmement difficiles”, a souligné M. Barrot.Outre les deux militants français ayant accepté de signer les papiers permettant leur expulsion, la militante suédoise Greta Thunberg a quitté Israël mardi à bord d’un avion pour la Suède via la France.Au total, 12 militants français, allemand, brésilien, turc, suédois, espagnol et néerlandais, étaient partis d’Italie le 1er juin à bord d’un voilier pour “briser le blocus israélien” de Gaza, en proie à une situation humanitaire désastreuse après plus de 20 mois d’une guerre déclenchée par l’attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre 2023 sur Israël.La marine israélienne a arraisonné le bateau lundi matin à environ 185 kilomètres à l’ouest de la côte de Gaza. Il a été affrété par la Coalition de la flottille pour la liberté, un mouvement international non violent de soutien aux Palestiniens lancé en 2010, combinant aide humanitaire et protestation politique contre le blocus du territoire palestinien.

Bateau pour Gaza: deux Français ont accepté leur expulsion d’Israël, quatre ont refusé

Deux militants français arrêtés par les autorités israéliennes à bord d’un bateau qui tentait d’arriver à Gaza ont accepté leur expulsion d’Israël et quatre autres, dont l’eurodéputée de la gauche radicale Rima Hassan, ont refusé, a indiqué mardi le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot.”A ce jour, deux d’entre eux ont accepté de signer les papiers les expulsant du territoire israélien et leur permettant de rentrer dans notre pays. Quatre l’ont refusé”, a déclaré à la presse M. Barrot, précisant que Mme Hassan faisait partie de ceux ayant décliné.Selon la diplomatie israélienne, ces derniers seront “traduits devant une autorité judiciaire pour autoriser leur expulsion”, selon un post sur X.Les deux ressortissants ayant signé un document autorisant leur expulsion sont un journaliste pour la chaîne qatarie Al Jazeera, Omar Faiad, et un médecin, Baptiste André, a précisé une source diplomatique française.M. Barrot, qui s’exprimait depuis Nice en marge de la conférence de l’ONU sur les océans, a également dénoncé “les manÅ“uvres de désinformation” d'”un certain nombre de responsables politiques”, alors que la gauche radicale en France s’est emparée de l’affaire, dénonçant des “arrestations illégales”.Jean-Luc Mélenchon, leader du mouvement LFI (la France insoumise, dont fait partie Rima Hassan) a notamment fustigé la “nullité des services français” en affirmant que les familles des ressortissants retenus en Israël n’avaient eu “aucune nouvelle” dans les premières heures suivant l’interpellation.”Les agents de notre ambassade sur place (…) exercent leur mission avec beaucoup de professionnalisme, de dévouement et de courage dans des conditions extrêmement difficiles”, a souligné M. Barrot.Outre les deux militants français ayant accepté de signer les papiers permettant leur expulsion, la militante suédoise Greta Thunberg a quitté Israël mardi à bord d’un avion pour la Suède via la France.Au total, 12 militants français, allemand, brésilien, turc, suédois, espagnol et néerlandais, étaient partis d’Italie le 1er juin à bord d’un voilier pour “briser le blocus israélien” de Gaza, en proie à une situation humanitaire désastreuse après plus de 20 mois d’une guerre déclenchée par l’attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre 2023 sur Israël.La marine israélienne a arraisonné le bateau lundi matin à environ 185 kilomètres à l’ouest de la côte de Gaza. Il a été affrété par la Coalition de la flottille pour la liberté, un mouvement international non violent de soutien aux Palestiniens lancé en 2010, combinant aide humanitaire et protestation politique contre le blocus du territoire palestinien.

Bateau pour Gaza: deux Français ont accepté leur expulsion d’Israël, quatre ont refusé

Deux militants français arrêtés par les autorités israéliennes à bord d’un bateau qui tentait d’arriver à Gaza ont accepté leur expulsion d’Israël et quatre autres, dont l’eurodéputée de la gauche radicale Rima Hassan, ont refusé, a indiqué mardi le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot.”A ce jour, deux d’entre eux ont accepté de signer les papiers les expulsant du territoire israélien et leur permettant de rentrer dans notre pays. Quatre l’ont refusé”, a déclaré à la presse M. Barrot, précisant que Mme Hassan faisait partie de ceux ayant décliné.Selon la diplomatie israélienne, ces derniers seront “traduits devant une autorité judiciaire pour autoriser leur expulsion”, selon un post sur X.Les deux ressortissants ayant signé un document autorisant leur expulsion sont un journaliste pour la chaîne qatarie Al Jazeera, Omar Faiad, et un médecin, Baptiste André, a précisé une source diplomatique française.M. Barrot, qui s’exprimait depuis Nice en marge de la conférence de l’ONU sur les océans, a également dénoncé “les manÅ“uvres de désinformation” d'”un certain nombre de responsables politiques”, alors que la gauche radicale en France s’est emparée de l’affaire, dénonçant des “arrestations illégales”.Jean-Luc Mélenchon, leader du mouvement LFI (la France insoumise, dont fait partie Rima Hassan) a notamment fustigé la “nullité des services français” en affirmant que les familles des ressortissants retenus en Israël n’avaient eu “aucune nouvelle” dans les premières heures suivant l’interpellation.”Les agents de notre ambassade sur place (…) exercent leur mission avec beaucoup de professionnalisme, de dévouement et de courage dans des conditions extrêmement difficiles”, a souligné M. Barrot.Outre les deux militants français ayant accepté de signer les papiers permettant leur expulsion, la militante suédoise Greta Thunberg a quitté Israël mardi à bord d’un avion pour la Suède via la France.Au total, 12 militants français, allemand, brésilien, turc, suédois, espagnol et néerlandais, étaient partis d’Italie le 1er juin à bord d’un voilier pour “briser le blocus israélien” de Gaza, en proie à une situation humanitaire désastreuse après plus de 20 mois d’une guerre déclenchée par l’attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre 2023 sur Israël.La marine israélienne a arraisonné le bateau lundi matin à environ 185 kilomètres à l’ouest de la côte de Gaza. Il a été affrété par la Coalition de la flottille pour la liberté, un mouvement international non violent de soutien aux Palestiniens lancé en 2010, combinant aide humanitaire et protestation politique contre le blocus du territoire palestinien.

Hopes rise as US and China hold second day of trade talks

The United States and China began a second day of trade talks on Tuesday, seeking to shore up a shaky tariff truce in a bitter row deepened by export curbs.The gathering of key officials from the world’s two biggest economies began Monday in London, after an earlier round of talks in Geneva last month.Stock markets wavered as investors hoped the talks will bring some much-needed calm on trading floors and ease tensions between the economic superpowers.A US Treasury spokesman told AFP on Tuesday the “talks resumed earlier this” morning.One of US President Donald Trump’s top advisers said he expected “a big, strong handshake” at the end of the talks in the historic Lancaster House, operated by the UK foreign ministry.Trump told reporters at the White House on Monday: “We are doing well with China. China’s not easy.”I’m only getting good reports.”The agenda is expected to be dominated by exports of rare earth minerals used in a wide range of things including smartphones, electric vehicle batteries and green technology.”In Geneva, we had agreed to lower tariffs on them, and they had agreed to release the magnets and rare earths that we need throughout the economy,” Trump’s top economic adviser, Kevin Hassett, told CNBC on Monday.But even though Beijing was releasing some supplies, “it was going a lot slower than some companies believed was optimal”, he added.Still, he said he expected “a big, strong handshake” at the end of the talks.”Our expectation is that after the handshake, any export controls from the US will be eased, and the rare earths will be released in volume,” Hassett added.He also said the Trump administration might be willing to ease some recent curbs on tech exports.- Concessions? -Tensions between Washington and Beijing have heightened since Trump took office in January, with both countries engaging in a tariffs war hiking duties on each other’s exports to three figures — an effective trade embargo.The Geneva pact to cool tensions temporarily brought new US tariffs on Chinese goods down from 145 percent to 30 percent, and Chinese countermeasures from 125 percent to 10 percent.But Trump recently said China had “totally violated” the deal.”Investors are willing to grab on to any positive trade headline right now, as this is keeping hopes of a rally alive,” said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB.Ipek Ozkardeskaya, senior analyst at the Swissquote Bank, said that although there had been “no breakthrough” it seemed “the first day of the second round of negotiations reportedly went relatively well”.”Rumours are circulating that the US may be willing to make concessions on tech exports in exchange for China easing restrictions on rare earth metal exports,” she said.Rare earth shipments from China to the US have slowed since the tariff war was triggered by Trump’s so-called “Liberation Day” announcements, according to Brooks.The US leader slapped sweeping levies of 10 percent on friend and foe alike, and threatened steeper rates on dozens of economies.The tariffs have already had a sharp effect, with official figures from Beijing showing Chinese exports to the United States in May plunged by 12.7 percent.China is also in talks with other trading partners — including Japan and South Korea — to try to build a united front to counter Trump’s tariffs.Chinese leader Xi Jinping on Tuesday urged South Korea’s new President Lee Jae-myung to work with Beijing to uphold free trade to ensure “the stability and smooth functioning of global and regional industrial and supply chains.””A healthy, stable, and continuously deepening China–South Korea relationship aligns with the trend of the times,” Xi said in a phone call, according to the Xinhua news agency.Chinese Vice Premier He Lifeng is heading the team in London, which included Commerce Minister Wang Wentao and China International Trade Representative Li Chenggang.US Treasury Secretary Scott Bessent, Commerce Secretary Howard Lutnick and Trade Representative Jamieson Greer are leading the US delegation.

Les manchots empereurs menacés “plus vite que prévu” par le réchauffement climatique

Le réchauffement climatique, et en particulier le recul de la banquise dans l’Antarctique, fait décliner “plus vite que prévu” la population des manchots empereurs, dont nombre de colonies ont perdu plus de 20% de leurs membres en 15 ans, alerte mardi une étude britannique de référence.Ce déclin rapide a été observé par satellites dans seize colonies, situées dans la péninsule antarctique, la mer de Weddell et la mer de Bellingshausen, qui représentent un tiers de la population de la plus grande espèce de manchots au monde, rapporte l’étude du British Antarctic Survey publiée dans la revue Nature Communications: Earth & Environment.”Nous avons là une illustration très déprimante du changement climatique et un déclin démographique qui se déroule plus vite que prévu, mais il n’est pas trop tard”, a déclaré Peter Fretwell, chercheur de cet observatoire britannique qui a dirigé l’étude.Les conclusions de ces nouvelles observations sont “probablement environ 50% pires” que les estimations les plus pessimistes réalisées à l’aide de modèles informatiques, a-t-il ajouté.Première cause à l’origine de ce déclin, le réchauffement climatique amincit la glace sous les pattes des manchots dans leurs zones de reproduction.Ces dernières années, certaines colonies ont perdu l’intégralité de leurs poussins, noyés ou morts de froid lorsque la glace a cédé sous leurs minuscules pattes, avant qu’ils ne soient prêts à affronter l’océan glacial.L’étude suggère que le nombre de manchots est en baisse depuis le début de la surveillance précise par satellite, en 2009, soit avant que le réchauffement ne réduise la reconstitution annuelle de la banquise, selon Peter Fretwell.Le changement climatique reste le principal facteur du déclin, a-t-il précisé, entraînant d’autres menaces pour les manchots, telles que des précipitations plus importantes ou l’intrusion croissante de prédateurs, comme les orques et les phoques par exemple.”Il n’y a pas de pêche, pas de destruction de leur habitat, pas de pollution qui cause le déclin de leurs populations. C’est simplement la température de la glace sur laquelle ils se reproduisent et vivent, et c’est vraiment le changement climatique”, a-t-il déclaré à l’AFP.Selon une étude réalisée en 2020, les manchots empereurs, dont le nom scientifique est Aptenodytes forsteri, comptent environ 250.000 couples reproducteurs, tous en Antarctique.Les manchots n’appartiennent pas à la même famille que les pingouins de l’hémisphère nord, plus petits et capables de voler. – Migration au Sud ? -L’Å“uf de  manchot empereur est couvé en hiver par le mâle, tandis que la femelle part à la pêche pendant deux mois, avant de revenir nourrir les petits par régurgitation.Pour survivre par eux-mêmes, les oisillons doivent développer des plumes imperméables, un processus qui commence généralement à la mi-décembre, pendant l’été austral.Le chercheur considère qu’il y a de l’espoir que les manchots se rapprochent du pôle Sud à l’avenir, mais il est difficile de dire “combien de temps ils vont tenir là-bas”, précise M. Fretwell.Des modélisations informatiques avaient déjà prévu que l’espèce sera proche de l’extinction d’ici la fin du siècle si l’humanité ne réduit pas ses émissions de gaz à effet de serre. Toutefois, à la lumière des dernières découvertes inquiétantes, “il se peut que nous devions repenser ces modèles”, a déclaré M. Fretwell et il est de plus en plus nécessaire d’étudier le reste de la population.”Nous allons probablement perdre beaucoup de manchots empereurs, mais (…) si nous réduisons nos émissions de gaz à effet de serre, alors nous sauverons” l’espèce”, conclut le scientifique.

Italie: Igor Tudor confirmé comme entraîneur de la Juventus

Le Croate Igor Tudor, arrivé à Turin fin mars en remplacement de Thiago Motta, restera aux commandes de la Juventus la saison prochaine, a annoncé mardi le nouveau directeur général du club italien, Damien Comolli.”Igor sera notre entraîneur pour la Coupe du monde des clubs, pour la saison prochaine, et j’espère au-delà”, a déclaré Comolli lors de sa première conférence de presse comme patron de la Juve.Tudor, 47 ans, a été nommé entraîneur de la Juve, club où il a fait l’essentiel de sa carrière de joueur, fin mars en remplacement de Motta, remercié après l’élimination du club en barrages d’accession aux 8e de finale de la Ligue des champions.Sous la conduite de Tudor, la Juve a remporté cinq de ses neuf derniers matches de Serie A, pour trois nuls et une défaite.Le technicien croate, passé notamment par Marseille et la Lazio Rome, a atteint l’objectif que lui avaient assigné ses dirigeants, à savoir décrocher la 4e place, synonyme de qualification pour la prochaine Ligue des champions.Mais la Juve a tenté de recruter Antonio Conte, un autre de ses anciens joueurs, qui a conduit Naples au titre de champion d’Italie.Un temps intéressé, Conte qui avait déjà entraîné la Juve entre 2011 et 2014, a finalement décidé de rester à Naples.Pour expliquer le choix de Tudor, Comolli, ancien président de Toulouse, a reconnu qu’il avait été “vraiment impressionné” par le travail du Croate à la tête de l’OM lors de la saison 2022-23.”Après un match de Toulouse contre Marseille, a rappelé le dirigeant, je lui avais dit que peu d’entraîneurs en France pouvait instiller un tel niveau, autant d’intensité, de force mentale et physique à une équipe (…) Ce qu’il a fait à Marseille était exceptionnel”.Comolli a ensuite assuré que le club allait “tout faire pour regagner des trophées” dans l’avenir, alors que le 36e et dernier titre de champion d’Italie de la Juve remonte à 2020.S’il espère obtenir du PSG la prolongation du prêt de Randal Kolo Muani pour la saison prochaine, Comolli a reconnu que le sort de l’autre buteur de la Juve, Dusan Vlahovic, limité à dix buts cette saison en Serie A et relégué parfois sur le banc des remplaçants, n’était pas encore scellé.