Ligue 1: l’OL défie le PSG, Lens et l’OM en embuscade
Dans un haut du classement toujours aussi serré, le PSG, leader, se déplace diminué à Lyon dimanche (20h45) pour le choc de la 12e journée du championnat, tandis que les Lensois sont attendus à Monaco samedi (21h05).A peine son infirmerie vidée, le Paris Saint-Germain doit de nouveau faire face à une nouvelle vague de blessés.Luis Enrique a perdu mardi soir lors de la défaite contre le Bayern Munich Achraf Hakimi (entorse d’une cheville), Nuno Mendes (entorse d’un genou), et Ousmane Dembélé (lésion à un mollet).- Lyon pour une surprise -Le technicien espagnol va devoir composer dimanche avec un groupe émoussé physiquement et mentalement, “pas à 100%”, selon l’expression du capitaine Marquinhos. Pour palier l’absence des deux latéraux, Lucas Hernandez pourrait remplacer Nuno Mendes dans le couloir gauche et le milieu Warren Zaïre-Emery à droite, dans un poste hybride. Après un bon début de saison surtout en Ligue Europa, les Lyonnais (6e, 20 points) restent sur deux nuls à Brest et au Paris FC. Mais il sont aussi capables de coups d’éclats, comme lors de ses succès acquis face à Lille, Lens et Marseille, en s’imposant à chaque fois par le plus petit écart (1-0). Dimanche, les joueurs de Paulo Fonseca vont vouloir profiter de la période trouble du PSG. Un match sous tension, sur et hors du terrain, puisque la rencontre a été classée au niveau 5 sur 5 par la Direction nationale de lutte contre le hooliganisme (DNLH), entraînant une interdiction de déplacement des supporteurs parisiens.- Lens et Marseille dans le rythme -Au contraire des Parisiens, les Sang et Or disposeront de l’intégralité de leur effectif pour leur déplacement à Monaco samedi. Les Lensois sont troisièmes du championnat, avec deux points d’avance sur Monaco (5e) et sont remontés à hauteur de Marseille, deuxième, qui reçoit Brest (13e) samedi. Avec 22 points, à deux longueurs du PSG, les deux clubs veulent rester dans le rythme du champion d’Europe.Les hommes du Rocher ont eux chuté à domicile contre le Paris FC (0-1) mais ont acquis mardi un premier succès en Ligue des champions sur la pelouse de Bodoe/Glimt (1-0).- Lille, Monaco et Strasbourg sur les talons -Les Monégasques sont devancés au nombre de buts (+10), par les Lillois, remontés à la quatrième place de la Ligue 1 après avoir engrangé 9 points en quatre journées malgré une défaite à Nice (2-0). Les hommes de Bruno Genesio se déplacent dimanche au stade de la Meinau (17h15), où les Alsaciens enregistreront le retour de Mamadou Sarr, malade la semaine dernière, qui ne sera pas de trop pour faire face à la deuxième meilleure attaque de Ligue 1. Le Strasbourgeois Joaquin Panichelli (9 buts) est lui toujours en tête du classement des buteurs de L1. Il devance d’une longueur le Rennais Esteban Lepaul, auteur d’un triplé contre Strasbourg, qui a offert un peu de répit à son entraineur Habib Beye après neuf matches sans victoire. Toujours en danger, ce dernier se sait attendu samedi sur la pelouse du Paris FC qui devance d’un point au classement les Rennais. Lanterne rouge, l’AJ Auxerre se déplace quant à elle à Angers (14e), tandis que le FC Metz (17e) reçoit l’OGC Nice (8e). Après s’être quittés sur un match nul et vierge, Toulouse (9e) et Le Havre (8e) affronteront respectivement Lorient (16e) et le FC Nantes (15e) pour décanter le milieu de tableau.
Paralysie budgétaire: les Etats-Unis redoutent la pagaille dans les aéroports
Des centaines de milliers d’Américains voient leurs vols annulés à partir de vendredi en raison du blocage budgétaire qui s’étire et a conduit les autorités à alléger le trafic aérien face à la pénurie d’aiguilleurs du ciel.Sont concernés, entre autres, les trois aéroports de New York, les trois qui desservent Washington, ceux de Chicago, Los Angeles, San Francisco, Miami, Boston, Philadelphie, Atlanta ou encore Dallas.American Airlines et United Airlines, deux des principales compagnies régulières américaines, ont dit à l’AFP qu’elles réduisaient leur activité de 4% dès vendredi et tout au long du week-end, soit “environ 220 vols annulés chaque jour” pour la première, et “moins de 200 vols vendredi et samedi” pour la seconde.Delta, autre compagnie américaine majeure, prévoit elle autour de 170 annulations vendredi sur “approximativement 5.000 départs quotidiens”.L’administration Trump avait annoncé mercredi une réduction de 10% du nombre de vols dans quarante des aéroports américains les plus importants dès vendredi. Une décision justifiée par la nécessité de “réduire la pression” sur le contrôle aérien par impératif de sécurité, face au manque de personnel dans les tours de contrôle, auquel il est demandé depuis plus d’un mois de continuer à travailler sans être payé du fait de la paralysie budgétaire.Ce “shutdown” de l’Etat fédéral dure depuis 37 jours, un record, républicains et démocrates étant incapables de s’entendre sur un nouveau budget depuis le 1er octobre.- Vols domestiques et régionaux -Les annulations de vols s’ajoutent aux longues files d’attente aux points de contrôles qui sont gérés par des agents de sécurité également privés de salaire depuis plus d’un mois.Les perturbations débutent à la veille d’un week-end que nombre d’Américains prolongeront jusqu’au mardi 11 novembre, jour férié aux Etats-Unis. Et elles surviennent à l’approche de Thanksgiving, la grande fête familiale américaine pour laquelle des millions d’Américains prennent l’avion chaque année, le 27 novembre.”Si vous devez aller à un mariage, des obsèques ou autre chose d’important dans les prochains jours, compte tenu du risque d’annulation de vols, je conseillerais d’acheter un billet de secours sur une autre compagnie”, suggère le patron de la compagnie à bas coût Frontier, Barry Biffle, sur les réseaux sociaux.”Ainsi, si votre vol est annulé, vous avez une solution de rechange immédiatement”, poursuit-il, en avisant d'”acheter un billet remboursable”.Quels vols sont concernés ?Pas les vols internationaux long courrier à ce stade, ont précisé United et Delta.United indique dans un communiqué que les annulations se concentrent sur “les vols domestiques et régionaux qui ne relient pas nos hubs” aéroportuaires.Dans un mail adressé à ses clients, consulté par l’AFP, la compagnie précise que les vols “entre (ses) hubs”, Chicago, Denver, Houston, Los Angeles, Newark, San Francisco et Washington Dulles, ne sont pas affectés.- Zéro dollar -American Airlines table elle sur “environ 6.000 vols quotidiens”.”Avec Thanksgiving qui arrive, si on est toujours dans cette situation, ça va être rude. On agira sur ce qui concerne la sécurité. Mais votre vol décollera-t-il à l’heure ? Décollera-t-il tout court ? Ca reste à voir, mais il y aura davantage de perturbations”, a averti le ministre des Transports Sean Duffy au micro de Fox News jeudi.Les principales compagnies américaines ont fait savoir que leurs clients impactés pouvaient modifier leur voyage ou en demander le remboursement sans pénalité financière.Le blocage budgétaire a fortement désorganisé le contrôle aérien.A titre d’illustration, “actuellement, la moitié de nos trente aéroports principaux connaissent des pénuries de personnel” et “près de 80% des contrôleurs aériens sont absents dans les aéroports new-yorkais”, communiquait le régulateur aérien américain (FAA) le 31 octobre.”Après 31 jours sans salaire, les contrôleurs aériens sont soumis à un stress et une fatigue immenses”, soulignait-il.Autour de 14.000 contrôleurs aériens surveillent le ciel américain – et reçoivent en ce moment des fiches de paie à zéro dollar.Chaque jour, plus de trois millions de passagers prennent l’avion aux Etats-Unis et plus de 44.000 vols en moyenne les transportent, selon la FAA.
US deportations like a kidnapping, says Eswatini lawyer
Leading Eswatini human rights lawyer Sibusiso Nhlabatsi likens the shadowy US expulsions of 15 men to his country, a tiny kingdom in southern Africa, to kidnappings.Since the first five deportees were flown from the United States on a military plane in July, authorities have blocked the lawyer from visiting them at the high-security prison where they are held.Another 10 arrived in October and had also reached out, via their relatives, for assistance, the lawyer told AFP in an interview.The expulsions are part of the Trump administration’s crackdown on migrants which has seen scores removed to countries in Africa and Central America. “Eswatini finds itself participating in what I can call human trafficking or kidnapping because you cannot have these third-party state deportees being housed (here) while denying them access to lawyers,” Nhlabatsi said.”They are far from their families, so their relatives cannot come here, yet they are being denied a basic right,” he said.Authorities have released few details about the deportees in Eswatini, who are from diverse countries including Vietnam, Laos and Cuba. One — a Jamaican — was repatriated in September.After being refused access by prison authorities, Nhlabatsi turned to the High Court which in early October agreed that local lawyers should be allowed to visit the detainees. But the government appealed the ruling and “that access has not yet been facilitated,” said Nhlabatsi, who is in his mid-40s.Lawyers have also asked the courts to oblige the government to make public the details of its deal with Washington. A text revealed by Human Rights Watch and some media, and seen by AFP, says Eswatini agreed to take 160 deportees in exchange for $5.1 million to “build its border and migration management capacity”.”I believe the country concentrated on financial gain and overlooked every aspect of international law,” Nhlabatsi said. – ‘Weaponisation’ -Poverty and unemployment are high among Eswatini’s 1.2 million population, with 58 percent of the youth without jobs, according to the International Monetary Fund.The autocratic ruler, King Mswati III, has held power for 39 years, openly flaunting his wealth with a lavish lifestyle.Political parties have been banned since 1973 and calling for democratic reforms risks terrorism or sedition charges.An example of the “weaponisation of the judiciary” in the deteriorating human rights environment was the jailing in 2021 of two opposition MPs accused of inciting unrest during pro-democracy protests, the lawyer said.One of them — Mthandeni Dube, sentenced to 18 years in prison — was freed on Tuesday after apologising to the king and agreeing not to make public speeches or join protests. “Even though one of them has since apologised, that does not change the fact that they should not have been convicted in the first place,” Nhlabatsi said.Since the 2021 protests, when at least 37 people were killed, “civic space has shrunk, the independence of the judiciary is questionable, and the rule of law remains under threat,” Nhlabatsi said.- Ticking time bomb -In 2023, human rights lawyer and fierce critic of the authorities Thulani Maseko was gunned down in a killing that shocked many beyond the borders of Eswatini. There have still been no arrests for the murder. “I began to truly fear for my safety after the assassination of Thulani Maseko because I had worked closely with him,” Nhlabatsi said.”What shocked and terrified me was that he was a man of peace. And I know for a fact that the state also knew that he never advocated violence in any form,” said the formal but friendly lawyer. Eswatini needs change, including a move away from its system of royal favouritism and patronage that is eating into government finances, he said. “It is not sustainable,” Nhlabatsi said, describing the desperation for jobs in particular as a “cry for help, a ticking time bomb.”
US deportations like a kidnapping, says Eswatini lawyerFri, 07 Nov 2025 06:24:14 GMT
Leading Eswatini human rights lawyer Sibusiso Nhlabatsi likens the shadowy US expulsions of 15 men to his country, a tiny kingdom in southern Africa, to kidnappings.Since the first five deportees were flown from the United States on a military plane in July, authorities have blocked the lawyer from visiting them at the high-security prison where …
US deportations like a kidnapping, says Eswatini lawyerFri, 07 Nov 2025 06:24:14 GMT Read More »
Bangladesh cricket probes sexual harassment claims
The Bangladesh Cricket Board has opened an inquiry after former women’s captain Jahanara Alam accused former and serving officials of sexual harassment.The 32-year-old pacer, in an interview on a YouTube channel, accused officials including then selector and manager Manjurul Islam of sexual harassment during the 2022 Women’s World Cup in South Africa.Manjurul, who is currently in China, rejected the allegations as “baseless”.Describing an incident during the 2022 World Cup, Jahanara alleged that Manjurul “made inappropriate physical contact”, claiming he “often hugged or pressed female players to his chest” under the pretext of encouragement.”You can ask other girls in the team”, Manjurul said. “This is all false.”Manjurul, 46, a former left-arm seamer, played 12 Tests and 34 ODIs for Bangladesh between 1999 and 2004, before serving in various coaching and managerial roles. Jahanara took 48 wickets in ODIs, and 60 in T20s, across 135 white-ball matches for her country.She also named other BCB officials, and said that she had previously written to the board, but that no action had been taken.The BCB said a committee would submit its findings within 15 working days.It reaffirmed its commitment to a “safe, respectful, and professional environment”, it said in a statement late Thursday.”We have to investigate this, since it’s a serious matter,” BCB vice-president Shakhawat Hossain said.





