Soudan: des explosions entendues près de la capitale Khartoum, selon des témoins

Des explosions ont retenti vendredi matin près de la capitale soudanaise Khartoum, tenue par l’armée, ont rapporté à l’AFP des témoins au lendemain de l’annonce par les paramilitaires de leur accord pour une trêve humanitaire.Des habitants de la ville voisine d’Omdurman ont affirmé que les explosions s’étaient produites à proximité d’une base militaire et d’une …

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“Enraciné dans la terre”: un olivier millénaire défie la violence en Cisjordanie

Sous le soleil encore vigoureux de novembre, Salah Abou Ali récolte avec soin les fruits du plus vieil olivier de Cisjordanie occupée, pendant que dans le reste du territoire, la récolte des olives est balayée par les violences entre colons et Palestiniens.”Ce n’est pas un arbre ordinaire. Il s’agit d’histoire, de civilisation, de symbole”, déclare …

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Cuba: l’inculpation d’un ex-ministre de l’Economie ravive le spectre des purges politiques

A Cuba, l’inculpation pour “espionnage” et “corruption” d’un ancien ministre de l’Economie, proche du président Miguel Diaz-Canel, suscite des interrogations et ravive le spectre des purges politiques au sein du pouvoir communiste.Alors qu’aucune information n’avait filtré sur le sort d’Alejandro Gil depuis son limogeage en février 2024 puis l’annonce peu après par le chef de …

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En Chine, des mini-séries créées avec l’intelligence artificielle

Des dragons, des héros charismatiques et des intrigues larmoyantes: les épisodes de “L’étrange miroir des montagnes et des mers” ont tout d’une vraie série… sauf qu’ils ont été générés par intelligence artificielle (IA).Avec plus de 50 millions de vues en ligne, le succès de ce feuilleton s’inscrit dans un engouement plus large en Chine pour …

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Nouvelle-Calédonie: la ministre des Outre-mer veut dialoguer avec “chaque représentant politique”

La ministre des Outre-mer Naïma Moutchou entend rencontrer tous les représentants politiques de Nouvelle-Calédonie, dont le principal mouvement indépendantiste FLNKS, lors de son premier déplacement la semaine prochaine sur l’archipel.”Les invitations ont été lancées. Je commence par des échanges en bilatéral. C’est essentiel de pouvoir échanger avec chaque représentant politique”, a-t-elle assuré dans un entretien publié vendredi dans le quotidien Ouest-France. “Ce que je refuse, c’est de faire semblant de les entendre et ensuite d’aller trancher seule à Paris. Sur des questions comme le dégel (du corps électoral, NDLR) ou tout autre sujet institutionnel, rien n’est durable si le chemin n’est pas construit ensemble” a-t-elle poursuivi, affirmant ne pas venir en Nouvelle-Calédonie avec “des solutions clés en main sur l’avenir institutionnel”.Jeudi, le Conseil constitutionnel a validé le report des élections provinciales dans l’archipel du Pacifique, qui doivent se tenir au plus tard le 28 juin 2026, tout en jugeant que ce troisième report devra être le dernier. Le report de ce scrutin, auquel une partie du camp indépendantiste est opposée, doit conduire à la mise en place du fragile accord de Bougival sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie.Ce compromis, conclu en région parisienne en juillet entre l’Etat et les forces politiques calédoniennes, prévoit notamment la création d’un “Etat de la Nouvelle-Calédonie” inscrit dans la Constitution française et la reconnaissance d’une nationalité calédonienne.Toujours soutenu par les loyalistes et une partie des indépendantistes, il a depuis été rejeté par le FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste), dont l’objectif reste l’accession de l’archipel à la “pleine souveraineté”.Le front indépendantiste s’est dit vendredi “prêt à rencontrer la ministre des Outre-mer” mais l’a invitée à “une rupture avec les pratiques du passé”, appelant l’Etat à “un dialogue sincère” en vue d’un “avenir partagé et apaisé”.L’accord de Bougival entend élargir le corps électoral spécifique à ces élections, une question sensible. Actuellement, seuls certains habitants peuvent voter, notamment ceux établis sur le territoire avant 1998 et leurs descendants, ce qui ulcère le camp loyaliste.”L’identité kanak doit être pleinement respectée (…). L’Etat en est le garant et je m’inscris dans cet héritage”, a assuré Mme Moutchou à Ouest-France.”La réponse passe par une politique qui respecte les histoires, qui respecte les attachements, les blessures aussi, qui ne doit pas nier qu’un territoire peut porter plusieurs mémoires. C’est ça la réalité de la Nouvelle-Calédonie”, a-t-elle ajouté.La ministre devait se rendre dans l’archipel du Pacifique dès les premiers jours de novembre mais son déplacement avait été reporté “en raison des échéances budgétaires”. 

Nouvelle-Calédonie: la ministre des Outre-mer veut dialoguer avec “chaque représentant politique”

La ministre des Outre-mer Naïma Moutchou entend rencontrer tous les représentants politiques de Nouvelle-Calédonie, dont le principal mouvement indépendantiste FLNKS, lors de son premier déplacement la semaine prochaine sur l’archipel.”Les invitations ont été lancées. Je commence par des échanges en bilatéral. C’est essentiel de pouvoir échanger avec chaque représentant politique”, a-t-elle assuré dans un entretien publié vendredi dans le quotidien Ouest-France. “Ce que je refuse, c’est de faire semblant de les entendre et ensuite d’aller trancher seule à Paris. Sur des questions comme le dégel (du corps électoral, NDLR) ou tout autre sujet institutionnel, rien n’est durable si le chemin n’est pas construit ensemble” a-t-elle poursuivi, affirmant ne pas venir en Nouvelle-Calédonie avec “des solutions clés en main sur l’avenir institutionnel”.Jeudi, le Conseil constitutionnel a validé le report des élections provinciales dans l’archipel du Pacifique, qui doivent se tenir au plus tard le 28 juin 2026, tout en jugeant que ce troisième report devra être le dernier. Le report de ce scrutin, auquel une partie du camp indépendantiste est opposée, doit conduire à la mise en place du fragile accord de Bougival sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie.Ce compromis, conclu en région parisienne en juillet entre l’Etat et les forces politiques calédoniennes, prévoit notamment la création d’un “Etat de la Nouvelle-Calédonie” inscrit dans la Constitution française et la reconnaissance d’une nationalité calédonienne.Toujours soutenu par les loyalistes et une partie des indépendantistes, il a depuis été rejeté par le FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste), dont l’objectif reste l’accession de l’archipel à la “pleine souveraineté”.Le front indépendantiste s’est dit vendredi “prêt à rencontrer la ministre des Outre-mer” mais l’a invitée à “une rupture avec les pratiques du passé”, appelant l’Etat à “un dialogue sincère” en vue d’un “avenir partagé et apaisé”.L’accord de Bougival entend élargir le corps électoral spécifique à ces élections, une question sensible. Actuellement, seuls certains habitants peuvent voter, notamment ceux établis sur le territoire avant 1998 et leurs descendants, ce qui ulcère le camp loyaliste.”L’identité kanak doit être pleinement respectée (…). L’Etat en est le garant et je m’inscris dans cet héritage”, a assuré Mme Moutchou à Ouest-France.”La réponse passe par une politique qui respecte les histoires, qui respecte les attachements, les blessures aussi, qui ne doit pas nier qu’un territoire peut porter plusieurs mémoires. C’est ça la réalité de la Nouvelle-Calédonie”, a-t-elle ajouté.La ministre devait se rendre dans l’archipel du Pacifique dès les premiers jours de novembre mais son déplacement avait été reporté “en raison des échéances budgétaires”. 

Violences policières contre Michel Zecler: de graves manquements relève la Défenseure des droits

La Défenseure des droits a fait état “de la gravité et de la multitude de manquements constatés” lors de l’interpellation en novembre 2020 de Michel Zecler, producteur de musique noir roué de coups par des policiers, et a indiqué saisir le ministre de l’Intérieur, dans une décision publiée vendredi.A l’issue de son enquête, le Défenseur des droits a relevé des manquements déontologiques de la part des policiers qui ont fait “un usage disproportionné de la force” et “un acharnement injustifié” envers Michel Zecler, qui a reçu 29 coups en quatre minutes, occasionnant une incapacité totale de travail de 45 jours.L’autorité administrative indépendante a également établi que des propos racistes ont été tenus par les policiers, circonstance aggravante que n’ont pas retenue les juges d’instruction ayant ordonné en juin dernier un procès devant une cour criminelle pour les quatre policiers mis en cause.La Défenseure des droits Claire Hédon pointe par ailleurs “qu’aucun conseil de discipline n’a été saisi” alors que l’IGPN (Inspection générale de la police nationale), au terme d’une enquête administrative permettant “d’établir les faits (…) et manquements déontologiques”, a “proposé au préfet de police de Paris que les quatre policiers comparaissent devant le conseil de discipline” dans ses conclusions rendues en juillet 2021.Le préfet de police de Paris était alors Didier Lallement.”Au regard de la gravité et de la multitude des manquements constatés et compte de tenu de l’absence de procédure disciplinaire engagée à ce stade, (le Défenseur des droits) saisit le ministre de l’Intérieur afin qu’il engage sans délai une procédure disciplinaire” à l’encontre des quatre policiers, demande l’autorité indépendante.Les policiers ont été suspendus le 26 novembre 2020, deux d’entre eux ont été incarcérés durant un mois après leur mise en examen. Trois sont toujours suspendus, a indiqué la préfecture de police à l’AFP, précisant que le quatrième exerce toujours dans un service, mais sans activité de voie publique.Le 21 novembre 2020, Michel Zecler est interpellé devant son studio d’enregistrement pour non-port du masque – en période de regain de Covid – et suspicion de consommation de cannabis. Les policiers entrent chez lui et le passent à tabac. Les faits ont été filmés par une caméra de vidéosurveillance, les images ont été dévoilées et sont devenues virales.Le président Emmanuel Macron avait alors dénoncé “une agression inacceptable” et “des images qui nous font honte”. A sa demande et dans la foulée, la plateforme antidiscriminations.fr a été créée en février 2021 et confiée au Défenseur des droits.

Consentement: la modification de la définition pénale du viol promulguée

L’intégration de la notion de consentement à la définition pénale du viol a été promulguée vendredi au Journal officiel, dix jours après son adoption au Parlement à l’issue d’un long processus législatif transpartisan.Quelques mois après le retentissant procès des viols de Mazan, durant lequel le consentement avait pris une place centrale, le droit pénal est ainsi clarifié en comportant, noir sur blanc, cette notion, déjà omniprésente dans la jurisprudence.”Constitue une agression sexuelle tout acte sexuel non consenti”, dit désormais le Code pénal. “Le consentement est libre et éclairé, spécifique, préalable et révocable. Il est apprécié au regard des circonstances. Il ne peut être déduit du seul silence ou de la seule absence de réaction de la victime”, précise-t-il.”Il n’y a pas de consentement si l’acte à caractère sexuel est commis avec violence, contrainte, menace ou surprise, quelle que soit leur nature”, poursuit le texte. La France rejoint ainsi les pays ayant déjà modifié leur législation en ce sens, parmi lesquels le Canada, la Suède, l’Espagne ou encore la Norvège depuis le printemps 2025.

Markets drop as valuations and US jobs, rates spook investors

Stocks on Friday tracked Wall Street losses propelled by investors weighing weak US jobs data against signals the Federal Reserve won’t again cut interest rates this year.Growing worries that valuations, particularly among tech companies, are far too high following this year’s blockbuster rally added to the sense of unease on trading floors.A rollercoaster week looked set to end on a negative note after a report by outplacement firm Challenger, Gray & Christmas showed layoff US announcements hit the highest level in 22 years last month.The report found that this year has been the worst for layoffs since 2020, when the labour market was decimated by the pandemic.Investors have been forced to use private data as a guide to the state of the world’s biggest economy owing to the longest-running government shutdown that has closed numerous departments.While the latest jobs figures came a day after news that private hiring had increased, it sparked fresh concerns about the labour market and put pressure on the Fed to cut borrowing costs for a third successive meeting in December.However, comments from central bank officials suggested another reduction was not certain, echoing boss Jerome Powell’s warning last week.While stabilising the jobs market is one half of the Fed’s dual mandate, some decision-makers said they were more concerned about the other: keeping a cap on inflation.Fed Cleveland chief Beth Hammack said she remained “concerned about high inflation and believe policy should be leaning against it”.”To me, comparing the size and persistence of our mandate misses and the risks, inflation is the more pressing concern,” she said Thursday in prepared remarks for an event in New York. She called the current setting “barely restrictive”.Chicago Fed boss Austan Goolsbee told CNBC he was concerned about making decisions during the shutdown without the full data, adding that such a move made him “even more uneasy.And their St Louis counterpart said cutting rates would take away the downward pressure that was still needed on inflation.All three main indexes on Wall Street ended down as tech firms, which have been at the forefront of the surge to record highs this year, took the brunt of the selling.The Nasdaq shed 1.9 percent and S&P 500 more than one percentAsia fared barely any better, with Tokyo and Seoul off more than one percent, having recently hit all-time highs.Hong Kong, Shanghai, Sydney, Singapore, Taipei, Mumbai, Bangkok and Manila were also down, though Wellington and Jakarta rose.London opened lower but there were gains in Paris and Frankfurt.Traders have in recent weeks been taking stock of this year’s rally, which has sent several markets to all-time highs and valuations soaring — chip giant Nvidia last week became the first $5 trillion company.The gains have been fanned by a mind-boggling flood of investment into all things artificial intelligence as well as hopes for US rate cuts and an easing of trade tensions.But there is growing talk — even among some top CEOs — that a bubble has formed and stocks could be in for a pullback or even a correction in which they lose about 10 percent from their recent peaks.”Sentiment remains very fragile indeed, be that as a result of continued jitters over the AI frenzy, those warnings about a pullback from bank CEOs… or potentially just a reflection of the market at large having come a very long way, in a very short space of time,” wrote Pepperstone’s Michael Brown.But he added: “My belief remains that the fundamental bull case is a strong one, with the policy backdrop becoming increasingly loose, earnings growth robust, and the underlying economy resilient.”- Key figures at around 0815 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 1.2 percent at 50,276.37 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.9 percent at 26,241.83 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.3 percent at 3,997.56 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 9,724.94 Euro/dollar: DOWN at $1.1533 from $1.1548 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.3124 from $1.3135Dollar/yen: UP at 153.42 yen from 153.04 yenEuro/pound: DOWN at 87.88 pence from 87.91 penceWest Texas Intermediate: UP 1.1 percent at $60.07 per barrelBrent North Sea Crude: UP 1.0 percent at $64.02 per barrelNew York – Dow: DOWN 0.8 percent at 46,912.30 (close)