DR Congo ex-justice minister sentenced to 3 years hard labour for graftTue, 02 Sep 2025 16:02:22 GMT

Firebrand former Democratic Republic of Congo justice minister Constant Mutamba was sentenced on Tuesday to three years of forced labour for embezzling public funds, including reparations for war victims, an AFP journalist saw.Mutamba, who while in government proposed putting politicians who syphon off money from the public purse to death, was also barred from holding high …

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Les Bourses européennes terminent en baisse

Les Bourses européennes ont terminé en baisse mardi, à l’issue d’une séance marquée par une remontée des taux d’emprunt sur le marché obligataire, qui a pesé sur les actifs jugés risqués, comme les actions.L’indice vedette de la Bourse de Francfort, le Dax, a chuté de 2,29%, mais reste sur un gain annuel proche de 18%. La Bourse de Paris a quant à elle reculé de 0,70% et Londres de 0,87%.

Trump expected to announce US Space Command move

President Donald Trump is set to make an announcement Tuesday on moving the headquarters of the US Space Command, reversing a decision by his predecessor Joe Biden.Trump is expected to relocate the base from Colorado to Alabama following a bitter, years-long battle between the two states over which should host the facility.Democrat Biden had decided to keep Space Command — which oversees US operations in outer space — at its temporary location in Colorado despite a ruling by Republican Trump in his first term in 2021 that it should move to Alabama. Colorado, in the western US, leans Democrat while the southern state of Alabama leans Republican.White House Press Secretary Karoline Leavitt said in a statement sent to AFP that Trump “will be making an exciting announcement related to the Department of Defense” but gave no more details.Trump is due to speak from the Oval Office at 2:00 pm (1800 GMT) in his first official public appearance for a week.The Department of Defense’s image distribution website initially listed Trump’s announcement as being about “US Space Command Headquarters.” It later changed it to say only that “President Trump makes an announcement.”Speculation around Trump’s announcement had earlier centered on his recent statements that he wanted to change the name of the Department of Defense to the Department of War.

France: après un été caniculaire, un appel à sortir de la “cécité collective”

Après un été caniculaire en France, le troisième plus chaud depuis le début des mesures, la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher a sonné mardi l’”urgence climatique” et appelé à sortir de la “cécité collective”.”Le premier des périls n’est pas forcément celui auquel pensent les uns et les autres. C’est celui de notre urgence climatique et écologique”, a déclaré la ministre lors d’une conférence de presse pour présenter le bilan météorologique de l’été (juin-août).”Nous savons tous que l’été que nous venons de vivre constitue à bien des égards un basculement”, a-t-elle souligné.Alors que la chute du gouvernement de François Bayrou semble probable à l’issue du vote des députés le 8 septembre sollicité par le Premier ministre, Agnès Pannier-Runacher a profité de l’occasion pour passer un message politique et attaquer, sans les nommer, les positions de Donald Trump ou du Rassemblement national en France.Elle a ainsi fustigé le “court-termisme dans lequel voudraient nous emmener certaines figures politiques majeures, en France comme à l’étranger”.L’été 2025 a connu une température moyenne de 22,2°C, soit une anomalie de +1,9°C. Il se classe derrière les étés 2003 (+2,7°C) et 2022 (+2,3°C), selon les données de Météo-France.D’autres pays – le Japon, la Corée du Sud ou le Royaume-Uni – ont pour leur part connu cet été des chaleurs record, symptômes d’un réchauffement climatique particulièrement rapide sur les continents européen et asiatique.Pour la France, c’est “la quatrième année consécutive que nous avons un été très chaud”, a remarqué la PDG de Météo-France, Virginie Schwarz.”Tous les mois ont été au-dessus des normales, mais il y a eu un mois de juin qui a été particulièrement chaud: 3,3 degrés au dessus des normales”, a-t-elle souligné.- “Un avant-goût de l’après” -Avec deux épisodes caniculaires en juin et août, qui ont fait suffoquer les Français et perturbé certaines activités économique, le pays a connu 27 jours correspondant aux conditions d’une vague de chaleur. L’été 2025 se classe ainsi au deuxième rang pour le nombre de jours de vague de chaleur, après l’été 2022.Ces phénomènes s’inscrivent dans la tendance du changement climatique, causé essentiellement par l’utilisation massive des énergies fossiles, qui rend les vagues de chaleur plus fréquentes et plus intenses.L’été 2025 a aussi été peu pluvieux (-15%), en particulier sur la moitié sud où le déficit atteint parfois 50%. Les sols sont restés plus secs que la normale tout au long de l’été malgré quelques répits temporaires, note Météo-France.La sécheresse et les conditions météo ont amplifié les risques d’incendies, qui ont ravagé une partie du territoire. Le pays a notamment subi un gigantesque incendie, le pire depuis au moins 50 ans sur le pourtour méditerranéen français, qui a parcouru 16.000 hectares dans l’Aude du 5 au 10 août, détruisant 36 habitations et tuant une personne.”C’est un avant-goût de l’après, un avant-goût malheureusement, car les vagues de chaleur seront plus fréquentes et plus intenses dans les années à venir”, a insisté Agnès Pannier-Runacher.”Nous voulons échapper à la réalité du dérèglement climatique devenu désormais une urgence climatique” mais “cette réaction de cécité collective n’est pas tenable”, a-t-elle jugé.

France: après un été caniculaire, un appel à sortir de la “cécité collective”

Après un été caniculaire en France, le troisième plus chaud depuis le début des mesures, la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher a sonné mardi l’”urgence climatique” et appelé à sortir de la “cécité collective”.”Le premier des périls n’est pas forcément celui auquel pensent les uns et les autres. C’est celui de notre urgence climatique et écologique”, a déclaré la ministre lors d’une conférence de presse pour présenter le bilan météorologique de l’été (juin-août).”Nous savons tous que l’été que nous venons de vivre constitue à bien des égards un basculement”, a-t-elle souligné.Alors que la chute du gouvernement de François Bayrou semble probable à l’issue du vote des députés le 8 septembre sollicité par le Premier ministre, Agnès Pannier-Runacher a profité de l’occasion pour passer un message politique et attaquer, sans les nommer, les positions de Donald Trump ou du Rassemblement national en France.Elle a ainsi fustigé le “court-termisme dans lequel voudraient nous emmener certaines figures politiques majeures, en France comme à l’étranger”.L’été 2025 a connu une température moyenne de 22,2°C, soit une anomalie de +1,9°C. Il se classe derrière les étés 2003 (+2,7°C) et 2022 (+2,3°C), selon les données de Météo-France.D’autres pays – le Japon, la Corée du Sud ou le Royaume-Uni – ont pour leur part connu cet été des chaleurs record, symptômes d’un réchauffement climatique particulièrement rapide sur les continents européen et asiatique.Pour la France, c’est “la quatrième année consécutive que nous avons un été très chaud”, a remarqué la PDG de Météo-France, Virginie Schwarz.”Tous les mois ont été au-dessus des normales, mais il y a eu un mois de juin qui a été particulièrement chaud: 3,3 degrés au dessus des normales”, a-t-elle souligné.- “Un avant-goût de l’après” -Avec deux épisodes caniculaires en juin et août, qui ont fait suffoquer les Français et perturbé certaines activités économique, le pays a connu 27 jours correspondant aux conditions d’une vague de chaleur. L’été 2025 se classe ainsi au deuxième rang pour le nombre de jours de vague de chaleur, après l’été 2022.Ces phénomènes s’inscrivent dans la tendance du changement climatique, causé essentiellement par l’utilisation massive des énergies fossiles, qui rend les vagues de chaleur plus fréquentes et plus intenses.L’été 2025 a aussi été peu pluvieux (-15%), en particulier sur la moitié sud où le déficit atteint parfois 50%. Les sols sont restés plus secs que la normale tout au long de l’été malgré quelques répits temporaires, note Météo-France.La sécheresse et les conditions météo ont amplifié les risques d’incendies, qui ont ravagé une partie du territoire. Le pays a notamment subi un gigantesque incendie, le pire depuis au moins 50 ans sur le pourtour méditerranéen français, qui a parcouru 16.000 hectares dans l’Aude du 5 au 10 août, détruisant 36 habitations et tuant une personne.”C’est un avant-goût de l’après, un avant-goût malheureusement, car les vagues de chaleur seront plus fréquentes et plus intenses dans les années à venir”, a insisté Agnès Pannier-Runacher.”Nous voulons échapper à la réalité du dérèglement climatique devenu désormais une urgence climatique” mais “cette réaction de cécité collective n’est pas tenable”, a-t-elle jugé.

‘Mockery of science’: US experts blast Trump climate report

A report commissioned by the Trump administration that disputes the scientific consensus on human-caused climate change mimics tactics once used by the tobacco industry to manufacture doubt, leading US experts said Tuesday.In a sweeping 440-page rebuttal, 85 scientists accused the government of relying on a small group of handpicked contrarians who drew on discredited research, misrepresented evidence, and bypassed the peer review process to reach pre-determined conclusions.The Trump administration’s 150-page report was published on the Department of Energy’s website in late July to support the administration’s proposal to overturn the 2009 “Endangerment Finding” — a bedrock determination that underpins much of the federal government’s authority to curb greenhouse gas emissions.”This report makes a mockery of science,” Andrew Dessler, a climate scientist at Texas A&M University and one of the co-authors, wrote in a statement.”It relies on ideas that were rejected long ago, supported by misrepresentations of the body of scientific knowledge, omissions of important facts, arm waving, anecdotes, and confirmation bias. This report makes it clear DOE has no interest in engaging with the scientific community.”Entitled “A Critical Review of Impacts of Greenhouse Gas Emissions on the US Climate,” the DOE document made sweeping claims: that extreme weather events linked to human-caused emissions were not increasing, US temperatures were not rising, and that higher carbon dioxide levels would benefit agricultural productivity.The rebuttal marshals experts from multiple disciplines to challenge each assertion.”Contrary to the authors’ claims, the human-induced global warming signal is clearly discernible in all-time high and low temperature records over the continental United States and throughout the world,” scientists wrote in one example.On agriculture, the rebuttal notes that while elevated carbon dioxide can sometimes spur greater yields in isolation, rising heat and shifting rainfall patterns are expected to cause overall declines.The DOE report also downplays the threat of ocean acidification, stating that “life in the oceans evolved when the oceans were mildly acidic” billions of years ago. But according to the rebuttal, this is “irrelevant for evaluating whether current or near-future conditions are suitable for modern ecosystems to continue,” since complex multi-cellular life had not evolved at the time.Since returning to office in January, President Donald Trump has gone far beyond the pro-fossil fuel agenda of his first term.Republicans recently passed legislation titled the “Big Beautiful Bill” which gutted clean energy tax credits established under former president Joe Biden, while opening ecologically sensitive areas to expanded fossil fuel development.Trump has also withdrawn the United States from the Paris Agreement on climate and is pressing America’s fossil fuel agenda abroad — requiring the EU in its trade deal to buy more US liquefied natural gas and pressuring the World Bank to stop prioritizing climate change.

Rave party dans l’Aude: les fêtards s’en vont sous surveillance policière

Les participants à la rave party, dans une partie de l’Aude touchée par un vaste incendie début août, ont démonté leur installation et quittent le site mardi après-midi, sous une surveillance policière, à la suite d’incidents lundi soir entre fêtards et villageois excédés.”Ils sont en train de partir. Ils avaient jusqu’à 14h00 (ultimatum du ministre de l’Intérieur, ndlr) mais ils ont commencé à partir vers 13h00. Il reste encore 400 ou 500 personnes. Il n’y a plus de tension”, a déclaré à l’AFP le maire de Fontjoncouse, Christophe Tena.Lors d’un point-presse, le préfet de l’Aude Alain Bucquet a indiqué qu’il s’agissait d’une “évacuation sous contrainte sans recours à la force”. Il a souligné que de la drogue, des groupes électrogènes et audio, avaient été saisis et que plus de 1.000 fêtards avaient été verbalisés.La rave party a débuté vendredi soir dans une plaine agricole située entre Fontjoncouse et Coustouge, des villages au cœur d’une zone sinistrée par le gigantesque incendie qui a parcouru 16.000 hectares dans l’Aude du 5 au 10 août, et a notamment détruit 36 habitations et tué une personne.Mardi matin, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau avait “donné quelques heures à ces individus pour quitter les lieux”.- Scène de violence -Lundi en fin de journée, CRS et gendarmes ont dû s’interposer entre des participants à la “Free Party From Dusk Till Dawm” et un groupe d’agriculteurs et de villageois, venus avec tracteurs et bulldozer, pour les déloger. Il n’y a pas eu d’interpellations ni de blessés, selon les autorités.Sur une vidéo diffusée par le quotidien local L’Indépendant, on voit, au milieu de cris, un groupe d’hommes avec des bâtons casser des vitres de voitures, puis l’un d’entre eux frapper avec son bâton l’un des fêtards. Ces derniers ripostent avec des projectiles qu’ils ramassent par terre.Dans la nuit de lundi à mardi, la rave party s’est poursuivie dans le calme, puis la musique a été éteinte dans la matinée.Mardi matin, la préfecture de l’Aude avait dénombré 900 personnes, après un pic de 2.500 participants au cours du week-end.”Ils sont en file indienne sur le chemin de la sortie. ils passent un point de contrôle des gendarmes, où ils vont leur dresser une contravention. Il y en a pour plusieurs heures”, a ajouté le maire de Fontjoncouse, qui avait dénoncé dans un premier temps l’inaction des forces de l’ordre face au rassemblement illégal.Le préfet lui a indirectement répondu lors de son point-presse à Fontjoncouse en expliquant que “les individus (étaient) arrivés massivement, ce qui ne nous a pas permis de nous opposer à leur arrivée”, rappelant également que dans les opérations de maintien de l’ordre un principe prévaut: “ne pas créer un trouble supérieur à celui qu’on fait cesser”.- “Indécence” -Une habitante de Cascastel, village voisin de Fontjoncouse, est soulagée que la rave soit terminée. “J’en ai fait des rave, témoigne-t-elle, je n’ai pas de problème avec le bruit, mais il faut faire preuve de compréhension, ce n’était pas le moment, ni l’endroit, il y a une indécence par rapport aux gens qui ont souffert” de l’incendie.Un tel rassemblement “ça abîme encore plus le sol, la faune et la flore, les gens ici sont épuisés, ils ont plus besoin d’aide pour enlever ce qui a brûlé”, poursuit-elle, en mentionnant aussi “les déjections” de 2.500 personnes.”C’est déplacé. On est dans le désespoir complet. C’est lamentable”, a regretté pour sa part Fabien Vergnes, viticulteur à Tournissan, un autre village affecté par l’incendie géant.Dans ce contexte, M. Retailleau avait estimé lundi soir sur TF1 que l’organisation de rave parties doit devenir “un délit et non pas seulement une contravention”, précisant vouloir s’inspirer de la “législation très dure” adoptée il y a trois ans par l’Italie.

Rentrée télé: 4 millions de téléspectateurs pour Salamé, jusqu’à 1,5 million pour Hanouna

Pour ses débuts au 20H00 de France 2, Léa Salamé a été regardée lundi soir par 4 millions de téléspectateurs en moyenne, toujours loin derrière le JT de TF1 (5,4 millions), selon les chiffres de Médiamétrie publiés mardi.L’autre star qui faisait sa rentrée télé, Cyril Hanouna, a attiré entre 1,3 et 1,5 million de téléspectateurs durant la dernière heure de sa nouvelle émission “Tout beau tout 9” sur W9, de 20H15 à 21H15.Léa Salamé, ex-star de la matinale de la radio France Inter, a pris les rênes du JT de France 2 à la place d’Anne-Sophie Lapix. Elle a pour mission de combler l’écart d’audience qui s’est creusé avec le JT de TF1 présenté par Gilles Bouleau.Pour ses débuts, elle a réalisé un score qualifié de “décevant” par le site spécialisé Puremédias, qui relève tout de même que “le 20 heures de France 2 n’avait pas atteint les 4 millions de téléspectateurs depuis le 5 mai”.”L’année dernière, pour sa rentrée le mercredi 4 septembre 2024, Anne-Sophie Lapix avait convaincu 4,03 millions de fidèles”, relève Puremédias.Le premier JT de Léa Salamé a réalisé une part d’audience (PDA, proportion des téléspectateurs qui le suivaient) de 21,1%, contre 28,7% pour celui de Gilles Bouleau.Tous ces chiffres correspondent à la première partie des deux journaux. Sur la seconde, durant laquelle Gilles Bouleau interviewait le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, TF1 est toujours largement en tête (5,4 millions contre 3,7 millions pour France 2).Pour sa part, Cyril Hanouna a fait un retour en direct à la télévision six mois après l’arrêt de sa précédente émission, “Touche pas à mon poste” (“TPMP”) sur C8.Cette chaîne, qui a cumulé 7,6 millions d’euros d’amendes à cause des dérapages de son animateur vedette, a cessé d’émettre après le non-renouvellement de sa fréquence par l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel.Entouré de ses chroniqueurs, Cyril Hanouna a proposé lundi une émission proche de celle qu’il présentait précédemment. Découpée en plusieurs parties, elle a attiré de 800.000 téléspectateurs (6,8% de PDA) entre 18H25 et 19H15 à 1,5 million (7,7% de PDA) entre 21H00 et 21H15, tranche la plus suivie.Bien que les comparaisons soient difficiles en raison des découpages, ces ordres de grandeur sont comparables à ceux des audiences de “TPMP”.Le concurrent direct de “Tout beau tout 9”, “Quotidien” (sur TMC), a pour sa part été suivi par 1,2 million de téléspectateurs de 20H10 à 21H05 (6,4% de PDA) et 1,7 million de 21H05 à 21H20 (8,7% de PDA).Enfin, la dernière nouveauté de cette rentrée télé était la naissance de la chaîne NOVO19 (groupe Ouest-France).Son lancement à 18H00 a attiré 312.000 téléspectateurs (3,8% de PDA), a-t-elle indiqué dans un communiqué. Son journal à 18H10 en a ensuite réuni 193.000 (2,1% de PDA) puis son talk show à 18H25 140.000 (1% de PDA).

Un an après la mort d’Alain Delon, l’un de ses fils dénonce le dernier testament de l’acteur

La guerre fratricide des enfants du “Samouraï” reprend: Alain-Fabien Delon, plus jeune fils de la star du cinéma Alain Delon, décédé en 2024, a saisi la justice pour faire annuler le dernier testament de son père, plus favorable à sa sœur Anouchka.Dans cette nouvelle procédure, une première audience civile de mise en état se tiendra le 9 mars 2026 devant le tribunal judiciaire de Paris, a indiqué à l’AFP Me Christophe Ayela, visé par l’assignation en tant que l’un des trois exécuteurs testamentaires d’Alain Delon, confirmant des informations du journal Le Monde et de RTL.Légende du cinéma mondial, Alain Delon est mort le 18 août 2024 dans sa propriété de Douchy (Loiret). D’une santé déclinante au cours de ses dernières années, l’icône de “M. Klein” et de “La Piscine” a vu ses enfants se déchirer autour de sa santé et de son héritage.La procédure civile engagée à Paris par Alain-Fabien, 31 ans, le plus jeune des trois enfants Delon, “vise à demander l’annulation du testament du 24 novembre 2022 et d’une donation du 22 février 2023 au motif d’une incapacité de M. Delon à prendre une décision” à la suite d’un accident vasculaire cérébral (AVC) survenu en 2019, a expliqué Me Ayela.Remplaçant un précédent testament de 2015, le testament de 2022 d’Alain Delon, de droit suisse, amende le précédent en faisant notamment d’Anouchka Delon l’unique héritière du droit moral du “Guépard”. Spécificité du droit d’auteur français, le droit moral confère à Anouchka Delon, 34 ans, un droit perpétuel au contrôle de l’image et des œuvres de son père.La transaction de février 2023 concerne elle une donation d’Alain Delon à Anouchka de 51% des parts de sa société détentrice de ses droits à l’image et de marque.- Crépuscule douloureux -Alain-Fabien Delon “entend solliciter l’annulation de ces actes, dès lors que M. Alain Delon ne disposait plus à leurs dates respectives du discernement nécessaire” à la suite de son AVC de 2019, selon l’assignation envoyée la semaine dernière à son frère Anthony et à sa sœur, ainsi qu’aux trois exécuteurs testamentaires.L’état de santé d’Alain Delon était si dégradé à la fin de sa vie que la justice française avait ordonné en janvier 2024, huit mois avant sa mort, un placement sous curatelle renforcée pour une durée de 60 mois.”Je veux déclencher une médiation pour mettre un terme à tout cela car Alain Delon n’aurait absolument pas aimé que ses enfants se déchirent sur le testament, et j’ai bon espoir d’y arriver”, a déclaré à l’AFP Christophe Ayela.Contactés par l’AFP, les avocats d’Anthony et Anouchka Delon n’ont pas souhaité commenter ou n’ont pas donné suite dans l’immédiat.L’AVC qui a frappé Alain Delon à l’été 2019 à l’âge de 83 ans a marqué le début du douloureux crépuscule du géant du cinéma français, rarissime au cinéma depuis la fin des années 1990.Opéré à la Pitié-Salpêtrière à Paris, il était resté trois semaines en soins intensifs, avant de se reposer dans une clinique en Suisse.Alain Delon n’a plus fait d’apparitions publiques ensuite, donnant de rares nouvelles sur des photos de famille postées par ses enfants sur les réseaux sociaux. Les dernières années de sa vie ont été marquées par les querelles juridiques et médiatiques de ses trois enfants autour de sa prise en charge, en Suisse ou en France.

Trump vows to end crime in ‘most dangerous city’ Chicago

US President Donald Trump vowed Tuesday to quickly and dramatically reduce crime in Chicago, hinting at sending federal troops into what he branded the “most dangerous city in the world.””I will solve the crime problem fast, just like I did in DC,” Trump posted on his Truth Social platform, referring to his deployment of National Guard reservists to the US capital beginning last month. “Chicago is the worst and most dangerous city in the World, by far,” he said, adding that JB Pritzker, the Democratic governor of the state of Illinois where Chicago is located, “needs help badly, he just doesn’t know it yet.”Trump cited what he described as the latest crime statistics from America’s third-largest city: Some 54 people shot in Chicago over the holiday weekend, including eight deaths, with similar figures for the previous two weekends.”Chicago will be safe again, and soon,” he said.Trump followed up with a provocative, all-caps post: “CHICAGO IS THE MURDER CAPITAL OF THE WORLD!”The abrasive comments come as the Republican leader repeatedly threatens to send thousands of US military personnel into Democratic strongholds like Chicago and Baltimore, cities he has slammed as high-crime zones flooded with undocumented immigrants.Pritzker has clashed with Trump in recent days, accusing the president of launching “an invasion” with the deployments as he seeks to boost his anti-crime, anti-immigration agenda.Thousands of National Guard troops and US Marines were deployed to Los Angeles beginning in June, intended to assist police as they cracked down on protests and unrest over Trump’s sweeps for undocumented migrants.Trump also ordered the deployment of the National Guard into Washington in August, and has claimed the move improved city safety.He has said such a deployment could dramatically reduce crime in Chicago, home to some 2.7 million people and one of the country’s most diverse cities.- President as police chief? -The unprecedented steps are being challenged in federal court.On Tuesday a federal judge declared that Trump effectively violated the law when he used troops in Los Angeles, and barred the Pentagon from ordering National Guard reservists or Marines to perform police functions including arrests, security patrols or searches and seizures.Judge Charles Breyer of the District Court in San Francisco warned in his ruling that Trump appears intent on “creating a national police force with the President as its chief.”Breyer’s injunction, however, would only come into force on September 12, potentially leaving an opening for the conservative-majority US Supreme Court to rule on the case.As Chicago residents braced for a possible intervention by Trump — reportedly as early as this week — its Democratic mayor delivered a spirited defense of the Windy City.”No federal troops in the city of Chicago! No militarized force in the city of Chicago!” Mayor Brandon Johnson said Monday at a rousing Labor Day rally.”We’re going to take this fight across America, but we’ve got to defend the home front first,” he added.Protesters also marched through parts of Chicago on Monday in a “Workers over Billionaires” rally that also saw people vocalize their opposition to Trump sending troops into the city.