Foot: accord entre l’OM et l’AC Milan pour Rabiot selon la presse italienne
Marseille et l’AC Milan ont trouvé un accord pour le transfert de l’international français Adrien Rabiot, écarté par l’OM après une altercation avec un coéquipier, rapporte la presse italienne dimanche à la veille de la fin du mercato estival.Selon la Gazzetta dello Sport et la chaîne de télévision Sky Sport, l’AC Milan va débourser dix millions d’euros pour Rabiot qui devrait de son côté signer un contrat de quatre ans avec le club lombard.Contacté par l’AFP, l’AC Milan n’a pour le moment pas donné suite.Une source ayant connaissance du dossier a pour sa part indiqué à l’AFP que le transfert était “presque fait”.A Milan, qui s’est replacé à la huitième place de la Serie A après son succès à Lecce (2-0) vendredi, Rabiot retrouverait Massimiliano Allegri avec qui il a déjà travaillé quand le technicien italien était l’entraîneur de la Juventus Turin. Le recrutement de Rabiot avait été réclamé par Allegri après la défaite à domicile contre la Cremonese (2-1) en ouverture du championnat italien le week-end dernier.L’ancien joueur du Paris SG, 30 ans, connaît bien la Serie A pour y avoir évolué de 2019 à 2024 (157 matches de championnat, 18 buts) sous le maillot de la Juventus, les trois dernières saisons sous la conduite d’Allegri.Rabiot a été mis à l’écart par les dirigeants marseillais après une violente altercation avec un coéquipier, le 15 août à l’issue d’une défaite à Rennes en Ligue 1 (1-0). Il ne s’entraînait plus avec le groupe de Roberto De Zerbi, battu 1 à 0 par Lyon dimanche.Malgré cette situation, Rabiot a été retenu par Didier Deschamps pour les deux premiers matches de qualifications pour le Mondial-2026 contre l’Ukraine et l’Islande, les 5 et 9 septembre.
Yemen’s Huthi rebels detain at least 11 UN staff
The United Nations said Yemen’s Huthis detained at least 11 workers on Sunday in raids on UN premises, after rebel authorities made numerous arrests following Israel’s killing of their prime minister.The Huthi authorities have not yet commented on the reported raids, but the group has previously arrested international aid workers.UN Secretary-General Antonio Guterres called for their “immediate and unconditional release”, confirming that 11 UN personnel had been subjected to “arbitrary detentions.. by the Huthi de facto authorities”.UN envoy to Yemen Hans Grundberg said the detentions, carried out in Sanaa and Hodeida, came after “the forced entry into UN premises and seizure of UN property”.The Huthis were already detaining 23 UN personnel, some since 2021 and 2023, he added. In January, the Huthi rebels detained eight UN workers.The Huthis claimed arrests made in June 2024 included “an American-Israeli spy network” operating under the cover of humanitarian organisations — allegations emphatically rejected by the UN.Earlier Sunday, the World Food Programme said one of its staff had been detained in the rebel-held capital Sanaa.It said it was “urgently seeking additional information” from the Huthi authorities, who seized Sanaa in 2014 and now control large parts of Yemen.- ‘Unacceptable’ -A security source in Sanaa told AFP that seven WFP employees and three UNICEF workers had been arrested Sunday after their offices were raided.The WFP statement said the “arbitrary detention of humanitarian staff is unacceptable. The safety and security of personnel is essential to carrying out life-saving humanitarian work”.Grundberg said the arrests violated “the fundamental obligation to respect and protect their (UN personnel) safety, dignity, and ability to carry out their essential work in Yemen”.A decade of civil war has plunged Yemen into one of the world’s worst humanitarian crises, with more than half of the population relying on aid.The arrests last year prompted the UN to limit its deployments and suspend activities in some regions of the Arabian Peninsula’s poorest country.- ‘Cowardly’ attack -On Saturday, a Yemeni security source told AFP that Huthi authorities had arrested dozens of people in Sanaa and other areas “on suspicion of collaborating with Israel”.It came after Israel’s strike on Thursday that killed the Huthis’ prime minister, Ahmed Ghaleb Nasser al-Rahawi, along with other officials.The Iran-backed group on Sunday vowed to intensify its attacks on Israel after the killing of Rahawi, the most senior Huthi official known to have died in a series of Israeli attacks during the Gaza war.A video posted online by a Yemeni comedian several hours after the announcement of Rahawi’s death has sparked uproar.The comedian, Mohammed al-Adrei, who presents himself as an adviser to Yemen’s internationally recognised government that the Huthis oppose, filmed himself dancing to festive music in traditional clothes.Writer Khaled al-Rowaishan responded on Facebook: “It is an absolute shame to celebrate the death of any Yemeni killed by Israeli missiles.”
Sudan army strike kills at least 12 in Darfur: monitorsSun, 31 Aug 2025 21:39:53 GMT
A war monitoring group said Sunday that an army drone strike on a clinic in the city of Nyala, western Sudan, under paramilitary control, had killed at least 12 people.Their report came after a medical source said Sunday that shelling by the paramilitary Rapid Support Forces (RSF) force had killed at least seven people and …
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Ligue 1: l’OM craque à dix à Lyon, Monaco s’impose dans la douleur
Rapidement réduit à dix, l’OM a fini par craquer dans les dernières minutes au Groupama Stadium et a été battu par Lyon (1-0), dimanche lors du choc de la 3e journée de Ligue 1, alors que Monaco a souffert à domicile pour s’imposer face à Strasbourg (3-2).Les Marseillais ont vécu une soirée très compliquée et ne sont pas loin de la crise avec ce deuxième revers concédé en infériorité numérique. Le match a en effet basculé à la 29e minute avec l’exclusion du défenseur anglais CJ Egan-Riley pour une grosse faute sur Malick Fofana. Les hommes de Roberto De Zerbi ont dès lors subi les assauts continus de leurs adversaires avant de céder à la 88e sur un but contre son camp de Leonardo Balerdi. Déjà secoué en coulisses par l’affaire Rabiot, l’OM sombre également sur le plan sportif, en attendant l’issue du feuilleton autour de l’international français. Celui-ci est toujours en quête d’un point de chute après avoir été placé sur la liste des transferts en raison d’une altercation avec l’un de ses coéquipiers, Jonathan Rowe, à l’issue de la défaite à Rennes (1-0), le 15 août. Lyon, qui fait pourtant un sans-faute avec trois victoires en L1, a eu de son côté un premier aperçu des difficultés qui l’attendent avec le départ de son attaquant Georges Mikautadze, contraint de quitter l’OL pour soulager les finances du club et attendu lundi à Villarreal. – Strasbourg fatigué -Monaco a lui enregistré un deuxième succès en disposant de Strasbourg (3-2) grâce à un but inscrit dans les arrêts de jeu par Takumi Minamino sur un service en or de la pépite Maghnes Akliouche, appelé pour la première fois de sa carrière en équipe de France pour le début des qualifications du Mondial-2026 contre l’Ukraine, vendredi à Wroclaw (Pologne), et l’Islande, le 9 septembre au Parc des Princes. Strasbourg, qui a obtenu son billet pour la Ligue Conference jeudi en barrages à Brondby, a peut-être payé sa fatigue en fin de match. La journée a aussi souri au Paris FC, qui a décroché sa première victoire face à Metz (3-2) et a fêté de la plus belle des manières ses grands débuts sur sa nouvelle pelouse de Jean-Bouin. Dans ce duel de promus, l’ambitieuse formation de la famille Arnault, aidée par une enceinte à guichets fermés et sous les yeux de Jürgen Klopp et Mario Gomez, les têtes pensantes de Red Bull qui détient 15% du club, est venue à bout des Messins en s’appuyant sur la redoutable efficacité d’Ilan Kebbal, auteur d’un doublé.Rien ne va plus en revanche pour Nice, dominé pour la deuxième fois en championnat au Havre (3-1) et clairement dans le dur. Rennes, incapable de gagner à Angers (1-1), une semaine après avoir été humilié à Lorient (4-0), n’est pas mieux loti.
Ligue 1: l’OM craque à dix à Lyon, Monaco s’impose dans la douleur
Rapidement réduit à dix, l’OM a fini par craquer dans les dernières minutes au Groupama Stadium et a été battu par Lyon (1-0), dimanche lors du choc de la 3e journée de Ligue 1, alors que Monaco a souffert à domicile pour s’imposer face à Strasbourg (3-2).Les Marseillais ont vécu une soirée très compliquée et ne sont pas loin de la crise avec ce deuxième revers concédé en infériorité numérique. Le match a en effet basculé à la 29e minute avec l’exclusion du défenseur anglais CJ Egan-Riley pour une grosse faute sur Malick Fofana. Les hommes de Roberto De Zerbi ont dès lors subi les assauts continus de leurs adversaires avant de céder à la 88e sur un but contre son camp de Leonardo Balerdi. Déjà secoué en coulisses par l’affaire Rabiot, l’OM sombre également sur le plan sportif, en attendant l’issue du feuilleton autour de l’international français. Celui-ci est toujours en quête d’un point de chute après avoir été placé sur la liste des transferts en raison d’une altercation avec l’un de ses coéquipiers, Jonathan Rowe, à l’issue de la défaite à Rennes (1-0), le 15 août. Lyon, qui fait pourtant un sans-faute avec trois victoires en L1, a eu de son côté un premier aperçu des difficultés qui l’attendent avec le départ de son attaquant Georges Mikautadze, contraint de quitter l’OL pour soulager les finances du club et attendu lundi à Villarreal. – Strasbourg fatigué -Monaco a lui enregistré un deuxième succès en disposant de Strasbourg (3-2) grâce à un but inscrit dans les arrêts de jeu par Takumi Minamino sur un service en or de la pépite Maghnes Akliouche, appelé pour la première fois de sa carrière en équipe de France pour le début des qualifications du Mondial-2026 contre l’Ukraine, vendredi à Wroclaw (Pologne), et l’Islande, le 9 septembre au Parc des Princes. Strasbourg, qui a obtenu son billet pour la Ligue Conference jeudi en barrages à Brondby, a peut-être payé sa fatigue en fin de match. La journée a aussi souri au Paris FC, qui a décroché sa première victoire face à Metz (3-2) et a fêté de la plus belle des manières ses grands débuts sur sa nouvelle pelouse de Jean-Bouin. Dans ce duel de promus, l’ambitieuse formation de la famille Arnault, aidée par une enceinte à guichets fermés et sous les yeux de Jürgen Klopp et Mario Gomez, les têtes pensantes de Red Bull qui détient 15% du club, est venue à bout des Messins en s’appuyant sur la redoutable efficacité d’Ilan Kebbal, auteur d’un doublé.Rien ne va plus en revanche pour Nice, dominé pour la deuxième fois en championnat au Havre (3-1) et clairement dans le dur. Rennes, incapable de gagner à Angers (1-1), une semaine après avoir été humilié à Lorient (4-0), n’est pas mieux loti.
Italie: l’Inter chute à domicile, la Juventus rejoint Naples en tête
L’Inter Milan s’est fait surprendre à domicile par l’Udinese 2 à 1 dimanche, tandis que la Juventus Turin a rejoint Naples en tête grâce à son succès laborieux 1 à 0 sur le terrain du Genoa. La soirée de l’Inter avait pourtant bien commencé: le vice-champion d’Italie n’a eu besoin que de 17 minutes pour ouvrir le score grâce à Denzel Dumfries.Mais le défenseur néerlandais a provoqué à la 29e minute un pénalty transformé victorieusement par Keinan Davis pour l’égalisation, avant que le Français Arthur Atta ne réduise au silence San Siro au terme d’un contre fulgurant (40).Malgré sa domination, l’équipe de Cristian Chivu n’a pas réussi à rétablir la situation. Federico Dimarco croyait avoir égalisé (56), mais son but a été invalidé pour hors-jeu de Marcus Thuram après recours à la VAR.Les entrées de Piotr Zielinski, Carlos Augusto et Ange-Yoan Bonny, buteur dès son premier match sous le maillot de l’Inter le week-end dernier face au Torino (5-0), pour les dix dernières minutes n’ont rien changé.”On a fait des erreurs, après notre but notamment, notre intensité a baissé. Mais on s’est tout de suite dit, dès qu’on a rejoint les vestiaires, que la saison était encore longue”, a souligné Thuram.”Tout avait bien commencé, mais l’équipe a mal géré cet avantage”, a constaté Chivu qui a succédé en juin à Simone Inzaghi, parti à la surprise générale en Arabie saoudite.L’Inter a rétrogradé à la 6e place (3 pts), à trois longueurs de la Juventus Turin qui a longtemps souffert, avant de s’imposer sur le terrain du Genoa (1-0).- Vlahovic libère la Juve -Deux matches, deux victoires, six points, trois buts marqués et aucun encaissé, la Juve n’a pas raté son début de saison sur le plan comptable.Sur le plan du jeu, il y a encore beaucoup à redire.Comme contre Parme le week-end dernier (2-0), l’équipe d’Igor Tudor n’a pas convaincu ses exigeants tifosi. Elle a certes dominé mais il a fallu attendre la 73e minute pour que Dusan Vlahovic libère, de la tête, les Bianconeri.Le Serbe, désormais relégué sur le banc, est entré à la 62e minute en remplacement de Jonathan David, très discret pour son deuxième match en Serie A.Avec son deuxième but sur les trois inscrits par la Juve, Vlahovic, un temps annoncé comme partant, a propulsé son équipe aux commandes du championnat aux côtés de Naples, laborieux vainqueur de Cagliari (1-0) dans le temps additionnel (90+5) samedi.”C’est une victoire complétement méritée, j’ai vu une Juve concentrée, travailleuse, intelligente, je suis très content de mon équipe”, analysé Tudor sur la plateforme DAZN.La Lazio Rome (7e, 3 pts) a écrasé Vérone 4 à 0 avec notamment un but de Mattéo Guendouzi dès la troisième minute, son premier à domicile en championnat depuis son arrivée en Serie A.
Illinois governor calls Trump troop deployments to US cities an ‘invasion’
US President Donald Trump’s ultimate aim in sending troops to American cities is to seize control of elections in 2026, Illinois Governor JB Pritzker said Sunday, calling such deployments “an invasion.”Trump — who has unleashed unprecedented military patrols in Los Angeles to curb protests against his immigrant deportation drive and to Washington to combat what he deems out-of-control crime — has said he’s also considering sending troops to Baltimore, Chicago and other cities.Democrat Pritzker said there had been no effort by the Trump administration to coordinate such plans with officials in Illinois, a Democratic stronghold. The other cities Republican Trump has threatened to send troops to are also controlled by his political rivals. “He’d like to stop the elections in 2026 or, frankly, take control of those elections. He’ll just claim that there’s some problem with an election, and then he’s got troops on the ground that can take control,” Pritzker told CBS Sunday show “Face the Nation.”The governor said any deployment of troops against his state government’s wishes would be “an invasion with US troops, if they in fact do that.” Homeland Security Secretary Kristi Noem earlier told the network she would be adding resources to Immigration and Customs Enforcement (ICE) operations in Illinois, but that any decision to send National Guard reservists or other troops was up to Trump.If troops are sent along with ICE, “they’ll be in court pretty quickly, because that is illegal,” Pritzker said.- ‘Scaring people’ -Trump has been typically scathing in his dismissal of Pritzker’s previous criticism.”Six people were killed, and 24 people were shot, in Chicago last weekend, and JB Pritzker, the weak and pathetic Governor of Illinois, just said that he doesn’t need help in preventing CRIME,” Trump wrote on his Truth Social platform on Saturday.”He is CRAZY!!! He better straighten it out, FAST, or we’re coming!” CBS cited a sharp drop in crime during the ongoing troop deployment in Washington, which is in its third week. Homicides are down 41 percent, robberies 69 percent and carjacking 83 percent, the network said.CJ Jackson, a 35-year-old Chicago resident who works in a smoke shop, said a National Guard deployment in the Windy City would be “a great idea.” “We got some teenagers out of control here,” he said. “They shoot kids every day.”But 24-year-old Greta, a shop worker who did not want to give her last name, said she was “a little bit nervous” about the potential for military troops on the street.”There’s bad parts of every city… I think it’s scaring people more than it’s making people feel safe.”Trump has mentioned only Democratic-run cities in discussing potential troop deployments, despite high violent crime levels being spread across a number of cities, including in Republican-controlled Missouri, Texas and Tennessee.Asked if the president would consider sending troops to Republican-controlled cities and states, Noem said: “Absolutely. Every single city is evaluated for what we need to do there to make it safer.”






