Le chantier de l’A69 reprend à partir de mi-juin, colère des écologistes

La justice administrative a tranché: le chantier de l’autoroute Toulouse-Castres, fortement contesté depuis deux ans par les écologistes, va pouvoir reprendre à partir de mi-juin, après trois mois d’arrêt.La cour administrative d’appel de Toulouse a prononcé mercredi “un sursis à l’exécution des jugements rendus le 27 février annulant les autorisations environnementales délivrées par l’Etat”.Cette décision “constitue un véritable soulagement”, a réagi le ministre des Transports Philippe Tabarot. “Le juge a reconnu comme sérieux l’argument en faveur de l’existence d’une raison impérative d’intérêt public majeur du projet”.”Les travaux reprendront à partir de mi-juin de manière progressive.”, a-t-il ajouté, tout en appelant à rester “vigilants”, “sur la prise en compte des enjeux de protection de l’environnement”.La cour se prononçait sur un recours en urgence déposé par l’Etat, visant à redémarrer ce chantier de 53 kilomètres. Elle doit encore trancher sur le fond dans plusieurs mois.- “Tirer des leçons” -Cette décision intervient avant l’examen, lundi à l’Assemblée nationale, d’une proposition de loi dite de “validation” adoptée au Sénat à une large majorité le 15 mai. “Cette reprise était très attendue par nos concitoyens, assure le député du Tarn Philippe Bonnecarrère. L’Assemblée nationale pourra ainsi débattre sereinement lundi de l’étape suivante: la proposition de loi de validation. Aucune obstruction ne peut maintenant se justifier”.Ce texte, contesté par les opposants qui le jugent contraire à la constitution, prévoit d’autoriser la poursuite du chantier, sans attendre que la cour d’appel administrative se prononce sur le fond, dans plusieurs mois.Saluant la décision, le maire DVD de Castres Pascal Bugis a regretté “un gâchis sur un plan financier”, l’arrêt des travaux ayant “augmenté le coût du chantier” et réitéré que l’A69 est “importante pour le développement du territoire”. A l’avenir, “il faudra que les recours soient purgés quand on démarre (un chantier), afin qu’il n’y ait plus d’aléas par la suite. Il faudra tirer des leçons”, a ajouté le maire de Castres.- “Premières ripostes” -Julie Rover, une des avocates des opposants à l’A69, s’est dite “stupéfaite” par la décision de la cour administrative. “Le risque aujourd’hui c’est de reprendre le chantier et que dans huit ou dix mois, il y ait une annulation qui soit confirmée”, avertit l’avocate.La Voie est libre a dénoncé une décision “vide d’arguments”. Les juges “ne pouvaient pas faire pire pour faire naître une suspicion de décision hautement politique”, regrette le collectif écologiste dans un communiqué.Le 27 février, à la surprise générale, le tribunal administratif de Toulouse avait arrêté le chantier de cette autoroute entamé en 2023, faute de Raison impérative d’intérêt public majeur (RIIPM) justifiant les atteintes à l’environnement.Depuis le début des travaux en mars 2023, ces militants écologistes ont occupé des arbres pour éviter leur abattage, tenté d’installer des ZAD (zones à défendre) sur le tracé ou organisé des rassemblements de milliers de personnes, parfois émaillés d’incidents violents avec les forces de l’ordre.Mercredi, les militants anti-A69 ont exprimé leur “sidération”, dénoncé une “mainmise du pouvoir sur la justice” et lancé aussitôt des appels à la mobilisation, notamment vers 18h30, devant la gare Matabiau à Toulouse. “L’69 ne passera pas! Premières ripostes à la reprise des travaux” ou “Nous n’allons pas les laisser faire”, annoncent-ils sur les réseaux sociaux.Une grande mobilisation est également convoquée les 4, 5 et 6 juillet aux abords du chantier. Thomas Brail, figure de la contestation, perché à plusieurs reprises dans des arbres pour éviter leur abattage, s’est dit “atterré” et a annoncé qu’il entamerait une grève de la soif, dès la reprise des travaux.Ces derniers mois, les partisans de l’A69 se sont aussi fait entendre, notamment en manifestant en masse le 8 mars à Castres avec comme slogan: “A69, on finit!”. Ils voient dans l’autoroute une solution de désenclavement du bassin de population de Castres-Mazamet, qui compte environ 100.000 habitants.Or, pour les opposants, ce bassin n’est pas enclavé et, même s’il l’était, une autoroute ne serait certainement pas une garantie de désenclavement, fustigent-ils.L’A69 devait initialement être mise en service fin 2025, selon la société Atosca, en charge des travaux, une échéance qui ne pourra pas être respectée.Pour finaliser le chantier, Atosca doit maintenant rapatrier dans le Tarn un millier de salariés et de nombreux engins de chantier.

Le chantier de l’A69 reprend à partir de mi-juin, colère des écologistes

La justice administrative a tranché: le chantier de l’autoroute Toulouse-Castres, fortement contesté depuis deux ans par les écologistes, va pouvoir reprendre à partir de mi-juin, après trois mois d’arrêt.La cour administrative d’appel de Toulouse a prononcé mercredi “un sursis à l’exécution des jugements rendus le 27 février annulant les autorisations environnementales délivrées par l’Etat”.Cette décision “constitue un véritable soulagement”, a réagi le ministre des Transports Philippe Tabarot. “Le juge a reconnu comme sérieux l’argument en faveur de l’existence d’une raison impérative d’intérêt public majeur du projet”.”Les travaux reprendront à partir de mi-juin de manière progressive.”, a-t-il ajouté, tout en appelant à rester “vigilants”, “sur la prise en compte des enjeux de protection de l’environnement”.La cour se prononçait sur un recours en urgence déposé par l’Etat, visant à redémarrer ce chantier de 53 kilomètres. Elle doit encore trancher sur le fond dans plusieurs mois.- “Tirer des leçons” -Cette décision intervient avant l’examen, lundi à l’Assemblée nationale, d’une proposition de loi dite de “validation” adoptée au Sénat à une large majorité le 15 mai. “Cette reprise était très attendue par nos concitoyens, assure le député du Tarn Philippe Bonnecarrère. L’Assemblée nationale pourra ainsi débattre sereinement lundi de l’étape suivante: la proposition de loi de validation. Aucune obstruction ne peut maintenant se justifier”.Ce texte, contesté par les opposants qui le jugent contraire à la constitution, prévoit d’autoriser la poursuite du chantier, sans attendre que la cour d’appel administrative se prononce sur le fond, dans plusieurs mois.Saluant la décision, le maire DVD de Castres Pascal Bugis a regretté “un gâchis sur un plan financier”, l’arrêt des travaux ayant “augmenté le coût du chantier” et réitéré que l’A69 est “importante pour le développement du territoire”. A l’avenir, “il faudra que les recours soient purgés quand on démarre (un chantier), afin qu’il n’y ait plus d’aléas par la suite. Il faudra tirer des leçons”, a ajouté le maire de Castres.- “Premières ripostes” -Julie Rover, une des avocates des opposants à l’A69, s’est dite “stupéfaite” par la décision de la cour administrative. “Le risque aujourd’hui c’est de reprendre le chantier et que dans huit ou dix mois, il y ait une annulation qui soit confirmée”, avertit l’avocate.La Voie est libre a dénoncé une décision “vide d’arguments”. Les juges “ne pouvaient pas faire pire pour faire naître une suspicion de décision hautement politique”, regrette le collectif écologiste dans un communiqué.Le 27 février, à la surprise générale, le tribunal administratif de Toulouse avait arrêté le chantier de cette autoroute entamé en 2023, faute de Raison impérative d’intérêt public majeur (RIIPM) justifiant les atteintes à l’environnement.Depuis le début des travaux en mars 2023, ces militants écologistes ont occupé des arbres pour éviter leur abattage, tenté d’installer des ZAD (zones à défendre) sur le tracé ou organisé des rassemblements de milliers de personnes, parfois émaillés d’incidents violents avec les forces de l’ordre.Mercredi, les militants anti-A69 ont exprimé leur “sidération”, dénoncé une “mainmise du pouvoir sur la justice” et lancé aussitôt des appels à la mobilisation, notamment vers 18h30, devant la gare Matabiau à Toulouse. “L’69 ne passera pas! Premières ripostes à la reprise des travaux” ou “Nous n’allons pas les laisser faire”, annoncent-ils sur les réseaux sociaux.Une grande mobilisation est également convoquée les 4, 5 et 6 juillet aux abords du chantier. Thomas Brail, figure de la contestation, perché à plusieurs reprises dans des arbres pour éviter leur abattage, s’est dit “atterré” et a annoncé qu’il entamerait une grève de la soif, dès la reprise des travaux.Ces derniers mois, les partisans de l’A69 se sont aussi fait entendre, notamment en manifestant en masse le 8 mars à Castres avec comme slogan: “A69, on finit!”. Ils voient dans l’autoroute une solution de désenclavement du bassin de population de Castres-Mazamet, qui compte environ 100.000 habitants.Or, pour les opposants, ce bassin n’est pas enclavé et, même s’il l’était, une autoroute ne serait certainement pas une garantie de désenclavement, fustigent-ils.L’A69 devait initialement être mise en service fin 2025, selon la société Atosca, en charge des travaux, une échéance qui ne pourra pas être respectée.Pour finaliser le chantier, Atosca doit maintenant rapatrier dans le Tarn un millier de salariés et de nombreux engins de chantier.

Le chantier de l’A69 reprend à partir de mi-juin, colère des écologistes

La justice administrative a tranché: le chantier de l’autoroute Toulouse-Castres, fortement contesté depuis deux ans par les écologistes, va pouvoir reprendre à partir de mi-juin, après trois mois d’arrêt.La cour administrative d’appel de Toulouse a prononcé mercredi “un sursis à l’exécution des jugements rendus le 27 février annulant les autorisations environnementales délivrées par l’Etat”.Cette décision “constitue un véritable soulagement”, a réagi le ministre des Transports Philippe Tabarot. “Le juge a reconnu comme sérieux l’argument en faveur de l’existence d’une raison impérative d’intérêt public majeur du projet”.”Les travaux reprendront à partir de mi-juin de manière progressive.”, a-t-il ajouté, tout en appelant à rester “vigilants”, “sur la prise en compte des enjeux de protection de l’environnement”.La cour se prononçait sur un recours en urgence déposé par l’Etat, visant à redémarrer ce chantier de 53 kilomètres. Elle doit encore trancher sur le fond dans plusieurs mois.- “Tirer des leçons” -Cette décision intervient avant l’examen, lundi à l’Assemblée nationale, d’une proposition de loi dite de “validation” adoptée au Sénat à une large majorité le 15 mai. “Cette reprise était très attendue par nos concitoyens, assure le député du Tarn Philippe Bonnecarrère. L’Assemblée nationale pourra ainsi débattre sereinement lundi de l’étape suivante: la proposition de loi de validation. Aucune obstruction ne peut maintenant se justifier”.Ce texte, contesté par les opposants qui le jugent contraire à la constitution, prévoit d’autoriser la poursuite du chantier, sans attendre que la cour d’appel administrative se prononce sur le fond, dans plusieurs mois.Saluant la décision, le maire DVD de Castres Pascal Bugis a regretté “un gâchis sur un plan financier”, l’arrêt des travaux ayant “augmenté le coût du chantier” et réitéré que l’A69 est “importante pour le développement du territoire”. A l’avenir, “il faudra que les recours soient purgés quand on démarre (un chantier), afin qu’il n’y ait plus d’aléas par la suite. Il faudra tirer des leçons”, a ajouté le maire de Castres.- “Premières ripostes” -Julie Rover, une des avocates des opposants à l’A69, s’est dite “stupéfaite” par la décision de la cour administrative. “Le risque aujourd’hui c’est de reprendre le chantier et que dans huit ou dix mois, il y ait une annulation qui soit confirmée”, avertit l’avocate.La Voie est libre a dénoncé une décision “vide d’arguments”. Les juges “ne pouvaient pas faire pire pour faire naître une suspicion de décision hautement politique”, regrette le collectif écologiste dans un communiqué.Le 27 février, à la surprise générale, le tribunal administratif de Toulouse avait arrêté le chantier de cette autoroute entamé en 2023, faute de Raison impérative d’intérêt public majeur (RIIPM) justifiant les atteintes à l’environnement.Depuis le début des travaux en mars 2023, ces militants écologistes ont occupé des arbres pour éviter leur abattage, tenté d’installer des ZAD (zones à défendre) sur le tracé ou organisé des rassemblements de milliers de personnes, parfois émaillés d’incidents violents avec les forces de l’ordre.Mercredi, les militants anti-A69 ont exprimé leur “sidération”, dénoncé une “mainmise du pouvoir sur la justice” et lancé aussitôt des appels à la mobilisation, notamment vers 18h30, devant la gare Matabiau à Toulouse. “L’69 ne passera pas! Premières ripostes à la reprise des travaux” ou “Nous n’allons pas les laisser faire”, annoncent-ils sur les réseaux sociaux.Une grande mobilisation est également convoquée les 4, 5 et 6 juillet aux abords du chantier. Thomas Brail, figure de la contestation, perché à plusieurs reprises dans des arbres pour éviter leur abattage, s’est dit “atterré” et a annoncé qu’il entamerait une grève de la soif, dès la reprise des travaux.Ces derniers mois, les partisans de l’A69 se sont aussi fait entendre, notamment en manifestant en masse le 8 mars à Castres avec comme slogan: “A69, on finit!”. Ils voient dans l’autoroute une solution de désenclavement du bassin de population de Castres-Mazamet, qui compte environ 100.000 habitants.Or, pour les opposants, ce bassin n’est pas enclavé et, même s’il l’était, une autoroute ne serait certainement pas une garantie de désenclavement, fustigent-ils.L’A69 devait initialement être mise en service fin 2025, selon la société Atosca, en charge des travaux, une échéance qui ne pourra pas être respectée.Pour finaliser le chantier, Atosca doit maintenant rapatrier dans le Tarn un millier de salariés et de nombreux engins de chantier.

Le chantier de l’A69 reprend à partir de mi-juin, colère des écologistes

La justice administrative a tranché: le chantier de l’autoroute Toulouse-Castres, fortement contesté depuis deux ans par les écologistes, va pouvoir reprendre à partir de mi-juin, après trois mois d’arrêt.La cour administrative d’appel de Toulouse a prononcé mercredi “un sursis à l’exécution des jugements rendus le 27 février annulant les autorisations environnementales délivrées par l’Etat”.Cette décision “constitue un véritable soulagement”, a réagi le ministre des Transports Philippe Tabarot. “Le juge a reconnu comme sérieux l’argument en faveur de l’existence d’une raison impérative d’intérêt public majeur du projet”.”Les travaux reprendront à partir de mi-juin de manière progressive.”, a-t-il ajouté, tout en appelant à rester “vigilants”, “sur la prise en compte des enjeux de protection de l’environnement”.La cour se prononçait sur un recours en urgence déposé par l’Etat, visant à redémarrer ce chantier de 53 kilomètres. Elle doit encore trancher sur le fond dans plusieurs mois.- “Tirer des leçons” -Cette décision intervient avant l’examen, lundi à l’Assemblée nationale, d’une proposition de loi dite de “validation” adoptée au Sénat à une large majorité le 15 mai. “Cette reprise était très attendue par nos concitoyens, assure le député du Tarn Philippe Bonnecarrère. L’Assemblée nationale pourra ainsi débattre sereinement lundi de l’étape suivante: la proposition de loi de validation. Aucune obstruction ne peut maintenant se justifier”.Ce texte, contesté par les opposants qui le jugent contraire à la constitution, prévoit d’autoriser la poursuite du chantier, sans attendre que la cour d’appel administrative se prononce sur le fond, dans plusieurs mois.Saluant la décision, le maire DVD de Castres Pascal Bugis a regretté “un gâchis sur un plan financier”, l’arrêt des travaux ayant “augmenté le coût du chantier” et réitéré que l’A69 est “importante pour le développement du territoire”. A l’avenir, “il faudra que les recours soient purgés quand on démarre (un chantier), afin qu’il n’y ait plus d’aléas par la suite. Il faudra tirer des leçons”, a ajouté le maire de Castres.- “Premières ripostes” -Julie Rover, une des avocates des opposants à l’A69, s’est dite “stupéfaite” par la décision de la cour administrative. “Le risque aujourd’hui c’est de reprendre le chantier et que dans huit ou dix mois, il y ait une annulation qui soit confirmée”, avertit l’avocate.La Voie est libre a dénoncé une décision “vide d’arguments”. Les juges “ne pouvaient pas faire pire pour faire naître une suspicion de décision hautement politique”, regrette le collectif écologiste dans un communiqué.Le 27 février, à la surprise générale, le tribunal administratif de Toulouse avait arrêté le chantier de cette autoroute entamé en 2023, faute de Raison impérative d’intérêt public majeur (RIIPM) justifiant les atteintes à l’environnement.Depuis le début des travaux en mars 2023, ces militants écologistes ont occupé des arbres pour éviter leur abattage, tenté d’installer des ZAD (zones à défendre) sur le tracé ou organisé des rassemblements de milliers de personnes, parfois émaillés d’incidents violents avec les forces de l’ordre.Mercredi, les militants anti-A69 ont exprimé leur “sidération”, dénoncé une “mainmise du pouvoir sur la justice” et lancé aussitôt des appels à la mobilisation, notamment vers 18h30, devant la gare Matabiau à Toulouse. “L’69 ne passera pas! Premières ripostes à la reprise des travaux” ou “Nous n’allons pas les laisser faire”, annoncent-ils sur les réseaux sociaux.Une grande mobilisation est également convoquée les 4, 5 et 6 juillet aux abords du chantier. Thomas Brail, figure de la contestation, perché à plusieurs reprises dans des arbres pour éviter leur abattage, s’est dit “atterré” et a annoncé qu’il entamerait une grève de la soif, dès la reprise des travaux.Ces derniers mois, les partisans de l’A69 se sont aussi fait entendre, notamment en manifestant en masse le 8 mars à Castres avec comme slogan: “A69, on finit!”. Ils voient dans l’autoroute une solution de désenclavement du bassin de population de Castres-Mazamet, qui compte environ 100.000 habitants.Or, pour les opposants, ce bassin n’est pas enclavé et, même s’il l’était, une autoroute ne serait certainement pas une garantie de désenclavement, fustigent-ils.L’A69 devait initialement être mise en service fin 2025, selon la société Atosca, en charge des travaux, une échéance qui ne pourra pas être respectée.Pour finaliser le chantier, Atosca doit maintenant rapatrier dans le Tarn un millier de salariés et de nombreux engins de chantier.

Stocks wobble as relief rally fades, Japan debt sale disappoints

Stock markets dipped Wednesday as optimism over easing trade tensions ran out of steam and a weak Japanese debt sale fuelled concerns about rising bond yields.European and Asian equities struggled to track a rally the previous day on Wall Street fuelled by forecast-beating US consumer confidence data and easing tensions between the US and European Union.”The fizz of relief boosting stocks so far this week looks set to go a little flat, as a wait-and-see mood looks set to spread on Wall Street,” said Susannah Streeter, head of money and markets at Hargreaves Lansdown. Investors also awaited first-quarter earnings from US chipmaking giant Nvidia later on Wednesday for signs of uncertainty on the business, particularly from US chip export restrictions, analysts said. Markets had been lifted at the start of the week after US President Donald Trump delayed 50 percent tariffs on the EU that had sparked a market rout. But “risk sentiment has lost some steam on Wednesday”, said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB.”There are no major drivers of sentiment this morning, however, multiple factors have led to a softening in risk appetite including, higher bond yields after a weak auction of Japanese debt,” she added.London, Paris and Frankfurt were all lower in midday deals, after giving up earlier gains. In Asia, Hong Kong fell while Shanghai and Tokyo were flat at the close. Wellington was also in the red even after New Zealand’s central bank cut interest rates for the sixth meeting in a row.The yen lost some of its early gains after the auction of 40-year Japanese government bonds (JGBs) was met with the worst take-up since July.That came after last week saw the worst auction of 20-year notes for more than a decade.The cost of government debt has risen around the world in recent weeks — notably hitting record highs last week in Japan — amid worries about rising spending as leaders try to support their economies and after Trump’s April 2 tariff blitz.The Bank of Japan’s decision to reduce its purchases of JGBs as it looks to tighten monetary policy in the face rising inflation has added to the rising yields.The gloomy auction reversed Tuesday’s rally that came after Japan’s Ministry of Finance sent a questionnaire to market players regarding issuance, fuelling talk that it was considering slowing its sales, meaning there would be less supply.Bonds yields rise and prices fall when demand is weak.Still, Masahiko Loo, senior fixed-income strategist at State Street Global Advisors, said the JGB panic may have been overdone.”Any perceived supply-demand imbalance is more a matter of timing mismatches, which is a technical dislocation rather than a fundamental flaw.”We expect these imbalances to be resolved as early as the third quarter of 2025,” he said.- Key figures at around 1045 GMT -London – FTSE 100: DOWN 0.2 percent at 8,762.29 pointsParis – CAC 40: DOWN 0.1 percent at 7,820.84Frankfurt – DAX: DOWN 0.2 percent at 24,188.93Tokyo – Nikkei 225: FLAT at 37,722.40 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.5 percent at 23,258.31 (close)Shanghai – Composite: FLAT at 3,339.93 (close)New York – Dow: UP 1.8 percent at 42,343.65 (close)Euro/dollar: UP at $1.1330 from $1.1329 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.3500 from $1.3504Dollar/yen: DOWN at 144.26 yen from 144.34 yenEuro/pound: UP at 83.93 pence from 83.88 penceBrent North Sea Crude: UP 1.0 percent at $64.15 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.0 percent at $61.52 per barrel

Iran hangs man convicted of Israel spying, activists slam ‘unfair’ trial

Iran on Wednesday executed a man convicted of spying for Israel, in defiance of pleas from his family and activists for his life to be spared after what they described as an unfair trial.Pedram Madani, 41, was hanged in Ghezelhesar prison in Karaj outside Tehran after earlier this week being transferred from Evin prison in the capital where he had been held following his arrest in 2019.He is the second man to be executed by Iran on charges of spying for Israel within two months, amid a surge in executions on all charges which activists say is aimed at instilling fear in the population.The hanging comes against the background of a new period of escalating tensions between Iran and Israel, which the Islamic republic does not recognise, over the Iranian nuclear programme.The judiciary’s Mizan Online website said Madani had been “spying in favour of the Zionist regime”, using the term employed by institutions in the Islamic republic to denote Israel. “Following the complete process of criminal procedure and the final confirmation and upholding of the verdict by the Supreme Court, he was brought to justice and executed,” it said.- ‘Unfair process’ -But activists and his family said that the case against him was deeply flawed and he had notably been denied the right to a lawyer of his choosing during the legal process.Madani “was sentenced to death by the Revolutionary Court without access to a lawyer of his choice, through an unfair and non-transparent process orchestrated by security agencies,” Mahmood Amiry-Moghaddam, the director of Norway-based NGO Iran Human Rights (IHR) which tracks the death penalty in Iran, told AFP.”The Islamic Republic’s goal in executing Pedram Madani and others who are hanged daily is solely to instill fear within society and to conceal the regime’s widespread corruption and systemic failures.”The Dadban legal monitor said in a statement on social media that in such a trial before a Revolutionary Court the defendant is denied the possibility of defending himself and the judge also has “no option” of rejecting the case.”It is more than a legal accusation — it is a charge used as a tool to issue and carry out the death penalty,” it said.In a video posted on Tuesday by IHR and other groups warning of the risk of the imminent execution, his mother described Madani as a “man who loves his country and loves his family.””My son’s case is full of flaws and his death sentence must be revoked,” she said.- ‘False confessions’ -There had on the eve of the execution been numerous pleas from Iranian campaigners for his life to be spared, including from Nobel peace prize winner Narges Mohammadi, currently on temporary release from serving her own prison sentence.”The Islamic republic uses the death penalty as a tool to instill fear and intensify repression against the people,” she said in a video statement.”There was not even a chosen lawyer on the case. Pedram’s cellmates testify he confessed falsely and under pressure. In Revolutionary Courts these false confessions serve as the basis of death sentences,” she added.According to Mizan, Madani was accused of transmitting classified information and holding meetings with Mossad officers abroad, including in Brussels.The judiciary said he had travelled to “the occupied territories” —  the term used by Iranian officials to describe Israel — prior to his arrest in 2020–2021.He was also convicted of acquiring “illicit wealth” by receiving euros and bitcoin from Israel.In April, Iran executed Mohsen Langarneshin for allegedly aiding Mossad in the 2022 killing of an Islamic Revolutionary Guards colonel in Tehran.Rights groups including IHR have said Langarneshin was executed after an unfair trial and a confession extracted under torture.According to IHR, there have been at least 478 executions in Iran this year alone, including more than 60 hangings in the last 10 days.

Pour le chirurgien pédocriminel Le Scouarnec, l’heure du verdict approche

L’ex-chirurgien pédocriminel Joël Le Scouarnec, qui encourt la peine maximale de 20 ans de prison pour viols et agressions sexuelles, va connaître mercredi le sort que lui réserve la justice après trois mois d’audience devant la cour criminelle du Morbihan.Cet homme aujourd’hui âgé de 74 ans, qualifié de “diable” par l’avocat général, est accusé d’avoir commis des viols et agressions sexuelles sur 299 personnes, dont une large majorité de patients mineurs au moment des faits, de 1989 à 2014. Il a reconnu l’ensemble des faits, endossant également la responsabilité pour la mort de deux victimes, l’une par overdose et l’autre par suicide.”À la cour, je ne sollicite aucune mansuétude. Accordez-moi simplement le droit de devenir meilleur et de reconquérir cette part d’humanité qui m’a tellement fait défaut”, a demandé l’accusé, invité lundi une dernière fois à prendre la parole au terme de ce procès débuté le 24 février.L’avocat général Stéphane Kellenberger a requis contre lui la peine maximale de 20 ans de réclusion assortie d’une série de mesures de sûreté en raison de sa “dangerosité”.Il a notamment requis une “rétention de sûreté”, une mesure rare qui concerne essentiellement des délinquants sexuels et qui permet de placer dans un centre unique en France un criminel présentant un risque élevé de récidive après la fin de sa peine.Pour Manon Lemoine, que Joël Le Scouarnec a reconnu avoir violée à l’âge de 11 ans, l’adoption de cette mesure par la cour est “le véritable enjeu” du verdict. “Si (elle) n’est pas prononcée, c’est une honte”, a-t-elle déclaré à l’AFP.Son avocate, Me Marie Grimaud, a elle espéré que “la cour ne passera pas à côté (…) du risque de dangerosité extrêmement important” de Joël Le Scouarnec.”Archi-coupable”, il “ne demande pas à échapper à la peine requise par l’avocat général”, a affirmé l’un des avocats de la défense, Me Maxime Tessier, estimant que son client est allé “le plus loin dans ce qu’on peut attendre d’un accusé devant la cour criminelle”. Il a “le droit à la repentance”, a-t-il rappelé.Le verdict, qui sera prononcé par la présidente de la cour Aude Buresi, est attendu au tribunal judiciaire de Vannes à partir de 14H30, selon la cour d’appel de Rennes.- “Bombe atomique” -Tout au long du procès, Joël Le Scouarnec a voulu “avancer et réparer”, une “démarche volontaire”, a plaidé lundi Me Thibaut Kurzawa, l’un de ses conseils.Certains avocats des parties civiles y ont vu eux un simple tour de passe-passe: “reconnaître tout, c’est ne rien reconnaître”, a ainsi remarqué Me Giovanni Bertho-Briand.”Il nous a été martelé votre grande repentance, la grande sérénade de +j’ai changé+”, s’est agacé Me Delphine Caro. “Mais à qui ferez-vous croire que vous avez changé?””Vous êtes le pire pédophile de masse qui ait jamais existé (…) la bombe atomique de la pédophilie”, a lancé Me Thomas Delaby.Débuté le 24 février, ce procès fleuve a réuni quelque 60 avocats de parties civiles qui ont plaidé, tantôt individuellement, tantôt en se regroupant autour de thèmes précis, pendant presque trois jours.Les victimes “ne vous pardonneront jamais. Jamais”, a asséné à l’accusé Me Delaby.”Aucune peine ne pourra être à la hauteur de la souffrance des parties civiles”, a rappelé Me Romane Codou.- “Plus jamais ça” -Ce procès ne sera vraisemblablement pas le dernier de l’ex-chirurgien pédocriminel: “il y aura probablement une autre procédure”, notamment sur les victimes encore non identifiées, a lancé l’avocat général lors de ses réquisitions.Un collectif de victimes manifestera à 13H30 devant le tribunal judiciaire. Une rencontre aura lieu le 11 juin avec le ministre de la Santé Yannick Neuder, a annoncé à l’AFP Manon Lemoine, membre de ce collectif qui dénonce le “silence politique” entourant le procès.”Je vais agir avec le ministre de la Justice (Gérald Darmanin, NDLR) pour que plus jamais (…) on ne puisse se retrouver à avoir exposé des patients, des enfants vulnérables” à des “prédateurs sexuels”, a déclaré M. Neuder sur France Info, qui se propose au cours de cette rencontre de “les écouter”.”Ce qu’on a envie de dire, c’est plus jamais ça. Comment on a-t-on pu en arriver à une situation comme celle-ci?”, s’est-il interrogé.

S.Africa’s ‘king of kitsch’ Tretchikoff sells for new world recordWed, 28 May 2025 10:46:43 GMT

Vladimir Tretchikoff’s iconic painting “Lady from the Orient” has sold for more than $1.7m in a new world record for the Russia-born South African painter, a Johannesburg auction house said Wednesday.The 1955 portrait of a glamorous woman in a green and gold silk gown is among Tretchikoff’s most recognisable pieces, reproduced the world over on …

S.Africa’s ‘king of kitsch’ Tretchikoff sells for new world recordWed, 28 May 2025 10:46:43 GMT Read More »

A l’assemblée générale de Carrefour, Alexandre Bompard met en avant la “résilience” du groupe en 2024

Le PDG de Carrefour Alexandre Bompard a salué mercredi la “résilience” du groupe, malgré une année 2024 “qui n’a pas été sans épreuves” dans son discours d’introduction lors de l’assemblée générale des actionnaires, depuis le siège mondial du distributeur à Massy. Au moment d’ouvrir une assemblée générale annoncée animée, entre conflit juridique à propos de ses franchisés, surveillance des marchés et pression concurrentielle, le tout à un an de la fin de son mandat de PDG, Alexandre Bompard a insisté sur l’acquisition des magasins Cora et Match, des “résultats très satisfaisants dans (les) pays coeurs en France, en Espagne et au Brésil”, ou encore l’atteinte du “meilleur positionnement prix” du groupe “depuis 2020”. Contrairement aux deux éditions précédentes, c’est au siège du groupe à Massy, en région parisienne, et non sur les docks d’Aubervilliers que se tient cette réunion annuelle des actionnaires.Pour la bonne organisation de l’événement, Carrefour a fermé son siège à ses salariés, les invitant à télétravailler pour l’occasion. Le groupe a également choisi de séparer le conseil d’administration et les principaux actionnaires du reste des petits porteurs, notamment des syndicalistes, qui se trouvent dans deux salles différentes.La police et la gendarmerie filtraient les rues qui jouxtent les alentours du siège de l’entreprise. Peu avant le début de l’assemblée générale, quelques dizaines de personnes étaient réunies non loin du siège, au-dessus desquelles flottait un grand drapeau de la Palestine. La présence de Carrefour via un franchisé en Israël dans le contexte de guerre avec le Hamas et la crise humanitaire que celle-ci a déclenchée dans la bande de Gaza fait partie des sujets qui pourraient faire irruption durant l’assemblée générale, mais ce n’est pas le seul. Le géant de la distribution est vivement critiqué, par la CFDT notamment, pour s’appuyer de plus en plus sur l’exploitation de magasins en franchise et en location-gérance, une variante dans laquelle le distributeur reste propriétaire du fonds de commerce.Dans son discours d’introduction, Alexandre Bompard a réaffirmé que son groupe comptait poursuivre le développement de ce modèle, qu’il qualifie de “moyen d’expansion de l’empreinte internationale” de Carrefour, et de “solution pour les magasins en difficulté structurelle”. La CFDT a assigné le groupe de distribution en justice, estimant qu’il s’agit d’un plan social déguisé concernant plus de 27.000 salariés depuis 2018.A la fronde de la CFDT s’ajoute celle d’une partie des franchisés, réunis sous l’égide de l’association des franchisés de Carrefour (AFC), qui revendique 260 magasins. Soutenue par le ministère de l’Economie, elle a également assigné Carrefour en justice.Sujette à des polémiques ces dernières années, la rémunération du PDG, à nouveau au menu mercredi, sera en baisse par rapport à l’année dernière.Si les actionnaires de Carrefour lui donnent le feu vert, le dirigeant touchera 3,4 millions d’euros pour 2024, soit 1 million d’euros de moins que l’année précédente. A cela s’ajouteront plus tard, sous critères de performances, des actions valorisées au maximum 5,6 millions d’euros. 

A l’assemblée générale de Carrefour, Alexandre Bompard met en avant la “résilience” du groupe en 2024

Le PDG de Carrefour Alexandre Bompard a salué mercredi la “résilience” du groupe, malgré une année 2024 “qui n’a pas été sans épreuves” dans son discours d’introduction lors de l’assemblée générale des actionnaires, depuis le siège mondial du distributeur à Massy. Au moment d’ouvrir une assemblée générale annoncée animée, entre conflit juridique à propos de ses franchisés, surveillance des marchés et pression concurrentielle, le tout à un an de la fin de son mandat de PDG, Alexandre Bompard a insisté sur l’acquisition des magasins Cora et Match, des “résultats très satisfaisants dans (les) pays coeurs en France, en Espagne et au Brésil”, ou encore l’atteinte du “meilleur positionnement prix” du groupe “depuis 2020”. Contrairement aux deux éditions précédentes, c’est au siège du groupe à Massy, en région parisienne, et non sur les docks d’Aubervilliers que se tient cette réunion annuelle des actionnaires.Pour la bonne organisation de l’événement, Carrefour a fermé son siège à ses salariés, les invitant à télétravailler pour l’occasion. Le groupe a également choisi de séparer le conseil d’administration et les principaux actionnaires du reste des petits porteurs, notamment des syndicalistes, qui se trouvent dans deux salles différentes.La police et la gendarmerie filtraient les rues qui jouxtent les alentours du siège de l’entreprise. Peu avant le début de l’assemblée générale, quelques dizaines de personnes étaient réunies non loin du siège, au-dessus desquelles flottait un grand drapeau de la Palestine. La présence de Carrefour via un franchisé en Israël dans le contexte de guerre avec le Hamas et la crise humanitaire que celle-ci a déclenchée dans la bande de Gaza fait partie des sujets qui pourraient faire irruption durant l’assemblée générale, mais ce n’est pas le seul. Le géant de la distribution est vivement critiqué, par la CFDT notamment, pour s’appuyer de plus en plus sur l’exploitation de magasins en franchise et en location-gérance, une variante dans laquelle le distributeur reste propriétaire du fonds de commerce.Dans son discours d’introduction, Alexandre Bompard a réaffirmé que son groupe comptait poursuivre le développement de ce modèle, qu’il qualifie de “moyen d’expansion de l’empreinte internationale” de Carrefour, et de “solution pour les magasins en difficulté structurelle”. La CFDT a assigné le groupe de distribution en justice, estimant qu’il s’agit d’un plan social déguisé concernant plus de 27.000 salariés depuis 2018.A la fronde de la CFDT s’ajoute celle d’une partie des franchisés, réunis sous l’égide de l’association des franchisés de Carrefour (AFC), qui revendique 260 magasins. Soutenue par le ministère de l’Economie, elle a également assigné Carrefour en justice.Sujette à des polémiques ces dernières années, la rémunération du PDG, à nouveau au menu mercredi, sera en baisse par rapport à l’année dernière.Si les actionnaires de Carrefour lui donnent le feu vert, le dirigeant touchera 3,4 millions d’euros pour 2024, soit 1 million d’euros de moins que l’année précédente. A cela s’ajouteront plus tard, sous critères de performances, des actions valorisées au maximum 5,6 millions d’euros.Â