New to South Africa, saffron holds promiseFri, 30 May 2025 11:08:51 GMT

Livestock farmer Joe Kroon turned to saffron in desperation when drought threatened his livelihood and, as this season’s harvest winds down, he is encouraged by the potential of a new entry into South Africa’s farming catalogue.”Every year that we’ve planted, it’s got better and better,” said Kroon, who started growing the world’s most expensive spice, …

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C1: Donnarumma et Sommer, deux gardiens en état de grâce

Si le PSG et l’Inter Milan se retrouvent en finale de la Ligue des champions, leurs gardiens de but Gianluigi Donnarumma et Yann Sommer y sont pour beaucoup: ils auront samedi à Munich encore un rôle primordial à jouer.”Cela sera aussi une finale de gardiens”, pronostique pour la Gazzetta dello Sport l’ancien portier emblématique de l’Italie, Gianluigi Buffon, passé par le PSG.”Ce sont les deux meilleurs gardiens d’Europe, Donnarumma est le meilleur dans l’absolu, mais Sommer fait preuve d’une incroyable constance à haut niveau”, résume “Gigi”.. Donnarumma a chassé les doutesComme souvent depuis son arrivée au PSG en 2021, “Gigio” Donnarumma a connu cette saison bien des hauts mais aussi quelques bas, à cause des lacunes dans son jeu au pied et ses sorties aériennes.Il a été relégué sur le banc contre le Bayern Munich en phase de ligue à cause d’un mauvais match face à Arsenal (défaite 2-0). Il a ensuite été rendu responsable de la défaite en 8e de finale aller face à Liverpool (1-0 au Parc des Princes) en ne stoppant pas la seule frappe des Reds.Mais depuis, sans doute comme jamais depuis qu’il est parisien, l’ancien Milanais, du haut de son 1,96 mètre, a enchaîné les prestations de haute volée.Il a livré l’un de ses meilleurs matches avec le PSG au retour à Liverpool, où il a été décisif lors de la séance de tirs aux buts (1-0, 4 t.a.b. à 1). Donnarumma, 26 ans, a ensuite été décisif face à Aston Villa, en quarts de finale, et à Arsenal, en demi-finale. Comme si affronter des clubs anglais lui avait rappelé cet Euro-2021 remporté avec la Nazionale à Wembley, avec à la clef le trophée de meilleur joueur du tournoi.L’Italien rassure désormais pleinement ses coéquipiers et les supporters en répondant présent lors des grands rendez-vous, à rebours des années précédentes.”Il prend et montre sa valeur dans le but, affiche son potentiel. Il faut toujours un grand gardien pour gagner et c’est ce qu’il est”, a appuyé son capitaine Marquinhos à propos de “Gigio”.Pour Achraf Hakimi, “c’est l’un des meilleurs gardiens du monde”. En fin de contrat en 2026, il n’a toujours pas prolongé au PSG, malgré ses envies clairement assumées de rester à Paris. L’entraîneur du PSG, Luis Enrique, est peu disert devant la presse à son sujet.. Sommer, 36 printemps et toujours vertQu’il est loin le temps où les tifosi interistes faisaient la fine bouche et redoutaient le pire à son arrivée pour remplacer Andre Onana, parti à Manchester United.Pour sa deuxième saison en Serie A, Sommer, 36 ans, a certes encaissé plus de buts que l’an dernier (32 contre 19 en 2023-24, 13 “clean-sheets” contre 19).Mais il a joué un rôle plus déterminant avec son leadership lorsque sa défense tanguait et en réalisant des arrêts spectaculaires, notamment contre le Barça lors de cette demi-finale retour au scénario renversant (4-3 a.p.).Alors que l’Inter venait de voir son avance de deux buts disparaître en six minutes, le gardien suisse lui a évité le pire avec un total de sept arrêts, dont deux parades spectaculaires devant Eric Garcia et Lamine Yamal qui vont longtemps hanter les joueurs catalans.Malgré son déficit de taille (1,83 mètre), “sa contribution aux succès de l’Inter lors des deux dernières saisons est énorme”, juge Buffon.Fidèle à son tempérament, Sommer qui va retrouver l’Allianz-Arena où il a évolué six mois en 2023 avec le Bayern Munich, garde les pieds sur terre et ne s’emballe pas.”Ce groupe mérite de jouer cette finale, mais cela serait faux de résumer ce match à un duel entre Donnarumma et moi”, a-t-il prévenu.ali-bap-jr-td/kn/jld

Le Kremlin écarte l’idée d’un sommet Poutine-Zelensky-Trump-Erdogan

Le Kremlin a écarté vendredi une rencontre proposée par la Turquie entre Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky et Donald Trump sous l’égide de Recep Tayyip Erdogan, conditionnant tout sommet de ce type à l’obtention de “résultats” dans les négociations avec Kiev.Le ministre turc des Affaires étrangères Hakan Fidan, en visite à Kiev, avait proposé plus tôt que la Turquie accueille “une rencontre entre M. Trump, M. Poutine et M. Zelensky, sous la direction” du président turc Recep Tayyip Erdogan.Volodymyr Zelensky avait déjà proposé de rencontrer son homologue russe en mai, puis d’organiser un format tripartite incluant le président américain, mais le Kremlin n’avait pas donné suite.Moscou a en revanche proposé à Kiev de se retrouver pour de nouveaux pourparlers directs lundi à Istanbul, après un premier rendez-vous peu fructueux le 16 mai dans la mégapole turque.Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, interrogé vendredi par l’AFP sur la possibilité d’un sommet Poutine-Zelensky-Trump-Erdogan, a affirmé que Vladimir Poutine est “favorable, sur le principe, aux contacts au plus haut niveau”.Mais il faut d’abord “des résultats” dans les négociations entre Kiev et Moscou, a-t-il tranché, durant son briefing quotidien.Dmitri Peskov a aussi affirmé que le Kremlin enverrait à Istanbul une délégation qui sera “prête” pour de nouveaux pourparlers lundi avec l’Ukraine, qui n’a toutefois pas encore formellement confirmé sa participation.- Cessez-le-feu -Kiev veut que le Kremlin lui envoie d’abord un “mémorandum” qu’il a dit avoir préparé et qui doit exposer ses conditions pour la paix, des conditions qui selon l’Ukraine risquent d’être “irréalistes”.Dmitri Peskov, questionné à ce sujet, a de nouveau refusé vendredi de transmettre à l’avance ce document et dit que le texte serait discuté “lors du deuxième cycle de négociations”.Le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga, aux côtés de son homologue turc, a affirmé que la transmission de ce document était importante pour que la prochaine réunion soit “substantielle”.L’Ukraine est “intéressée” par la poursuite de ces rencontres avec la Russie, a-t-il dit.Plus tôt, M. Fidan avait assuré que “les deux parties souhaitent un cessez-le-feu”, selon l’agence de presse étatique Anadolu.Il a été reçu à Moscou par Vladimir Poutine cette semaine, et doit rencontrer vendredi le président Volodymyr Zelensky.La Turquie, membre de l’Otan, est parvenue depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine en 2022 à maintenir de bonnes relations avec les deux pays.- Exigences maximalistes -Le président américain Donald Trump demande une trêve inconditionnelle, mesure que l’Ukraine et les Européens soutiennent.Mais la Russie, qui a envahi son voisin en 2022, a refusé précédemment cette possibilité, estimant notamment qu’elle permettrait à l’armée ukrainienne de reprendre des forces sur le front.Vladimir Poutine affirme qu’un cessez-le-feu est possible après des négociations se concentrant sur les “causes profondes” de la guerre, une référence à une série de demandes maximalistes du Kremlin.La Russie exige notamment que l’Ukraine renonce à jamais à rejoindre l’Otan et lui cède les cinq régions dont elle revendique l’annexion.Ces conditions sont inacceptables pour Kiev, qui assure par ailleurs que le Kremlin ne veut ni paix ni trêve.L’armée russe a l’avantage sur le front et a revendiqué vendredi la prise de deux villages dans la région de Kharkiv, dans le nord-est de l’Ukraine.- Frustration et critiques -Pire conflit armé en Europe depuis la Deuxième Guerre mondiale, l’invasion russe de l’Ukraine a débuté en février 2022 et a déjà fait des dizaines, voire des centaines de milliers de morts.Donald Trump, qui s’est rapproché de la Russie, a exprimé sa frustration envers Moscou ces derniers jours, estimant notamment que Vladimir Poutine joue “avec le feu”.Mais il a aussi critiqué Volodymyr Zelensky, à qui il reproche de traîner des pieds pour trouver un accord.Au Conseil de Sécurité de l’ONU, l’ambassadeur américain intérimaire adjoint, John Kelley, a lui prévenu jeudi que “les États-Unis devront envisager de se retirer de leurs efforts de négociation” si Moscou décide de “poursuivre cette guerre catastrophique”. L’Ukraine exhorte ses alliés occidentaux, et surtout Washington, à prendre de nouvelles sanctions contre Moscou.Depuis Singapour, le président français Emmanuel Macron a lui affirmé vendredi que la décision ou non de sanctionner la Russie, si elle refuse un cessez-le-feu en Ukraine, était un “test de crédibilité” pour Washington.

Le Kremlin écarte l’idée d’un sommet Poutine-Zelensky-Trump-Erdogan

Le Kremlin a écarté vendredi une rencontre proposée par la Turquie entre Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky et Donald Trump sous l’égide de Recep Tayyip Erdogan, conditionnant tout sommet de ce type à l’obtention de “résultats” dans les négociations avec Kiev.Le ministre turc des Affaires étrangères Hakan Fidan, en visite à Kiev, avait proposé plus tôt que la Turquie accueille “une rencontre entre M. Trump, M. Poutine et M. Zelensky, sous la direction” du président turc Recep Tayyip Erdogan.Volodymyr Zelensky avait déjà proposé de rencontrer son homologue russe en mai, puis d’organiser un format tripartite incluant le président américain, mais le Kremlin n’avait pas donné suite.Moscou a en revanche proposé à Kiev de se retrouver pour de nouveaux pourparlers directs lundi à Istanbul, après un premier rendez-vous peu fructueux le 16 mai dans la mégapole turque.Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, interrogé vendredi par l’AFP sur la possibilité d’un sommet Poutine-Zelensky-Trump-Erdogan, a affirmé que Vladimir Poutine est “favorable, sur le principe, aux contacts au plus haut niveau”.Mais il faut d’abord “des résultats” dans les négociations entre Kiev et Moscou, a-t-il tranché, durant son briefing quotidien.Dmitri Peskov a aussi affirmé que le Kremlin enverrait à Istanbul une délégation qui sera “prête” pour de nouveaux pourparlers lundi avec l’Ukraine, qui n’a toutefois pas encore formellement confirmé sa participation.- Cessez-le-feu -Kiev veut que le Kremlin lui envoie d’abord un “mémorandum” qu’il a dit avoir préparé et qui doit exposer ses conditions pour la paix, des conditions qui selon l’Ukraine risquent d’être “irréalistes”.Dmitri Peskov, questionné à ce sujet, a de nouveau refusé vendredi de transmettre à l’avance ce document et dit que le texte serait discuté “lors du deuxième cycle de négociations”.Le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga, aux côtés de son homologue turc, a affirmé que la transmission de ce document était importante pour que la prochaine réunion soit “substantielle”.L’Ukraine est “intéressée” par la poursuite de ces rencontres avec la Russie, a-t-il dit.Plus tôt, M. Fidan avait assuré que “les deux parties souhaitent un cessez-le-feu”, selon l’agence de presse étatique Anadolu.Il a été reçu à Moscou par Vladimir Poutine cette semaine, et doit rencontrer vendredi le président Volodymyr Zelensky.La Turquie, membre de l’Otan, est parvenue depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine en 2022 à maintenir de bonnes relations avec les deux pays.- Exigences maximalistes -Le président américain Donald Trump demande une trêve inconditionnelle, mesure que l’Ukraine et les Européens soutiennent.Mais la Russie, qui a envahi son voisin en 2022, a refusé précédemment cette possibilité, estimant notamment qu’elle permettrait à l’armée ukrainienne de reprendre des forces sur le front.Vladimir Poutine affirme qu’un cessez-le-feu est possible après des négociations se concentrant sur les “causes profondes” de la guerre, une référence à une série de demandes maximalistes du Kremlin.La Russie exige notamment que l’Ukraine renonce à jamais à rejoindre l’Otan et lui cède les cinq régions dont elle revendique l’annexion.Ces conditions sont inacceptables pour Kiev, qui assure par ailleurs que le Kremlin ne veut ni paix ni trêve.L’armée russe a l’avantage sur le front et a revendiqué vendredi la prise de deux villages dans la région de Kharkiv, dans le nord-est de l’Ukraine.- Frustration et critiques -Pire conflit armé en Europe depuis la Deuxième Guerre mondiale, l’invasion russe de l’Ukraine a débuté en février 2022 et a déjà fait des dizaines, voire des centaines de milliers de morts.Donald Trump, qui s’est rapproché de la Russie, a exprimé sa frustration envers Moscou ces derniers jours, estimant notamment que Vladimir Poutine joue “avec le feu”.Mais il a aussi critiqué Volodymyr Zelensky, à qui il reproche de traîner des pieds pour trouver un accord.Au Conseil de Sécurité de l’ONU, l’ambassadeur américain intérimaire adjoint, John Kelley, a lui prévenu jeudi que “les États-Unis devront envisager de se retirer de leurs efforts de négociation” si Moscou décide de “poursuivre cette guerre catastrophique”. L’Ukraine exhorte ses alliés occidentaux, et surtout Washington, à prendre de nouvelles sanctions contre Moscou.Depuis Singapour, le président français Emmanuel Macron a lui affirmé vendredi que la décision ou non de sanctionner la Russie, si elle refuse un cessez-le-feu en Ukraine, était un “test de crédibilité” pour Washington.

Trump tariffs stay in place for now after court reprieve

US President Donald Trump celebrated a temporary legal win as a court preserved his aggressive tariffs, triggering mixed reactions Friday across jittery financial markets.The short-term relief will allow the appeals process to proceed after the US Court of International Trade barred most of the tariffs announced since Trump took office, ruling on Wednesday that he had overstepped his authority.Welcoming the latest twist in legal skirmishes over his trade policies, Trump lashed out at the Manhattan-based trade court, calling it “horrible” and saying its blockade should be “quickly and decisively” reversed for good.Asian shares fell on Friday, reversing a rally across world markets the previous day, as the judicial wrangling around Trump’s on-again-off-again tariffs fanned uncertainty.Paris, London and Frankfurt were all in the green as EU trade chief Maros Sefcovic said following a call with US Commerce Secretary Howard Lutnick that the bloc was “fully invested” in reaching a deal with the United States.Sefcovic could meet his US trade counterparts in Paris next week on the sidelines of a Organisation for Economic Co-operation and Development ministerial meeting, an EU official said.US Treasury Secretary Scott Bessent said Thursday that trade talks with China — the hardest hit by the tariffs — were “a bit stalled” and Trump might need to speak to President Xi Jinping in order to iron out tariffs between the world’s two biggest economies.”I think that given the magnitude of the talks, given the complexity, that this is going to require both leaders to weigh in with each other,” Bessent told Fox News after the ruling from the US Court of Appeals for the Federal Circuit, known as an administrative stay.Washington and Beijing agreed this month to pause reciprocal tariffs for 90 days, a surprise de-escalation in their bitter trade war following talks between top officials in Geneva.Asked about Bessent’s comments at a regular news conference on Friday, Chinese foreign ministry spokesman Lin Jian said Beijing had “stated its position on the tariffs issue many times” in an apparent reference to the Asian manufacturing giant’s fury at the levies. Trump has moved to reconfigure US trade ties with the world since returning to the presidency in January, using levies to force foreign governments to the negotiating table.However, the stop-start tariff rollout on both allies and adversaries has roiled markets and snarled supply chains.The White House had been given 10 days to halt affected tariffs before Thursday’s decision from the appeals court.The Trump administration called the block “blatantly wrong,” expressing confidence that the decision would be overturned on appeal.White House spokeswoman Karoline Leavitt told reporters that the judges “brazenly abused their judicial power to usurp the authority of President Trump.”Leavitt said the Supreme Court “must put an end” to the tariff challenge, while stressing that Trump had other legal means to impose levies.A separate ruling by a federal district judge in the US capital found some Trump levies unlawful as well, giving the administration 14 days to appeal.- ‘Hiccups’ -Kevin Hassett, director of the National Economic Council, told Fox Business that “hiccups” sparked by the decisions of “activist judges” would not affect talks with trading partners, adding that three deals were close to finalization.Trump’s trade advisor Peter Navarro told reporters after the appellate stay that the administration had earlier received “plenty of phone calls from countries” who said they would continue to “negotiate in good faith,” without identifying those nations.Trump’s import levies are aimed partly at punishing economies that sell more to the United States than they buy.The president has argued that trade deficits and the threat posed by drug smuggling constituted a “national emergency” that justified the widespread tariffs — a notion the Court of International Trade ruled against.Trump unveiled sweeping duties on nearly all trading partners in April at a baseline 10 percent, plus steeper levies on dozens of economies including China and the European Union that have since been paused.The US trade court’s ruling quashed those blanket duties, along with others that Trump imposed on Canada, Mexico and China separately using emergency powers.However, it left intact 25 percent duties on imported autos, steel and aluminum.Beijing — which was hit by additional 145 percent tariffs before they were temporarily reduced to make space for negotiations — reacted to the trade court decision by saying Washington should scrap the levies.”China urges the United States to heed the rational voices from the international community and domestic stakeholders and fully cancel the wrongful unilateral tariff measures,” said commerce ministry spokeswoman He Yongqian.The trade court was ruling in two separate cases, brought by businesses and a coalition of state governments, arguing that the president had violated Congress’s power of the purse.burs-ft/cms/tc

L’UE “pleinement investie” dans les négociations avec Trump après les rebondissements judiciaires

L’Union européenne est “pleinement investie” dans les négociations avec les Etats-Unis sur les taxes douanières, a affirmé la Commission européenne vendredi, après la décision d’un tribunal américain de suspendre les droits de douane de Donald Trump.Trouver une solution “reste une priorité absolue de l’UE. Nous restons en contact permanent” avec les Etats-Unis, a souligné sur X le commissaire européen au Commerce, Maros Sefcovic, qui a échangé par téléphone jeudi avec le secrétaire américain au Commerce, Howard Lutnick.Selon une source européenne, de nouvelles discussions pourraient avoir lieu mardi ou mercredi, en marge d’une réunion ministérielle à Paris de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques, qui regroupe essentiellement des pays occidentaux).A ce stade, l’exécutif européen n’a pas fait de commentaire sur les rebondissements judiciaires autour des taxes imposées par Donald Trump.Mercredi, le tribunal de commerce international des Etats-Unis (ITC) avait estimé que M. Trump avait outrepassé ses pouvoirs en imposant des surtaxes non ciblées, alors qu’il s’agit d’une prérogative du Congrès.Saisis par des petites entreprises et une coalition d’Etats américains, les magistrats donnaient dix jours à son gouvernement pour revenir en arrière. Cette décision concernait tant les droits de douane imposés au Canada, au Mexique et à la Chine, que la surtaxe de 10% imposée à quasiment tous les produits importés, quelle que soit leur origine, début avril.Mais moins de 24 heures plus tard, une Cour d’appel a suspendu la décision de première instance, le temps de se prononcer sur le fond.L’Union européenne poursuit pour sa part les négociations, avec une série d’échanges entre M. Sefcovic et ses homologues américains ces derniers jours.Après une période de tensions, l’Europe espère un “nouvel élan” dans les discussions depuis un coup de téléphone entre Donald Trump et la présidente de la Commission Ursula von der Leyen le week-end dernier.Au cours des derniers mois, l’Union européenne a été frappée à trois reprises par des droits de douane de l’administration américaine: 25% sur l’acier et l’aluminium, annoncés mi-mars, 25% sur les automobiles, puis 20% sur tous les autres produits européens, en avril. Cette dernière surtaxe a été suspendue jusqu’au 9 juillet par l’administration Trump pour engager une négociation.Mais des droits de douane de 10% sont encore censés s’appliquer sur la plupart des biens exportés aux Etats-Unis par les Vingt-Sept, sauf si la justice leur barre définitivement la route.