Roland-Garros: Gracheva balayée par Kenin, avant Monfils et deux affiches 100% bleues

La N.1 française Varvara Gracheva a disparu mardi dès le premier tour de Roland-Garros, en ouverture d’une journée marquée par deux duels 100% français et l’entrée en lice dans la soirée de la coqueluche du public français Gaël Monfils.. Gracheva expédiée par KeninUn an après s’être hissée en huitièmes de finale du deuxième Grand Chelem de la saison, Varvara Gracheva (72e) a été brutalement sortie du tournoi par l’Américaine Sofia Kenin (30e).Dans le premier match de la journée sur le Central, la finaliste de l’édition 2020 l’a emporté 6-3, 6-1 en à peine plus d’une heure.Gracheva n’avait plus disparu aussi tôt de Roland-Garros depuis sa première participation en 2020.”Aujourd’hui j’avais l’impression que rien n’allait”, s’est-elle agacée en conférence de presse.”Sofia a fait un bon match et je n’ai pas fait mon travail”, a-t-elle estimé, réfutant toute pression supplémentaire liée au fait de jouer sur le Central.”L’an dernier, j’ai joué sur le Suzanne-Lenglen et le Simonne-Mathieu et j’ai quand même gagné des matches”, a soutenu la Française.Sur les neuf Bleues présentes au 1er tour de Roland-Garros cette année, seule Léolia Jeanjean (100e) est pour l’instant parvenue à se hisser au deuxième tour.Quelques minutes après l’élimination de Gracheva, Chloé Paquet (119e) est à son tour entrée en lice.A un jet de pierre du Central, sur le court N.7, la trentenaire se mesure à la qualifiée tchèque Tereza Valentova (172e mondiale à 18 ans), présente pour la première fois dans le tableau final d’un Grand Chelem.  Sur le bouillant court N.14, Loïs Boisson (361e) entamera elle aussi son premier tableau final à Roland-Garros dans l’après-midi contre la Belge Elise Mertens (22e).Sur le court N.6, Elsa Jacquemot (138e) doit débuter son tournoi contre l’ex-N.3 mondiale Maria Sakkari, demi-finaliste Porte d’Auteuil en 2021.Au lendemain du dernier match de simple de sa carrière à Roland-Garros, Caroline Garcia (31 ans) entre mardi en lice dans le tournoi de double.Associée à sa compatriote Diane Parry, également éliminée en simple dès son entrée en lice, la Lyonnaise jouera sur le court N.3 contre les seizièmes têtes de série, la Japonaise Miyu Kato et l’Indonésienne Aldila Sutjiadi.. Deux derbies et un showmanDans le tableau masculin, le vétéran Gaël Monfils (42e mondial à 38 ans) est attendu à 20H15 sur le court Philippe-Chatrier, pour son 1er tour contre le Bolivien Hugo Dellien (90e).Après un début de saison canon (titre à Auckland et huitième de finale à l’Open d’Australie), le Parisien a peu joué sur terre battue, une surface qu’il n’affectionne guère.Beaucoup plus friand de la surface ocre, le N.4 français Alexandre Müller, tentera lui d’agrémenter la meilleure saison de sa carrière d’un nouveau coup d’éclat.Une semaine après avoir surpris le N.3 mondial Alexander Zverev sur la terre battue de sa ville natale d’Hambourg, le Francilien de 28 ans a commencé vers 14H00 son premier tour face au Tchèque Jakub Mensik (19e), vainqueur en mars du Masters 1000 de Miami (dur).Sur le Simonne-Mathieu, le qualifié Clément Tabur (280e) défiera plus tard son compatriote Corentin Moutet (73e), qui vient de battre à Rome son premier membre du top 10, le Danois Holger Rune.L’autre duel 100% français du jour oppose Pierre-Hugues Herbert (147e) et Benjamin Bonzi (60e), partenaires de double occasionnels depuis le début de l’année.”S’il y a bien un tournoi où on n’a pas envie de jouer un Français, c’est ici”, a soupiré Bonzi avant le tournoi.”On s’est joués plein de fois (…) mais jamais sur terre, ça sera une nouveauté”, a souligné Bonzi, qui mène 5-0 dans leurs duels, tous disputés sur dur.

Pologne: dernière ligne droite d’une élection présidentielle très serrée

La Pologne est entrée dans la dernière ligne droite pour le second tour de la présidentielle qui oppose dimanche le maire pro-européen de Varsovie à un historien nationaliste, une course très serrée qui pourrait prolonger le blocage politique dans ce pays de l’UE et de l’Otan.Les deux candidats – Rafal Trzaskowski, soutenu par les centristes au pouvoir, et Karol Nawrocki, un novice en politique soutenu par le parti d’opposition nationaliste Droit et Justice (PiS) – sont au coude-à-coude dans tous les sondages d’opinion.Les dernières estimations les placent à égalité, avec 46,3% d’intentions de vote chacun. Les partisans du leader d’extrême droite Slawomir Mentzen, arrivé troisième au premier tour du 18 mai, pourraient jouer un rôle déterminant.Le résultat sera scruté de près dans les pays européens et au-delà, une victoire de Karol Nawrocki risquant de remettre en question le soutien indéfectible de la Pologne à l’Ukraine voisine.Les rivaux se démènent désormais pour séduire les électeurs de tous bords politiques. “Je serai un président qui unit, qui est prêt à parler à tout le monde”, a promis Rafal Trzaskowski devant une foule de partisans dimanche à Varsovie.M. Nawrocki avait appelé à une manifestation rivale au même moment. Les deux rassemblements ont réuni des dizaines de milliers de participants chacun. La victoire de Trzaskowski, 53 ans, donnerait un coup de pouce majeur au Premier ministre Donald Tusk, ex-chef du Conseil européen, revenu au pouvoir en Pologne à la suite des élections parlementaires de 2023. Karol Nawrocki, 42 ans, s’oppose lui à l’adhésion de l’Ukraine à l’Otan et critique les avantages accordés au million de réfugiés ukrainiens vivant en Pologne. – Equilibre fragile -Rafal Trzaskowski a remporté le premier tour avec une marge infime, à 31% des voix contre 30% pour Karol Nawrocki.Les candidats d’extrême droite ont eux reçu un total de 21,15% des suffrages, un score encourageant pour M. Nawrocki, car il lui donne une réserve potentielle de soutien plus importante, selon les analystes.Karol Nawrocki a souscrit aux termes fixés par le leader d’extrême droite Slawomir Mentzen, qui a exposé les conditions d’un soutien éventuel.La déclaration en huit points, signée par Nawrocki en direct sur la chaîne YouTube de Mentzen, inclut la promesse d’opposer son veto à toute législation qui augmenterait les impôts, limiterait la liberté d’expression ou mènerait à la ratification de l’adhésion potentielle de l’Ukraine à l’Otan.Sa campagne a été secouée lundi par une enquête du portail d’informations Onet.pl indiquant que M. Nawrocki était impliqué dans l’introduction de prostituées dans un hôtel à Sopot où il travaillait comme garde il y a environ vingt ans. Le candidat a nié les allégations et a déclaré qu’il poursuivrait le site devant la justice, qualifiant l’enquête de “tas de mensonges”.Pour M. Trzaskowski, europhile de longue date, la campagne est devenue un exercice d’équilibre fragile consistant à séduire des électeurs de droite sans désenchanter ceux de gauche.Comme Karol Nawrocki, le maire de Varsovie a également discuté avec Mentzen sur sa chaîne YouTube, s’accordant avec lui sur certains points mais refusant de signer quoi que ce soit.Il s’est laissé ensuite photographier en train de discuter autour d’une bière avec Mentzen, dans un pub appartenant à ce chef d’extrême droite.- “Rompre” avec le duopole -En Pologne, le président joue un rôle principalement cérémoniel mais il est doté d’un pouvoir de veto crucial. Cette compétence, incarnée par le président conservateur Andrzej Duda qui ne peut plus se présenter au terme de son second mandat, a empêché Donald Tusk de tenir nombre de ses promesses électorales concernant notamment des réformes judiciaires, des changements dans la loi sur l’avortement et l’introduction des unions civiles.Rafal Trzaskowski a promis de soutenir, s’il gagne, les textes rendant l’avortement possible jusqu’à la 12e semaine de grossesse.Sur les droits des personnes LGBTQ, autre sujet brûlant en Pologne, M. Trzaskowski soutient l’idée des unions civiles, y compris pour les couples de même sexe.Ces promesses n’ont pas convaincu les jeunes électeurs, qui ont massivement voté pour Mentzen, un libertarien eurosceptique fermement opposé à l’avortement et aux migrants.Selon une étude, M. Mentzen a remporté au premier tour plus de 36% des suffrages des 18-29 ans, devant le candidat de gauche radicale Adrian Zandberg avec près de 20% des voix.MM. Mentzen et Zandberg ont tous deux utilisé les réseaux sociaux pour amplifier la portée de leurs déclarations, et ont tous deux promis de mettre fin à l’ère des deux principaux partis.La Plateforme civique de Donald Tusk et le PiS ont à tour de rôle dirigé la Pologne ces 20 dernières années. “Les jeunes s’éloignent de ce duopole”, a indiqué à l’AFP Ewelina Nowakowska, analyste politique de l’université SWPS.”Il y a une tendance très forte parmi eux à chercher de nouveaux partis politiques et de nouveaux visages”, a-t-elle souligné.

Mort à 90 ans de Jean Tiberi, dernier maire de droite de Paris

Les élus ont salué son engagement profond pour la ville lumière, malgré les affaires: l’ancien maire RPR de Paris Jean Tiberi, dernier édile de droite de la capitale de 1995 à 2001 et figure du 5e arrondissement, est décédé mardi à l’âge de 90 ans.”Paris, sa ville, lui rendra hommage. En sa mémoire, les drapeaux de tous les équipements municipaux seront mis en berne” le 3 juin, au premier jour du Conseil de Paris, a annoncé la maire Anne Hidalgo.L’édile socialiste a salué “la mémoire de cet homme qui a consacré une part immense de sa vie à Paris et au 5e arrondissement. Je garderai le souvenir d’un homme chaleureux, avec qui j’avais tissé des relations cordiales et respectueuses”, a-t-elle dit dans un message transmis à la presse.”Il a su porter haut les couleurs de la capitale”, a réagi sur le réseau X Rachida Dati, ministre de la Culture et candidate potentielle aux municipales de 2026. “Son souci constant de préserver la beauté de Paris ou encore le lancement du premier plan vélo, resteront un héritage précieux pour tous les Parisiens”, a estimé l’actuelle maire du 7e arrondissement.Jean Tiberi a pris en 1995 les rênes de Paris, succédant au premier maire de capitale, le RPR Jacques Chirac élu président de la République. Son mentor, dont il avait été le premier adjoint pendant plus de dix ans.Candidat dissident de la droite lors des municipales de 2001 face à Philippe Séguin, Jean Tiberi fut battu par le candidat du Parti socialiste Bertrand Delanoë, qui a fait basculer la ville à gauche.Sa carrière politique a été éclaboussée par les affaires, que les élus, dans leurs hommages, n’ont pas mentionnées.- “A sa manière” -Il avait ainsi été condamné en 2013 en appel, comme en première instance, à dix mois de prison avec sursis, 10.000 euros d’amende et trois ans d’inéligibilité pour l’inscription de faux électeurs sur les listes de sa mairie du 5e arrondissement de Paris en vue des élections municipales de 1995 et législatives de 1997. Son épouse Xavière, décrite comme “omniprésente” à la mairie du 5e, avait elle été condamnée à neuf mois de prison avec sursis et 5.000 euros d’amende.Né à Paris d’ascendance corse, Jean Tiberi était entré au conseil municipal de la capitale en 1965. Député de Paris pendant plus de quatre décennies, de 1968 à 2012, il fut également le maire du 5e arrondissement durant 25 ans, de 1983 à 1995, puis de 2001 à 2014.Arrondissement “qu’il arpentait du matin au soir, du lundi au dimanche” et dont “il connaissait les habitants, les commerçants, les rues et les quartiers”, se souvient Anne Hidalgo.”Un maire engagé”, selon l’actuelle maire Horizons du 5e, Florence Berthout, qui a annoncé mardi la disparition de Jean Tiberi. “Un grand amoureux de son arrondissement” pour Paul Hatte, conseiller LR de Paris.De son bilan, Anne Hidalgo retient “les premières mesures visant à restreindre la circulation sur les berges de la Seine”.Paris lui doit également la réalisation de la Coulée verte, promenade plantée de Bastille à Vincennes, la passerelle Solférino et la création des parcs André-Citroën et de Bercy, “qui font aujourd’hui partie du patrimoine des Parisiennes et des Parisiens”, selon la maire PS aux commandes de la ville depuis plus de dix ans.Tombeur de la droite et successeur de Jean Tiberi à Paris, Bertrand Delanoë a salué auprès de l’AFP l’ancien maire qui a, “à sa manière, montré qu’il aimait cette ville et en particulier le 5e arrondissement”.”A sa façon”, a aussi commenté sur X le candidat à l’investiture socialiste pour les municipales de 2026 Emmanuel Grégoire, cette “figure singulière de la droite et de notre vie politique” aura “marqué l’histoire de notre capitale”.Son rival PS Rémi Féraud a salué via le même canal la mémoire d’un “ancien maire fidèle à Paris et au 5e arrondissement”.

Mort à 90 ans de Jean Tiberi, dernier maire de droite de Paris

Les élus ont salué son engagement profond pour la ville lumière, malgré les affaires: l’ancien maire RPR de Paris Jean Tiberi, dernier édile de droite de la capitale de 1995 à 2001 et figure du 5e arrondissement, est décédé mardi à l’âge de 90 ans.”Paris, sa ville, lui rendra hommage. En sa mémoire, les drapeaux de tous les équipements municipaux seront mis en berne” le 3 juin, au premier jour du Conseil de Paris, a annoncé la maire Anne Hidalgo.L’édile socialiste a salué “la mémoire de cet homme qui a consacré une part immense de sa vie à Paris et au 5e arrondissement. Je garderai le souvenir d’un homme chaleureux, avec qui j’avais tissé des relations cordiales et respectueuses”, a-t-elle dit dans un message transmis à la presse.”Il a su porter haut les couleurs de la capitale”, a réagi sur le réseau X Rachida Dati, ministre de la Culture et candidate potentielle aux municipales de 2026. “Son souci constant de préserver la beauté de Paris ou encore le lancement du premier plan vélo, resteront un héritage précieux pour tous les Parisiens”, a estimé l’actuelle maire du 7e arrondissement. a pris en 1995 les rênes de Paris, succédant au premier maire de capitale, le RPR Jacques Chirac élu président de la République. Son mentor, dont il avait été le premier adjoint pendant plus de dix ans.Candidat dissident de la droite lors des municipales de 2001 face à Philippe Séguin, Jean Tiberi fut battu par le candidat du Parti socialiste Bertrand Delanoë, qui a fait basculer la ville à gauche.Sa carrière politique a été éclaboussée par les affaires, que les élus, dans leurs hommages, n’ont pas mentionnées.- “A sa manière” -Il avait ainsi été condamné en 2013 en appel, comme en première instance, à dix mois de prison avec sursis, 10.000 euros d’amende et trois ans d’inéligibilité pour l’inscription de faux électeurs sur les listes de sa mairie du 5e arrondissement de Paris en vue des élections municipales de 1995 et législatives de 1997. Son épouse Xavière, décrite comme “omniprésente” à la mairie du 5e, avait elle été condamnée à neuf mois de prison avec sursis et 5.000 euros d’amende.Né à Paris d’ascendance corse, Jean Tiberi était entré au conseil municipal de la capitale en 1965. Député de Paris pendant plus de quatre décennies, de 1968 à 2012, il fut également le maire du 5e arrondissement durant 25 ans, de 1983 à 1995, puis de 2001 à 2014.Arrondissement “qu’il arpentait du matin au soir, du lundi au dimanche” et dont “il connaissait les habitants, les commerçants, les rues et les quartiers”, se souvient Anne Hidalgo.”Un maire engagé”, selon l’actuelle maire Horizons du 5e, Florence Berthout, qui a annoncé mardi la disparition de Jean Tiberi. “Un grand amoureux de son arrondissement” pour Paul Hatte, conseiller LR de Paris.De son bilan, Anne Hidalgo retient “les premières mesures visant à restreindre la circulation sur les berges de la Seine”.Paris lui doit également la réalisation de la Coulée verte, promenade plantée de Bastille à Vincennes, la passerelle Solférino et la création des parcs André-Citroën et de Bercy, “qui font aujourd’hui partie du patrimoine des Parisiennes et des Parisiens”, selon la maire PS aux commandes de la ville depuis plus de dix ans.Tombeur de la droite et successeur de Jean Tiberi à Paris, Bertrand Delanoë a salué auprès de l’AFP l’ancien maire qui a, “à sa manière, montré qu’il aimait cette ville et en particulier le 5e arrondissement”.”A sa façon”, a aussi commenté sur X le candidat à l’investiture socialiste pour les municipales de 2026 Emmanuel Grégoire, cette “figure singulière de la droite et de notre vie politique” aura “marqué l’histoire de notre capitale”.Son rival PS Rémi Féraud a salué via le même canal la mémoire d’un “ancien maire fidèle à Paris et au 5e arrondissement”.

‘One in a billion’: French stuntwoman putting fizz into Hollywood

When Sarah Lezito began messing around with motorbikes at 13 she never dreamed that one day she would become the stunt double of some of Hollywood’s biggest stars.The French winemaker’s daughter has stood in for Scarlett Johansson — twice — on “Avengers 2” and “Black Widow” and appeared in a dozen films including “The Batman”.The 32-year-old is one of a very rare breed of motorcycle stuntwomen, with a massive social media following that helped bring her from the vineyards of France’s Champagne region to Hollywood.AFP caught up with her on her own personal training track amid the otherwise tranquil vineyards near Epernay, the Champagne capital in northeast France.Barely astride her red chrome Kawasaki, she was off down the track performing stunts with disconcerting dexterity, her long brown hair trailing out of her helmet in the wind. “This is kind of my temple,” she said after performing a series of gravity-defying tricks including standing with both feet on top of her 200-kilo (440-pound) machine and then flipping herself onto the handlebars.”People think I’m working, but it mostly allows me to release all the pressure,” said Lezito, whose lucky charm — a plastic beaded bracelet — is wrapped around the throttle of her bike. – ‘Doing wheelies in a field’ – The woman now popularly known as the “world stunt champion” (although there is no recognised world championship) began her acrobatics career young on the family holding near Epernay.”I fell into stunts by watching videos,” she told AFP. “No one in my family was in the motor sports world. My father only had an agricultural quad, not at all made for sports, but I started trying to do wheelies with it in a field.”Then she began posting her stunt videos on YouTube.But she seemed destined to follow her family into wine and viticulture until she posted a video of a medley of tricks one day in March 2013 called “One out of Billion Girls”.”It was thanks to this video that they noticed me,” she said.The “they” being the team from the Hollywood blockbuster “Avengers 2”. A few months later, she abandoned her winemaking studies to fly to South Korea to perform Johansson’s stunts in the movie. Because she “adapted quickly” to stunt work, Lezito decided to go professional, appearing in several major movies, including “Inferno”, “Millennium” and “The Batman” with Zoe Kravitz. “I met all the actresses I’ve doubled for,” she said. – 30 million followers – She has had her moments on some of the movies, although she insists she has never felt fear on those she does “at home” for social media.”I had to ride through flames for ‘Bad Girl’, a film which was never released. On paper, it was very simple, but I didn’t have a helmet,” she recalled. And in the summer of 2023 while filming David Fincher’s “The Killer” in Paris, starring Michael Fassbender, Lezito had a severe fall.”I flew off the motorcycle, I wasn’t going very fast but fast enough to land on my head and the helmet cracked.”She ended up in the emergency room with a head injury. It “made her think”, she told AFP, and she “decided to take a break” and put her Hollywood career on hold.Lezito now devotes herself to her social media channels, posting videos of her stunts to her more than 30 million followers — including 9.5 million on Instagram, some two million more than MotoGP star Marc Marquez. Her garage doubles as a studio, with her YouTube trophies and gifts from her fans displayed on the walls. But it is also where she gets her hands dirty repairing her fleet of roughly 10 motorcycles. “As long as I enjoy sitting on the motorcycle, I’ll keep doing this,” she said.

S.Africa’s ‘Tsotsi’ star Presley Chweneyagae diesTue, 27 May 2025 12:06:18 GMT

South African actor Presley Chweneyagae, star of the Oscar-winning South African film “Tsotsi”, has died at the age of 40, his agent announced Tuesday.Chweneyagae gained international fame in 2006 when the movie set in the criminal underworld of Johannesburg’s sprawling township of Soweto scooped the best foreign film award.”It is with profound sadness that we …

S.Africa’s ‘Tsotsi’ star Presley Chweneyagae diesTue, 27 May 2025 12:06:18 GMT Read More »

Foot: la saison folle du PSG, du départ de Mbappé à la finale de C1

Le PSG, qui affronte l’Inter Milan en finale de la Ligue des champions samedi, a connu une saison en forme de montagnes russes, commencée par le départ de Kylian Mbappé au Real Madrid et qui peut se terminer dans la gloire d’un sacre européen.. Départ subi… mais salutaire ?1er juin 2024. Kylian Mbappé parti libre au Real Madrid — non sans engager ensuite des procédures, toujours en cours, pour le versement de salaires et primes impayés à hauteur de 55 millions d’euros –, le nouveau projet sans star ni strass, décidé depuis l’arrivée de Luis Enrique en 2023, peut commencer.”Je pourrais changer quatre ou cinq joueurs du onze, vous ne verriez pas la différence”, se félicitera l’entraîneur espagnol plus tard dans la saison. Une phrase qui aurait été impensable avec le meilleur buteur de l’histoire du club.. La rentrée des clashsPour le déplacement du 1er octobre à Arsenal, Luis Enrique décide de se passer d’Ousmane Dembélé, sanctionné pour un retard à l’entraînement et l’échange musclé qui a suivi. La défaite 2-0 met le coach catalan sur le grill et menace de faire ressurgir le spectre d’un vestiaire capricieux, époque Neymar, Messi et Mbappé. Mais les deux hommes se reparlent et conviennent de coopérer.”J’ai dû prendre une décision difficile, mais que je considère comme la meilleure pour l’équipe, sans le moindre doute, explique l’entraîneur. J’ai été recruté pour créer une équipe et je vais le faire. Et dans cette équipe il y aura Ousmane Dembélé, pour ceux qui en douteraient.”. Le règne national se perpétueAlors que se profile le premier Classique au stade Vélodrome le 27 octobre, nombreux parmi les observateurs se demandent si Marseille, probant deuxième, ne pourrait pas titiller son grand rival. La réponse est cinglante avec un 3-0 net et sans bavure. Le suspense en Ligue 1 n’existe déjà plus. . Le péril de la phase de ligueLe 6 novembre, le PSG reçoit l’Atlético Madrid, avec seulement quatre points pris en trois matches frustrants et une rare inefficacité devant le but. Contre Antoine Griezmann et les siens, Paris domine encore de manière stérile et cède sur un but en contre-attaque des Madrilènes à l’ultime seconde (2-1).Luis Enrique commence à être tancé pour le manque d’adresse, d’aucuns diront de réussite, de son équipe. Son discours, consistant à pester contre un persistant manque de chance, interroge. . Premier déclic inaperçu à Munich 26 novembre. Sur la pelouse de l’Allianz Arena qu’ils fouleront de nouveau pour la finale, les Parisiens essuient une défaite en trompe l’oeil (1-0). Oui, ne prendre aucun point est d’autant plus malvenu qu’ils sont engoncés en 25e position, donc virtuellement éliminés. Oui, Dembélé ne s’est illustré que par son exclusion…Mais dans ce revers dans l’antre du Bayern, à 10 contre 11, des motifs d’espoir peuvent être décelés, à l’image des milieux Vitinha et Joao Neves montrant les signes d’une montée en régime. “Il faut insister, insister, insister” martèle Luis Enrique, persuadé d’être sur la bonne voie.. Manchester City, la fièvre du mercredi soirEnjeu, adversaire, scénario, atmosphère: la soirée du 22 janvier 2025 restera dans les annales.Punis par deux buts des Citizens en début de seconde période, les Parisiens se rebellent enfin, portés par des ultras au diapason. Repartis à l’abordage, ils signent le début de la “remontada” parisienne à l’échelle de la saison: quatre buts en une demi-heure pour renverser l’équipe de Pep Guardiola, dans le fracas d’un Parc des Princes ivre de bonheur. L’équipe a gardé de cette soirée le sentiment que rien ne pouvait lui arriver si elle le décidait. “On a pris confiance depuis ce match, ç’a été la clé”, selon Vitinha. De quoi se transformer en rouleau-compresseur sur la grande scène européenne.Luis Enrique raconte les coulisses de cette mue soudaine: “Il fallait sortir du blocage lié à l’inefficacité devant le but. On a dit aux joueurs: +ne vous inquiétez pas, on va prendre confiance+. L’efficacité on l’a obtenue grâce à la générosité des joueurs, ils ont cherché à mieux se placer dans la surface et on est passé de statistiques lamentables aux meilleures d’Europe”.. Les deux triplés de DembéléLe tube du début d’année: Ousmane Dembélé serial buteur, qui l’eut imaginé ? Le numéro 10 s’illustrait surtout par ses dribbles incessants et… sa maladresse dans le dernier geste. Mais à Stuttgart, le 29 janvier, l’ancien de Dortmund réussit un triplé clinique, profitant de son replacement en faux numéro 9, expérimenté par Luis Enrique depuis décembre.Trois jours plus tard, rebelote en Ligue 1, à Brest, futur adversaire de barrages en C1: trois buts qui illustrent l’intelligence de placement et la finesse technique de Dembélé, gonflé de confiance. Le Parisien ne s’arrêtera pas, émargeant à 33 buts et 13 passes décisives toutes compétitions confondues avant le rendez-vous contre l’Inter.. Choc de titans contre les RedsPromis au sacre en Premier League, premier de la phase de ligue de C1, Liverpool est considéré comme la meilleure équipe d’Europe. A l’aller, le 5 mars à Paris, les Reds sont secoués comme rarement, mais réussissent le hold up (1-0) en fin de match. Nullement abattus, les Parisiens marquent tôt à Anfield et tiennent jusqu’à une séance de tirs aux buts d’anthologie, avec Gianluigi Donnarumma en héros. Paris fait désormais partie des favoris à la victoire finale.. PSG vs Angleterre: grand chelemAprès avoir dégoûté Manchester City, terrassé Liverpool et contenu Aston Villa en quarts, malgré quelques frayeurs à Birmingham (3-1, 2-3), Paris s’offre un quatrième scalp anglais avec Arsenal en demi-finales, en récitant son foot à l’aller (1-0) et en maîtrisant ses émotions au retour (2-1), preuves supplémentaires de sa force collective.

Les taxis toujours mobilisés, le gouvernement promet de “taper fort” sur les VTC

Le gouvernement va intensifier les contrôles des VTC contre la maraude et le “racolage” illégaux, a indiqué le ministère des Transports mardi à la suite d’une réunion avec les représentants des taxis, mobilisés depuis plus d’une semaine. Une autre réunion est prévue mardi soir au ministère de la Santé concernant le deuxième sujet explosif pour les chauffeurs: une nouvelle tarification pour le transport des malades.”Le dialogue a été très direct”, a déclaré Philippe Tabarot à l’AFP à l’issue de la première rencontre. “On va rappeler les règles et taper fort au niveau des contrôles”, a-t-il indiqué. Pour empêcher les VTC de faire de la maraude autour des gares et des aéroports, des amendes forfaitaires, “plus dissuasives et immédiates”, seront étendues dans les trois prochains mois à l’ensemble du territoire, a indiqué le ministère.Des contrôles “intensifs” seront menés “via des opérations ciblées dès cette semaine”, a précisé le ministère après cette réunion qui rassemblait aussi des représentants des  ministères de l’Économie, du Travail et de l’Intérieur.”C’est la première fois qu’on a un ministre qui est prêt à s’engager pour véritablement distinguer les deux activités taxi et VTC”, a réagi le président de l’Union nationale des taxis (UNT) Rachid Boudjema à la sortie de la réunion. “On a des engagements forts de la part du ministre des Transports, notamment sur les points qui sont très bloquants depuis dix ans”, a-t-il souligné.A quelques mètres du ministère, des centaines de taxis continuaient à occuper le boulevard Raspail, enchaînant les nuits sur place, les opérations escargot, les coups de pétards et l’utilisation de fumigènes.- Agrément -Le gouvernement compte “travailler” sur une “durée minimale” de réservation préalable pour les VTC, et “clarifier la définition de la voie publique”, réservée aux taxis.Il évalue aussi la possibilité de mettre en place un “agrément” pour autoriser les plateformes de VTC à exercer en France. L’agrément serait retiré “en cas de manquements fréquents au respect de la réglementation par les chauffeurs”, a précisé le ministère des Transports.Les représentants des VTC sont convoqués lundi 2 juin et leurs plateformes (Uber, Bolt) le 3 juin. Le gouvernement veut aussi réviser la voie d’accès par équivalence, qui permettait à des chauffeurs avec un an d’expérience dans le transport de personnes de devenir VTC.Le gouvernement veut aussi faire en sorte que “les sociétés de rattachement, qui sont des sociétés écrans localisées à l’étranger permettant de contourner les obligations sociales et fiscales, disparaissent”, a précisé le ministère.”Je vais clairement leur demander des explications” sur ce système, pour que les plateformes “ne puissent pas s’exonérer de certaines règles”, a souligné M. Tabarot.Les taxis sont désormais dans l’attente de la rencontre prévue dans la soirée sur la nouvelle convention de la Sécurité sociale, qui doit réformer la rémunération du transports des malades et avait initialement déclenché leur mouvement de grogne.Ce texte prévoit une prise en charge de 13 euros par l’Assurance maladie, puis un tarif kilométrique, avec un système conçu pour dissuader les retours à vide ou les temps d’attente trop longs. Cette tarification doit entrer en vigueur le 1er octobre. L’objectif est de limiter la croissance des dépenses de transport sanitaire. Celles-ci ont atteint 6,74 milliards d’euros en 2024, dont 3,07 milliards pour les taxis conventionnés, soit un bond de 45% depuis 2019.Le Premier ministre François Bayrou a assuré mardi matin que la réforme de la rémunération du transport de malades s’appliquerait bien début octobre.”Je pense qu’on peut faire plus d’économies que ce qui avait été prévu. Mais on va définir ces économies avec eux (les taxis)”, a déclaré le Premier ministre sur BFMTV/RMC, alors que la réforme vise 300 millions d’euros d’économies en trois ans.Â