Florida to carry out state’s 19th execution of the year

A Florida man who committed five murders while a teenager is to be put to death by lethal injection on Thursday, the 19th execution in the southern US state this year.Frank Walls, 58, was convicted of the 1987 murders of Edward Alger, 21, and his girlfriend Ann Peterson, 20, during a robbery of their home.Walls also confessed to committing three other murders.He is to be executed at 6:00 pm (2300 GMT) at a state prison in Raiford.Florida has carried out 18 executions this year, more than any other US state. There have been five each in Alabama and Texas.There have been 46 executions in the United States this year, the most since 2010, when 46 inmates were also put to death. There were 52 executions in the United States in 2009.Thirty-eight of this year’s executions have been carried out by lethal injection.Three have been by firing squad and five by nitrogen hypoxia, which involves pumping nitrogen gas into a face mask, causing the prisoner to suffocate.The use of nitrogen gas as a method of capital punishment has been denounced by United Nations experts as cruel and inhumane.The death penalty has been abolished in 23 of the 50 US states, while three others — California, Oregon and Pennsylvania — have moratoriums in place.President Donald Trump is a proponent of capital punishment and, on his first day in office, called for an expansion of its use “for the vilest crimes.”

Chantier A69: le parquet de Toulouse requiert une suspension des travaux sur le périmètre non-autorisé

Le parquet de Toulouse a annoncé jeudi requérir une suspension des travaux de l’autoroute A69, sur les zones où le chantier “s’est étendu sans autorisation”, précisant avoir saisi un juge pour qu’il statue sur la question.”Au regard (…) de la gravité des atteintes à l’environnement relevées, le parquet de Toulouse a décidé de saisir hier (mercredi) le juge des libertés et de la détention d’un référé pénal environnemental (…) afin de mettre fin aux agissements incriminés dans un but de préservation de l’environnement”, a indiqué le parquet dans un communiqué.Une audience publique aura lieu vendredi à 10h00 au palais de justice de Toulouse.Fin novembre, les opposants à cette autoroute qui doit relier Castres et Toulouse avaient dénoncé “a minima 42 hectares d’emprises supplémentaires” et non-autorisées sur le chantier. Leurs avocats avaient quelques jours plus tard déposé une plainte, assortie d’une demande de référé pénal environnemental.En réponse à leur démarche, le parquet de Toulouse estime que les investigations de l’Office français de biodiversité (OFB) et de la Section de recherches de la gendarmerie, ont “permis de confirmer que de très nombreuses emprises avaient été opérées par la SAS ATOSCA (en charge des travaux de l’A69) en dehors du périmètre correspondant à l’autorisation environnementale délivrée le 1er mars 2023 par les Préfets du Tarn et de la Haute-Garonne”.Des “survols des zones en hélicoptère pour mesurer les dépassements” ont notamment été effectués ces derniers jours, selon une source proche de l’enquête. “Le parquet de Toulouse requiert la suspension des travaux sur tous les terrains où des infractions ont été relevées, soit un total de 46 sites répartis sur l’ensemble du tracé de l’autoroute A69”, a-t-il souligné. Il réclame en outre “une astreinte de 10.000 euros par jour de retard, passé un délai de deux jours à compter de la décision du juge”.”On est très satisfaits que le parquet nous ait entendus, nous ait suivis”, s’est félicitée auprès de l’AFP l’avocate des opposants Alice Terrasse, notant en outre que “le parquet ne s’est pas contenté de prendre une position sur ce qu’on avait pu indiquer dans la plainte, ils ont fait leurs propres recherches, diligenté une enquête avec l’OFB, ce qui donne tout crédit à leur constat et donc à leur demande”.Les constatations effectuées par l’OFB et la gendarmerie porteraient sur “une trentaine d’hectares” à ce stade, selon elle une infraction qui nécessite “une nouvelle autorisation environnementale car on est quand même sur un bouleversement substantiel”.Cette nouvelle procédure devant la justice pénale est parallèle à celle engagée devant la justice administrative. Dans le cadre de cette dernière, les magistrats de la cour administrative d’appel de Toulouse doivent rendre une décision le 30 décembre sur la validité de l’autorisation environnementale du 1er mars 2023 et la poursuite du chantier dans sa globalité.Le rapporteur public, c’est-à-dire le magistrat dont la fonction est de guider les juridictions administratives et dont l’avis est en général suivi, a estimé que cette autorisation était valide et que les travaux devaient donc continuer.

Municipales à Paris: Grégoire (PS) se veut le candidat d’un “Paris populaire”

Le socialiste Emmanuel Grégoire, nouvelle tête de liste à gauche (hors LFI) dans la course à la mairie de Paris, souhaite proposer un projet de “Paris populaire” orienté “vers les plus fragiles”, a-t-il déclaré jeudi aux côtés de ses alliés écologistes et communistes.”Le projet que nous allons proposer aux Parisiennes et aux Parisiens, c’est le projet d’une ville qui soit populaire. Une ville qui protège sa mixité sociale, qui protège son histoire, qui sait que de la différence naît la richesse”, a-t-il déclaré devant le restaurant étudiant solidaire La Cop1ne, dans le 14e arrondissement, dirigé par les Ecologistes.”Paris, c’est une ville merveilleuse, mais quand on est privé d’argent, c’est une ville qui peut être dure”, a-t-il ajouté, plaidant également pour une “ville vivante” au travers de ses quartiers et “fière” de ses valeurs.L’ex-premier adjoint effectuait son premier déplacement de campagne au lendemain de l’annonce d’une alliance historique à gauche au premier tour des municipales à Paris. Il était accompagné de l’écologiste David Belliard et du communiste Ian Brossat, qui se sont tous deux désistés en sa faveur, ainsi que de Théa Fourdrinier, de Place publique, le parti de Raphaël Glucksmann. Les discussions sont en cours pour intégrer des membres du mouvement L’Après, auquel appartient Danielle Simonnet (ex-LFI). Interrogé sur une éventuelle alliance avec la candidate LFI Sophia Chikirou au second tour, Emmanuel Grégoire a une nouvelle fois écarté l’hypothèse.”Ça va se jouer entre Rachida Dati et nous, il n’y a pas d’autre possibilité”, a-t-il déclaré, réfutant l’idée que Sophia Chikirou puisse être en position de se maintenir au second tour avec un score de plus de 10%.”Notre responsabilité est immense  (…) face à un risque de droite populiste qui est très très grand pour notre ville”, a plaidé David Belliard, regrettant un “recul sur l’écologie, la justice sociale, le féminisme, l’antiracisme”.”Soit notre ville se met du côté de l’égoïsme social, ce serait le cas si Dati devait gagner les élections, soit nous avançons du côté de la justice sociale, du progrès social, de l’écologie”, a déclaré de son côté Ian Brossat.

US consumer inflation cools unexpectedly in November

US consumer inflation slowed unexpectedly in November, delayed government data showed Thursday, although levels remained higher than earlier in the year before President Donald Trump’s tariffs flowed through the economy.Analysts warned that disruptions to data collection during the record-long US government shutdown, which ended in mid-November, had likely distorted the figures.The consumer price index (CPI) climbed 2.7 percent from a year ago in November, the Department of Labor said, notably below analysts’ predictions of a 3.1 percent uptick.The figure was also down from a 3.0 percent rise in September, the most recent month for which fuller data was available due to the shutdown.White House National Economic Council director Kevin Hassett was quick to laud the figures, calling this “an astonishingly good CPI report” in a Fox Business interview.But inflation has ticked up this year as Trump launched new tariffs on US trading partners, with many firms flagging elevated business costs.The impact on consumers has been more muted, as companies rushed to stock up on inventory before steeper import prices kicked in. Many opted not to fully pass on the cost increases.Americans nonetheless continue to voice concerns over affordability, with Democratic victories in off-year elections last month seen as a clear sign of the issue’s ongoing importance.Food prices were 2.6 percent higher from a year ago in November, with the index for meats, poultry, fish and eggs up 4.7 percent over the period.Energy costs jumped 4.2 percent over the past 12 months.Excluding the volatile food and energy sectors, “core” CPI was up 2.6 percent in November from a year ago. Overall figures are still above the Federal Reserve’s longer-run target of two percent.- Budget ‘squeeze’ -There were few month-on-month comparisons in Thursday’s report, as the shutdown from October to mid-November hampered data collection.Heather Long, chief economist at the Navy Federal Credit Union, cautioned that with the 43-day government shutdown hitting data collection, “it’s hard to read too much into the November inflation data.””What stands out from the data that is in the report is utilities, home furnishings and used cars and trucks are driving some of the ongoing inflation pressures. This is the result of tariff pressures and the AI boom,” she said.”Americans continue to feel the squeeze in their monthly budgets,” Long added.The White House Council of Economic Advisers pointed to airfares and groceries as areas of improvement in a series of social media posts.Yet, economist Samuel Tombs of Pantheon Macroeconomics flagged that a skew in data collection towards the end of November likely explained why airline fares were seen to slump.”A higher proportion of price quotes than usual for November likely were sourced during the Black Friday discount period,” he cautioned.Similarly, while housing inflation was “unusually weak in the two months leading into November,” this could be “more noise than signal due to the disruptions from the shutdown,” said Bernard Yaros of Oxford Economics.- Fed vigilance -While the latest figures will be scrutinized for their potential bearing on the Federal Reserve’s interest rate decisions, missing October data means an incomplete economic picture.Even as the numbers are “encouraging” for the Fed, central bank chief Jerome Powell “has already warned against reading too much into the latest data due to distortions from the shutdown,” Yaros said in a note.”The central bank will remain most vigilant about the labor market, as a continuation of real wage growth will allow households to fully recover from the hit to their purchasing power since the pandemic,” he added.Fed policymakers have voted for three consecutive meetings to lower rates amid apparent weakening in the jobs market, but some cite risks of persistent inflation in urging caution before further reductions.

US accuses S. Africa of harassing US officials working with AfrikanersThu, 18 Dec 2025 15:55:30 GMT

Washington on Thursday accused South Africa of harassing US government employees working with Afrikaners, the white minority to whom President Donald Trump is granting refugee status, in the latest escalation of tensions.The State Department said that passport information of US officials was leaked and warned in a statement that “failure by the South African government …

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Le domicile de Rachida Dati et la mairie du 7e arrondissement perquisitionnés dans une enquête pour corruption

Des perquisitions ont été menées jeudi au domicile de Rachida Dati ainsi qu’à la mairie du 7e arrondissement de Paris, qu’elle dirige, dans le cadre d’une enquête pour corruption, selon une source proche du dossier à l’AFP.La ministre de la Culture est soupçonnée d’avoir perçu 299.000 euros d’honoraires de GDF Suez quand elle était députée européenne, sans en déclarer la provenance au Parlement européen.Les perquisitions ont été menées par l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) dans le cadre d’une information judiciaire visant la ministre et candidate LR à la mairie de Paris, ouverte le 14 octobre et confiée à des juges parisiens, selon Le Nouvel Obs et l’émission Complément d’Enquête, sur France 2, qui ont révélé l’information. Selon une enquête diffusée début juin sur France 2, les fonds du géant français avaient transité par un cabinet d’avocats, STC Partners, avant d’être rebasculés sur les comptes de Mme Dati en 2010 et 2011. D’après Complément d’enquête, l’origine de ces revenus n’a pas été déclarée au Parlement européen comme cela est requis pour éviter les conflits d’intérêt. Sollicité par l’AFP, l’entourage de Mme Dati n’a pas souhaité faire de commentaire.Mme Dati avait qualifié en juin sur Europe 1 et CNews ces accusations de “diffamatoires”, assurant que les documents évoqués dans cette émission avaient déjà “été examinés par la justice” dans le cadre des investigations sur l’affaire Carlos Ghosn, qui lui valent d’être mise en examen pour corruption passive.”Tout ça est déclaré, est très au clair”, avait également assuré la ministre, qui a toujours nié avoir été rémunérée par GDF Suez.Complément d’enquête affirmait toutefois que les documents comptables du cabinet STC n’avaient pas été saisis et examinés par la justice.Mme Dati est par ailleurs renvoyée devant le tribunal correctionnel dans un autre dossier, de corruption et trafic d’influence, dans lequel elle devra comparaître aux côtés de l’ancien tout-puissant patron de Renault-Nissan, Carlos Ghosn. Le procès devrait se tenir en septembre prochain.La ministre de la Culture est par ailleurs visée par une autre enquête, ouverte par le parquet de Paris, concernant une éventuelle non-déclaration de bijoux de luxe.

Le domicile de Rachida Dati et la mairie du 7e arrondissement perquisitionnés dans une enquête pour corruption

Des perquisitions ont été menées jeudi au domicile de Rachida Dati ainsi qu’à la mairie du 7e arrondissement de Paris, qu’elle dirige, dans le cadre d’une enquête pour corruption, selon une source proche du dossier à l’AFP.La ministre de la Culture est soupçonnée d’avoir perçu 299.000 euros d’honoraires de GDF Suez quand elle était députée européenne, sans en déclarer la provenance au Parlement européen.Les perquisitions ont été menées par l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) dans le cadre d’une information judiciaire visant la ministre et candidate LR à la mairie de Paris, ouverte le 14 octobre et confiée à des juges parisiens, selon Le Nouvel Obs et l’émission Complément d’Enquête, sur France 2, qui ont révélé l’information. Selon une enquête diffusée début juin sur France 2, les fonds du géant français avaient transité par un cabinet d’avocats, STC Partners, avant d’être rebasculés sur les comptes de Mme Dati en 2010 et 2011. D’après Complément d’enquête, l’origine de ces revenus n’a pas été déclarée au Parlement européen comme cela est requis pour éviter les conflits d’intérêt. Sollicité par l’AFP, l’entourage de Mme Dati n’a pas souhaité faire de commentaire.Mme Dati avait qualifié en juin sur Europe 1 et CNews ces accusations de “diffamatoires”, assurant que les documents évoqués dans cette émission avaient déjà “été examinés par la justice” dans le cadre des investigations sur l’affaire Carlos Ghosn, qui lui valent d’être mise en examen pour corruption passive.”Tout ça est déclaré, est très au clair”, avait également assuré la ministre, qui a toujours nié avoir été rémunérée par GDF Suez.Complément d’enquête affirmait toutefois que les documents comptables du cabinet STC n’avaient pas été saisis et examinés par la justice.Mme Dati est par ailleurs renvoyée devant le tribunal correctionnel dans un autre dossier, de corruption et trafic d’influence, dans lequel elle devra comparaître aux côtés de l’ancien tout-puissant patron de Renault-Nissan, Carlos Ghosn. Le procès devrait se tenir en septembre prochain.La ministre de la Culture est par ailleurs visée par une autre enquête, ouverte par le parquet de Paris, concernant une éventuelle non-déclaration de bijoux de luxe.

L’avenir d’une députée RN et du maire d’Orange Yann Bompard suspendu à une possible inéligibilité

A trois mois des municipales, l’avenir politique de la dynastie Bompard à Orange et de la députée RN du Vaucluse Marie-France Lorho s’est obscurci jeudi au tribunal judiciaire de Marseille, où des peines d’inéligibilité ont été requises.Le jugement sera rendu le 26 janvier, à moins de deux mois du premier tour des élections municipales, où Marie-France Lorho, 61 ans, entend se présenter comme numéro deux de la liste Rassemblement national (RN) à Orange, et où Yann Bompard n’a pas fait mystère de candidater à sa succession.Aujourd’hui adversaires politiques, tenant soigneusement leurs distances pendant l’audience, ces deux figures politiques du Vaucluse ont d’abord fait chemin commun.Les faits reprochés de détournement et de recel de fonds publics s’étendent de novembre 2021 à février 2023, où Yann Bompard, 39 ans, est accusé d’avoir occupé un emploi fictif de collaborateur parlementaire. Préjudice évalué par l’Assemblée nationale, qui s’est constituée partie civile: 75.000 euros.Jeudi, la procureure Louise Chrétien a requis des peines de cinq ans d’inéligibilité avec exécution provisoire, c’est-à-dire applicables immédiatement, à l’encontre des deux responsables. Des peines de 18 mois de prison avec sursis à l’encontre de Marie-France Lorho, aussi poursuivie pour subornation de témoin, assorti de 10.000 euros d’amende ont également été réclamées. Et pour Yann Bompard, “pour lequel il y a bien eu enrichissement personnel” selon la procureure, 24 mois avec sursis et 15.000 euros d’amende.”La grande majorité des tâches prévues” pour Yann Bompard “n’étaient pas effectuées”, a lancé Louise Chrétien, car “matériellement (…) il manquait de temps pour remplir ses obligations contractuelles”.En cause, ses multiples casquettes de conseiller départemental, président d’intercommunalité, collaborateur parlementaire et, surtout, maire d’Orange depuis fin 2021. Il reprend alors le fauteuil de son père Jacques, condamné pour prise illégale d’intérêt dans son 6e mandat consécutif.- “Emprise de la famille Bompard” -“Il n’avait aucune raison d’être payé trois fois pour le même travail”, a pointé Louise Chrétien, égrenant des revenus cumulés de 5.400 euros – hors salaire de collaborateur. La veille, l’élu avait répliqué qu’il se rendait à des réunions locales “en tant que tout”: “jamais je n’ai senti que je volais l’argent”. L’accusation a surtout insisté sur “la pauvreté des traces retrouvées” de son travail, “une dizaine de mails, une dizaine de SMS”. Une situation globalement retracée lors d’une écoute téléphonique où Marie-France Lorho et un autre assistant tentent de couvrir Yann Bompard.Quant à la députée, selon l’accusation, elle n’a “pas endossé ses responsabilités d’employeur alors qu’elle bénéficiait de l’argent public”. Et elle “a mis six mois à imposer à Yann Bompard un contrat à mi-temps, sans prendre aucune mesure disciplinaire”, alors qu’elle avait constaté “une baisse de son travail” depuis qu’il était devenu maire. Cette baisse était concomitante à leur rupture politique actée au printemps 2022, lorsqu’elle avait décidé de couper les ponts avec la Ligue du Sud – le parti fondé par Jacques Bompard – au profit du RN. Elle était aussi “dans un lien de subordination totalement inversé”, et vivait dans “la peur, l’emprise de la famille Bompard”. Autant d’arguments balayés par la défense.L’exécution provisoire ? “Un instrument à la mode, un déni du droit à se défendre”, selon Me Christophe Bass, avocat de Yann Bompard.Son travail ? “Des traces, vous en avez”, même si “la masse silencieuse” de son activité “n’en laisse pas: son expérience du terrain, son apport, précieux”, pour ce “profil inégalé”.Les craintes de “représailles du camp Bompard”, avancées par Marie-France Lorho pour avoir tardé à se séparer de Yann ? “Du vent !”.Au fond, explique Me Bass, “vous lui reprochez le temps qu’il a mis à comprendre qu’elle ne voulait plus de lui”.L’avocat de Marie-France Lorho, Me Guillaume De Palma, a lui aussi défendu “la grande autonomie, bannie des réquisitions” dont jouissait Yann Bompard: “son bureau, c’était la rue !”. Quant à sa cliente, elle a bien “pris la mesure” de la baisse d’activité de Yann Bompard, le passant à mi-temps. Tout au plus, aurait-elle fait preuve de “négligence” par manque d’expérience.