South Africa’s informal miners fight for their future in coal’s twilightMon, 01 Dec 2025 06:21:38 GMT

Growing up, Cyprial dreamed of being a lawyer. Instead, he now spends his days underground, swinging a pickaxe against rock in a pitch-black illegal mine that snakes for kilometres beneath South Africa’s coal heartland.The rumbling of wheelbarrows echoed down the narrow tunnels where he and dozens of other men had been mining since dawn.Some chipped away …

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JO-2030: première visite in situ de la commission spéciale du CIO

Val d’Isère, Courchevel, La Plagne: la commission du Comité international olympique (CIO) dédiée au suivi des JO-2030 dans les Alpes françaises se rend pour la première fois dès lundi dans plusieurs stations qui devraient accueillir des compétitions, même si la carte définitive des sites n’est pas encore arrêtée.Ces Jeux olympiques, attribués à la France en juillet 2024, vont se dérouler autour de quatre grands pôles: Nice accueillera les épreuves de glace, tandis que celles sur neige auront lieu en Savoie, en Haute-Savoie et dans le Briançonnais.De lundi à mercredi, la commission de coordination des Jeux d’hiver des Alpes françaises 2030, dont la composition a été dévoilée en septembre, va faire son premier état des lieux en Savoie et Haute-Savoie. Elle visitera des sites qui sont en grande majorité intégrés dans le “schéma préférentiel” des JO – encore non définitif – élaboré par le Comité d’organisation des jeux olympiques et paralympiques français (Cojop).Mais la délégation du CIO ira aussi à Val d’Isère, qui n’est pas encore sur ce schéma. La station chère à Jean-Claude Killy, champion olympique à Grenoble en 1968 et coprésident des JO-1992 à Albertville, était présente dans le dossier de candidature mais elle en avait ensuite été retirée, avant de finalement revenir dans le jeu.”Le Cojop et toutes les parties prenantes souhaitent intégrer cette station emblématique pour sublimer les épreuves de ski alpin. Les discussions sont en cours avec la collectivité pour rendre cette intégration possible tout en maintenant l’équilibre budgétaire du projet, par des engagements clairs”, avait ainsi indiqué en juillet le comité d’organisation.Deux autres dossiers restent encore en suspens pour finaliser la carte des sites: la localisation des Jeux paralympiques, qui se tiendront dans la foulée des JO, ainsi que le choix de l’anneau de vitesse pour le patinage. – Turin ou Heerenveen -La France ne disposant pas d’un tel équipement et ayant repoussé l’idée de s’en doter, décision a été prise d’organiser à l’étranger les épreuves de patinage de vitesse. Le Cojop doit ainsi trancher entre l’Oval de Turin en Italie, et le Thialf d’Heerenveen aux Pays-Bas.”L’Italie, ça me paraît à côté de chez moi. Les Alpes françaises, les Alpes Italiennes, ce sont les Alpes”, mettait en avant en octobre Renaud Muselier, président de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur, une des deux régions-hôtes, avant de rajouter: “maintenant, si c’est pour perdre de l’argent en Italie, autant qu’on aille en gagner en Hollande”, où le patinage est le sport-roi.Un conseil d’administration du Cojop prévu le 15 décembre doit examiner ces deux dossiers mais ne devrait pas encore rendre de décision.Lors des visites de chantier et réunions plénières programmées à Val d’Isère, Courchevel, La Plagne, La Clusaz et au Grand Bornand pendant ces trois jours, la délégation du CIO sera accompagnée par l’ensemble des représentants du sport français, de la ministre Marina Ferrari aux présidents des régions Paca et Auvergne-Rhône-Alpes (Aura), sans oublier des élus locaux ou encore des responsables de fédérations.La commission de coordination est présidée par Pierre-Olivier Beckers-Vieujant, qui l’avait déjà pilotée pour les Jeux de Paris 2024. Elle est composée de représentants du CIO, de fédérations internationales de sports ainsi que d’athlètes et d’experts. Christophe Dubi, directeur exécutif des JO du CIO, sera également présent.

Chantage à la sextape: l’heure du jugement pour le maire de Saint-Etienne

Deux mois après son procès pour chantage à la vidéo intime, le maire de Saint-Etienne Gaël Perdriau saura lundi si ses protestations d’innocence ont convaincu les juges, malgré les témoignages à charge de ses co-prévenus et un enregistrement accablant.Le tribunal correctionnel de Lyon doit rendre sa décision à 09H30 dans cette affaire de piège tendu à un rival du maire, l’ex-premier adjoint Gilles Artigues, filmé à la caméra cachée en compagnie d’un prostitué, puis contraint à faire profil bas.Après de longues et poisseuses journées d’audience fin septembre, cinq ans de prison, dont trois ferme, et une peine d’inéligibilité avec application immédiate ont été requis contre Gaël Perdriau.”C’est lui qui avait les mains sur la manette nucléaire”, avait déclaré la procureure Audrey Quey, qualifiant le maire de “décideur”, même si le complot a été mis en œuvre par d’anciens collaborateurs, qui sont, eux, passés aux aveux.Se disant consciente de l’enjeu démocratique d’une peine synonyme de fin de mandat même en cas d’appel, la magistrate avait estimé que “l’abjection” et “la vilenie” des faits la justifiait.Gaël Perdriau “n’a jamais eu la vidéo et aucun écrit ne montre qu’il a donné son aval à cette odieuse opération”, avait au contraire plaidé son avocat Me Jean-Félix Luciani, en demandant au tribunal de déclarer son client non coupable “au bénéfice du doute”.- “Tenir en respect” -Depuis que le scandale a éclaté avec une enquête de Mediapart en 2022, l’élu de 53 ans, exclu du parti Les Républicains, a toujours nié avoir participé au kompromat et a refusé de démissionner.Lors de son procès pour chantage, association de malfaiteurs et détournement de fonds publics, Gaël Perdriau a encore bataillé pied à pied pour convaincre de son innocence, mais son témoignage a été fragilisé par celui de ses co-prévenus.Pierre Gauttieri, qui fut pendant dix ans son directeur de cabinet, a assuré que dès son élection en 2014, le maire lui avait demandé de trouver “une solution pour tenir en respect Gilles Artigues” dont il doutait de la loyauté.L’idée de piéger avec un escort-boy ce catholique opposé au mariage entre personnes de même sexe a germé lors d’échanges avec l’ambitieux adjoint à l’Education Samy Kéfi-Jérôme et le conjoint de ce dernier Gilles Rossary-Lenglet, ont-ils tous les trois reconnu.Selon Pierre Gauttieri, le maire a ensuite donné son feu vert et pris en charge le volet financier du piège, en faisant voter deux subventions de 20.000 euros chacune à des associations stéphanoises, qui les ont reversées à Gilles Rossary-Lenglet, “barbouze” autoproclamé de l’opération.- “Clé USB” -Pour le directeur de cabinet, la procureure n’a requis qu’un an de prison ferme, aménageable à domicile sous bracelet, prenant acte de ses efforts de contrition.Elle a demandé deux ans de prison ferme pour Samy Kéfi-Jérôme et Gilles Rossary-Lenglet, mais la relaxe pour les dirigeants d’associations poursuivis pour “abus de confiance”, jugeant qu’ils avaient été “bernés” dans cette affaire.Tout au long du procès, Gaël Perdriau a martelé ne pas avoir brimé son premier adjoint et n’avoir jamais rien exigé de lui, les fameuses “contreparties” qui juridiquement sont nécessaires pour qualifier un chantage.La diffusion d’un enregistrement réalisé à son insu par Gilles Artigues en 2017 a mis à mal cette ligne de défense. On l’entend expliquer à son rival qu’il détient une “clé USB” avec des images compromettantes et menacer de les diffuser “en petits cercles”, “avec parcimonie”.Gilles Artigues, très meurtri, a assuré à la barre que le maire avait évoqué la vidéo à d’autres reprises: “j’étais paralysé, je ne faisais plus rien” à la mairie, a-t-il décrit. “J’étais comme une marionnette, on me posait là et je souriais.”

Chantage à la sextape: l’heure du jugement pour le maire de Saint-Etienne

Deux mois après son procès pour chantage à la vidéo intime, le maire de Saint-Etienne Gaël Perdriau saura lundi si ses protestations d’innocence ont convaincu les juges, malgré les témoignages à charge de ses co-prévenus et un enregistrement accablant.Le tribunal correctionnel de Lyon doit rendre sa décision à 09H30 dans cette affaire de piège tendu à un rival du maire, l’ex-premier adjoint Gilles Artigues, filmé à la caméra cachée en compagnie d’un prostitué, puis contraint à faire profil bas.Après de longues et poisseuses journées d’audience fin septembre, cinq ans de prison, dont trois ferme, et une peine d’inéligibilité avec application immédiate ont été requis contre Gaël Perdriau.”C’est lui qui avait les mains sur la manette nucléaire”, avait déclaré la procureure Audrey Quey, qualifiant le maire de “décideur”, même si le complot a été mis en œuvre par d’anciens collaborateurs, qui sont, eux, passés aux aveux.Se disant consciente de l’enjeu démocratique d’une peine synonyme de fin de mandat même en cas d’appel, la magistrate avait estimé que “l’abjection” et “la vilenie” des faits la justifiait.Gaël Perdriau “n’a jamais eu la vidéo et aucun écrit ne montre qu’il a donné son aval à cette odieuse opération”, avait au contraire plaidé son avocat Me Jean-Félix Luciani, en demandant au tribunal de déclarer son client non coupable “au bénéfice du doute”.- “Tenir en respect” -Depuis que le scandale a éclaté avec une enquête de Mediapart en 2022, l’élu de 53 ans, exclu du parti Les Républicains, a toujours nié avoir participé au kompromat et a refusé de démissionner.Lors de son procès pour chantage, association de malfaiteurs et détournement de fonds publics, Gaël Perdriau a encore bataillé pied à pied pour convaincre de son innocence, mais son témoignage a été fragilisé par celui de ses co-prévenus.Pierre Gauttieri, qui fut pendant dix ans son directeur de cabinet, a assuré que dès son élection en 2014, le maire lui avait demandé de trouver “une solution pour tenir en respect Gilles Artigues” dont il doutait de la loyauté.L’idée de piéger avec un escort-boy ce catholique opposé au mariage entre personnes de même sexe a germé lors d’échanges avec l’ambitieux adjoint à l’Education Samy Kéfi-Jérôme et le conjoint de ce dernier Gilles Rossary-Lenglet, ont-ils tous les trois reconnu.Selon Pierre Gauttieri, le maire a ensuite donné son feu vert et pris en charge le volet financier du piège, en faisant voter deux subventions de 20.000 euros chacune à des associations stéphanoises, qui les ont reversées à Gilles Rossary-Lenglet, “barbouze” autoproclamé de l’opération.- “Clé USB” -Pour le directeur de cabinet, la procureure n’a requis qu’un an de prison ferme, aménageable à domicile sous bracelet, prenant acte de ses efforts de contrition.Elle a demandé deux ans de prison ferme pour Samy Kéfi-Jérôme et Gilles Rossary-Lenglet, mais la relaxe pour les dirigeants d’associations poursuivis pour “abus de confiance”, jugeant qu’ils avaient été “bernés” dans cette affaire.Tout au long du procès, Gaël Perdriau a martelé ne pas avoir brimé son premier adjoint et n’avoir jamais rien exigé de lui, les fameuses “contreparties” qui juridiquement sont nécessaires pour qualifier un chantage.La diffusion d’un enregistrement réalisé à son insu par Gilles Artigues en 2017 a mis à mal cette ligne de défense. On l’entend expliquer à son rival qu’il détient une “clé USB” avec des images compromettantes et menacer de les diffuser “en petits cercles”, “avec parcimonie”.Gilles Artigues, très meurtri, a assuré à la barre que le maire avait évoqué la vidéo à d’autres reprises: “j’étais paralysé, je ne faisais plus rien” à la mairie, a-t-il décrit. “J’étais comme une marionnette, on me posait là et je souriais.”

Zelensky meets Macron to shore up support for Ukraine as Trump optimistic

Ukrainian President Volodymyr Zelensky meets French counterpart Emmanuel Macron in Paris on Monday, seeking to shore up European support as US President Donald Trump expressed optimism of a deal to end Russia’s war in Ukraine.US and Ukrainian negotiators held hours of what both sides called “productive” talks in Florida on Sunday on a plan Washington wants to form the basis of a peace deal between Russia and Ukraine.  The diplomatic flurry after nearly four years of conflict comes as Kyiv battles military pressure and reels from a domestic corruption scandal that forced Zelensky to remove his close aide and top negotiator.The Ukrainian leader has been a regular visitor to Paris since Russia launched its full-scale invasion in February 2022 — this latest visit due to get under way at 10:00 am (0900 GMT). French Foreign Minister Jean-Noel Barrot said in comments to the La Tribune Dimanche newspaper on Sunday that the meeting aimed “to move the negotiations forward”.”Peace is within reach, if (Russian President) Vladimir Putin abandons his delusional hope of reconstituting the Soviet empire by first subjugating Ukraine,” he added.Washington put forward an initial 28-point proposal to halt the war, drafted without input from Ukraine’s European allies and regarded as too close a reflection of Moscow’s maximalist demands on Ukrainian territory.It would have seen Kyiv withdraw from its eastern Donetsk region and the United States de facto recognise the Donetsk, Crimea and Lugansk regions as Russian.After talks in Geneva just over a week ago, the United States updated the original blueprint following criticism from Kyiv and Europe, but the current contents remain unclear.- ‘Ukraine’s sovereignty’ – Trump’s envoy Steve Witkoff is due in Moscow for follow-up talks and is expected to discuss Ukraine with Putin on Tuesday.The Florida talks were described by both Ukrainian and American negotiators as “productive” but US Secretary of State Marco Rubio said more work was required and a source in Kyiv’s delegation called the talks “not easy”.Trump was optimistic, however, telling reporters aboard Air Force One: “I think that there’s a good chance we can make a deal.”He also referred to political turbulence in Kyiv which saw Zelensky last week remove Andriy Yermak, his chief of staff and top negotiator throughout the conflict, after a corruption scandal in the energy sector that has troubled Western allies.”Ukraine’s got some difficult little problems,” Trump said.Ukraine’s security council secretary Rustem Umerov instead led Kyiv’s delegation at the Florida talks.He wrote on Facebook that he had briefed Zelensky on the “substantial progress” made.”It is important that the talks have a constructive dynamic and that all issues were discussed openly and with a clear focus on ensuring Ukraine’s sovereignty and national interests,” Zelensky wrote on X after the talks.Rubio told reporters the Florida talks were “very productive” but “there’s more work to be done”.”There are a lot of moving parts, and obviously there’s another party involved here that will have to be a part of the equation, and that will continue later this week when Mr Witkoff travels to Moscow,” he said.- ‘Important days’ – Ahead of his meeting with Macron, Zelensky said on social media he had briefed Finland’s President Alexander Stubb — seen as an influential player due to his warm relationship with Trump — on “the signals we have received from the American side”.He also spoke separately to EU Commission chief Ursula von der Leyen and NATO chief Mark Rutte, saying “these are important days, and much can change”.The diplomatic push comes as the war — which has killed tens of thousands of civilians and military personnel and displaced millions of Ukrainians — shows no sign of easing.Russia’s forces targeted Ukraine’s capital and the region with deadly air strikes two nights in a row over the weekend.A Ukrainian security source, meanwhile, said Kyiv was responsible for attacks on two oil tankers in the Black Sea that it believed were covertly transporting sanctioned Russian oil.One of Russia’s largest oil terminals halted operations on Saturday following a drone attack.The Caspian Pipeline Consortium (CPC), a group that includes US oil majors Chevron and ExxonMobil and which owns the terminal, called the strike a “terrorist attack”.Ukraine, which did not comment on the incident, regularly targets Russian energy facilities in a bid to sap the country’s war chest.burs-sjw-kjm/tc

Militaries come to aid of Asia flood victims as toll nears 1,000

Sri Lanka and Indonesia deployed military personnel on Monday to help victims of devastating flooding that has killed nearly 1,000 people across four countries in Asia in recent days.Separate weather systems brought torrential, extended rainfall to the entire island of Sri Lanka and large parts of Indonesia’s Sumatra, southern Thailand and northern Malaysia last week.Arriving in North Sumatra on Monday, Indonesia President Prabowo Subianto said “the worst has passed, hopefully”.The government’s “priority now is how to immediately send the necessary aid”, with particular focus on several isolated villages, he added.Prabowo has come under increasing pressure to declare a national emergency in response to flooding and landslides that have killed at least 442 people, with hundreds more missing.Unlike his Sri Lankan counterpart, he has also not publicly called for international assistance.The toll is the deadliest in a natural disaster in Indonesia since a massive 2018 earthquake and subsequent tsunami killed more than 2,000 people in Sulawesi.The government has sent three warships carrying aid and two hospital ships to some of the worst-hit areas, where many roads remain impassable.- Sri Lanka seeks aid -In Sri Lanka meanwhile, the government called for international aid and used military helicopters to reach people stranded by flooding and landslides triggered by Cyclone Ditwah.At least 340 people have been killed, Sri Lankan officials said on Monday, with many more still missing.Floodwaters in the capital Colombo peaked overnight, and with rain now stopped there were hopes that waters would begin receding.Some shops and offices began to reopen.Officials said the extent of the damage in the worst-affected central region was only just being revealed as relief workers cleared roads blocked by fallen trees and mudslides.In Ma Oya, just north of the capital, Hasitha Wijewardena said he was struggling to clean up after the floods.”The water has gone down, but the house is now full of mud,” he told local reporters, appealing for military help to clean up.President Anura Kumara Dissanayake, who declared a state of emergency to deal with the disaster, vowed to build back.”We are facing the largest and most challenging natural disaster in our history,” he said in an address to the nation. “Certainly, we will build a better nation than what existed before.”The losses and damage are the worst in Sri Lanka since the devastating 2004 Asian tsunami that killed around 31,000 people there and left more than a million homeless.- Anger in Thailand -By Sunday afternoon, rain had subsided across Sri Lanka but low-lying areas of the capital were flooded and authorities were bracing for a major relief operation.Military helicopters have been deployed to airlift stranded residents, and deliver food, though one crashed just north of Colombo on Sunday evening.Selvi, 46, a resident of the Colombo suburb of Wennawatte, left her flooded home on Sunday, carrying four bags of clothes and valuables.”My house is completely flooded. I don’t know where to go, but I hope there is some safe shelter where I can take my family,” she told AFP.Much of Asia is in its annual monsoon season, which often brings heavy rain, triggering landslides and flash floods.But the flooding that hit Indonesia, Thailand and Malaysia was also exacerbated by a rare tropical storm that dumped heavy rain on Sumatra island in particular.Climate change has also increased the intensity of storms, and produced more heavy rain events because a warmer atmosphere holds more moisture.The waves of rain caused flooding that killed at least 176 people in southern Thailand, authorities said Monday, one of the deadliest flood incidents in the country in a decade.The government has rolled out relief measures, but there has been growing public criticism of the flood response, and two local officials have been suspended over their alleged failures.Across the border in Malaysia, where heavy rains also inundated large stretches of land in Perlis state, two people were killed.burs-sah/mtp