Egypt teammates rally behind unsettled Salah before AFCONWed, 10 Dec 2025 08:17:48 GMT

While the future of Mohamed Salah at Liverpool hangs in the balance, Egypt teammates have rallied behind the national team captain ahead of the 2025 Africa Cup of Nations in Morocco.  The record seven-time continental champions are in Group B with Angola, South Africa and Zimbabwe, and will be based in southern coastal city Agadir …

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Polluants éternels et perturbateurs endocriniens: les risques pendant la grossesse se précisent

Troubles du développement, naissances prématurées aux conséquences parfois mortelles… Deux nouvelles études détaillent certains risques environnementaux pendant la grossesse, l’une sur les polluants éternels, l’autre sur certains perturbateurs endocriniens.”L’eau potable contaminée aux PFAS nuit aux nourrissons”, conclut la première étude, publiée lundi dans la revue PNAS et réalisée par des chercheurs américains dans l’Etat du New Hampshire.Les PFAS – un acronyme pour les substances chimiques “per- et polyfluoroalylées – sont couramment qualifiés de “polluants éternels”. Quasi indestructibles et présents dans quantité d’objets et de produits, ils s’accumulent avec le temps dans l’air, le sol, l’eau, la nourriture et, in fine, dans le corps humain, notamment dans le sang, les tissus du rein ou du foie.Leur large présence suscite des préoccupations croissantes pour la santé publique, alors que leur remplacement par les industriels paraît complexe. En France, où ils doivent être partiellement interdits – notamment dans les cosmétiques – à partir de 2026, les autorités sanitaires ont récemment constaté que l’un d’eux, le TFA, était omniprésent dans l’eau du robinet.Les connaissances sur les risques sanitaires des “polluants éternels” sont incomplètes mais des effets néfastes sont déjà pointés pour plusieurs. Ils sont notamment associés à des conséquences néfastes sur la grossesse et le développement du foetus.Dans ce contexte, les auteurs de l’étude de PNAS ont évalué à quel point un bébé pouvait pâtir à la naissance d’une exposition à ces polluants pendant la grossesse, période particulièrement vulnérable par rapport à l’environnement.Ils ont identifié une quarantaine de sites industriels pollués dans le New Hampshire puis ont comparé les données sur plus de 10.000 grossesses des années 2010, selon que les mères habitaient en amont ou en aval des sites.- Méthodologies robustes -Pour les enfants nés dans le second groupe, le risque de mourir avant un an triple quasiment (+191%). Ce chiffre impressionnant doit être nuancé par le nombre relativement faible de décès, mais le risque d’événements plus courants augmente aussi: une naissance prématurée (+20%) ou un faible poids à la naissance (+43%).Cette étude a été saluée par des experts médicaux pour lesquels sa méthodologie permet quasiment de conclure à un rapport de cause à effet, fait rare dans la recherche en santé environnementale. Certains spécialistes avertissent néanmoins que la méthodologie permet mal de distinguer l’effet des PFAS d’autres polluants issus des mêmes sites.Reste que “c’est une étude importante car les conséquences des PFAS sur les foetus et les nouveaux-nés sont une inquiétude majeure à travers le monde”, estime Neena Modi, professeure en néonatalogie à l’Imperial College London, dans une réaction à l’organisme britannique Science Media Center.Parallèlement, une étude européenne, publiée mercredi dans le Lancet Planetary Health, examine les conséquences de l’exposition à un autre type de produits chimiques: les “phénols”, dont certains sont des perturbateurs endocriniens avérés ou soupçonnés.Ces composants sont également omniprésents – dans des emballages alimentaires ou des cosmétiques. L’un d’eux, le bisphénol A, a vu son usage très encadré dans l’Union européenne et même interdit en France dans l’alimentation.Mais l’étude souligne les problèmes posés par certains produits de remplacement.L’un d’eux, le bisphénol S, est associé à une plus grande fréquence de troubles comportementaux – anxiété, agressivité… – chez les garçons dont la mère a été exposée en fin de grossesse. Même constat, incluant cette fois les filles, pour un autre phénol, le méthylparabène.Les conclusions apparaissent robustes car elles se basent sur un grand nombre de prélèvements lors de la grossesse, et sur deux groupes de plusieurs centaines de mères – l’un en Espagne, l’autre en France – au profil nettement différents: âge, poids…Pour autant, l’ampleur des effets reste relativement limitée: à l’échelle d’une femme enceinte, ils changent peu la donne. Mais, vu la large exposition à ces substances, ils représentent un enjeu important de santé publique.”Sur ce type d’étude, on raisonne toujours en risque populationnel et non pas individuel”, explique à l’AFP Claire Philippat, chercheuse à l’Inserm, qui a supervisé l’étude. Elle juge que son travail plaide surtout pour durcir la réglementation sur ces produits, soulignant qu’à l’inverse de certains polluants éternels ils peuvent vite être éliminés par l’organisme.

L’opposante vénézuélienne Machado absente à la cérémonie de remise de son Nobel de la paix

L’opposante vénézuélienne Maria Corina Machado, qui vit cachée dans son pays, ne recevra pas en personne son prix Nobel de la paix mercredi à Oslo et sera remplacée par sa fille, a annoncé l’Institut Nobel norvégien, qui dit ignorer où la lauréate se trouve.Après l’annulation de la traditionnelle conférence de presse Nobel mardi, des doutes croissants planaient autour de la participation de Mme Machado à la cérémonie de remise du Nobel qui doit commencer à 13H00 (12H00 GMT) à l’Hôtel de ville d’Oslo.”Elle ne vient pas à la cérémonie”, a finalement annoncé à l’AFP le porte-parole de l’institut, Erik Aasheim, mercredi matin.Mme Machado est entrée dans la clandestinité au Venezuela en août 2024, quelques jours jours après une élection présidentielle à laquelle elle avait été empêchée de se présenter. Sa dernière apparition publique remonte au 9 janvier, lors d’une manifestation à Caracas contre l’investiture du président de gauche Nicolas Maduro pour son troisième mandat, remporté dans des conditions contestées. “Je ne sais tout simplement pas où elle se trouve exactement”, a confié mercredi au micro de la radio NRK le directeur de l’Institut Nobel, Kristian Berg Harpviken.Très peu de gens savent où et comment Mme Machado se déplace en raison de la nature répressive du régime de Nicolas Maduro, “prêt à utiliser absolument tous les moyens contre l’opposition”, a-t-il expliqué.Le Nobel de la paix a été attribué à l’opposante de 58 ans le 10 octobre pour ses efforts en faveur d’une transition démocratique au Venezuela.Les États-Unis et une partie de la communauté internationale ne reconnaissent pas les résultats de l’élection présidentielle de juillet 2024 à l’issue de laquelle Nicolas Maduro a remporté un troisième mandat de six ans.L’opposition avait dénoncé une fraude et revendiqué la victoire de l’opposant Edmundo Gonzalez Urrutia, aujourd’hui en exil.L’annulation de la participation de Mme Machado survient alors que plusieurs chefs d’État d’Amérique latine ayant en commun des affinités idéologiques avec Donald Trump, tel le président argentin Javier Milei, sont déjà arrivés à Oslo pour participer à la cérémonie.La mère octogénaire de la lauréate, ses trois sœurs et ses trois enfants ont aussi fait le déplacement.- “Fugitive” -Le mois dernier, le procureur général du Venezuela a dit à l’AFP que Mme Machado serait considérée comme “fugitive” si elle quittait son pays, où elle est accusée selon lui d'”actes de conspiration, d’incitation à la haine et de terrorisme”.Sa venue à Oslo aurait donc soulevé l’épineuse question de son éventuel retour au Venezuela ou de sa capacité à diriger l’opposition vénézuélienne depuis un hypothétique exil.”Elle risque d’être arrêtée si elle rentre, même si les autorités ont fait preuve de plus de retenue avec elle qu’avec beaucoup d’autres parce qu’une arrestation aurait une portée symbolique très forte”, expliquait mardi Benedicte Bull, professeure spécialiste de l’Amérique latine à l’Université d’Oslo. D’un autre côté, “elle est la dirigeante incontestée de l’opposition, mais si elle reste longtemps en exil, je pense que cela changera et qu’elle perdra progressivement de l’influence politique”, a-t-elle ajouté auprès de l’AFP.Des manifestations pro et anti-Machado sont prévues dans la capitale norvégienne, placée sous très haute sécurité.Si elle est saluée par beaucoup pour ses efforts en faveur d’une démocratisation au Venezuela, Mme Machado est aussi critiquée par d’autres pour la proximité de ses idées avec le président américain Donald Trump, auquel elle a dédié son Nobel.La remise du prix coïncide avec la mise en place par les États-Unis d’un important dispositif militaire dans les Caraïbes et des frappes américaines mortelles sur des bateaux présentés comme se livrant au trafic de drogue, des opérations que l’opposante a justifiées.De son côté, Nicolas Maduro assure que leur véritable objectif est de le renverser et de s’emparer des réserves pétrolières du Venezuela.Les Nobel dans les autres disciplines (littérature, chimie, médecine, physique, économie) seront également remis dans la journée à Stockholm, en Suède, en présence du roi Carl XVI Gustaf.

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Un balisage ciblé des éoliennes peut protéger les chauves-souris

Les éoliennes représentent un danger mortel pour les chauves-souris mais une étude indique qu’une utilisation ciblée du balisage aéronautique signalant ces sources d’énergies renouvelables assurerait dans le même temps sérénité à ces mammifères et sécurité aux aéronefs.Chaque année en Allemagne, “200.000 chauves-souris sont tuées à cause des éoliennes”, rappelle à l’AFP Fabien Verniest, chercheur post-doctorant au Muséum national d’Histoire naturelle et co-auteur principal d’une étude sur les chauves-souris et les éoliennes, publiée mercredi dans la revue Journal of Applied Ecology.”Les éoliennes sont une menace de deux manières. La première, la plus connue du grand public et la plus étudiée à travers la littérature scientifique, c’est le risque de collision”, détaille M. Verniest. “Ce risque concerne plus particulièrement les espèces de haut vol, comme les noctules, qui évoluent à hauteur de rotor”.Les raisons qui poussent les chauves-souris à s’approcher des éoliennes restent méconnues.”Elles sont sensibles à la pollution lumineuse, et nous pensons au rôle particulier du balisage aéronautique des éoliennes dans ce processus d’attraction et de répulsion”, avance Fabien Verniest.Les perturbations causées par les masses d’air perturbées par les éoliennes peuvent aussi leur faire croire qu’elles ont affaire à de “grands arbres, des lieux à la fois de reproduction, de repos ou même d’accouplement”. Et les insectes étant également attirés par les éoliennes, les chauves-souris peuvent vouloir s’en approcher pour se nourrir.La seconde menace touche à leur habitat, perturbé. À cause de la présence des éoliennes, “certaines chauves-souris arboricoles préfèrent s’installer dans le bâti (des maisons, des granges), plutôt que dans les arbres”.- Transpondeurs -Gaëlle Larnoy, co-autrice principale qui effectuait son stage de Master2, et Fabien Verniest ont donc décidé de se rendre dans les parcs éoliens du Nord-Est de l’Allemagne pour trouver une solution.Pourquoi là? “Parce qu’à ce moment-là, en 2021, il y avait un balisage qu’on appelle circonstancié qui était testé dans un des parcs”, explique Fabien Verniest. La balisage circonstancié est un balisage aéronautique lumineux qui, au lieu d’être activé en permanence sur l’ensemble de la nuit, est seulement activé lorsqu’un aéronef s’approche.”Ces sont des feux qui émettent des flashes lumineux rouges de forte intensité dans toutes les directions et qui sont disposés en haut des nacelles. On les voit sur plusieurs kilomètres, nous aussi quand on roule sur l’autoroute”, explique le chercheur.Depuis, le balisage circonstancié est devenu obligatoire en Allemagne. En France, c’est le balisage continu qui est le seul autorisé.”Nous avons mesuré l’activité acoustique des chauves-souris à l’aide d’un enregistreur qui capte les ultrasons. Et nous avons comparé cette activité à celles enregistrées lorsqu’il y a balisage circonstancié, balisage toute la nuit, ou sur des sites témoins sans éolienne”.Les chercheurs ont établi que l’activité à proximité des éoliennes avec balisage circonstancié “était inférieure à celle mesurée au niveau des éoliennes avec un balisage en continu et similaire à celle des sites témoins sans éoliennes”. Cela signifie que le balisage en continu contribue à l’attraction des chauves-souris. “Le balisage circonstancié permet de limiter ce comportement, et donc potentiellement de limiter les risques de collision”, conclut le chercheur.En France, pour changer de réglementation et autoriser un balisage circonstancié, il faudrait obtenir l’aval du ministère des Armées.”Pour détecter les aéronefs qui approchent les parcs éoliens, la plupart de ces balisages circonstanciés utilisent des transpondeurs qui équipent l’ensemble des aéronefs. Et pour des raisons de sécurité évidentes, le ministère des Armées ne souhaite pas équiper ses appareils de transpondeurs”, note Fabien Verniest.

Indian festival of lights Diwali joins UNESCO heritage list

India’s festival of lights, Diwali, was on Wednesday announced as an addition to UNESCO’s intangible cultural heritage list, sparking celebrations. The United Nations cultural agency, meeting in the Indian capital New Delhi from Tuesday to Thursday, is examining dozens of nominations from as many as 78 countries.The new announcements will join UNESCO’s list of cultural heritage, whose purpose is to “raise awareness of the diversity of these traditions” and protect them in future.Indian Prime Minister Narendra Modi welcomed the announcement, saying the festival was “very closely linked to our culture and ethos”.”It is the soul of our civilisation. It personifies illumination and righteousness,” he said in a statement on social media, adding the move “will contribute to the festival’s global popularity even further”.The Delhi government is organising several events, including special illumination of buildings and decoration across major roads, along with a massive lamp-lighting ceremony.As one of Hinduism’s most significant festivals, millions of Indians celebrate Diwali, also known as Deepavali, not just in India but globally. Many people, including those from the Sikh and Jain religious communities, observe it as a five-day festival which symbolises the triumph of good over evil. Celebrations, which happen on the new moon day in either late October or November, usually see lighting of lamps and bursting of firecrackers.In much of north India, Diwali marks the return of Hindu Lord Rama to Ayodhya after defeating the demon king Ravana.The festival is also strongly associated with worship of Lakshmi, the goddess of wealth and prosperity.India’s foreign ministry said Diwali’s addition to the UNESCO list was a “joyous moment” for the country.