MLS: Messi mène l’Inter Miami vers sa première finale de conférence

La superstar argentine Lionel Messi a propulsé l’Inter Miami en finale des play-offs de la conférence Est du championnat MLS, avec un but et trois passes décisives, lors de la victoire à Cincinnati (4-0), dimanche.C’est la première fois que la “Pulga”, 38 ans, atteint la finale de conférence depuis son arrivée en 2023. Jamais la franchise floridienne, qui a débuté en MLS en 2020, n’a atteint ce niveau de la compétition.Son équipe disputera samedi contre New York City, un adversaire terrassé 4-0 en septembre, sa place pour la finale du championnat.L’Inter Miami, qui a terminé troisième de sa conférence à l’issue de la saison régulière, a livré sur la pelouse de Cincinnati, deuxième, une performance digne d’un candidat sérieux pour le titre.”Les joueurs ont fait preuve d’un caractère incroyable, et ont joué un match quasi parfait”, s’est félicité l’entraîneur Javier Mascherano.En plus de Messi, le technicien a aligné au coup d’envoi le champion du monde argentin Rodrigo De Paul ainsi que les vedettes espagnoles Sergio Busquets et Jordi Alba, qui prendront leur retraite à la fin de la saison. L’attaquant uruguayen Luis Suarez n’est entré sur le terrain que pour le dernier quart d’heure, alors que le sort du match était déjà scellé.Messi a ouvert le score à la 19e minute d’une tête piquée, un geste rare pour le meneur de jeu. Mateo Silvetti (59) et Tadeo Allende (62, 74) ont enfoncé le clou en seconde période.L’octuple vainqueur du Ballon d’or, considéré comme l’un des meilleurs footballeurs de l’histoire, a terminé la saison régulière à la première place du classement des buteurs (29) et des passeurs (19).Dans la conférence Ouest, les Vancouver Whitcaps de Thomas Müller attendent leur adversaire en finale, qui sera soit San Diego, soit Minnesota.

Rhino horn sales, shark protection on wildlife talks agendaMon, 24 Nov 2025 09:27:44 GMT

Global wildlife talks opened Monday, with votes expected on increased shark protection, a bid to allow limited rhino horn sales and a push to restrict the trade in eels.More than 180 nations are joining conservation experts in Uzbekistan’s Samarkand to discuss dozens of wildlife trade proposals.The meeting brings together signatories to the Convention on International …

Rhino horn sales, shark protection on wildlife talks agendaMon, 24 Nov 2025 09:27:44 GMT Read More »

Suicide attack on Pakistan border police HQ kills 3

A suicide bombing killed three Pakistani paramilitary personnel on Monday at a security headquarters in Peshawar city, officials said, the latest deadly violence in the province bordering Afghanistan.Witness Bilal Ahmed, a hospital employee, said he was on his way to work when he heard a “large blast” from the border force facility, located on one of the city’s busiest routes and across the street from a shopping mall.An AFP reporter saw body parts of a suspected bomber lying outside the main gate on Saddar Road, which was riddled with shrapnel holes. A single discarded black shoe was left nearby.Rescue workers made their way through the scene, which was peppered with shattered glass from a vehicle.One assailant detonated explosives at around 8:10 am (0310 GMT), just before rush hour, killing “three FC (Federal Constabulary) personnel deployed at the gate”, said Peshawar police chief Mian Saeed.Security forces shot dead two other suspected attackers, Saeed said.Four people were wounded in the attack, he added.Security personnel in high-visibility jackets cordoned off the road, while armed forces in camouflage began combing the area, AFP correspondents saw.”The attack has concluded, and a clearance operation is under way to determine whether any unexploded ordnance is present,” Zulfiqar Hameed, the police chief of Khyber Pakhtunkhwa province, told AFP.The province, whose capital is Peshawar, borders Afghanistan and has seen repeated bouts of militant violence which has intensified since the Taliban returned to power in Kabul in 2021.Pakistan’s Prime Minister Shehbaz Sharif condemned Monday’s attack and said that “the perpetrators of this incident should be identified as soon as possible and brought to justice.”He also praised the “timely action” of security forces for averting greater loss of life.”We will thwart the evil designs of terrorists who attack Pakistan’s integrity,” said Sharif.No group has claimed responsibility for the attack, but Pakistan’s state-run broadcaster PTV reported that the assailants had been identified as Afghan nationals.- Border tensions -Pakistan has blamed previous attacks on militants, particularly the Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP), which it claims operate from Afghan soil.Kabul denies the charge, saying Islamabad must address its own security failings.On November 11, a suicide bomber killed 12 people outside a court building in the capital Islamabad, an attack Pakistan said was planned from Afghanistan. A faction of the Pakistani Taliban claimed that assault.Relations between Pakistan and Afghanistan have sharply deteriorated in recent months.Deadly cross-border clashes last month killed more than 70 people on both sides, in the South Asian neighbours’ worst fighting in years.The two countries agreed to a fragile ceasefire but failed to finalise its terms after several rounds of talks, each blaming the other for the impasse.

F1 Academy: “ce titre va m’ouvrir des portes” affirme Doriane Pin à l’AFP

Doriane Pin, 21 ans et qui a remporté samedi à Las Vegas l’édition 2025 de la F1 Academy, le championnat de monoplaces réservé aux femmes, a estimé auprès de l’AFP que ce titre allait lui “ouvrir des portes”.La Française, membre du programme de jeunes pilotes de l’écurie Mercedes et qui roulait pour l’équipe italienne Prema, n’a pas encore décidé vers quel championnat elle se tournerait l’an prochain mais son objectif reste le même, atteindre la F1.QUESTION: Après votre deuxième place la saison dernière, qu’est-ce qui a fait la différence cette année pour vous permettre de remporter la F1 Academy ?REPONSE: “Déjà, j’ai beaucoup appris l’an dernier pour ma première saison en monoplace.  On a eu des belles victoires en 2024, mais on était moins régulier. On a changé un peu notre préparation. On a fait plus de simulateur. On se connaît un peu mieux avec l’équipe. On s’est senti plus prêt avant le début de la saison. Après, c’était aussi une question de régularité tout le long de la saison. On a marqué des points dans toutes les courses. Ça montre qu’on a vraiment de la performance partout. C’est clair que l’approche a été fondamentale. Forcément, on doit être agressif, mais en même temps, on joue un championnat. Il faut être intelligent dans nos manoeuvres, dans nos dépassements. Dans toute l’intelligence de course et dans les décisions avant course.”Q: Que représente ce titre pour vous ?R: “C’est un aboutissement après toutes ces années de travail. Ce n’est jamais facile gagner un titre. Mon rêve a toujours été de faire de la monoplace et d’arriver un jour en F1. J’ai beaucoup appris durant toutes ces années en endurance mais quand on a pris cette décision de venir en monoplace, on ne l’a pas fait à moitié, on a vraiment tout donné et c’est pourquoi ce titre compte beaucoup. J’ai aussi envie de prouver à moi-même que j’ai ma place à cet endroit. Gagner ce titre, c’est fondamental pour la suite de ma carrière aussi. C’est important de gagner des courses mais des titres, c’est encore mieux. C’est sûr que ça va m’ouvrir des portes pour la suite.”Q: De quoi sera faite la suite justement ?R: “C’est encore incertain, on n’a pas encore pris de décision. J’ai beaucoup appris en F1 Academy et cela va m’aider. Cette année, le vainqueur du championnat remporte une prime donc on a le choix d’aller où on veut l’an prochain. Il y aura des décisions à prendre dans les prochaines semaines pour choisir quelle sera la meilleure option pour avoir du succès et une grande carrière. C’est une décision très importante. L’objectif pour moi, c’est la Formule 1 donc la monoplace reste la priorité. Mon objectif, c’est d’atteindre le plus haut niveau et je ferai tout pour y arriver.”Q: Pensez-vous pouvoir atteindre la F1 et plus globalement qu’une femme puisse y parvenir ?R: “Oui, parce que j’y crois. Et quand on croit en quelque chose on peut soulever des montagnes. Et puis j’ai quand même montré que j’avais du potentiel. Je pense que beaucoup de gens se disent que c’est impossible parce qu’ils n’ont jamais vu de femme en F1 depuis des années et qu’il n’y a pas de modèle, en fait. Pour la préparation technique en amont et tout ce qui est préparation physique, une athlète féminine n’est pas complètement différent d’un athlète masculin donc je suis persuadée qu’une femme est capable de rouler dans une F1 et de se battre avec les plus grands. Et c’est aussi une question de temps, de préparation, de rencontrer les bonnes personnes, des gens qui sont expérimentés et amènent cette touche en plus pour faire vraiment la différence et pouvoir ramener une femme en F1.”

Beauval: derniers adieux émus du public, avant le retour des pandas en Chine mardi

Plus de 200 personnes, parfois très émues, ont bravé le froid et la pluie pour venir faire leurs adieux dimanche au célèbre couple de pandas qui quittera le Zoo de Beauval mardi, en raison d’un retour anticipé provoqué par l’insuffisance rénale dont souffre la femelle.Habillés “comme des pandas de la tête aux pieds, chaussures, chaussettes, pantalons, doudoune, bobs à l’effigie des ursidés”, Patrice Colombel, technicien électronique, et Véronique, son épouse, secrétaire dans un lycée, venus de Bordeaux, ne voulaient pour rien au monde manquer ce dernier goûter.”Ce sont les premiers pandas que nous avons connus. On voulait être là pour leur dire au revoir. Ce sont les représentants du WWF”, ont-ils dit.Les pandas ont accompagné leur vie depuis le 15 janvier 2012: “Nous sommes venus plus de mille fois leur rendre visite depuis leur arrivée”, ont-ils glissé à l’occasion d’un dernier goûter des pandas organisé par le parc situé à Saint-Aignan, dans le Loir-et-Cher.Les Bordelais côtoyaient Benoit et Laure Marralle, des fans venus de Marseille pour fêter les dix ans de leur fille Julia.”C’est mon animal préféré !”, a lancé la jeune fille. “Nous voulons à travers les pandas montrer à nos enfants combien il est important de sauver les espèces en voie d’extinction”, ont expliqué ses parents.Delphine Pouvreau, une soigneuse, ne cachait elle pas son émotion. “C’est le dernier au revoir avec le public. Ce sera très dur mardi. Tous les soigneurs avaient une relation forte avec eux. Nous avons vécu ici la première naissance en France d’un bébé panda. Ce souvenir restera gravé dans nos cœurs !”, a-t-elle dit.- “Pincement au coeur” -“La femelle souffre de petits problèmes aux reins, sans gravité pour le moment, une maladie assez fréquente chez les carnivores de cet âge, 17 ans”, a rappelé le directeur du parc Rodolphe Delord. Il a ainsi été préféré “en concertation avec les autorités chinoises d’anticiper”, même si tout ceci s’opère “avec un petit pincement au cœur”.Le directeur du ZooParc rappelle que Beauval va continuer de présenter des pandas : “Les femelles restent avec nous. Je vais très bientôt rencontrer les autorités chinoises afin de voir comment on peut poursuivre l’aventure pandas bien au-delà de 2027”.Depuis leur arrivée en France début 2012, les pandas ont créé autour d’eux une véritable effervescence, participant au succès du parc (deux millions de visiteurs en 2023) et devenant de véritables coqueluches d’un public de fidèles.Ils ont aussi donné naissance à trois bébés, une première en France: un mâle né en 2017 et parti il y a deux ans en Chine, mais aussi deux jumelles, qui, elles, resteront à Beauval au moins jusqu’en 2027.Leur retour en Chine, vers le Centre de conservation de Chengdu, doit s’effectuer au petit matin mardi, sous importante protection policière, “comme des chefs d’Etat”, qui doit les mener jusqu’à l’aéroport Roissy Charles-de-Gaulle, d’où ils décolleront vers 12H30.En quelques années, ces pandas se sont imposés comme de véritables enjeux diplomatiques avec la Chine. Seulement une vingtaine de parcs zoologiques en dehors de Chine possèdent ces plantigrades herbivores, symboles des amitiés diplomatiques de Pékin.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Beauval: derniers adieux émus du public, avant le retour des pandas en Chine mardi

Plus de 200 personnes, parfois très émues, ont bravé le froid et la pluie pour venir faire leurs adieux dimanche au célèbre couple de pandas qui quittera le Zoo de Beauval mardi, en raison d’un retour anticipé provoqué par l’insuffisance rénale dont souffre la femelle.Habillés “comme des pandas de la tête aux pieds, chaussures, chaussettes, pantalons, doudoune, bobs à l’effigie des ursidés”, Patrice Colombel, technicien électronique, et Véronique, son épouse, secrétaire dans un lycée, venus de Bordeaux, ne voulaient pour rien au monde manquer ce dernier goûter.”Ce sont les premiers pandas que nous avons connus. On voulait être là pour leur dire au revoir. Ce sont les représentants du WWF”, ont-ils dit.Les pandas ont accompagné leur vie depuis le 15 janvier 2012: “Nous sommes venus plus de mille fois leur rendre visite depuis leur arrivée”, ont-ils glissé à l’occasion d’un dernier goûter des pandas organisé par le parc situé à Saint-Aignan, dans le Loir-et-Cher.Les Bordelais côtoyaient Benoit et Laure Marralle, des fans venus de Marseille pour fêter les dix ans de leur fille Julia.”C’est mon animal préféré !”, a lancé la jeune fille. “Nous voulons à travers les pandas montrer à nos enfants combien il est important de sauver les espèces en voie d’extinction”, ont expliqué ses parents.Delphine Pouvreau, une soigneuse, ne cachait elle pas son émotion. “C’est le dernier au revoir avec le public. Ce sera très dur mardi. Tous les soigneurs avaient une relation forte avec eux. Nous avons vécu ici la première naissance en France d’un bébé panda. Ce souvenir restera gravé dans nos cœurs !”, a-t-elle dit.- “Pincement au coeur” -“La femelle souffre de petits problèmes aux reins, sans gravité pour le moment, une maladie assez fréquente chez les carnivores de cet âge, 17 ans”, a rappelé le directeur du parc Rodolphe Delord. Il a ainsi été préféré “en concertation avec les autorités chinoises d’anticiper”, même si tout ceci s’opère “avec un petit pincement au cœur”.Le directeur du ZooParc rappelle que Beauval va continuer de présenter des pandas : “Les femelles restent avec nous. Je vais très bientôt rencontrer les autorités chinoises afin de voir comment on peut poursuivre l’aventure pandas bien au-delà de 2027”.Depuis leur arrivée en France début 2012, les pandas ont créé autour d’eux une véritable effervescence, participant au succès du parc (deux millions de visiteurs en 2023) et devenant de véritables coqueluches d’un public de fidèles.Ils ont aussi donné naissance à trois bébés, une première en France: un mâle né en 2017 et parti il y a deux ans en Chine, mais aussi deux jumelles, qui, elles, resteront à Beauval au moins jusqu’en 2027.Leur retour en Chine, vers le Centre de conservation de Chengdu, doit s’effectuer au petit matin mardi, sous importante protection policière, “comme des chefs d’Etat”, qui doit les mener jusqu’à l’aéroport Roissy Charles-de-Gaulle, d’où ils décolleront vers 12H30.En quelques années, ces pandas se sont imposés comme de véritables enjeux diplomatiques avec la Chine. Seulement une vingtaine de parcs zoologiques en dehors de Chine possèdent ces plantigrades herbivores, symboles des amitiés diplomatiques de Pékin.