Stock markets waver ahead of Nvidia earnings

Stock markets fluctuated Wednesday as investors braced for a key earnings update from AI giant Nvidia, whose robust growth has largely driven strong gains for tech stocks in recent months.The tech-heavy Nasdaq index and the broader S&P 500 edged slightly higher after soft openings, ahead of the second-quarter results from Nvidia due out after Wall Street closes.”The company has outgrown the tech sector and become the market’s lodestar,” said Stephen Innes of SPI Asset Management.”Analysts expect revenue to soar 53 percent to $46 billion, but this is about more than revenue beats,” he added. “The crowd wants reassurance that the AI revolution isn’t just smoke and mirrors.”In Europe, the Paris stock market bucked the downward trend by rebounding from Tuesday’s tumble, caused by fears that France’s minority government could be toppled after Prime Minister Francois Bayrou proposed a confidence vote over his proposed budget cuts.France’s borrowing costs have soared since the vote was called Monday, as the government wrestles with how to find around 44 billion euros ($51 billion) in savings.”Opposition parties have signalled they will not support Bayrou’s proposals, raising doubts about the government’s ability to pass its 2026 budget,” said David Morrison, an analyst at Trade Nation.In Asia, Shanghai’s market slid despite a surge by Cambricon — a leading Chinese chipmaker and a Nvidia competitor — on the heels of a record first-half profit posted Tuesday.Also heavily impacting markets this week has been a highly unusual move by Trump to fire a Federal Reserve governor, Lisa Cook.He cited allegations of false statements on her mortgage applications, but Cook said Trump had no authority or legal cause to fire her and her lawyer announced a planned legal challenge on Tuesday.The step adds to fears about the independence of the central bank, fuelled by Trump’s repeated public demands to Fed chairman Jerome Powell to lower interest rates.Powell suggested last Friday that more cuts to US interest rates were on the horizon, causing stock markets to surge.Investors are now awaiting US economic growth data due Thursday and a key inflation gauge Friday for clues on how far interest rates might fall in the coming months.- Key figures at around 1540 GMT -New York – Dow: UP 0.3 percent at 45,529.62 pointsNew York – S&P 500: UP 0.2 percent at 6,477.08New York – Nasdaq: UP 0.1 percent at 21,572.99Paris – CAC 40: UP 0.4 percent at 7,743.93 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 9,255.50 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.4 percent at 24,046.21 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.3 percent at 42,520.27 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.3 percent at 25,201.76 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.8 percent at 3,800.35 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1608 from $1.1637 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.3466 from $1.3475Dollar/yen: UP at 147.74 yen from 147.45 yenEuro/pound: DOWN at 86.20 pence from 86.36 penceWest Texas Intermediate: UP 0.6 percent at $63.61 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.4 percent at $66.95 per barrel

Macron, Merz et Tusk affichent leur “soutien déterminé” à la Moldavie face à Moscou

Une démonstration de force symbolique : Friedrich Merz, Emmanuel Macron et Donald Tusk ont apporté mercredi à Chisinau un “soutien déterminé” à la Moldavie en vue de son adhésion à l’Union européenne face aux “mensonges” et aux “ingérences” de Moscou, à la veille d’une campagne électorale cruciale.”La porte de l’Union européenne est ouverte” à la Moldavie, a lancé le chancelier allemand aux côtés du président français, du Premier ministre polonais et de la présidente moldave, la pro-européenne Maia Sandu.La France va “apporter un soutien déterminé à la Moldavie au cours des prochaines étapes de son parcours vers l’adhésion” à l’Union européenne, a promis pour sa part Emmanuel Macron.Le chef de l’Etat français a évoqué une “chance historique” pour cette ex-république soviétique de 2,6 millions d’habitants frontalière de l’UE mais aussi de l’Ukraine en guerre.La date n’a pas été choisie au hasard : les dirigeants des trois pays que les diplomates surnomment le “Triangle de Weimar” participeront dans la soirée au 34e anniversaire de l’indépendance moldave et s’adresseront à la foule réunie pour un mégaconcert dans la capitale Chisinau.Et ce à la veille du début de la campagne officielle pour les élections législatives de fin septembre troublées, selon la Moldavie et ses alliés européens, par des “ingérences” de Moscou pour faire basculer cet Etat dans son camp.Friedrich Merz y a fait directement référence en affirmant que, d’ores et déjà, “pas un jour ne se passe sans des attaques hybrides massives de la part de la Russie”. “La démocratie moldave est sur la sellette”, a-t-il accusé.- “Signal fort” -“Là où renaissent des velléités de venir fausser le jeu de votre démocratie, là où, nous le voyons à vos portes, les frontières sont contestées, la souveraineté des peuples bafouée”, “nous venons, si je puis dire, à visage découvert, vous dire la confiance que nous avons dans l’avenir”, a martelé Emmanuel Macron.Selon lui, “la propagande du Kremlin nous explique que les Européens souhaitent prolonger la guerre et que l’Union européenne opprime les peuples”. “Ce sont des mensonges”, a-t-il mis en garde.La présidente Sandu, réélue en novembre 2024, a salué la présence du trio, qui “démontre non seulement votre soutien pour la Moldavie mais aussi que le projet européen continue et que nous en faisons partie”.”Il n’y a pas d’alternative à l’Europe” pour la Moldavie à un moment où “notre indépendance, notre souveraineté et notre paix sont mises à l’épreuve peut-être plus que jamais”, a-t-elle lancé.”Cette visite est vraiment un signal fort du soutien à la Moldavie et elle adresse un message symbolique à la Russie, à savoir que les principaux pays européens se préoccupent de ce qui se passe ici”, estime l’analyste politique Valeriu Pasha, du cercle de réflexion Watchdog, à Chisinau.Pour lui, le parti Action et solidarité (PAS) de Mme Sandu devrait arriver en tête des législatives mais le résultat est difficile à prédire en raison de “l’énorme ingérence russe”, alimentée par “des sommes folles d’argent”, sur fond de crise économique et d’inflation élevée.La cheffe de l’Etat pro-européenne a accusé fin juillet la Russie de mener une opération complexe et coordonnée d’ingérence “sans précédent” pour “contrôler” son pays, frontalier de l’UE, “dès l’automne”. Tout cela en recourant à des mécanismes d’achat de votes et de financements avec des “cryptomonnaies”, “100 millions d’euros” étant prévus à cet effet, a-t-elle alors dénoncé, pointant également du doigt la responsabilité de la plateforme Telegram.La France met en avant sa coopération, renforcée en mars à l’occasion de la dernière visite qu’y a effectuée Maia Sandu, pour lutter contre les ingérences numériques, via l’agence française Viginium.Si le trio européen assure vouloir se concentrer sur le soutien à la Moldavie, le déplacement ensemble de ces dirigeants se déroule à un moment où la diplomatie tâtonne sur le dossier ukrainien.Deux semaines après le sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine, l’accélération subite vers de possibles négociations de paix semble déjà marquer le pas et le sujet sera forcément évoqué en marge des séquences officielles à Chisinau.

Macron, Merz et Tusk affichent leur “soutien déterminé” à la Moldavie face à Moscou

Une démonstration de force symbolique : Friedrich Merz, Emmanuel Macron et Donald Tusk ont apporté mercredi à Chisinau un “soutien déterminé” à la Moldavie en vue de son adhésion à l’Union européenne face aux “mensonges” et aux “ingérences” de Moscou, à la veille d’une campagne électorale cruciale.”La porte de l’Union européenne est ouverte” à la Moldavie, a lancé le chancelier allemand aux côtés du président français, du Premier ministre polonais et de la présidente moldave, la pro-européenne Maia Sandu.La France va “apporter un soutien déterminé à la Moldavie au cours des prochaines étapes de son parcours vers l’adhésion” à l’Union européenne, a promis pour sa part Emmanuel Macron.Le chef de l’Etat français a évoqué une “chance historique” pour cette ex-république soviétique de 2,6 millions d’habitants frontalière de l’UE mais aussi de l’Ukraine en guerre.La date n’a pas été choisie au hasard : les dirigeants des trois pays que les diplomates surnomment le “Triangle de Weimar” participeront dans la soirée au 34e anniversaire de l’indépendance moldave et s’adresseront à la foule réunie pour un mégaconcert dans la capitale Chisinau.Et ce à la veille du début de la campagne officielle pour les élections législatives de fin septembre troublées, selon la Moldavie et ses alliés européens, par des “ingérences” de Moscou pour faire basculer cet Etat dans son camp.Friedrich Merz y a fait directement référence en affirmant que, d’ores et déjà, “pas un jour ne se passe sans des attaques hybrides massives de la part de la Russie”. “La démocratie moldave est sur la sellette”, a-t-il accusé.- “Signal fort” -“Là où renaissent des velléités de venir fausser le jeu de votre démocratie, là où, nous le voyons à vos portes, les frontières sont contestées, la souveraineté des peuples bafouée”, “nous venons, si je puis dire, à visage découvert, vous dire la confiance que nous avons dans l’avenir”, a martelé Emmanuel Macron.Selon lui, “la propagande du Kremlin nous explique que les Européens souhaitent prolonger la guerre et que l’Union européenne opprime les peuples”. “Ce sont des mensonges”, a-t-il mis en garde.La présidente Sandu, réélue en novembre 2024, a salué la présence du trio, qui “démontre non seulement votre soutien pour la Moldavie mais aussi que le projet européen continue et que nous en faisons partie”.”Il n’y a pas d’alternative à l’Europe” pour la Moldavie à un moment où “notre indépendance, notre souveraineté et notre paix sont mises à l’épreuve peut-être plus que jamais”, a-t-elle lancé.”Cette visite est vraiment un signal fort du soutien à la Moldavie et elle adresse un message symbolique à la Russie, à savoir que les principaux pays européens se préoccupent de ce qui se passe ici”, estime l’analyste politique Valeriu Pasha, du cercle de réflexion Watchdog, à Chisinau.Pour lui, le parti Action et solidarité (PAS) de Mme Sandu devrait arriver en tête des législatives mais le résultat est difficile à prédire en raison de “l’énorme ingérence russe”, alimentée par “des sommes folles d’argent”, sur fond de crise économique et d’inflation élevée.La cheffe de l’Etat pro-européenne a accusé fin juillet la Russie de mener une opération complexe et coordonnée d’ingérence “sans précédent” pour “contrôler” son pays, frontalier de l’UE, “dès l’automne”. Tout cela en recourant à des mécanismes d’achat de votes et de financements avec des “cryptomonnaies”, “100 millions d’euros” étant prévus à cet effet, a-t-elle alors dénoncé, pointant également du doigt la responsabilité de la plateforme Telegram.La France met en avant sa coopération, renforcée en mars à l’occasion de la dernière visite qu’y a effectuée Maia Sandu, pour lutter contre les ingérences numériques, via l’agence française Viginium.Si le trio européen assure vouloir se concentrer sur le soutien à la Moldavie, le déplacement ensemble de ces dirigeants se déroule à un moment où la diplomatie tâtonne sur le dossier ukrainien.Deux semaines après le sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine, l’accélération subite vers de possibles négociations de paix semble déjà marquer le pas et le sujet sera forcément évoqué en marge des séquences officielles à Chisinau.

Vote de confiance: Macron en “soutien total” au choix de Bayrou

Emmanuel Macron a apporté mercredi en Conseil des ministres son “soutien total” au choix de François Bayrou de solliciter un vote de confiance, a priori perdu d’avance, devant l’Assemblée nationale le 8 septembre sur le désendettement de la France.Selon la porte-parole du gouvernement Sophie Primas, le président a apporté “son total soutien à la démarche selon laquelle il faut qu’on se mette d’accord sur la nécessité de retrouver une trajectoire des finances publiques plus conforme avec l’idée que nous nous faisons de notre souveraineté budgétaire”.Sur la situation financière de la France, à l’origine de l’annonce surprise du Premier ministre lundi, le président a jugé que “nous ne devons être ni dans le déni de réalité, ni dans le catastrophisme”.Appelant à “la responsabilité” les partis “qui souhaitent être des partis de gouvernement”, il a repris l’argumentaire de François Bayrou selon lequel le vote du 8 septembre sera un vote “sur les principes” des près de 44 milliards d’euros d’économies budgétaires en 2026, mais pas sur les mesures elles-mêmes qui seront négociées dans un second temps.Comme le prévoit l’article 49-1 de la Constitution, le Conseil des ministres a autorisé le Premier ministre à engager la responsabilité du gouvernement.La décision de l’exécutif ouvre cependant une nouvelle période d’incertitudes qui place de nouveau M. Macron en première ligne. Car les oppositions de gauche et d’extrême droite ont fait savoir qu’elles ne voteraient pas la confiance, et le gouvernement a donc toutes les chances de tomber.- Incompréhension -Une conséquence qui rend le choix de M. Bayrou, confronté à l’impopularité de son plan d’économies budgétaires, largement incompris au sein de la classe politique.”Pas de méthode, pas de contacts, pas de négociation pendant l’été. Et tout d’un coup, faites-moi confiance en général et ensuite on pourra discuter”, a résumé à gauche Raphaël Glucksmann (Place publique) qui y voit “un mal français, le manque d’humilité”.Un malaise partagé à mots couverts dans le camp présidentiel. “Cette décision, elle est prise. On peut ergoter sur: +Est-ce qu’il fallait la prendre ou pas ? Elle est là”, a balayé l’ex-Premier ministre Gabriel Attal sur France inter. Même au sein du socle gouvernemental, la confiance n’est pas complètement garantie, notamment au sein de la cinquantaine de députés Les Républicains (LR) où “il n’y a pas à ce stade d’unanimité sur le vote de confiance”, a indiqué à l’AFP une source parlementaire.Aucune voix ne manquera en revanche dans le groupe Horizons, a pour sa part assuré Edouard Philippe dans un entretien à l’AFP, tout en soulignant que la confiance demandée par le Premier ministre devait “se construire” avec les partis politiques.M. Bayrou a promis mardi de se battre “comme un chien” pour éviter la chute du gouvernement et demandé aux oppositions de “réfléchir” et de renoncer à leurs “réflexes spontanés”, les appelant à choisir entre le “chaos” et “la responsabilité”.- Dissolution -Le chef du gouvernement, qui espère que les Français fassent pression sur leurs députés en sa faveur et s’exprimera mercredi soir au 20H00 de TF1, n’a pas non plus l’opinion publique de son côté: seules 27% des personnes interrogées disent espérer que M. Bayrou soit maintenu en fonction par les députés, selon un sondage Elabe.Dans un autre sondage Ifop, 63% des Français réclament une nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale alors qu’ils n’étaient que 41% début juin.Une dissolution, jusqu’ici écartée par le chef de l’Etat et que seul le Rassemblement national réclame, LFI demandant de son côté une présidentielle anticipée en s’appuyant sur la mobilisation du 10 septembre, qui a reçu mercredi le soutien de la CGT pour en faire “une première étape réussie”.Dans le camp présidentiel, Gabriel Attal ne croit pas “qu’une nouvelle dissolution apporterait de la stabilité”, mais Edouard Philippe “pense qu’elle est assez inéluctable”.Même embarras chez les socialistes. En cas de dissolution, un accord programmatique entre le PS et LFI tel que celui négocié sous l’égide du Nouveau front populaire (NFP) en 2024 “ne paraît pas concevable”, estime le chef des députés socialiste Boris Vallaud pour qui “la logique voudrait que le président de la République laisse sa chance à la gauche” à Matignon.Dans un entretien à l’AFP, la cheffe des Ecologistes Marine Tondelier a appelé M. Macron à nommer un Premier ministre de gauche.L’incertitude politique se transmet sur les marchés, même si, après avoir été sous pression ces deux derniers jours, le taux d’intérêt à dix ans de la dette française se stabilisait mercredi, à 3,50% au même niveau que la veille.En écho, le président du Medef Patrick Martin a appelé “les décideurs politiques (à) dépasser leurs rivalités”, car “on ne joue pas avec l’économie”.bur-arz-far-gbh/hr/gvy

Vote de confiance: Macron en “soutien total” au choix de Bayrou

Emmanuel Macron a apporté mercredi en Conseil des ministres son “soutien total” au choix de François Bayrou de solliciter un vote de confiance, a priori perdu d’avance, devant l’Assemblée nationale le 8 septembre sur le désendettement de la France.Selon la porte-parole du gouvernement Sophie Primas, le président a apporté “son total soutien à la démarche selon laquelle il faut qu’on se mette d’accord sur la nécessité de retrouver une trajectoire des finances publiques plus conforme avec l’idée que nous nous faisons de notre souveraineté budgétaire”.Sur la situation financière de la France, à l’origine de l’annonce surprise du Premier ministre lundi, le président a jugé que “nous ne devons être ni dans le déni de réalité, ni dans le catastrophisme”.Appelant à “la responsabilité” les partis “qui souhaitent être des partis de gouvernement”, il a repris l’argumentaire de François Bayrou selon lequel le vote du 8 septembre sera un vote “sur les principes” des près de 44 milliards d’euros d’économies budgétaires en 2026, mais pas sur les mesures elles-mêmes qui seront négociées dans un second temps.Comme le prévoit l’article 49-1 de la Constitution, le Conseil des ministres a autorisé le Premier ministre à engager la responsabilité du gouvernement.La décision de l’exécutif ouvre cependant une nouvelle période d’incertitudes qui place de nouveau M. Macron en première ligne. Car les oppositions de gauche et d’extrême droite ont fait savoir qu’elles ne voteraient pas la confiance, et le gouvernement a donc toutes les chances de tomber.- Incompréhension -Une conséquence qui rend le choix de M. Bayrou, confronté à l’impopularité de son plan d’économies budgétaires, largement incompris au sein de la classe politique.”Pas de méthode, pas de contacts, pas de négociation pendant l’été. Et tout d’un coup, faites-moi confiance en général et ensuite on pourra discuter”, a résumé à gauche Raphaël Glucksmann (Place publique) qui y voit “un mal français, le manque d’humilité”.Un malaise partagé à mots couverts dans le camp présidentiel. “Cette décision, elle est prise. On peut ergoter sur: +Est-ce qu’il fallait la prendre ou pas ? Elle est là”, a balayé l’ex-Premier ministre Gabriel Attal sur France inter. Même au sein du socle gouvernemental, la confiance n’est pas complètement garantie, notamment au sein de la cinquantaine de députés Les Républicains (LR) où “il n’y a pas à ce stade d’unanimité sur le vote de confiance”, a indiqué à l’AFP une source parlementaire.Aucune voix ne manquera en revanche dans le groupe Horizons, a pour sa part assuré Edouard Philippe dans un entretien à l’AFP, tout en soulignant que la confiance demandée par le Premier ministre devait “se construire” avec les partis politiques.M. Bayrou a promis mardi de se battre “comme un chien” pour éviter la chute du gouvernement et demandé aux oppositions de “réfléchir” et de renoncer à leurs “réflexes spontanés”, les appelant à choisir entre le “chaos” et “la responsabilité”.- Dissolution -Le chef du gouvernement, qui espère que les Français fassent pression sur leurs députés en sa faveur et s’exprimera mercredi soir au 20H00 de TF1, n’a pas non plus l’opinion publique de son côté: seules 27% des personnes interrogées disent espérer que M. Bayrou soit maintenu en fonction par les députés, selon un sondage Elabe.Dans un autre sondage Ifop, 63% des Français réclament une nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale alors qu’ils n’étaient que 41% début juin.Une dissolution, jusqu’ici écartée par le chef de l’Etat et que seul le Rassemblement national réclame, LFI demandant de son côté une présidentielle anticipée en s’appuyant sur la mobilisation du 10 septembre, qui a reçu mercredi le soutien de la CGT pour en faire “une première étape réussie”.Dans le camp présidentiel, Gabriel Attal ne croit pas “qu’une nouvelle dissolution apporterait de la stabilité”, mais Edouard Philippe “pense qu’elle est assez inéluctable”.Même embarras chez les socialistes. En cas de dissolution, un accord programmatique entre le PS et LFI tel que celui négocié sous l’égide du Nouveau front populaire (NFP) en 2024 “ne paraît pas concevable”, estime le chef des députés socialiste Boris Vallaud pour qui “la logique voudrait que le président de la République laisse sa chance à la gauche” à Matignon.Dans un entretien à l’AFP, la cheffe des Ecologistes Marine Tondelier a appelé M. Macron à nommer un Premier ministre de gauche.L’incertitude politique se transmet sur les marchés, même si, après avoir été sous pression ces deux derniers jours, le taux d’intérêt à dix ans de la dette française se stabilisait mercredi, à 3,50% au même niveau que la veille.En écho, le président du Medef Patrick Martin a appelé “les décideurs politiques (à) dépasser leurs rivalités”, car “on ne joue pas avec l’économie”.bur-arz-far-gbh/hr/gvy

S.Africa calls US welcome for white Afrikaners ‘apartheid 2.0’Wed, 27 Aug 2025 15:21:48 GMT

Washington’s preferential treatment of white Afrikaners for resettlement into the United States is “apartheid 2.0”, South Africa’s foreign minister said Wednesday.US President Donald Trump’s administration in May offered refugee status to the minority white Afrikaner community, claiming they were victims of discrimination and even “genocide”, which the Pretoria government strongly denies.The “refugee programme is preferential …

S.Africa calls US welcome for white Afrikaners ‘apartheid 2.0’Wed, 27 Aug 2025 15:21:48 GMT Read More »

Borne invoque le besoin de “stabilité” et de “moyens préservés” pour l’éducation

Ministre de l’Education en sursis, Elisabeth Borne a tenu mercredi sa première – et peut-être dernière – conférence de presse de lancement de la rentrée scolaire, affirmant le besoin de “stabilité” dans un contexte politique et budgétaire incertain.Après avoir réuni les recteurs mardi, et avant la pré-rentrée des enseignants vendredi, la ministre, en poste depuis huit mois, a donné le coup d’envoi de la rentrée de quelque 12 millions d’élèves le 1er septembre.Alors que les spéculations sur la chute du gouvernement vont bon train après la décision de François Bayrou de solliciter la confiance de l’Assemblée nationale le 8 septembre, l’ex-Première ministre a souligné le “besoin de stabilité pour notre pays” avec “les finances publiques telles qu’elles se présentent”. Elle a fait part de “la nécessité de pouvoir mener des politiques avec constance dans les différents ministères”, et assuré être “aux côtés des enseignants”. Malgré son départ sans doute prochain, la ministre s’est voulu rassurante sur le budget de l’Education nationale, le premier de l’Etat, qui suscite des inquiétudes après la présentation par François Bayrou en juillet de son plan d’économies de près de 44 milliards d’euros.”La rentrée se fait avec des moyens préservés, près de neuf mois après l’adoption du budget 2025, pour lequel je me suis pleinement engagée. Si l’adoption du budget 2026 s’annonce compliquée, je n’ai pas de doutes, nous devons garder ce cap”, a-t-elle dit.Mais pour la FSU-Snuipp, principal syndicat de l’enseignement primaire, “il est clair que l’Education nationale ne sera pas épargnée en 2026”. “S’engager sur le budget 2026 à cette date, c’est assez audacieux”, estime de son côté Sophie Vénétitay, secrétaire générale du Snes-FSU (collèges et lycées).Pour les syndicats et personnels de l’éducation, c’est à nouveau l’expectative, avec déjà six ministres depuis le début du deuxième quinquennat Macron: Pap Ndiaye (14 mois), Gabriel Attal (resté un peu plus de cinq mois), Amélie Oudéa-Castéra (un mois), Nicole Belloubet (sept mois), Anne Genetet (trois) et Elisabeth Borne.- “Valeur du baccalauréat” -“On est vraiment agacés, on est fatigués de changer en permanence de ministre”, a souligné Elisabeth Allain-Moreno, secrétaire générale du syndicat SE Unsa, pour qui “l’urgence” est aussi de “reconsidérer l’école et les personnels”, qui “voient leurs conditions de travail se dégrader”. Pour cette rentrée comme pour les précédentes, l’enjeu restera notamment d’assurer la présence d’un enseignant devant chaque classe, alors que la crise d’attractivité perdure. “Tous les rectorats sont sur le pont pour qu’il y ait un professeur devant chaque classe”, a souligné Mme Borne. “A ce stade, les éléments sont rassurants”.Soulignant avoir “entendu les interrogations sur la valeur du baccalauréat”, la ministre a dit souhaiter une réforme du contrôle continu pour cet examen, pour “diminuer la pression sur les élèves” tout en “reflétant plus fidèlement leur niveau”.Il ne faut pas laisser “s’installer le doute sur la valeur de ce diplôme”, désormais obtenu par plus de 80% d’une classe d’âge, a-t-elle ajouté. “Dès cette semaine”, les proviseurs seront chargés “d’élaborer un projet d’évaluation précisant clairement quelles évaluations seront prises en compte pour le contrôle continu du baccalauréat, donc aussi pour Parcoursup”, a-t-elle affirmé. Sur les “modalités de correction” du bac, Mme Borne a indiqué qu’il ne “serait plus possible” dès cette session que “des élèves ayant obtenu moins de 8 sur 20 puissent encore être rattrapés pour accéder à l’oral”.Quant aux nouveautés de la rentrée, la ministre s’est félicitée de la généralisation progressive du dispositif “portable en pause” (interdiction totale du téléphone dans les collèges) pour lutter contre “le fléau de la surexposition aux écrans”. Il est déjà interdit depuis 2018, mais devrait être laissé pendant les cours dans des casiers, mallettes ou pochettes dans les établissements où cela peine à s’appliquer.La ministre a aussi jugé nécessaire de “permettre la pleine implication des parents” à l’école. “Dès septembre, une réunion de rentrée par niveau sera systématisée dans chaque école, dans chaque collège et dans chaque lycée”, a-t-elle indiqué, soulignant que chaque école et chaque établissement devront en outre “disposer d’une charte des relations école-parents”. 

‘Resident Evil’ makers marvel at ‘miracle’ longevity

When zombie-blasting survival game “Resident Evil” launched on the very first PlayStation console in 1996, Japanese publishers Capcom never thought the series would reach tens of millions of people or endure for three decades.The franchise has become Capcom’s biggest, spawning a string of sequels as well as film and TV spinoffs and competing over the years with the more psychological “Silent Hill” to give horror fans goosebumps.”I think it’s a miracle that we’ve made it this far” since the first episode, producer Masato Kumazawa told AFP through an interpreter at the vast Gamescom trade fair in Cologne, Germany, last week.”Requiem” — the ninth “Resident Evil” game — will land on February 27, although the opening minutes were available for fright-hungry gamers in Cologne.Protagonist Grace is seen being chased by a terrifying blind creature through the halls of a manor house.Where previous instalments have swept players off to Louisiana and eastern Europe, the new game follows an investigation by a young American woman into her mother’s death.It’s a return to a classic formula and the fictional Raccoon City setting of the first few games in the near-30-year-old series from publisher Capcom.”It was time after those two (previous) games to go back to a very well-known setting,” the game’s director Koshi Nakanishi said.More than 170 million copies of “Resident Evil” games have been sold over the franchise’s lifetime, with Capcom alternating between original instalments and remakes since 2017.That makes the series by far the Japanese publisher’s most valuable, ahead of well-loved properties like “Street Fighter” and “Monster Hunter”.- ‘Universal horror’ -“Surprise and freshness is what keeps the game selling even after 30 years,” Kumazawa said.Each instalment plays with locations, characters and gameplay styles — from high-octane third-person action to first-person survival adventures like “Requiem” in which players constantly feel hunted.Kumazawa added that while it’s made in Japan, the series is “culturally designed to be universal horror for all fans” worldwide.While the popularity of “Resident Evil” has inspired film and TV adaptations, it is not the only Japanese-made saga in the survival horror market.Three years younger than “Resident Evil”, the rival game “Silent Hill” has had a less linear journey.With it Stephen King-influenced atmosphere, the first two instalments scored moderate success before declining in the 2000s, prompting a 10-year hiatus.But all along “Silent Hill” producer Motoi Okamoto of publisher Konami was sniffing around the indie horror scene for the right developer.He ultimately landed on Polish studio Bloober Team — makers of games like “The Medium” and “Blair Witch” — to remake “Silent Hill 2”.With more than two million copies sold in the months after its October 2024 launch, that release reignited passion for the series and set up the upcoming “Silent Hill f”.- One ‘Silent Hill’ per year? -Set to appear on September 25, “f” tells the grisly story of a 1960s-era Japanese high school student, in an original scenario cooked up by Taiwanese studio NeoBards.The team moved on from the American setting of previous iterations as “that became very tiring on players, it became a very samey experience,” Okamoto said, also speaking through an interpreter.”To make Silent Hill stand out, we needed to partner up with these teams” who bring “a varied background of experience and… individuality,” he added.Bloober Team are already working on a remake of the original “Silent Hill”, while US studio Annapurna Interactive are co-developing another title — feeding Okamoto’s ambition to release one game per year in future.”Resident Evil” producer Kumazawa believes that the “two major Japanese survival horror franchises have stimulated each other” over the almost 30 years they’ve co-existed.But Okamoto sees two games offering “very different experiences”.His “Silent Hill” is “a psychological horror game, where you must face up to your own traumas,” he outlines.”Resident Evil” director Nakanishi, by contrast, highlights that in each game in the series “you always beat your enemy in the end.””It’s a very satisfying liberation from the tension that builds up throughout the game”.