European stocks sink as Trump puts EU in tariff crosshairs

European stock markets tumbled Friday after US President Donald Trump ended a lull in his trade war as he raised the spectre of hitting imports from the European Union with a massive 50-percent tariff.The Paris CAC 40 index and Frankfurt DAX fell by around three percent at one point, with shares in luxury and car companies taking a hit, before paring back some losses.London’s FTSE 100, which had been up earlier, fell into the red. The DAX was also higher earlier in the day as German economic growth data was revised up.US stock futures — contracts that indicate how markets will open — were also in negative territory.Trump’s new threats revived investor concerns about his trade policies after a recent deal with Britain and a tariffs truce with China.”All the optimism over trade deals wiped out in minutes –- seconds, even,” said Fawad Razaqzada, market analyst at StoneX.Trump said on his Truth Social platform that he was “recommending a straight 50% Tariff on the European Union” from June 1 as “discussions with them are going nowhere!”The US president had announced 20 percent tariffs on EU goods last month but suspended the measure to give space for negotiations.Trump, however, maintained a 10 percent levy on imports from the 27-nation bloc and nearly every other nation around the world, along with 25 percent duties on the car, steel and aluminium industries.He also threatened on Friday to hit Apple with a 25 percent tariff if its iPhones are not manufactured in the United States.His social media outburst rocked stock markets which had steadied following losses over concerns about the ballooning US debt and rising US borrowing costs.Investors were already on edge after Moody’s stripped the United States of its top-tier credit rating and the House of Representative approved Trump’s tax cut plan, which critics say would add to the country’s debt pile.The yield — or borrowing costs — on 10-year and 30-year US government bonds surged this week as investors worry about the fiscal health of the world’s biggest economy.The yields eased late Thursday.Trump’s tax package, which now goes to the Senate, had faced scepticism from fiscal hawks who fear the country is headed for bankruptcy.Independent analysts warn it would increase the deficit by as much as $4 trillion over a decade.But the White House insists it will spur growth of up to 5.2 percent, ensuring it adds nothing to the $36 trillion national debt — growth projections that are well outside the mainstream consensus.Oil prices also reversed course to fall by around one percent following Trump’s new tariff threats.- Key figures at around 1235 GMT -London – FTSE 100: DOWN 0.9 percent at 8,658.03 pointsParis – CAC 40: DOWN 2.3 percent at 7,684.35Frankfurt – DAX: DOWN 2.1 percent at 23,501.11Tokyo – Nikkei 225: UP 0.5 percent at 37,160.47 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.2 percent at 23,601.26 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.9 percent at 3,348.37 (close)New York – Dow: FLAT at 41,859.09 (close)Euro/dollar: UP at $1.1337 from $1.1281 on ThursdayPound/dollar: UP at $1.3506 from $1.3419Dollar/yen: DOWN at 142.53 yen from 143.99 yenEuro/pound: DOWN at 83.94 pence from 84.07 penceBrent North Sea Crude: DOWN 1.0 percent at $63.81 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 1.1 percent at $60.55 per barrel

La Clusaz va payer 130.000 euros pour un usage illégal d’eau

La commune de La Clusaz, poursuivie pour avoir alimenté illégalement une retenue d’eau servant à la production de neige de culture, a accepté de payer 130.000 euros dans le cadre d’un accord avec la justice, a annoncé vendredi le parquet d’Annecy.En juillet 2022, l’Office français de la biodiversité (OFB) de Haute-Savoie avait mené des contrôles dans la station de ski pour vérifier qu’elle respectait des restrictions imposées en cette période de sécheresse, rappelle le parquet dans un communiqué.Les inspecteurs avaient constaté qu’une retenue d’eau “était irrégulièrement alimentée” depuis 2014, avec un prélèvement dans une source voisine non déclarée aux autorités, explique le parquet dans un communiqué.Lorsque les faits avaient été médiatisés en août 2024, la mairie de La Clusaz avait expliqué qu’une “régularisation administrative” nécessaire n’avait pas été réalisée à temps, ce qu’elle avait dit regretter.Visée par une enquête pénale, elle a accepté de conclure une “convention judiciaire d’intérêt public environnementale (CJIPE)”, un dispositif d’alternative aux poursuites proposé aux personnes morales mises en cause pour des infractions en matière d’atteintes à l’environnement.Dans ce cadre, la commune a reconnu avoir commis deux infractions: “exploitation sans autorisation d’une installation nuisible à l’eau ou milieu aquatique” et “usage d’eau contraire à une limitation ou une suspension prescrite”, selon le parquet.Elle devra verser une amende de 130.000 euros, ainsi que 25.000 euros pour “réparation des préjudices” à la Fédération de Haute-Savoie pour la pêche et la protection du milieu aquatique et à l’association France Nature Environnement.La Clusaz s’est aussi “engagée à cesser le prélèvement litigieux”, à procéder à un audit de ses autres ouvrages de prélèvements d’eau, à corriger les anomalies qui pourraient être identifiées, à évaluer leur impact sur l’environnement et à les réparer, précise encore le parquet.”Souhaitons que la qualité des études hydrogéologiques demandées soit à la hauteur des enjeux et permette à l’avenir une meilleure gestion de la ressource en eau, car tout ne doit pas être permis au nom de l’enneigement artificiel”, a réagi la FNE dans un communiqué.

Nucléaire: nouveaux pourparlers à Rome entre l’Iran et les Etats-Unis

Des négociateurs de l’Iran et des Etats-Unis se sont retrouvés vendredi à Rome pour un cinquième cycle de pourparlers sur le nucléaire iranien sous médiation omanaise, au moment où les négociations semblent buter sur la question de l’enrichissement d’uranium.Téhéran et Washington, ennemis depuis la Révolution islamique de 1979 qui a renversé en Iran une monarchie pro-occidentale, ont entamé le 12 avril des discussions sur l’épineux dossier du programme nucléaire iranien.Les agences iraniennes Tasnim, Fars et Isna ont rapporté autour de 12H00 GMT le début des discussions entre le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, et l’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff.Ces pourparlers représentent le plus haut niveau d’engagement entre les deux pays depuis le retrait unilatéral en 2018 par les Etats-Unis de l’accord international sur le nucléaire iranien conclu trois ans plus tôt à Vienne.Le président américain Donald Trump, à l’origine de cette décision durant son premier mandat (2017-2021), a rétabli de lourdes sanctions américaines contre l’Iran dans le cadre d’une politique dite de “pression maximale”. Il cherche dorénavant à négocier un nouveau pacte avec Téhéran, qui espère une levée des sanctions qui asphyxient son économie.Les négociateurs des deux pays se retrouvent vendredi au moment où Washington et Téhéran affichent publiquement leur désaccord sur la question sensible de l’enrichissement d’uranium. L’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, qui mène les discussions pour Washington, a estimé dimanche que les Etats-Unis “ne pouvaient autoriser ne serait-ce qu’un pour cent de capacité d’enrichissement” à l’Iran. – “Désaccords fondamentaux” -“L’Iran ne peut pas avoir une capacité d’enrichissement, car cela en ferait une puissance nucléaire potentielle”, a argué mercredi le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio.Des “désaccords fondamentaux” demeurent avec les Etats-Unis, a estimé jeudi le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, qui mène les négociations pour Téhéran.Si les Etats-Unis empêchent l’Iran d’enrichir de l’uranium “il n’y aura pas d’accord”, a-t-il mis en garde.Téhéran, qui défend un droit au nucléaire civil, considère cette exigence comme contraire aux dispositions du Traité de non-prolifération (TNP), dont l’Iran est signataire.”La souveraineté de l’Iran est une ligne rouge et l’Iran ne renoncera en aucun cas au droit d’enrichir de l’uranium”, a déclaré à l’AFP le politologue iranien Mohammad Marandi.Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, et Israël, ennemi juré de l’Iran, considéré par des experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient, soupçonnent l’Iran de vouloir se doter de l’arme nucléaire. Téhéran nie avoir de telles visées.Le nucléaire emploie en Iran plus de 17.000 personnes, notamment dans l’énergie et le secteur médical, selon le porte-parole de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA), Behrouz Kamalvandi.”Les Pays-Bas, la Belgique, la Corée du Sud, le Brésil et le Japon enrichissent (l’uranium) sans posséder d’armes nucléaires”, avait-il souligné début mai.Jeudi, le président américain, Donald Trump, a parlé de l’Iran avec le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, selon la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt.- “Dans la bonne direction” -M. Trump estime que les négociations avec Téhéran, vues avec scepticisme voire franche hostilité par le dirigeant israélien, “vont dans la bonne direction”, a-t-elle ajouté.Selon l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), l’Iran enrichit actuellement l’uranium à 60%, bien au-delà de la limite de 3,67% autorisée par l’accord de 2015, mais en deçà du taux de 90% nécessaire pour un usage militaire. Téhéran a pris ses distances avec ses engagements de 2015 en représailles au retrait américain de l’accord sur le nucléaire.L’accord sur le nucléaire de 2015, qui expire en octobre, soit dix ans après l’entrée en vigueur du texte, prévoit la possibilité de réimposer des sanctions onusiennes si l’Iran ne se conforme pas à ses engagements.

Nucléaire: nouveaux pourparlers à Rome entre l’Iran et les Etats-Unis

Des négociateurs de l’Iran et des Etats-Unis se sont retrouvés vendredi à Rome pour un cinquième cycle de pourparlers sur le nucléaire iranien sous médiation omanaise, au moment où les négociations semblent buter sur la question de l’enrichissement d’uranium.Téhéran et Washington, ennemis depuis la Révolution islamique de 1979 qui a renversé en Iran une monarchie pro-occidentale, ont entamé le 12 avril des discussions sur l’épineux dossier du programme nucléaire iranien.Les agences iraniennes Tasnim, Fars et Isna ont rapporté autour de 12H00 GMT le début des discussions entre le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, et l’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff.Ces pourparlers représentent le plus haut niveau d’engagement entre les deux pays depuis le retrait unilatéral en 2018 par les Etats-Unis de l’accord international sur le nucléaire iranien conclu trois ans plus tôt à Vienne.Le président américain Donald Trump, à l’origine de cette décision durant son premier mandat (2017-2021), a rétabli de lourdes sanctions américaines contre l’Iran dans le cadre d’une politique dite de “pression maximale”. Il cherche dorénavant à négocier un nouveau pacte avec Téhéran, qui espère une levée des sanctions qui asphyxient son économie.Les négociateurs des deux pays se retrouvent vendredi au moment où Washington et Téhéran affichent publiquement leur désaccord sur la question sensible de l’enrichissement d’uranium. L’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, qui mène les discussions pour Washington, a estimé dimanche que les Etats-Unis “ne pouvaient autoriser ne serait-ce qu’un pour cent de capacité d’enrichissement” à l’Iran. – “Désaccords fondamentaux” -“L’Iran ne peut pas avoir une capacité d’enrichissement, car cela en ferait une puissance nucléaire potentielle”, a argué mercredi le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio.Des “désaccords fondamentaux” demeurent avec les Etats-Unis, a estimé jeudi le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, qui mène les négociations pour Téhéran.Si les Etats-Unis empêchent l’Iran d’enrichir de l’uranium “il n’y aura pas d’accord”, a-t-il mis en garde.Téhéran, qui défend un droit au nucléaire civil, considère cette exigence comme contraire aux dispositions du Traité de non-prolifération (TNP), dont l’Iran est signataire.”La souveraineté de l’Iran est une ligne rouge et l’Iran ne renoncera en aucun cas au droit d’enrichir de l’uranium”, a déclaré à l’AFP le politologue iranien Mohammad Marandi.Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, et Israël, ennemi juré de l’Iran, considéré par des experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient, soupçonnent l’Iran de vouloir se doter de l’arme nucléaire. Téhéran nie avoir de telles visées.Le nucléaire emploie en Iran plus de 17.000 personnes, notamment dans l’énergie et le secteur médical, selon le porte-parole de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA), Behrouz Kamalvandi.”Les Pays-Bas, la Belgique, la Corée du Sud, le Brésil et le Japon enrichissent (l’uranium) sans posséder d’armes nucléaires”, avait-il souligné début mai.Jeudi, le président américain, Donald Trump, a parlé de l’Iran avec le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, selon la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt.- “Dans la bonne direction” -M. Trump estime que les négociations avec Téhéran, vues avec scepticisme voire franche hostilité par le dirigeant israélien, “vont dans la bonne direction”, a-t-elle ajouté.Selon l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), l’Iran enrichit actuellement l’uranium à 60%, bien au-delà de la limite de 3,67% autorisée par l’accord de 2015, mais en deçà du taux de 90% nécessaire pour un usage militaire. Téhéran a pris ses distances avec ses engagements de 2015 en représailles au retrait américain de l’accord sur le nucléaire.L’accord sur le nucléaire de 2015, qui expire en octobre, soit dix ans après l’entrée en vigueur du texte, prévoit la possibilité de réimposer des sanctions onusiennes si l’Iran ne se conforme pas à ses engagements.

Nucléaire: nouveaux pourparlers à Rome entre l’Iran et les Etats-Unis

Des négociateurs de l’Iran et des Etats-Unis se sont retrouvés vendredi à Rome pour un cinquième cycle de pourparlers sur le nucléaire iranien sous médiation omanaise, au moment où les négociations semblent buter sur la question de l’enrichissement d’uranium.Téhéran et Washington, ennemis depuis la Révolution islamique de 1979 qui a renversé en Iran une monarchie pro-occidentale, ont entamé le 12 avril des discussions sur l’épineux dossier du programme nucléaire iranien.Les agences iraniennes Tasnim, Fars et Isna ont rapporté autour de 12H00 GMT le début des discussions entre le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, et l’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff.Ces pourparlers représentent le plus haut niveau d’engagement entre les deux pays depuis le retrait unilatéral en 2018 par les Etats-Unis de l’accord international sur le nucléaire iranien conclu trois ans plus tôt à Vienne.Le président américain Donald Trump, à l’origine de cette décision durant son premier mandat (2017-2021), a rétabli de lourdes sanctions américaines contre l’Iran dans le cadre d’une politique dite de “pression maximale”. Il cherche dorénavant à négocier un nouveau pacte avec Téhéran, qui espère une levée des sanctions qui asphyxient son économie.Les négociateurs des deux pays se retrouvent vendredi au moment où Washington et Téhéran affichent publiquement leur désaccord sur la question sensible de l’enrichissement d’uranium. L’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, qui mène les discussions pour Washington, a estimé dimanche que les Etats-Unis “ne pouvaient autoriser ne serait-ce qu’un pour cent de capacité d’enrichissement” à l’Iran. – “Désaccords fondamentaux” -“L’Iran ne peut pas avoir une capacité d’enrichissement, car cela en ferait une puissance nucléaire potentielle”, a argué mercredi le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio.Des “désaccords fondamentaux” demeurent avec les Etats-Unis, a estimé jeudi le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, qui mène les négociations pour Téhéran.Si les Etats-Unis empêchent l’Iran d’enrichir de l’uranium “il n’y aura pas d’accord”, a-t-il mis en garde.Téhéran, qui défend un droit au nucléaire civil, considère cette exigence comme contraire aux dispositions du Traité de non-prolifération (TNP), dont l’Iran est signataire.”La souveraineté de l’Iran est une ligne rouge et l’Iran ne renoncera en aucun cas au droit d’enrichir de l’uranium”, a déclaré à l’AFP le politologue iranien Mohammad Marandi.Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, et Israël, ennemi juré de l’Iran, considéré par des experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient, soupçonnent l’Iran de vouloir se doter de l’arme nucléaire. Téhéran nie avoir de telles visées.Le nucléaire emploie en Iran plus de 17.000 personnes, notamment dans l’énergie et le secteur médical, selon le porte-parole de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA), Behrouz Kamalvandi.”Les Pays-Bas, la Belgique, la Corée du Sud, le Brésil et le Japon enrichissent (l’uranium) sans posséder d’armes nucléaires”, avait-il souligné début mai.Jeudi, le président américain, Donald Trump, a parlé de l’Iran avec le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, selon la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt.- “Dans la bonne direction” -M. Trump estime que les négociations avec Téhéran, vues avec scepticisme voire franche hostilité par le dirigeant israélien, “vont dans la bonne direction”, a-t-elle ajouté.Selon l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), l’Iran enrichit actuellement l’uranium à 60%, bien au-delà de la limite de 3,67% autorisée par l’accord de 2015, mais en deçà du taux de 90% nécessaire pour un usage militaire. Téhéran a pris ses distances avec ses engagements de 2015 en représailles au retrait américain de l’accord sur le nucléaire.L’accord sur le nucléaire de 2015, qui expire en octobre, soit dix ans après l’entrée en vigueur du texte, prévoit la possibilité de réimposer des sanctions onusiennes si l’Iran ne se conforme pas à ses engagements.

Iran, US hold new round of nuclear talks in Rome

Iranian and US negotiators met in Rome on Friday for a fifth round of nuclear talks, after a public disagreement over Tehran’s uranium enrichment.The talks, which began in April, are the highest-level contact between the foes since the United States quit a landmark 2015 nuclear accord during President Donald Trump’s first term.Since returning to office, Trump has revived his “maximum pressure” campaign on Iran, backing talks but warning of military action if diplomacy fails.Iran wants a new deal that would ease sanctions which have battered its economy.”The fifth round of indirect talks between Iran and the United States, led by Iranian Foreign Minister Abbas Araghchi and US special envoy to the Middle East Steve Witkoff, began in Rome, with the mediation of Oman,” Iran’s Tasnim news agency reported.The fourth round of talks, in the Omani capital Muscat, ended with a public spat over enrichment.Witkoff said Washington “could not authorise even one percent” enrichment — a position Tehran called a red line, citing its rights under the nuclear Non-Proliferation Treaty.- ‘Fundamental differences’ -Ahead of Friday’s talks, Araghchi said “fundamental differences” remained with the United States, while adding that Tehran was open to its nuclear sites undergoing more inspections.”We will not have an agreement at all” if the United States wants to prevent Iran from enriching uranium, he said.Iran’s official IRNA news agency reported that the talks in the Italian capital were scheduled to begin at 1:00 pm (1100 GMT).They come ahead of a June meeting of the UN nuclear watchdog, the Vienna-based International Atomic Energy Agency (IAEA), and the October expiry of the 2015 accord.The deal, known as the Joint Comprehensive Plan of Action, aimed to allay Western suspicions that Iran was seeking a nuclear weapons capability, an ambition that Tehran has consistently denied.In return for curbs on its nuclear programme, Iran had received relief from international sanctions. But the accord was torpedoed in 2018 when Trump unilaterally withdrew the United States and reimposed sanctions.A year later, Iran responded by ramping up its nuclear activities.It is now enriching uranium to 60 percent — far above the deal’s 3.67 percent cap but below the 90 percent level needed for a nuclear warhead.- ‘It’s quite simple’ -Analysts in Tehran said Iran was unlikely to back down.”It’s quite simple; if the US expects Iran to halt nuclear enrichment, then there can’t be a deal,” said Mohammad Marandi, a political scientist who was once an adviser on the nuclear issue.The Atomic Energy Organization of Iran says the country’s nuclear industry employs 17,000 people, similar to other countries where uranium is enriched for civilian use.”The Netherlands, Belgium, South Korea, Brazil and Japan enrich (uranium) without possessing nuclear weapons,” its spokesman Behrouz Kamalvandi said.Iran’s enmity with Israel, whose main backer is the United States, has been a constant backdrop to the talks.In a letter to the United Nations, Araghchi wrote: “We believe that in the event of any attack on the nuclear facilities of the Islamic Republic of Iran by the Zionist regime, the US government will also be involved and bear legal responsibility.” The warning came after CNN, citing unnamed US officials, reported Israel was making preparations to carry out such a strike.The White House said Trump had a “productive discussion” with Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu on Thursday about Iran and the fatal shooting of two Israeli embassy staff in Washington.- ‘Irreversible’ -Friday’s talks take place before an IAEA Board of Governors meeting in Vienna in June during which Iran’s nuclear activities will be reviewed.The 2015 deal provides for the possibility of UN sanctions being reimposed through a mechanism called “snapback” if Iran fails to fulfil its commitments.The agreement’s three European parties — Britain, France and Germany — have warned they will trigger the mechanism if the continent’s security is threatened.Araghchi said such a move would have “consequences — not only the end of Europe’s role in the agreement, but also an escalation of tensions that could become irreversible”.

Bangladesh minister says Yunus ‘not going to step down’

Bangladesh’s Muhammad Yunus “needs to remain” in office as interim leader to ensure a peaceful transition of power, a cabinet member and special adviser to Yunus said Friday.Yunus, the 84-year-old Nobel Peace Prize winner who took over after a mass uprising last year, had threatened to quit the job if parties did not give him their backing, a political ally and sources in his office said.The South Asian nation has been in political turmoil since the student-led revolt that toppled then-prime minister Sheikh Hasina in August 2024, with parties protesting on the streets over a string of demands.”For the sake of Bangladesh and a peaceful democratic transition, Professor Yunus needs to remain in office,” Faiz Ahmad Taiyeb, a special assistant to Yunus, and head of the Ministry of Posts, Telecommunications and Information Technology, said in a post on Facebook.”The Chief Adviser is not going to step down,” he added. “He does not hanker after power.”He later deleted his post.Bangladesh’s political crisis has escalated this week, with rival parties protesting on the streets of the capital Dhaka with a string of competing demands.Yunus’s reported threat to stand down came after thousands of supporters of the powerful Bangladesh Nationalist Party (BNP) rallied in Dhaka on Wednesday, holding large-scale protests against the interim government for the first time.Yunus has promised polls will be held by June 2026 at the latest in the Muslim-majority nation of around 170 million people.But supporters of the BNP — seen as front-runners in the highly anticipated elections that will be the first since Hasina was overthrown — demanded he fix a date.- ‘Chaotic phase’ -Yunus’s relationship with the military has also reportedly deteriorated.According to local media and military sources, army chief General Waker-Uz-Zaman said on Wednesday that elections should be held by December, warning that Bangladesh was in a “chaotic phase” and that the “situation is worsening by the day”.Taiyeb issued a warning to the army on Friday. “The army can’t meddle in politics,” he wrote.”The army doesn’t do that in any civilised country,” he added.”By saying that the election has to be held by December, the military chief failed to maintain his jurisdictional correctness.”- ‘Excessive restriction’ -The army played a decisive role in the ending of Hasina’s rule by not stepping in to quash the uprising, after at least 1,400 protesters were killed in a police crackdown.It was Waker-Uz-Zaman who announced that Hasina had been overthrown, with the military taking brief control, before handing over to Yunus.The army issued a statement late on Thursday it said was aimed to combat those seeking to create divisions between the military and the public.”Some vested interest groups are circulating misleading information and trying to create a divide between the army and the general public,” the army said in a statement late Thursday.It released a list of the hundreds of people it had briefly sheltered inside army bases in the chaotic days following Hasina’s ouster “to save them from extrajudicial killings”.Among those the army said it sheltered to “save lives” were 24 political figures, as well as judges, civil service staff, academics and more 525 police personnel.The army did not give details on those it accused of seeking to undermine its support.The National Citizen Party (NCP) — made up of many of the students who spearheaded the uprising against Hasina, and a group close to Yunus  — has previously accused of the army of supporting Hasina’s Awami League party.Hasina, 77, remains in self-imposed exile in India, where she has defied an arrest warrant to face trial for crimes against humanity related to the police crackdown.The government banned the Awami League this month after protests outside Yunus’s house, a move that sparked criticism from Human Rights Watch, calling it an “excessive restriction on fundamental freedoms that mirrors the previous government’s abusive clampdown”.