European stocks, dollar firm as US tariff deadline looms

European stock markets and the dollar strengthened Monday as countries fought to hammer out trade deals days before US President Donald Trump’s tariff deadline.Oil prices rose, even if OPEC and its allies agreed over the weekend to increase output more than expected.”Tariff threats look likely to take centre stage yet again this week, following further developments over the weekend,” noted Richard Hunter, head of markets at Interactive Investor.Trump announced he would send the first tariff letters to various countries on Monday ahead of his deadline Wednesday for trading partners to reach a deal expires.He warned that US levies on imports will snap back to the high levels he set in April if countries failed to make agreements. Treasury Secretary Scott Bessent said, however, that the measures would not be applied until August 1.While the White House has said several deals were in the pipeline, only two have been finalised ahead of the July 9 cut-off set by Trump.Governments from major trading partners including Japan, India, the European Union and South Korea have fought for the past three months to get agreements.Uncertainty prevails, with Trump declaring that an extra 10 percent import levy would be added to any country “aligning themselves with the Anti-American policies of BRICS” — an 11-member alliance including Brazil, Russia, India and China.Despite the tariff uncertainty, official data Monday showed German industrial production rose strongly in May, boosting hopes that Europe’s top economy has turned a corner. The news helped to lift German equities more than in London and Paris.Asia’s main stock markets mostly steadied.- OPEC+ hike -The oil market was also in focus after Saudi Arabia, Russia and six other key members of the OPEC+ alliance said they would increase oil output in August by 548,000 barrels per day, more than expected.The group said in a statement that “a steady global economic outlook and current healthy market fundamentals, as reflected in the low oil inventories” led to the decision. Shares in Shell dropped 3.2 percent around midday after the British energy giant posted a weak trading update.- Key figures at around 1040 GMT -London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 8,828.24 pointsParis – CAC 40: UP 0.1 percent at 7,704.63Frankfurt – DAX: UP 0.7 percent at 23,944.13Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.6 percent at 39,587.68 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.1 percent at 23,887.83 (close)Shanghai – Composite: FLAT at 3,473.13 (close)New York: Closed for a public holidayEuro/dollar: DOWN at $1.1726 from $1.1783 on FridayPound/dollar: DOWN at $1.3598 from $1.3641Dollar/yen: UP at 145.46 yen from 144.53 yenEuro/pound: DOWN at 86.35 pence from 86.37 penceBrent North Sea Crude: UP 0.7 percent at $68.75 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.1 percent at $67.08 per barrelburs-bcp/ajb/rl

Droits de douane: “bon échange” téléphonique dimanche entre von der Leyen et Trump

La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a eu un “bon échange” téléphonique dimanche avec le président américain Donald Trump sur la question des droits de douane, a indiqué un de ses porte-parole.”Ils ont eu un bon échange”, a affirmé Stefan de Keersmaecker lundi, assurant “que des efforts étaient toujours en cours à différents niveaux” pour parvenir à un accord commercial avec les Etats-Unis.L’exécutif européen, chargé de négocier au nom des 27 Etats membres de l’UE, travaille d’arrache-pied pour esquiver les lourds droits de douane que Donald Trump menace d’imposer à leurs produits d’ici le 9 juillet.Le commissaire européen Maros Sefcovic, responsable de ces négociations, a multiplié les déplacements à Washington au cours des derniers jours pour échanger avec ses homologues sur la question. “Pour l’instant notre première priorité c’est de trouver un accord, au moins un accord de principe avec les Etats-Unis”, a indiqué un autre porte-parole de la Commission, Olof Gill.”Nous sommes maintenant au début de la fin de la bataille, du moins en ce qui concerne un accord de principe”, a-t-il estimé, sans donner davantage de détails. Le président républicain a menacé le bloc européen d’une surtaxe de 50%, bien supérieure au projet d’avril (20%). Lors de son point presse lundi, la Commission européenne a toutefois refusé de se prononcer sur la possibilité que la date butoir du 9 juillet soit repoussée au 1er août, comme l’a suggéré Donald Trump. Elle a invité les journalistes à “rediriger leurs questions vers l’administration américaine”. Ursula von der Leyen et Donald Trump ont eu des contacts limités depuis que le président américain est retourné au pouvoir. Le président américain, qui ne cache pas son peu de goût pour l’Union européenne et ses institutions, avait qualifié la dirigeante européenne de “fantastique”. 

South Africa’s Mulder threatens Lara Test record before declaringMon, 07 Jul 2025 11:00:45 GMT

Wiaan Mulder set an individual South Africa Test batting best and came close to the world record before calling a halt to his team’s innings on the second day of the second Test against Zimbabwe at Queens Sports Club, Bulawayo on Monday.Mulder was unbeaten on 367 when he declared during the lunch interval with South …

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Nairobi tense as large police presence blocks protestersMon, 07 Jul 2025 10:51:34 GMT

Police blocked roads and heavily deployed in the deserted streets of Kenya’s usually bustling capital on Monday to prevent gatherings to mark annual pro-democracy rallies after recent demonstrations descended into violent clashes.Many people appeared to be staying home rather than attend the so-called Saba Saba Day (meaning Seven Seven) marches to commemorate July 7, 1990 …

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Effondrements rue d’Aubagne à Marseille : premières condamnations à de la prison ferme

De premiers copropriétaires ont été condamnés lundi à de la prison ferme au procès des effondrements mortels de la rue d’Aubagne, la lecture du jugement ayant été brièvement interrompue par le malaise de l’un d’eux, dans une ambiance empreinte de douleur et d’émotion après ce drame du logement indigne dans lequel huit personnes sont mortes le  novembre 2018.Dans une salle archi-bondée de la salle des procès hors-norme du tribunal judiciaire de Marseille, le président Pascal Gand a commencé par relaxer six prévenus, trois copropriétaires du numéro 65 de la rue d’Aubagne et le bailleur social et deux de ses anciens dirigeants qui géraient le numéro 63 inoccupé.Puis Sébastien Ardilly, qui était poursuivis avec ses parents, absents à l’audience, et leur SCI en tant que personne morale, a été appelé à la barre.”Le tribunal retient que vous étiez personnellement informés des désordres graves” au numéro 65 de la rue d’Aubagne et que “vous avez fait preuve d’une indifférence totale en exécutant pas les travaux” nécessaires, a commencé le président Pascal Gand.”Ces fautes ont causé de façon indirecte et certaine la mort d’Ouloume Saïd Hassani”, une mère comorienne démunie qui vivait dans cet appartement du centre-ville de Marseille avec ses deux fils, qui ont eux survécu et étaient présent dans la salle.Pendant que le magistrat énumérait ces fautes – travaux non réalisés dans le plancher, le plafond, fils électriques apparents, punaises de lit – Sébastien Ardilly a fait un malaise et l’audience a du être suspendue une quarantaine de minutes le temps que les pompiers lui prodiguent des soins.A la reprise le tribunal a annoncé sa condamnation à trois ans de prison dont un an ferme sous bracelet électronique, quatre ans dont deux ferme sous bracelet électronique pour son père Gilbert et trois ans avec sursis pour sa mère Martine.- “Plus jamais” -Avant le début du jugement, plusieurs dizaines proches des huit victimes et militants se sont rassemblés. Il faut “que ce drame là ne se reproduise plus jamais” et que “la peur change de camp au niveau du logement aujourd’hui”, a plaidé Anissa, de l’assemblée des délogés, rappelant qu’il y avait encore quelque 200 signalements d’immeubles en péril chaque mois à Marseille.Six semaines de débats à l’automne avaient permis d’établir que les effondrements le 5 novembre 2018 des numéros 63 (vide) et 65 étaient inéluctables vu l’état du bâti. Mais aucune mise à l’abri des locataires du 65 n’avait été décidée et les travaux entrepris s’étaient avérés inefficaces voire contreproductifs.L’instruction avait seulement renvoyé quatre personnes devant le tribunal : Julien Ruas, adjoint du maire LR de l’époque Jean-Claude Gaudin, l’architecte Richard Carta qui avait expertisé l’immeuble moins de trois semaines avant son effondrement, et deux personnes morales, le syndic du 65, le cabinet Liautard, et le bailleur social propriétaire du numéro 63, laissé à l’état de ruine par Marseille Habitat.Insuffisant pour certaines parties civiles qui avaient cité à comparaître une douzaine de personnes supplémentaires, dont des copropriétaires.Au final, 16 personnes morales et physiques ont été jugées pour différents délits, notamment homicide involontaire par violation manifestement délibérée d’une obligation de sécurité, un délit punissable de cinq ans de prison maximum, et soumission de personnes vulnérables dont au moins un mineur à des conditions d’hébergement indigne, des faits qui peuvent valoir jusqu’à dix ans d’emprisonnement.Le procureur, Michel Sastre, avait suivi les parties civiles sur ce point, estimant que les copropriétaires avaient bien “connaissance des problèmes structurels de l’immeuble”, mais avaient “joué la montre” pour “dépenser le plus tard et le moins possible”.Il avait même requis à l’encontre de Xavier Cachard, élu régional qui avait au moment des faits la double casquette de propriétaire et avocat du syndic, la peine la plus lourde : cinq ans de prison dont trois ferme.Des peines significatives avaient aussi été réclamées contre Richard Carta, l’expert-architecte (trois ans de prison dont deux ferme) et Julien Ruas (trois ans de prison), seul élu municipal poursuivi dans cette affaire qui avait jeté une lumière crue sur l’inaction de l’équipe de Jean-Claude Gaudin, dont le parti perdra la mairie deux ans plus tard face à une coalition gauche-écologistes-société civile.Durant les débats, les prévenus avaient contesté en bloc, les avocats plaidant des relaxes en cascade. 

Effondrements rue d’Aubagne à Marseille : premières condamnations à de la prison ferme

De premiers copropriétaires ont été condamnés lundi à de la prison ferme au procès des effondrements mortels de la rue d’Aubagne, la lecture du jugement ayant été brièvement interrompue par le malaise de l’un d’eux, dans une ambiance empreinte de douleur et d’émotion après ce drame du logement indigne dans lequel huit personnes sont mortes le  novembre 2018.Dans une salle archi-bondée de la salle des procès hors-norme du tribunal judiciaire de Marseille, le président Pascal Gand a commencé par relaxer six prévenus, trois copropriétaires du numéro 65 de la rue d’Aubagne et le bailleur social et deux de ses anciens dirigeants qui géraient le numéro 63 inoccupé.Puis Sébastien Ardilly, qui était poursuivis avec ses parents, absents à l’audience, et leur SCI en tant que personne morale, a été appelé à la barre.”Le tribunal retient que vous étiez personnellement informés des désordres graves” au numéro 65 de la rue d’Aubagne et que “vous avez fait preuve d’une indifférence totale en exécutant pas les travaux” nécessaires, a commencé le président Pascal Gand.”Ces fautes ont causé de façon indirecte et certaine la mort d’Ouloume Saïd Hassani”, une mère comorienne démunie qui vivait dans cet appartement du centre-ville de Marseille avec ses deux fils, qui ont eux survécu et étaient présent dans la salle.Pendant que le magistrat énumérait ces fautes – travaux non réalisés dans le plancher, le plafond, fils électriques apparents, punaises de lit – Sébastien Ardilly a fait un malaise et l’audience a du être suspendue une quarantaine de minutes le temps que les pompiers lui prodiguent des soins.A la reprise le tribunal a annoncé sa condamnation à trois ans de prison dont un an ferme sous bracelet électronique, quatre ans dont deux ferme sous bracelet électronique pour son père Gilbert et trois ans avec sursis pour sa mère Martine.- “Plus jamais” -Avant le début du jugement, plusieurs dizaines proches des huit victimes et militants se sont rassemblés. Il faut “que ce drame là ne se reproduise plus jamais” et que “la peur change de camp au niveau du logement aujourd’hui”, a plaidé Anissa, de l’assemblée des délogés, rappelant qu’il y avait encore quelque 200 signalements d’immeubles en péril chaque mois à Marseille.Six semaines de débats à l’automne avaient permis d’établir que les effondrements le 5 novembre 2018 des numéros 63 (vide) et 65 étaient inéluctables vu l’état du bâti. Mais aucune mise à l’abri des locataires du 65 n’avait été décidée et les travaux entrepris s’étaient avérés inefficaces voire contreproductifs.L’instruction avait seulement renvoyé quatre personnes devant le tribunal : Julien Ruas, adjoint du maire LR de l’époque Jean-Claude Gaudin, l’architecte Richard Carta qui avait expertisé l’immeuble moins de trois semaines avant son effondrement, et deux personnes morales, le syndic du 65, le cabinet Liautard, et le bailleur social propriétaire du numéro 63, laissé à l’état de ruine par Marseille Habitat.Insuffisant pour certaines parties civiles qui avaient cité à comparaître une douzaine de personnes supplémentaires, dont des copropriétaires.Au final, 16 personnes morales et physiques ont été jugées pour différents délits, notamment homicide involontaire par violation manifestement délibérée d’une obligation de sécurité, un délit punissable de cinq ans de prison maximum, et soumission de personnes vulnérables dont au moins un mineur à des conditions d’hébergement indigne, des faits qui peuvent valoir jusqu’à dix ans d’emprisonnement.Le procureur, Michel Sastre, avait suivi les parties civiles sur ce point, estimant que les copropriétaires avaient bien “connaissance des problèmes structurels de l’immeuble”, mais avaient “joué la montre” pour “dépenser le plus tard et le moins possible”.Il avait même requis à l’encontre de Xavier Cachard, élu régional qui avait au moment des faits la double casquette de propriétaire et avocat du syndic, la peine la plus lourde : cinq ans de prison dont trois ferme.Des peines significatives avaient aussi été réclamées contre Richard Carta, l’expert-architecte (trois ans de prison dont deux ferme) et Julien Ruas (trois ans de prison), seul élu municipal poursuivi dans cette affaire qui avait jeté une lumière crue sur l’inaction de l’équipe de Jean-Claude Gaudin, dont le parti perdra la mairie deux ans plus tard face à une coalition gauche-écologistes-société civile.Durant les débats, les prévenus avaient contesté en bloc, les avocats plaidant des relaxes en cascade. 

Haute couture: à Paris, Schiaparelli ouvre le bal d’une semaine marquée par le chassé-croisé des directeurs artistiques

La dernière de Demna chez Balenciaga, Dior aux abonnés absents… La semaine de la haute couture a débuté lundi à Paris, encore marquée par le jeu de chaises musicales des directeurs artistiques.Schiaparelli a, comme à son habitude, ouvert le bal avec une collection automne-hiver 2025-2026 intitulée “Retour vers le futur”. Une impressionnante robe à volants noirs et blancs, de longues robes du soir sculpturales, des tailleurs élégants presque trop sages, une tenue de torero richement décorée ou encore un manteau taillé comme un rectangle sans manche, au col montant à plumes et brodé d’une grosse fleur argentée, composent ce nouveau vestiaire. Le tout dans des tons blanc, noir et argenté, avec quelques touches de rouge vif. Organisé au Petit Palais, ce nouveau show a réuni un parterre de stars, dont la rappeuse américaine Cardi B qui a fait sensation avec une robe noire ultra-moulante à l’immense encolure ornée de longues franges perlée et un corbeau vivant posé sur ses mains gantées. La chanteuse britannique Dua Lipa ou encore les actrices françaises Philippine Leroy-Beaulieu et Joséphine Japy étaient également de la partie. Suivront dans la journée les défilés des maisons Iris Van Herpen, de retour après un an d’absence, Georges Hobeika, Imane Ayissi, Rahul Mishra, Julie de Libran et Giambattista Valli.- Le dernier show de Demna -Le point d’orgue de cette édition automne-hiver 2025-2026 sera les adieux de Demna à Balenciaga. Le styliste géorgien de 44 ans présentera son dernier défilé pour la maison française mercredi midi.Après dix ans à sa tête, le créateur au style iconoclaste va prendre la direction artistique de Gucci, dont les contre-performances plombent l’activité de Kering, qui possède les deux marques.Il est remplacé par l’Italien Pierpaolo Piccioli qui présentera sa première collection en octobre lors de la Fashion Week Femme de Paris.Un départ célébré en fanfare : outre une exposition baptisée “Balenciaga par Demna” au siège parisien de Kering, la maison de couture publie depuis plusieurs jours sur son compte Instagram les meilleurs looks imaginés par le styliste au cours de la dernière décennie.Mercredi marquera également les débuts, dans la soirée, chez Maison Margiela de Glenn Martens, nommé en janvier pour succéder au Britannique John Galliano. Le designer belge signe avec ce premier défilé le retour de la maison française au calendrier de la haute couture, après un dernier show sous le pont Alexandre III en janvier 2024, considéré par beaucoup comme l’un des plus spectaculaires de ces dernières années. Les maisons Patou et Celine ont déjà défilé dimanche, hors calendrier, comme un coup d’envoi officieux de cette semaine de la haute couture.- Dior et Gaultier manquent à l’appel -Mardi, Chanel présentera pour la dernière fois une collection imaginée par son studio de création interne, la cinquième depuis le brusque départ de Virginie Viard en juin 2024. Nommé en décembre, son successeur, le discret et très respecté Franco-Belge Matthieu Blazy, dévoilera sa première collection en octobre. Jusqu’à jeudi, 27 maisons présentent leurs créations, parmi lesquelles Elie Saab, Armani Privé, Aelis, Viktor&Rolf, Adeline André ou encore le couturier syrien Rami Al Ali, qui intègre le calendrier officiel.En raison de la valse des directeurs artistiques, cette semaine compte aussi quelques absences remarquées.Dior n’est pas de la partie. Après un premier défilé particulièrement suivi lors de la Fashion Week masculine le 27 juin, Jonathan Anderson réserve sa première collection haute couture pour janvier 2026.Nommé début juin à la tête des collections femme et haute couture de Dior, en remplacement de Maria Grazia Chiuri, quelques semaines après son arrivée chez l’homme, le Nord-Irlandais de 40 ans est le premier depuis Christian Dior à superviser les trois lignes de la maison phare de LVMH.Jean Paul Gaultier manque également à l’appel. Nommé directeur artistique permanent de la griffe en avril, le Néerlandais Duran Lantink fera ses débuts lors de la Fashion Week femme en octobre.L’événement s’achèvera avec le défilé du Suisse Kevin Germanier.