Coalition of willing commits to Ukraine force if peace agreed

More than two dozen countries have pledged to join a force to deploy in Ukraine after any eventual peace deal with Russia, aiming to deter Moscow from again attacking its neighbour, leaders announced Thursday.A “reassurance force” for Ukraine is a key pillar of the security guarantees a coalition of mainly European countries want to offer to Ukraine if the war ends via a peace deal or a ceasefire.However there is also growing concern that Russian President Vladimir Putin is now showing no interest in a peace accord, with alarm intensifying after his high-profile visit to Beijing this week.And the extent of any US involvement in any eventual security backstop remains uncertain, even after European leaders spoke to President Donald Trump via video conference following the summit in Paris of the so-called “coalition of the willing”.It was hosted by French President Emmanuel Macron and attended by Ukraine’s President Volodymyr Zelensky, while others, like UK premier Keir Starmer, participated remotely.The meeting represented a new push led by Macron to show that Europe can act independently of Washington after Trump upended US foreign policy and launched direct talks with Putin after returning to the White House.The United States was represented by Trump’s special envoy Steve Witkoff, who also met with Zelensky separately.- ‘First concrete step’ -Europe has been under pressure to step up its response over three and a half years after Russia launched its full-scale invasion in February 2022.”We have today 26 countries who have formally committed — some others have not yet taken a position — to deploy as a ‘reassurance force’ troops in Ukraine, or be present on the ground, in the sea, or in the air,” Macron told reporters, standing alongside Zelensky.Zelensky hailed the move. “I think that today, for the first time in a long time, this is the first such serious concrete step,” he said.The troops would not be deployed “on the front line” but aim to “prevent any new major aggression”, the French president said.Macron added that another major pillar was a “regeneration” of the Ukrainian army so that it can “not just resist a new attack but dissuade Russia from a new aggression”.Macron said the United States was being “very clear” about its willingness to participate in security guarantees for Ukraine.However, the American contribution remains unclear.There are also divisions within the coalition, with German Chancellor Friedrich Merz urging more pressure but remaining cautious about the scope of involvement.”Germany will decide on military involvement at the appropriate time once the framework conditions have been clarified,” a German government spokesman said after the summit.Taking a similar line, Prime Minister Giorgia Meloni reiterated that Italy will not send troops to Ukraine, but it could help monitor any potential peace deal, her office said.Before the Paris talks, Russian foreign ministry spokeswoman Maria Zakharova said Moscow would not agree to the deployment of foreign troops in Ukraine “in any format”.- ‘Play for time’ -Frustration has been building in the West over what leaders say is Putin’s unwillingness to strike a deal to end the conflict.Zelensky said the call with Trump discussed sanctions on Russia and protecting Ukraine’s airspace. “We discussed different options, and the most important is using strong measures, particularly economic ones, to force an end to the war,” Zelensky said on social media.The White House said it urged European countries to stop purchasing Russian oil “that is funding the war”.A Russian rocket attack Thursday on northern Ukraine killed two people from the Danish Refugee Council who were clearing mines in an area previously occupied by Moscow’s forces, the local Ukrainian governor said.Macron warned that if Russia continued refusing a peace deal, then “additional sanctions” would be agreed in coordination with the United States.He accused Russia of “doing nothing other than try to play for time” and intensifying attacks against civilians.The gathering followed Putin’s high-profile trips to China and the United States, where he met with Trump in Alaska last month.Speaking Wednesday in Beijing, where he attended a massive military parade alongside Chinese President Xi Jinping, Putin hailed his forces’ progress in Ukraine, adding that Russian troops were advancing on “all fronts”.fff-vl-cad-as-sjw/rlp/gv/dc

Euro de basket: la France écrase l’Islande et hérite de la Géorgie en 8es

Une dernière large victoire pour la route: avant de faire leurs valises pour Riga et retrouver la Géorgie en 8e de finale de l’Euro, les Bleus ont infligé une leçon à l’Islande (114-74) jeudi à Katowice pour la dernière journée de phase de groupes.Les vice-champions olympiques vont désormais quitter la Pologne pour rejoindre la Lettonie où ils entameront les matches couperets de la compétition, en commençant par un duel contre la Géorgie, arrivée quatrième du groupe C avec deux succès.Après la victoire de la Slovénie sur Israël dans l’après-midi (106-96), les Bleus étaient certains de terminer premiers de leur poule (4 victoires) alors que les Géorgiens ont tremblé jusqu’au bout pour connaître leur sort.En effet, ils ont dû attendre une fin d’un match aussi haletante que cruciale entre la Grèce et l’Espagne. La Roja avait absolument besoin d’une victoire pour éviter une élimination prématurée.Mais les Espagnols ont finalement craqué face à la bande à Giannis Antetokounmpo (90-86) et sortent du tournoi après quatre sacres dans les six dernières éditions.S’ils ne savaient pas encore qui croiserait leur route en huitièmes, les Bleus n’ont en tout cas fait aucun calcul sur le terrain devant les Islandais.Ainsi, le suspense a été éteint dès un premier quart-temps efficace (36-9), lancé par l’apport du pivot Mam Jaiteh (13 points, 6 rebonds).”Dès le début il fallait donner le bon ton, avoir la bonne intensité, a insisté Jaiteh, on était concentrés sur l’idée de +tuer+ le match car même dans ceux qu’on avait gagnés on avait eu du mal à maintenir ces écarts. On a réussi à conserver de la rigueur”.- La Géorgie, adversaire rare -Sans forcer leur talent, les hommes de Frédéric Fauthoux y ont tous mis du leur, à l’image des bonnes rentrées d’Elie Okobo, Jaylen Hoard et Zaccharie Risacher, qui a encore battu son record de points en Bleu (15 points) quelques jours après Israël.Cerise sur le gâteau, les Français ont retrouvé pour l’occasion une adresse à trois points qui avait jusqu’ici laissé à désirer : 8/13 à la pause (12/31 au total) avec déjà 66-34 à la pause.”J’espère que cela rassure les joueurs, même si quatre, cinq tirs ne me plaisent pas car ils ne sont pas en rythme , pour le reste ce sont de bons tirs”, a apprécié Frédéric Fauthoux, “si ça peut servir de déclic pour continuer sur cette lancée, ce serait top”.Seul Nadir Hifi n’avait d’ailleurs pas marqué à la mi-temps. Alors le Parisien a été lancé d’entrée en seconde période pour également prendre part au festival, en marquant mais aussi en livrant une délicieuse passe pour Bilal Coulibaly au moment d’atteindre la barre des 90 points en fin de troisième quart-temps (90-46).Coulibaly qui s’est encore occupé d’inscrire le panier de la barre des 100 points dans une fin de match tranquille ou huit joueurs ont marqué au minimum 10 points. Le tout devant son capitaine Guerschon Yabusele, qui a pu bénéficier d’un temps de jeu moindre jeudi (21 minutes). Pour rappel, la France devra faire sans Alexandre Sarr blessé, et avec seulement trois intérieurs de métiers pour la suite.Une suite qui s’écrira donc face à la Géorgie, pour un duel rare. Les deux nations, ne se sont affrontées qu’à trois reprises, en matches amicaux, entre 2008 et 2015.La dernière fois, les Français s’étaient d’ailleurs imposés (95-53). Mam Jaiteh, pivot des Bleus, était le seul représentant du groupe qui se lancera dimanche à l’assaut des quarts de finale.

Cape Verde islanders win to stay on course for World Cup debutThu, 04 Sep 2025 21:18:00 GMT

Cape Verde, an island nation off the west coast of Africa with a population of about 525,000, stayed on track for a first World Cup appearance by winning 2-0 in Mauritius on Thursday.Portugal-based Jovane Cabral scored after 22 minutes in the village of Saint-Pierre and Diney Borges, who plays for a United Arab Emirates club, …

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Mondial-2026: l’Allemagne se complique la tâche d’entrée en qualifications

L’Allemagne a enregistré jeudi à Bratislava une première défaite historique à l’extérieur en qualifications pour le Mondial-2026, un revers qui complique sa tâche d’entrée pour un billet direct pour les États-Unis, le Mexique et le Canada l’été prochain.Dans son histoire, l’Allemagne n’avait perdu que trois matches de qualifications pour une Coupe du monde de football, tous à domicile contre le Portugal en 1985, l’Angleterre en 2001 et la Macédoine du Nord en 2021. Le revers encaissé à Bratislava est donc une première pour la Mannschaft.La phase de qualifications pour le Mondial-2026 est toutefois bien plus courte cette fois-ci avec six matches seulement à jouer entre début septembre et mi-novembre, et des droits à l’erreur bien moins nombreux.Les hommes de Julian Nagelsmann ont grillé leur joker dès leur premier match, et se retrouvent dans l’obligation de s’imposer dimanche à Cologne dimanche (20h45) contre l’Irlande du Nord, qui s’est imposée jeudi contre le Luxembourg (3-1), s’ils ne veulent pas hypothéquer complètement leurs chances de se qualifier directement pour le Mondial.Seule la première place du groupe offre un ticket pour l’Amérique du nord l’été prochain (11 juin-19 juillet). Sinon, les Allemands devront passer par la case très périlleuse des barrages à la fin mars (ils ont assuré leur place en barrages grâce à leur quatrième place de la Ligue des nations), avec deux matches à remporter.Quadruple championne du monde (1954, 1974, 1990, 2014), l’Allemagne n’a manqué la Coupe du monde qu’à deux reprises en 22 éditions, en 1930 et en 1950.- Grosses lacunes défensives -Jeudi à Bratislava, les Allemands ont exposé à la vue de tous leurs lacunes défensives.Le duo de défenseurs centraux Jonathan Tah et Antonio Rüdiger ont laissé trop d’espace à l’attaque adverse et l’arrière droit Nnamdi Collins a été mis au supplice par Leo Sauer, pour sa première avec la Mannschaft -il a été remplacé par David Raum à la pause, obligeant le latéral gauche Maximilian Mittelstädt à venir sur le côté droit.Les Slovaques se sont créés les meilleures occasion en première période et ont logiquement ouvert le score grâce à David Hancko à la 42e minute, à la conclusion d’un contre qu’il a initié sur une récupération de balle au milieu de terrain de Florian Wirtz.En seconde période, David Strelec a reçu la balle à l’entrée de la surface et s’est joué tout seul de Rüdiger, dépassé à de nombreuses reprises jeudi, pour doubler la mise d’une superbe frappe enroulée dans la lucarne opposée.Offensivement, Wirtz et Nick Woltemade, transférés cet été en Premier League anglaise pour des sommes vertigineuses (125 millions d’euros pour Wirtz à Liverpool, 85 M EUR pour Woltemade à Newcastle) n’ont que peu apporté à l’Allemagne.”C’est difficile de dire à chaud ce qui nous a manqué. Il n’y a pas que la fatigue. On doit analyser ce qui s’est passé. Ce n’est pas ce que nous attendons de nous”, a commenté Tah après la rencontre au micro du diffuseur ARD.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Féminicide: 28 ans de réclusion requis contre un ex-policier

Vingt-huit ans de réclusion criminelle ont été requis jeudi contre l’ancien policier Arnaud Bonnefoy, jugé depuis mardi par la cour d’assises de Paris pour avoir étranglé en janvier 2022 sa compagne Amanda Glain qui voulait le quitter.”Durant ces trois jours, la vérité a été dite sur les circonstances et le jour de la mort d’Amanda Glain. J’ai été honnête. C’est un acte que je regretterai toute ma vie et qui est impardonnable. Mais j’ai dit la vérité sur cette affaire”, a dit Arnaud Bonnefoy avant que le jury ne se retire délibérer.L’ex-gardien de la paix, aujourd’hui âgé de 33 ans, encourt la réclusion criminelle à perpétuité pour ce meurtre, qu’il a expliqué par sa jalousie “maladive”, “tyrannique”, “morbide” autant qu'”infondée”.  Dépeignant la “chronique d’un féminicide annoncé”, l’avocate générale Inès Bordet a demandé aux jurés d’assortir les 28 ans de réclusion d’une période de sûreté des deux tiers, et appelé à garder “beaucoup de recul” sur les regrets de l’accusé. Le meurtre d’Amanda Glain est l’un des premiers féminicides parmi les 118 recensés par le ministère de l’Intérieur en 2022.Pour David Apelbaum, un des avocats de la défense, la peine demandée par le ministère public est “délirante”. “Une peine supérieure à vingt ans de réclusion criminelle serait excessive dans ce dossier”, a plaidé l’avocat, qui a rappelé des verdicts inférieurs à celui demandé dans plusieurs féminicides dont les auteurs niaient ou minimisaient leur culpabilité, citant notamment Jonathan Daval.- “Petit agneau” -Le corps d’Amanda Glain, une créatrice de contenus digitaux de 28 ans, avait été retrouvé le 28 janvier 2022 dans l’appartement du nord-est parisien que louait Arnaud Bonnefoy, originaire de Marseille et alors en poste en Seine-Saint-Denis. Celui-ci s’était rendu au terme de trois semaines de cavale. Il a expliqué qu’elle venait de lui confirmer la fin de deux ans d’une relation empreinte de violence, d’insultes, de menaces de mort et ruinée par sa jalousie.”J’aimerais exprimer le regret qui me hante pour cet acte horrible”, “monstrueux”, exercé avec une “force terrible”, dit-il, décrivant Amanda Glain comme une “femme parfaitement équilibrée” dont il dit qu’il l’aimait “profondément”.L’avocat de la partie civile Frédéric Delaméa demande de ne pas se “laisser prendre aux apparences d’Arnaud Bonnefoy”: celui qu’ils jugent, “ce n’est pas celui qui est dans le box, ce n’est pas le petit agneau, tout calme, tout lisse”. “La personne qu’il est est la personne que vous avez vue”, répond Me Apelbaum. Arnaud Bonnefoy répète lui son récit des faits: au lendemain d’une énième dispute dans le huis-clos de son studio parisien de 18 m2, dispute portant sur les publications de la jeune femme sur les réseaux sociaux, Amanda Glain “se prépare pour aller travailler”. Il se réveille à son tour “en imaginant que la dispute a cessé”. – “Oui, effectivement” -“Elle me dit que je ne suis qu’un connard”, qu’elle trouvera quelqu’un d’autre de mieux, raconte-t-il d’une voix qui devient un murmure. “Je me dis: +Pourquoi elle me dit toutes ces choses?+”, “+pourquoi elle me déteste?+” Pendant qu’Amanda Glain se maquille, il se décrit “submergé” par “la peur de son départ, qu’elle m’abandonne”, un mélange de “fureur, de colère, de haine, de peine”. Il se lève, va dans la salle de bains et l’étrangle.Dans la salle, le frère d’Amanda Glain, qui disait la veille avoir épuisé toutes ses larmes, écoute en pleurs.Le président Marc Sommerer interroge Arnaud Bonnefoy: au moment où il étranglait Amanda Glain, avait-il l’intention de donner la mort? L’accusé explique d’abord qu’il n’a “pas voulu” tuer sa compagne, qu’il était “déconnecté de la réalité”. Puis, dans un souffle, il lâche: “Oui, effectivement”.”Je ne me suis pas rendu compte du comportement que j’ai eu pendant des années, qui ont détruit” deux compagnes précédentes, venues mercredi témoigner de sa violence, “et ont fini par tuer Amanda”, dit-il. Il regrette aussi de n’avoir “pas eu le courage de suivre les traitements nécessaires”. Bras croisés, il est souvent apparu cadenassé. “Qui avait la clé pour débloquer tout ça? Peut-être vous?”, lui demande le président. L’accusé opine.