Tour de France: Valentin Paret-Peintre délivre la France au Mont Ventoux

Valentin Paret-Peintre a bien choisi son endroit pour apporter à la France sa première victoire dans le Tour de France 2025 en s’imposant au sommet du Mont Ventoux à l’issue d’une 16e étape exceptionnelle de suspense.Issu de l’échappée, le grimpeur de Soudal Quick-Step a battu au sprint l’Irlandais Ben Healy avec lequel il s’est livré une bataille homérique sur les pentes lunaires et assassines du Mont Chauve, envahi par des dizaines de milliers de spectateurs.Les deux hommes ont terminé devant Santiago Buitrago et Ilan Van Wilder, un coéquipier de “VPP” revenu du diable vauvert pour offrir un dernier relais au grimpeur français après la flamme rouge.Le maillot jaune Tadej Pogacar a terminé à 43 secondes du vainqueur en grattant encore deux secondes à son rival Jonas Vingegaard.Le Danois l’a attaqué à trois reprises, propulsé à chaque fois par un équipier différent, dans l’ascension de l’un des cols les plus durs d’Europe.Mais Pogacar a répondu à chaque fois, collé à la roue du Danois, avant de tenter lui aussi une attaque, enrayée par Vingegaard, dans un duel là-aussi palpitant. Au classement général, le Slovène compte désormais 4:15 d’avance sur Vingegaard à cinq étapes de l’arrivée à Paris.Valentin Paret-Peintre a lui délivré la nation tricolore qui commençait à redouter un zéro pointé pour la troisième fois seulement dans l’histoire plus que séculaire de la Grande Boucle.Il devient le cinquième Français à s’imposer au sommet du géant de Provence après Raymond Poulidor, Bernard Thévenet, Jean-François Bernard et Richard Virenque, s’inscrivant dans une lignée royale de grands champions à s’être imposé au Ventoux.C’est la troisième victoire de la carrière du poids plume haut-savoyard (1,72 m, 58 kg) après une étape sur le Giro en 2024 et sur le Tour d’Oman cette année.Le jeune frère d’Aurélien Paret-Peintre a quitté son cocon de Decathlon-AG2R l’hiver dernier pour partir en Belgique rejoindre l’équipe de Remco Evenepoel.Pour Soudal Quick-Step, c’est une belle revanche sur le sort après l’abandon d’Evenepoel dans le Tourmalet la semaine dernière.Il s’agit de la quatrième victoire sur ce Tour pour la formation belge après celle d’Evenepoel dans le contre-la-montre à Caen et les deux succès de Tim Merlier au sprint.

Janeth Chepngetich books world championships slot with upset winTue, 22 Jul 2025 15:07:21 GMT

Janeth Chepngetich on Tuesday stunned a strong field at the Kenyan trials to claim the women’s 10,000m title and earn a maiden appearance at the World Athletics Championships in Tokyo.The 26-year-old held off challenges from two world record holders, Agnes Jebet Ngetich and Beatrice Chebet.Janeth Chepngetich is no relation to women’s marathon world record holder …

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France’s culture minister to be tried on corruption charges

France’s Culture Minister Rachida Dati is to go on trial accused of corruption and abuse of power while she was a member of European Parliament, a judicial source told AFP Tuesday.Dati, a 59-year-old who holds ambitions to become Paris mayor next year, was charged in 2019 on suspicions she lobbied for the Renault-Nissan carmaking group while at the European Union institution. She denies the allegations.Dati is accused of accepting 900,000 euros ($1.06 million at current rates) in lawyer’s fees between 2010 and 2012 from a Netherlands-based subsidiary of Renault-Nissan, but not really working for them, while she was an MEP from 2009 to 2019.Investigations have sought to determine whether she was in fact lobbying in the European Parliament for the carmaker, an activity that is forbidden.French investigating magistrates also ordered that Carlos Ghosn, the ex-tycoon of Renault-Nissan, be tried, the judicial source said.The 71-year-old, who has been living in Lebanon for years after escaping arrest in Japan, has also rejected the charges against him.A hearing on September 29 will decide on the date of the trial, the source said.According to another source following the case, the trial could be held after the Paris municipal elections, which will be held in March next year.Dati, a daughter of working-class North African immigrants, has repeatedly sought without success to have the charges against her quashed.Ghosn, the former chairman and chief executive of the Renault-Nissan-Mitsubishi alliance, was arrested in Japan in November 2018 on suspicion of financial misconduct, before being sacked by Nissan’s board in a unanimous decision.He jumped bail late the following year and made a dramatic escape from Japan hidden in an audio-equipment box, landing in Beirut, where he remains as an international fugitive.Both Japan and France have sought his arrest.

Nucléaire: feu vert de Londres à Sizewell C, dont le coût enfle encore

Le gouvernement britannique a donné son feu vert mardi à la future centrale nucléaire britannique Sizewell C, dont le coût a encore enflé, à 38 milliards de livres (presque 45 milliards d’euros), aux côtés d’investisseurs privés et de l’énergéticien public français EDF.Cette future centrale, dans l’est de l’Angleterre, est un projet clé pour la sécurité énergétique britannique, et le Royaume-Uni “fait les investissements nécessaires pour ouvrir un nouvel âge d’or au nucléaire”, a assuré le ministre de l’Energie Ed Miliband, qui a annoncé dans un communiqué sa “décision finale d’investissement”.Londres a déjà alloué presque 18 milliards de livres à ce projet à la mise en oeuvre laborieuse et s’activait depuis des mois en coulisses pour chercher des partenaires privés et boucler le financement, alors que le coût de construction a presque doublé par rapport aux premières estimations.Le projet s’appuie aussi sur un nouveau modèle de financement qui fera peser une partie du coût sur les factures énergétiques des particuliers – ce qui ajoutera environ une livre par mois pour les ménages pendant la durée de la construction de Sizewell C, selon l’exécutif.Le gouvernement sera le premier actionnaire, avec 44,9%, devant La Caisse (anciennement connue sous le nom de Caisse de dépôt et placement du Québec) qui prend 20%, le groupe énergétique britannique Centrica (15%) et le fonds d’investissement britannique  Amber Infrastructure (7,6%). EDF avait déjà annoncé au début du mois sa participation de 12,5%.- Pas avant 2035-Depuis le début de la guerre en Ukraine, Londres redouble d’efforts pour se dégager des hydrocarbures et a fait du nucléaire l’une de ses priorités. C’est aussi une façon d’atteindre ses ambitions climatiques, en complément des immenses champs d’éoliennes construits en mer.Sizewell C, qui verra sortir de terre deux réacteurs nucléaires de nouvelle génération de type EPR, pourra alimenter six millions de foyers — mais ne devrait pas commencer à produire d’électricité avant 2035.Le projet est porté par le groupe français, qui gère déjà le vieillissant parc nucléaire britannique et construit en parallèle une autre centrale nucléaire, Hinkley Point C, dans le sud-ouest de l’Angleterre.Le prix de 38 milliards de livres annoncé mardi représente une forte hausse par rapport au précédent chiffrage officiel de 20 à 30 milliards. Mais il est environ 20% plus faible qu’Hinkley Point C, fait valoir le gouvernement britannique.Alors qu’EDF détient 72,6% de cet autre projet, des critiques se sont élevées au Royaume-Uni pour pointer son investissement jugé trop faible dans Sizewell C et, en contrepartie, la part trop importante du financement qui pèsera sur le contribuable britannique.L’ONG Greenpeace a aussi déploré mardi le choix du nucléaire au détriment de “sources d’énergie renouvelables moins chères”, reprochant au gouvernement d’avoir cédé au “lobbying de l’industrie nucléaire”.Le groupe chinois CGN avait été évincé du projet en 2022. Depuis, le gouvernement britannique était devenu actionnaire majoritaire et EDF avait réduit sa part.- Symbole de collaboration -En France, où la relance de la filière a été actée par le gouvernement, on surveille de près les dépenses d’EDF, une entreprise 100% publique. Les sommes astronomiques et les dérapages de budgets associés aux projets nucléaires d’EDF au Royaume-Uni font grincer des dents.L’Elysée avait toutefois érigé au début du mois ce projet en symbole de la collaboration avec Londres sur le nucléaire.Le “fonds souverain national” lancé l’an dernier par le gouvernement britannique a indiqué de son côté qu’il serait le levier de financement de l’exécutif – et pourra prêter jusqu’à 36,6 milliards de livres pour la construction. Bpifrance, la banque publique d’investissement française, pourrait garantir un prêt de 5 milliards de livres.Londres a précisé jeudi que le total du financement par fonds propres et par emprunt “dépasse le coût de construction” mais que cela “constitue une garantie pour les contribuables en cas de dépassement” du budget.Le gouvernement a promis le mois dernier d’injecter plus de 30 milliards de livres (35 milliards d’euros) pour relancer l’énergie nucléaire dans le pays, pour Sizewell C, mais aussi des petits réacteurs et la recherche sur la technologie prometteuse de la fusion.

Nucléaire: feu vert de Londres à Sizewell C, dont le coût enfle encore

Le gouvernement britannique a donné son feu vert mardi à la future centrale nucléaire britannique Sizewell C, dont le coût a encore enflé, à 38 milliards de livres (presque 45 milliards d’euros), aux côtés d’investisseurs privés et de l’énergéticien public français EDF.Cette future centrale, dans l’est de l’Angleterre, est un projet clé pour la sécurité énergétique britannique, et le Royaume-Uni “fait les investissements nécessaires pour ouvrir un nouvel âge d’or au nucléaire”, a assuré le ministre de l’Energie Ed Miliband, qui a annoncé dans un communiqué sa “décision finale d’investissement”.Londres a déjà alloué presque 18 milliards de livres à ce projet à la mise en oeuvre laborieuse et s’activait depuis des mois en coulisses pour chercher des partenaires privés et boucler le financement, alors que le coût de construction a presque doublé par rapport aux premières estimations.Le projet s’appuie aussi sur un nouveau modèle de financement qui fera peser une partie du coût sur les factures énergétiques des particuliers – ce qui ajoutera environ une livre par mois pour les ménages pendant la durée de la construction de Sizewell C, selon l’exécutif.Le gouvernement sera le premier actionnaire, avec 44,9%, devant La Caisse (anciennement connue sous le nom de Caisse de dépôt et placement du Québec) qui prend 20%, le groupe énergétique britannique Centrica (15%) et le fonds d’investissement britannique  Amber Infrastructure (7,6%). EDF avait déjà annoncé au début du mois sa participation de 12,5%.- Pas avant 2035-Depuis le début de la guerre en Ukraine, Londres redouble d’efforts pour se dégager des hydrocarbures et a fait du nucléaire l’une de ses priorités. C’est aussi une façon d’atteindre ses ambitions climatiques, en complément des immenses champs d’éoliennes construits en mer.Sizewell C, qui verra sortir de terre deux réacteurs nucléaires de nouvelle génération de type EPR, pourra alimenter six millions de foyers — mais ne devrait pas commencer à produire d’électricité avant 2035.Le projet est porté par le groupe français, qui gère déjà le vieillissant parc nucléaire britannique et construit en parallèle une autre centrale nucléaire, Hinkley Point C, dans le sud-ouest de l’Angleterre.Le prix de 38 milliards de livres annoncé mardi représente une forte hausse par rapport au précédent chiffrage officiel de 20 à 30 milliards. Mais il est environ 20% plus faible qu’Hinkley Point C, fait valoir le gouvernement britannique.Alors qu’EDF détient 72,6% de cet autre projet, des critiques se sont élevées au Royaume-Uni pour pointer son investissement jugé trop faible dans Sizewell C et, en contrepartie, la part trop importante du financement qui pèsera sur le contribuable britannique.L’ONG Greenpeace a aussi déploré mardi le choix du nucléaire au détriment de “sources d’énergie renouvelables moins chères”, reprochant au gouvernement d’avoir cédé au “lobbying de l’industrie nucléaire”.Le groupe chinois CGN avait été évincé du projet en 2022. Depuis, le gouvernement britannique était devenu actionnaire majoritaire et EDF avait réduit sa part.- Symbole de collaboration -En France, où la relance de la filière a été actée par le gouvernement, on surveille de près les dépenses d’EDF, une entreprise 100% publique. Les sommes astronomiques et les dérapages de budgets associés aux projets nucléaires d’EDF au Royaume-Uni font grincer des dents.L’Elysée avait toutefois érigé au début du mois ce projet en symbole de la collaboration avec Londres sur le nucléaire.Le “fonds souverain national” lancé l’an dernier par le gouvernement britannique a indiqué de son côté qu’il serait le levier de financement de l’exécutif – et pourra prêter jusqu’à 36,6 milliards de livres pour la construction. Bpifrance, la banque publique d’investissement française, pourrait garantir un prêt de 5 milliards de livres.Londres a précisé jeudi que le total du financement par fonds propres et par emprunt “dépasse le coût de construction” mais que cela “constitue une garantie pour les contribuables en cas de dépassement” du budget.Le gouvernement a promis le mois dernier d’injecter plus de 30 milliards de livres (35 milliards d’euros) pour relancer l’énergie nucléaire dans le pays, pour Sizewell C, mais aussi des petits réacteurs et la recherche sur la technologie prometteuse de la fusion.

Nucléaire: feu vert de Londres à Sizewell C, dont le coût enfle encore

Le gouvernement britannique a donné son feu vert mardi à la future centrale nucléaire britannique Sizewell C, dont le coût a encore enflé, à 38 milliards de livres (presque 45 milliards d’euros), aux côtés d’investisseurs privés et de l’énergéticien public français EDF.Cette future centrale, dans l’est de l’Angleterre, est un projet clé pour la sécurité énergétique britannique, et le Royaume-Uni “fait les investissements nécessaires pour ouvrir un nouvel âge d’or au nucléaire”, a assuré le ministre de l’Energie Ed Miliband, qui a annoncé dans un communiqué sa “décision finale d’investissement”.Londres a déjà alloué presque 18 milliards de livres à ce projet à la mise en oeuvre laborieuse et s’activait depuis des mois en coulisses pour chercher des partenaires privés et boucler le financement, alors que le coût de construction a presque doublé par rapport aux premières estimations.Le projet s’appuie aussi sur un nouveau modèle de financement qui fera peser une partie du coût sur les factures énergétiques des particuliers – ce qui ajoutera environ une livre par mois pour les ménages pendant la durée de la construction de Sizewell C, selon l’exécutif.Le gouvernement sera le premier actionnaire, avec 44,9%, devant La Caisse (anciennement connue sous le nom de Caisse de dépôt et placement du Québec) qui prend 20%, le groupe énergétique britannique Centrica (15%) et le fonds d’investissement britannique  Amber Infrastructure (7,6%). EDF avait déjà annoncé au début du mois sa participation de 12,5%.- Pas avant 2035-Depuis le début de la guerre en Ukraine, Londres redouble d’efforts pour se dégager des hydrocarbures et a fait du nucléaire l’une de ses priorités. C’est aussi une façon d’atteindre ses ambitions climatiques, en complément des immenses champs d’éoliennes construits en mer.Sizewell C, qui verra sortir de terre deux réacteurs nucléaires de nouvelle génération de type EPR, pourra alimenter six millions de foyers — mais ne devrait pas commencer à produire d’électricité avant 2035.Le projet est porté par le groupe français, qui gère déjà le vieillissant parc nucléaire britannique et construit en parallèle une autre centrale nucléaire, Hinkley Point C, dans le sud-ouest de l’Angleterre.Le prix de 38 milliards de livres annoncé mardi représente une forte hausse par rapport au précédent chiffrage officiel de 20 à 30 milliards. Mais il est environ 20% plus faible qu’Hinkley Point C, fait valoir le gouvernement britannique.Alors qu’EDF détient 72,6% de cet autre projet, des critiques se sont élevées au Royaume-Uni pour pointer son investissement jugé trop faible dans Sizewell C et, en contrepartie, la part trop importante du financement qui pèsera sur le contribuable britannique.L’ONG Greenpeace a aussi déploré mardi le choix du nucléaire au détriment de “sources d’énergie renouvelables moins chères”, reprochant au gouvernement d’avoir cédé au “lobbying de l’industrie nucléaire”.Le groupe chinois CGN avait été évincé du projet en 2022. Depuis, le gouvernement britannique était devenu actionnaire majoritaire et EDF avait réduit sa part.- Symbole de collaboration -En France, où la relance de la filière a été actée par le gouvernement, on surveille de près les dépenses d’EDF, une entreprise 100% publique. Les sommes astronomiques et les dérapages de budgets associés aux projets nucléaires d’EDF au Royaume-Uni font grincer des dents.L’Elysée avait toutefois érigé au début du mois ce projet en symbole de la collaboration avec Londres sur le nucléaire.Le “fonds souverain national” lancé l’an dernier par le gouvernement britannique a indiqué de son côté qu’il serait le levier de financement de l’exécutif – et pourra prêter jusqu’à 36,6 milliards de livres pour la construction. Bpifrance, la banque publique d’investissement française, pourrait garantir un prêt de 5 milliards de livres.Londres a précisé jeudi que le total du financement par fonds propres et par emprunt “dépasse le coût de construction” mais que cela “constitue une garantie pour les contribuables en cas de dépassement” du budget.Le gouvernement a promis le mois dernier d’injecter plus de 30 milliards de livres (35 milliards d’euros) pour relancer l’énergie nucléaire dans le pays, pour Sizewell C, mais aussi des petits réacteurs et la recherche sur la technologie prometteuse de la fusion.

Coca-Cola plans US cane sugar alternative after Trump push

Coca-Cola on Tuesday said it would release a version of Coke in the United States made with US-grown real cane sugar, a move requested by President Donald Trump.”We’re going to be bringing a Coke sweetened with US cane sugar into the market this fall, and I think that will be an enduring option for consumers,” said CEO James Quincey on a call with analysts.The company currently uses high-fructose corn syrup (HFCS) for many of its US products — a sweetener that has long drawn criticism from Health Secretary Robert F. Kennedy Jr. and his “Make America Healthy Again” agenda.Trump last week said that the company had agreed to use cane sugar in the United States version of Coke.”This will be a very good move by them — You’ll see. It’s just better!” Trump wrote on Truth Social.Coca-Cola at the time did not confirm the move even if it said it appreciated Trump’s “enthusiasm” for its brand.In announcing the new option, Quincey insisted that the main Coke product would still be made with corn syrup, with the cane sugar version offered as an alternative.Mexican Coke — which is made with cane sugar — is often sold at a premium in US stores and prized for its more “natural” flavor.The US president did not explain what motivated his push for the change, which would not impact his well-known favorite beverage, Diet Coke.Since his return to the White House, Trump has reinstalled a special button in the Oval Office that summons a helping of the sugar-free carbonated drink.HFCS became popular in the 1970s, with its use skyrocketing thanks to government subsidies for corn growers and high import tariffs on cane sugar.Any shift away from corn is likely to draw backlash in the Corn Belt, a Midwestern region that has been a stronghold of support for Trump.Both HFCS and sucrose (cane sugar) are composed of fructose and glucose, but differ at the structural level.Those differences don’t appear to significantly affect health outcomes, according to research.Trump’s preferred Diet Coke is sweetened with aspartame — a compound classified as a “possible carcinogen” by the International Agency for Research on Cancer (IARC).