California’s electric car drive put on blocks by US Senate

US senators on Thursday blocked California’s landmark mandate phasing out gas-powered cars, dealing a blow to the state’s move towards electric vehicles in a pointed rebuke of Democratic climate change policies.The Republican-led Senate revoked a waiver instituted under then-president Joe Biden that allowed the Golden State to set aside national pollution standards for cars and set its own more stringent regulations.But the Senate’s rubber stamp of a House-passed bill is likely to be challenged in court, setting up a battle royale between California’s left-leaning government and President Donald Trump.California Governor Gavin Newsom warned Trump’s Republicans ahead of the vote against action that would “cede American car-industry dominance to China and clog the lungs of our children.”The West Coast state’s San Joaquin Valley and its biggest city, Los Angeles, historically tolerated persistent smog before decades of efforts to clean up the worst air pollution in the country.Part of that push was a mandate ensuring that a third of new 2026 model cars sold in the state must be zero-emission, rising to two-thirds in 2030 and 100 percent in 2035. Republicans in Washington argue that this is costly, unworkable and anathema to consumer choice.”California got special permission from the Biden administration to ban gas-powered cars. Because of their market share, this would impact the entire nation,” said right-wing Utah Senator Mike Lee.”But Gavin Newsom doesn’t get to ruin 49 other states.”Republicans argue that the Congressional Review Act gives them the right to overturn California’s carve-out on a simple majority vote.But Democrats say Thursday’s move was illegal, as nonpartisan watchdogs including the Government Accountability Office and the Senate Parliamentarian said the CRA could not be applied to waivers.The Senate has only overruled its parliamentarian a handful of times in since the role was launched in the 1930s.Trump harshly criticized electric vehicles (EVs) as he sought reelection, despite significant federal funding allocated to projects in Republican districts, where thousands of jobs are expected to be created.He took aim at the sector as part of his flurry of executive orders on his first day in office in a bid to ensure what he called a “level” playing field for gasoline-powered motors.But he has not been consistent in his opposition — even taking time out of his schedule to promote former right-hand man Elon Musk’s prestige EV company Tesla at the White House.  US EV sales reached 1.3 million units last year, up 7.3 percent from 2023, according to Cox Automotive’s Kelley Blue Book, but automakers have recently scaled back investments, pointing to slowing demand growth. 

Retailleau dépasse pour la première fois Philippe en popularité, selon un sondage

Le ministre de l’Intérieur et nouveau président des Républicains Bruno Retailleau dépasse pour la première fois Edouard Philippe en popularité, avec 51% de bonnes opinions contre 48% pour l’ancien Premier ministre, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro publié jeudi.Bruno Retailleau, que d’aucuns voient déjà candidat à la présidentielle de 2027 après sa victoire sans appel dimanche face à Laurent Wauquiez, gagne près de dix points depuis sa nomination en décembre 2024 dans le gouvernement de François Bayrou où il était à 42%, relève l’institut.Dans le même temps, Edouard Philippe, candidat déclaré depuis septembre 2024 mais dont “l’invisibilité contraste avec la forte visibilité du ministre de l’Intérieur”, a perdu neuf points de popularité, ajoute-t-il.Bruno Retailleau est massivement soutenu par les sympathisants LR (90% de bonnes opinions), du parti macroniste Renaissance (74%) et du Rassemblement national (65%) tandis qu’Edouard Philippe doit en partie sa popularité à la gauche (56% de bonnes opinions au PS et 46% chez les écologistes).Le ministre de l’Intérieur est jugé comme un homme ayant des convictions plus profondes (62% versus 55%) et davantage d’autorité (55% versus 48%).Cette fermeté a toutefois un revers : les Français le perçoivent aussi comme plus “brutal” (36% versus 18%), moins “sympathique” que le maire du Havre (39% versus 53%) et moins “proche des gens” (40% contre 47%).”Bien qu’Edouard Philippe reste à ce stade le mieux placé en intentions de vote (environ 20% contre 10%) pour la présidentielle de 2027, la dynamique, en ce moment, lui échappe”, avertit Céline Bracq, directrice générale d’Odoxa.”Face à un Bruno Retailleau qui imprime sa marque, il devient urgent pour l’ancien Premier ministre de reprendre la parole, de se définir, de se projeter. Faute de quoi, l’histoire pourrait bien bégayer”, ajoute-t-elle, en référence au rendez-vous manqué d’Alain Juppé face à François Fillon en 2017.L’enquête a été réalisée mercredi et jeudi auprès d’un échantillon de 1.005 Français représentatifs de la population de 18 ans et plus. Marge d’erreur comprise entre 1,4 pt et 3,1 pts. 

Malema, the radical politician in Trump’s S.Africa videoThu, 22 May 2025 17:07:54 GMT

A video projected by US President Donald Trump to support false claims of “persecution” of white South Africans prominently featured Julius Malema, a firebrand politician known for his radical rhetoric.Trump ambushed President Cyril Ramaphosa with the 4:30-minute video shown in the Oval Office on Wednesday during talks at which South Africa wanted to salvage bilateral …

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La proportionnelle n’est “pas la priorité” pour Fabien Roussel

Le patron du Parti communiste Fabien Roussel a estimé jeudi qu’un mode de scrutin proportionnel aux législatives, comme souhaité par François Bayrou, n’était “pas la priorité” des Français d’abord préoccupés, selon lui, par leur “pouvoir d’achat”.”La question des factures de gaz et d’électricité, de l’alimentation, c’est ce qu’ils nous disent tous les jours. Et puis aussi ceux qui sont menacés de perdre leur emploi, notamment dans l’industrie”, a affirmé le secrétaire national du PCF à l’issue d’un entretien de plus d’une heure avec le Premier ministre qualifié de “direct” et “franc”.Il a jugé “un peu vague” le projet de M. Bayrou, qui défend une proportionnelle intégrale par département comme en 1986, et il “attend de savoir quel sera le texte complet”.À son côté, le cheffe de file des sénateurs communistes Cécile Cukierman a dit craindre que ce type de proportionnelle “vienne finalement renforcer le fait majoritaire et présidentiel plutôt que développer le pluralisme”.Pour M. Roussel, face à la “crise démocratique”, “l’urgence, c’est par exemple d’abroger le 49.3”, cet article de la Constitution qui permet au gouvernement de faire adopter un texte au Parlement sans vote, et de “permettre au Parlement de voter sur la réforme des retraites”.Interrogé sur la proposition du député ex-LFI François Ruffin d’organiser une primaire à gauche pour la présidentielle, le patron du PCF a répondu que ce n’était “pas (sa) tasse de thé (…) de consacrer son énergie à ça aujourd’hui”. “La priorité, c’est d’abord de se battre pour que les factures baissent, les salaires augmentent”.François Bayrou a entamé le 30 avril une série de consultations des forces politiques sur l’élection des députés à la proportionnelle. Depuis l’instauration de la Ve République – à l’exception de 1986 -, les députés sont élus au scrutin uninominal majoritaire à deux tours.Il souhaite soumettre un projet de loi sur le modèle de 1986. Celui-ci pourrait être examiné à l’automne.Mais il n’est pas assuré d’avoir le soutien des macronistes qui considèrent désormais que le mode de scrutin majoritaire actuel est “le moins pire”. L’ancien Premier ministre et patron d’Horizons Édouard Philippe s’est dit jeudi “défavorable” à la proportionnelle, qui conduirait à une “absence de majorité”.À droite, Les Républicains y sont fermement opposés. Leur nouveau président Bruno Retailleau doit être reçu à ce sujet la semaine prochaine.Le RN, favorable à une proportionnelle avec une prime majoritaire, a indiqué qu’il pourrait s’accommoder du modèle de 1986.LFI défend une proportionnelle “à un échelon régional” et le PS, divisé, n’a pas encore arrêté de position.

Settler attacks push Palestinians to abandon West Bank village, residents say

Palestinian residents of Maghayer al-Deir in the occupied West Bank told AFP on Thursday that they had begun packing their belonging and preparing to leave the village following repeated attacks by Israeli settlers.Yusef Malihat, a resident of the tiny village east of Ramallah, told AFP his community had decided to leave because its members felt powerless in the face of the settler violence.”No one provides us with protection at all,” he said, a keffiyeh scarf protecting his head from the sun as he loaded a pickup truck with chain-link fencing previously used to pen up sheep and goats.”They demolished the houses and threatened us with expulsion and killing,” he said, as a group of settlers looked on from a new outpost a few hundred metres away.The West Bank is home to about three million Palestinians, but also some 500,000 Israelis living in settlements that are considered illegal under international law.Settlement outposts, built informally and sometimes overnight, are considered illegal under Israeli law too, although enforcement is relatively rare.The Israeli military told AFP it was “looking into” the legality of the outpost at Maghayer al-Deir.”It’s very sad, what’s happening now… even for an outpost,” said Itamar Greenberg, an Israeli peace activist present at Maghayer al-Deir on Thursday.”It’s a new outpost 60 metres from the last house of the community, and on Sunday one settler told me that in one month, the Bedouins will not be here, but it (happened much) more quickly,” he told AFP.The Palestinian Authority’s Colonization and Wall Resistance Commission denounced Maghayer al-Deir’s displacement, describing it as being the result of the “terrorism of the settler militias”.It said in a statement that a similar fate had befallen 29 other Bedouin communities, whose small size and isolation in rural areas make them more vulnerable.In the area east of Ramallah, where hills slope down towards the Jordan Valley, Maghayer al-Deir was one of the last remaining communities after the residents of several others were recently displaced.Its 124 residents will now be dispersed to other nearby areas.Malihat told AFP some would go to the Christian village of Taybeh just over 10 kilometres (six miles) away, and others to Ramallah.Uncertain they would be able to return, the families loaded all they could fit in their trucks, including furniture, irrigation pipes and bales of hay.

La Bourse de Paris conclut en baisse une séance tournée vers le budget des Etats-Unis

La Bourse de Paris a terminé en baisse de 0,58% jeudi, à l’issue d’une séance marquée par les indices d’activité en zone euro et les inquiétudes du marché quant à la trajectoire du déficit public américain.L’indice vedette CAC 40 a perdu 46,05 points pour s’établir à 7.864,44 points à la clôture. La veille, il avait perdu 0,40%.”La séance a débuté avec des PMI en zone euro plutôt mixte”, a commenté Marine Mazet, stratégiste taux chez Nomura.Baromètre de l’activité économique du secteur privé, l’indice PMI Flash pour la zone euro en mai s’est contracté pour la première fois depuis cinq mois, plombée par la faiblesse du secteur des services.”Cette composante service a surpris à la baisse”, mais c’est un soulagement pour les investisseurs puisque c’est “l’inflation sur les services qui a fait peur à la Banque centrale (BCE) pendant très longtemps”, explique Marine Mazet.”C’est sur cette composante de l’indice que l’on peut voir les prémices d’un ralentissement économique”, qui alimente les espoirs d’un desserrement des taux d’intérêt de la BCE, a poursuivi la stratégiste.Ainsi, sur le marché obligataire européen, le rendement des obligations allemandes à 10 ans restait stable, à 2,64% jeudi, au même niveau que la veille à la clôture, malgré un environnement de marché tendu en raison des inquiétudes sur le déficit des Etats-Unis. Son équivalent français était à 3,32%, contre 3,31% mercredi.”Le projet de loi budgétaire aux Etats-Unis remet la lumière sur le risque fiscal” et les sujets de déficit public des Etats, a expliqué Marine Mazet.Dans le détail, la Chambre américaine des représentants a adopté jeudi le mégaprojet de loi budgétaire voulu par Donald Trump, qui espère concrétiser certaines promesses phares de campagne comme la prolongation de gigantesques crédits d’impôt de son premier mandat.Selon différents analystes indépendants, le texte pourrait accroître le déficit de l’Etat fédéral de 2.000 milliards à 4.000 milliards de dollars sur la prochaine décennie.Le taux d’intérêt de l’emprunt américain à échéance trente ans s’est hissé en séance jusqu’à 5,15%, atteignant des niveaux comparables à ceux connus au début de la crise financière de 2007. Vers 16H45 GMT, il s’établissait à 5,06%, contre 5,09% la veille en clôture.Elior recherchéLe groupe de restauration collective Elior a terminé en hausse de 3,84% à 2,81 euros l’action, affichant la meilleure progression de la séance sur l’indice élargi SBF 120. Le titre était recherché après que le groupe a annoncé avoir dégagé un bénéfice net de 43 millions d’euros entre octobre et mars, contre un million d’euros un an plus tôt.Elior a toutefois révisé à la baisse son objectif de croissance organique du chiffre d’affaires.

“Plusieurs morts” dans l’accident d’un avion privé en Californie

Plusieurs personnes sont décédées jeudi dans l’accident d’un petit avion privé qui s’est écrasé en pleine nuit sur un quartier résidentiel de San Diego, en Californie, dans l’ouest des Etats-Unis, selon les autorités locales.”Nous pensons qu’il y a plusieurs morts”, a déclaré Dan Eddy, du département des pompiers de San Diego. Selon lui, les victimes étaient probablement à bord de l’avion, un Cessna 550, et non dans les véhicules ou maisons endommagés lors de l’accident.Le régulateur américain de l’aviation civile (FAA) a précisé que l’avion s’était écrasé aux alentours de 03H45 locales (10H45 GMT). L’avion privé, immatriculé dans le Midwest, pouvait contenir de huit à dix personnes, avec le pilote, selon les autorités locales qui ignorent encore le nombre exact de passagers lors de l’accident. “Plus de dix maisons” ont été endommagées. Le sol est jonché de débris. Les voitures garées des deux côtés de la rue qui ont été percutées par l’avion ont été “détruites”, a détaillé Dan Eddy, ajoutant qu'”il y a du kérosène partout”.”Il y a un véhicule en feu qui, quoi nous fassions, ne s’éteint pas”, a-t-il déclaré devant la presse.Sur les réseaux sociaux, la police de San Diego a dit avoir évacué trois rues. Elle a conseillé aux habitants de contacter les autorités s’ils retrouvaient des débris ou s’ils “sentaient des odeurs de kérosène”.Aucun blessé grave n’a été retrouvé sur le lieu de l’accident, un “miracle”, selon les pompiers. Des soins aux habitants blessés, dont certains ont eu “les pieds brûlés”, ont été prodigués sur place.- “Tragédie” -Le quartier d’habitations touché lors de l’accident, proche de l’aéroport Montgomery-Gibbs Executive, est “l’une des plus grandes zones résidentielles au monde pour militaires” et “beaucoup de familles de militaires sont touchées”, a fait savoir le capitaine Robert Heely, commandant de la base navale de San Diego, également présent lors de la conférence de presse.”C’est une tragédie et nous sommes de tout cÅ“ur avec les personnes touchées. Nous continuerons à être présents (…) et nous veillerons à ce que les familles touchées, celles qui n’ont pas accès à leur maison, bénéficient d’un soutien adéquat jusqu’à ce qu’elles puissent rentrer chez elles” a déclaré Todd Gloria, le maire de San Diego, lors d’une conférence de presse. San Diego abrite des installations de la Navy américaine, des bases des Marines et des garde-côtes.Zane Baker, un lycéen qui vit dans le quartier, a déclaré que des policiers avaient fait du porte-à-porte pour faire sortir les gens de chez eux.”Je me suis immédiatement précipité vers la porte d’entrée, j’ai regardé dehors, j’ai vu ce qui se passait”, a-t-il déclaré à la chaîne de télévision locale KTLA.”Je me suis assuré que tous mes frères et sÅ“urs étaient réveillés, qu’ils étaient conscients et qu’ils allaient bien.”Zane Baker, qui s’est présenté comme un fils de militaire, a indiqué que des dizaines de personnes avaient été évacuées de leur maison, et que beaucoup d’entre elles étaient égarées: “Beaucoup d’entrées sont bloquées. Les gens ne peuvent ni entrer ni sortir. C’est un véritable chaos.”Plusieurs incidents ont récemment ébranlé la confiance du public américain dans l’aviation.Ces dernières semaines, des pannes de contrôle du trafic aérien ont touché au moins deux fois l’aéroport de Newark, très fréquenté, sur la côte Est. En janvier, une collision en plein vol a eu lieu au-dessus de Washington entre un avion commercial et un hélicoptère militaire, faisant 67 morts. En mai, deux personnes qui se trouvaient à bord d’un petit avion sont mortes lorsque celui-ci s’est écrasé dans un quartier résidentiel au nord-ouest de Los Angeles, en Californie.

UK agrees deal over Chagos Islands despite court challengeThu, 22 May 2025 16:43:01 GMT

UK Prime Minister Keir Starmer announced Thursday he had signed a contentious deal to return the remote Chagos Islands to Mauritius after a judge overturned a last-minute legal challenge.Labour leader Starmer said the agreement, supported by Washington, was “the only way” to maintain British and American control of a key military base on the archipelago’s …

UK agrees deal over Chagos Islands despite court challengeThu, 22 May 2025 16:43:01 GMT Read More »