Macron, Merz et Tusk en Moldavie pour afficher leur soutien face à Moscou

Un déplacement à trois pour une démonstration de force symbolique: Emmanuel Macron, Friedrich Merz et Donald Tusk se rendent mercredi à Chisinau pour afficher leur soutien à la Moldavie et à sa présidente pro-européenne face aux “menaces” et aux “ingérences” de la Russie.La date n’a pas été choisie au hasard : le président français, le chancelier allemand et le Premier ministre polonais, des dirigeants de pays que les diplomates surnomment le “Triangle de Weimar”, participeront au 34e anniversaire de l’indépendance moldave.Et ce à la veille du début de la campagne officielle pour les élections législatives de fin septembre troublées, selon la Moldavie et ses alliés européens, par des ingérences de Moscou pour faire basculer dans son camp cet Etat candidat à l’entrée dans l’Union européenne, frontalier et solidaire de l’Ukraine en guerre.”C’est une démonstration de soutien à la Moldavie de la part des dirigeants européens au moment où la Russie accroît ses ingérences avant des élections cruciales”, a déclaré à l’AFP la présidence moldave. Attendu dans l’après-midi, le trio s’adressera à la presse en compagnie de la cheffe de l’Etat moldave Maia Sandu, avant un dîner puis des discours pendant les célébrations officielles sur la place de l’Indépendance, ponctuées d’un concert.MM. Macron, Merz et Tusk entendent réaffirmer leur “soutien à l’indépendance, à la souveraineté, à l’intégrité territoriale de la Moldavie”, a expliqué à des journalistes un conseiller du président français. Soutien aussi à sa “trajectoire européenne” dans le cadre des négociations d’adhésion à l’UE ouvertes en juin 2024.”On ne peut pas faire abstraction” des “conséquences de la guerre d’agression de la Russie contre l’Ukraine, qui touche au premier chef la Moldavie”, a-t-il ajouté.- “Intimidation” -“La Moldavie, elle, est menacée par la Russie”, a encore affirmé l’Elysée, évoquant les “ingérences” et les “interférences” de Moscou, dont le “logiciel” à l’égard des ex-républiques soviétiques comme la Moldavie est, selon Paris, “celui de l’intimidation et aussi des entraves à la souveraineté, de l’exploitation des séparatismes”.Une allusion notamment à la Transnistrie, un territoire séparatiste russophone situé dans l’est de ce pays, où sont basées des forces russes.”Cette visite est vraiment une signal fort du soutien à la Moldavie et elle adresse un message symbolique à la Russie selon lequel les principaux pays européens se préoccupent de ce qui se passe ici”, estime l’analyste politique Valeriu Pasha, du cercle de réflexion Watchdog, à Chisinau.Pour lui, le parti Action et solidarité (PAS) de la présidente Sandu devrait arriver en tête des législatives mais le résultat est difficile à prédire en raison de “l’énorme ingérence russe”, alimentée par “des sommes folles d’argent”, sur fond de crise économique et d’inflation élevée.La cheffe de l’Etat pro-européenne, réélue en novembre 2024, a accusé fin juillet la Russie de mener une opération complexe et coordonnée d’ingérence “sans précédent” pour “contrôler” son pays, frontalier de l’UE, “dès l’automne”. Tout cela en recourant à des mécanismes d’achat de votes et de financements avec des “cryptomonnaies”, “100 millions d’euros” étant prévus à cet effet, a-t-elle alors dénoncé, pointant également du doigt la responsabilité de la plateforme Telegram.La France met en avant sa coopération, renforcée en mars à l’occasion de la dernière visite qu’y a effectuée Maia Sandu, pour lutter contre les ingérences numériques, via l’agence française Viginium.Si le trio européen assure vouloir se concentrer sur le soutien à la Moldavie, le déplacement ensemble de ces dirigeants se déroule à un moment où la diplomatie tâtonne sur le dossier ukrainien.Deux semaines après le sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine, l’accélération subite vers de possibles négociations de paix semble déjà marquer le pas et sujet sera forcément évoqué en marge des séquences officielles à Chisinau.

Macron, Merz et Tusk en Moldavie pour afficher leur soutien face à Moscou

Un déplacement à trois pour une démonstration de force symbolique: Emmanuel Macron, Friedrich Merz et Donald Tusk se rendent mercredi à Chisinau pour afficher leur soutien à la Moldavie et à sa présidente pro-européenne face aux “menaces” et aux “ingérences” de la Russie.La date n’a pas été choisie au hasard : le président français, le chancelier allemand et le Premier ministre polonais, des dirigeants de pays que les diplomates surnomment le “Triangle de Weimar”, participeront au 34e anniversaire de l’indépendance moldave.Et ce à la veille du début de la campagne officielle pour les élections législatives de fin septembre troublées, selon la Moldavie et ses alliés européens, par des ingérences de Moscou pour faire basculer dans son camp cet Etat candidat à l’entrée dans l’Union européenne, frontalier et solidaire de l’Ukraine en guerre.”C’est une démonstration de soutien à la Moldavie de la part des dirigeants européens au moment où la Russie accroît ses ingérences avant des élections cruciales”, a déclaré à l’AFP la présidence moldave. Attendu dans l’après-midi, le trio s’adressera à la presse en compagnie de la cheffe de l’Etat moldave Maia Sandu, avant un dîner puis des discours pendant les célébrations officielles sur la place de l’Indépendance, ponctuées d’un concert.MM. Macron, Merz et Tusk entendent réaffirmer leur “soutien à l’indépendance, à la souveraineté, à l’intégrité territoriale de la Moldavie”, a expliqué à des journalistes un conseiller du président français. Soutien aussi à sa “trajectoire européenne” dans le cadre des négociations d’adhésion à l’UE ouvertes en juin 2024.”On ne peut pas faire abstraction” des “conséquences de la guerre d’agression de la Russie contre l’Ukraine, qui touche au premier chef la Moldavie”, a-t-il ajouté.- “Intimidation” -“La Moldavie, elle, est menacée par la Russie”, a encore affirmé l’Elysée, évoquant les “ingérences” et les “interférences” de Moscou, dont le “logiciel” à l’égard des ex-républiques soviétiques comme la Moldavie est, selon Paris, “celui de l’intimidation et aussi des entraves à la souveraineté, de l’exploitation des séparatismes”.Une allusion notamment à la Transnistrie, un territoire séparatiste russophone situé dans l’est de ce pays, où sont basées des forces russes.”Cette visite est vraiment une signal fort du soutien à la Moldavie et elle adresse un message symbolique à la Russie selon lequel les principaux pays européens se préoccupent de ce qui se passe ici”, estime l’analyste politique Valeriu Pasha, du cercle de réflexion Watchdog, à Chisinau.Pour lui, le parti Action et solidarité (PAS) de la présidente Sandu devrait arriver en tête des législatives mais le résultat est difficile à prédire en raison de “l’énorme ingérence russe”, alimentée par “des sommes folles d’argent”, sur fond de crise économique et d’inflation élevée.La cheffe de l’Etat pro-européenne, réélue en novembre 2024, a accusé fin juillet la Russie de mener une opération complexe et coordonnée d’ingérence “sans précédent” pour “contrôler” son pays, frontalier de l’UE, “dès l’automne”. Tout cela en recourant à des mécanismes d’achat de votes et de financements avec des “cryptomonnaies”, “100 millions d’euros” étant prévus à cet effet, a-t-elle alors dénoncé, pointant également du doigt la responsabilité de la plateforme Telegram.La France met en avant sa coopération, renforcée en mars à l’occasion de la dernière visite qu’y a effectuée Maia Sandu, pour lutter contre les ingérences numériques, via l’agence française Viginium.Si le trio européen assure vouloir se concentrer sur le soutien à la Moldavie, le déplacement ensemble de ces dirigeants se déroule à un moment où la diplomatie tâtonne sur le dossier ukrainien.Deux semaines après le sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine, l’accélération subite vers de possibles négociations de paix semble déjà marquer le pas et sujet sera forcément évoqué en marge des séquences officielles à Chisinau.

Borne fait sa rentrée, dans un contexte politique incertain

Première rentrée comme ministre de l’Education, et peut-être la dernière? Elisabeth Borne tient mercredi sa conférence de presse pour lancer l’année scolaire, dans un contexte politique et budgétaire incertain après la décision de François Bayrou de solliciter la confiance de l’Assemblée nationale.Après avoir réuni les recteurs mardi, et avant la pré-rentrée des enseignants vendredi, la ministre, en poste depuis huit mois, donnera le coup d’envoi de la rentrée de quelque 12 millions d’élèves le 1er septembre.Mais alors que les spéculations sur la chute du gouvernement vont bon train, avec la quasi-certitude d’un vote négatif à l’Assemblée le 8 septembre, l’ex-Première ministre est en sursis, comme l’était sa prédécesseure Nicole Belloubet l’an dernier après la dissolution.La ministre assure cependant mardi dans un entretien au Parisien que les orientations de la rentrée restent sa priorité: “Ma seule et unique boussole, c’est la rentrée scolaire”.”On verra ce qui se passera”, mais “mon énergie est entièrement consacrée à faire en sorte que cette rentrée se passe dans les meilleures conditions possibles”, ajoute-t-elle.Pour les syndicats et personnels de l’éducation cependant, c’est à nouveau l’expectative, après deux années marquées par une forte instabilité et cinq ministres: Gabriel Attal (resté un peu plus de cinq mois), Amélie Oudéa-Castéra (un mois), Nicole Belloubet (sept mois), Anne Genetet (trois) et Elisabeth Borne.”On est vraiment agacés, on est fatigués de changer en permanence de ministre”, explique Elisabeth Allain-Moreno, secrétaire générale du syndicat SE Unsa.”Quand va-t-on arriver à faire une rentrée scolaire avec un ou une ministre qui n’est pas en train de poser ses cartons, de faire ses cartons, ou qui ne se prépare pas à faire ses cartons?”, a-t-elle ajouté lors d’une conférence de presse mardi.- “Reconsidérer l’école” -Le budget de l’Education nationale, le premier de l’Etat, préoccupe notamment après la présentation par François Bayrou en juillet de son plan d’économies de près de 44 milliards d’euros, qui prévoit cependant une hausse des dépenses publiques de 200 millions d’euros pour l’enseignement scolaire.En 2026, le budget de l’Education nationale “sera préservé”, réaffirme Mme Borne.Mais pour la FSU-Snuipp, principal syndicat de l’enseignement primaire, “il est clair que l’Education nationale ne sera pas épargnée en 2026″.”S’engager sur le budget 2026 à cette date, c’est assez audacieux”, estime de son côté Sophie Vénétitay, secrétaire générale du Snes-FSU (collèges et lycées), regrettant que le ministère n’aborde pas “la question centrale, la crise de recrutement, les conditions de travail, les rémunérations et les carrières”.Pour cette rentrée comme pour les précédentes, l’enjeu restera notamment d’assurer la présence d’un enseignant devant chaque classe. La crise d’attractivité perdure cette année, avec plus de 2.600 postes non pourvus aux concours enseignants du public et du privé.”On veut un enseignant devant chaque élève toute l’année, et il n’y a rien de moins sûr”, explique Bruno Bobkiewicz, secrétaire général du SNPDEN-Unsa, premier syndicat de chefs d’établissements.Pour Elisabeth Allain-Moreno, “l’urgence” est aussi de “reconsidérer l’école et les personnels”, qui “voient leurs conditions de travail se dégrader”. Selon un baromètre de l’Unsa Education, auquel ont répondu plus de 53.000 personnels, 77% d’entre eux ne conseilleraient pas leur métier. Ils sont 67% à juger que l’image de leur profession est dégradée.En attendant, cette rentrée verra quelques nouveautés, dont la généralisation progressive du dispositif “portable en pause” (interdiction totale du téléphone dans les collèges). Il est déjà interdit depuis 2018, mais devrait être laissé pendant les cours dans des casiers, mallettes ou pochettes dans les établissements où cela peine à s’appliquer.Des changements auront lieu aussi pour les examens, notamment le bac. Une nouvelle épreuve de mathématiques sera lancée en première, et les exigences seront “resserrées” pour le bac, assure Elisabeth Borne.”Jusqu’ici, un élève qui avait moins de 8 sur 20 pouvait passer le rattrapage grâce à des points attribués par le jury. Ça ne sera plus possible”, détaille-t-elle au Parisien.

Borne fait sa rentrée, dans un contexte politique incertain

Première rentrée comme ministre de l’Education, et peut-être la dernière? Elisabeth Borne tient mercredi sa conférence de presse pour lancer l’année scolaire, dans un contexte politique et budgétaire incertain après la décision de François Bayrou de solliciter la confiance de l’Assemblée nationale.Après avoir réuni les recteurs mardi, et avant la pré-rentrée des enseignants vendredi, la ministre, en poste depuis huit mois, donnera le coup d’envoi de la rentrée de quelque 12 millions d’élèves le 1er septembre.Mais alors que les spéculations sur la chute du gouvernement vont bon train, avec la quasi-certitude d’un vote négatif à l’Assemblée le 8 septembre, l’ex-Première ministre est en sursis, comme l’était sa prédécesseure Nicole Belloubet l’an dernier après la dissolution.La ministre assure cependant mardi dans un entretien au Parisien que les orientations de la rentrée restent sa priorité: “Ma seule et unique boussole, c’est la rentrée scolaire”.”On verra ce qui se passera”, mais “mon énergie est entièrement consacrée à faire en sorte que cette rentrée se passe dans les meilleures conditions possibles”, ajoute-t-elle.Pour les syndicats et personnels de l’éducation cependant, c’est à nouveau l’expectative, après deux années marquées par une forte instabilité et cinq ministres: Gabriel Attal (resté un peu plus de cinq mois), Amélie Oudéa-Castéra (un mois), Nicole Belloubet (sept mois), Anne Genetet (trois) et Elisabeth Borne.”On est vraiment agacés, on est fatigués de changer en permanence de ministre”, explique Elisabeth Allain-Moreno, secrétaire générale du syndicat SE Unsa.”Quand va-t-on arriver à faire une rentrée scolaire avec un ou une ministre qui n’est pas en train de poser ses cartons, de faire ses cartons, ou qui ne se prépare pas à faire ses cartons?”, a-t-elle ajouté lors d’une conférence de presse mardi.- “Reconsidérer l’école” -Le budget de l’Education nationale, le premier de l’Etat, préoccupe notamment après la présentation par François Bayrou en juillet de son plan d’économies de près de 44 milliards d’euros, qui prévoit cependant une hausse des dépenses publiques de 200 millions d’euros pour l’enseignement scolaire.En 2026, le budget de l’Education nationale “sera préservé”, réaffirme Mme Borne.Mais pour la FSU-Snuipp, principal syndicat de l’enseignement primaire, “il est clair que l’Education nationale ne sera pas épargnée en 2026″.”S’engager sur le budget 2026 à cette date, c’est assez audacieux”, estime de son côté Sophie Vénétitay, secrétaire générale du Snes-FSU (collèges et lycées), regrettant que le ministère n’aborde pas “la question centrale, la crise de recrutement, les conditions de travail, les rémunérations et les carrières”.Pour cette rentrée comme pour les précédentes, l’enjeu restera notamment d’assurer la présence d’un enseignant devant chaque classe. La crise d’attractivité perdure cette année, avec plus de 2.600 postes non pourvus aux concours enseignants du public et du privé.”On veut un enseignant devant chaque élève toute l’année, et il n’y a rien de moins sûr”, explique Bruno Bobkiewicz, secrétaire général du SNPDEN-Unsa, premier syndicat de chefs d’établissements.Pour Elisabeth Allain-Moreno, “l’urgence” est aussi de “reconsidérer l’école et les personnels”, qui “voient leurs conditions de travail se dégrader”. Selon un baromètre de l’Unsa Education, auquel ont répondu plus de 53.000 personnels, 77% d’entre eux ne conseilleraient pas leur métier. Ils sont 67% à juger que l’image de leur profession est dégradée.En attendant, cette rentrée verra quelques nouveautés, dont la généralisation progressive du dispositif “portable en pause” (interdiction totale du téléphone dans les collèges). Il est déjà interdit depuis 2018, mais devrait être laissé pendant les cours dans des casiers, mallettes ou pochettes dans les établissements où cela peine à s’appliquer.Des changements auront lieu aussi pour les examens, notamment le bac. Une nouvelle épreuve de mathématiques sera lancée en première, et les exigences seront “resserrées” pour le bac, assure Elisabeth Borne.”Jusqu’ici, un élève qui avait moins de 8 sur 20 pouvait passer le rattrapage grâce à des points attribués par le jury. Ça ne sera plus possible”, détaille-t-elle au Parisien.

SpaceX answers critics with successful Starship test flight

SpaceX’s Starship megarocket roared into the skies Tuesday on its tenth test flight, turning in a strong performance after a series of fiery failures had begun to cast doubt on its future.Towering 403 feet (123 meters), Starship is the most powerful launch vehicle ever built and key to founder Elon Musk’s vision of carrying humanity to Mars, as well as NASA’s plans to return astronauts to the Moon.The stainless steel colossus blasted off from the company’s Starbase in southern Texas at 6:30 pm local time (2330 GMT), greeted by loud cheers from engineering teams, as seen in a live webcast.A few minutes into launch, the first-stage booster known as Super Heavy splashed down into the Gulf of Mexico, triggering a sonic boom on its way. Unlike other recent tests, SpaceX opted not to attempt a catch with the giant “chop stick” arms of the launch tower, instead testing how it would perform if an engine cut out. Attention then shifted to the upper stage — also known individually as Starship and intended to one day carry crew and cargo — to demonstrate its capabilities as it soared into space. For the first time, SpaceX was able to successfully deploy eight dummy Starlink internet satellites, with onboard cameras beaming back live views of a robotic mechanism pushing each out one by one.It was not all smooth sailing. Some heat tiles fell away and a small section of a flap burned off during the vessel’s fiery descent, as it was enveloped in pink and purple plasma.But SpaceX communications manager Dan Huot said much of this was expected as the vehicle was intentionally flown on a punishing trajectory with some tiles removed. “We’re kind of being mean to this starship a little bit,” he said on the webcast. “We’re really trying to put it through the paces and kind of poke on what some of its weak points are.””Great work by the SpaceX team!!” Musk wrote on X. – Critical mission -Much had been riding on the mission, after the last three flights ended with the upper stage exploding: twice over the Caribbean and once after reaching space. In June, an upper stage blew up during a ground test.Despite recent setbacks, Starship was not seen as being at a crisis point. SpaceX’s “fail fast, learn fast” philosophy has already given it a commanding lead in launches with its Falcon rockets, while Dragon capsules ferry astronauts to the ISS and Starlink has become a geopolitical asset.Still, even with a successful tenth flight, major challenges loom. Musk has identified developing a fully reusable orbital heat shield as the toughest task, noting it took nine months to refurnish the Space Shuttle’s heat shield between flights.”What we’re trying to achieve here with Starship is to have a heat shield that can be flown immediately,” he said on a webcast Monday.Another hurdle is proving Starship can be refueled in orbit with super-cooled propellant — an essential but untested step for the vehicle to carry out deep-space missions.Time is running short to ready a modified version as NASA’s lunar lander for 2027, and for Musk to make good on his vow to send an uncrewed Starship to Mars next year.

France returns skull of beheaded king to MadagascarWed, 27 Aug 2025 00:21:33 GMT

France on Tuesday returned three colonial-era skulls to Madagascar, including one believed to be that of a Malagasy king decapitated by French troops during a 19th-century massacre.The skull, believed to belong to King Toera, was handed over in the first restitution of human remains since France passed a law facilitating their return in 2023, along …

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Israël: mobilisation pour les otages avant une réunion sur l’après-conflit à la Maison Blanche

Plusieurs dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées à Tel-Aviv pour clore une journée de solidarité avec les otages à Gaza et demander la fin de la guerre, au sujet de laquelle Donald Trump va présider une réunion mercredi à la Maison Blanche.Après bientôt 23 mois d’offensive israélienne dans le territoire palestinien dévasté et en proie à la famine selon l’ONU, les opérations militaires israéliennes ont fait au moins 35 morts mardi selon la Défense civile, organisation de premiers secours dont l’AFP n’est pas en mesure de vérifier les informations compte tenu des restrictions imposées aux médias et des difficultés d’accès sur le terrain. A travers Israël toute la journée, des manifestants se sont réunis à des carrefours et devant des domiciles de ministres en Israël pour réclamer du gouvernement un accord de trêve à Gaza.”Ca suffit !”, a hurlé Silvia Cunio dans le micro au début d’un grand rassemblement à Tel-Aviv dans la soirée. Ses deux fils, Ariel et David, sont retenus captifs depuis 690 jours dans Gaza. Elle s’exprimait aux côtés des deux compagnes de ses fils, toutes deux ex-otages libérées durant des trêves.”Le plus important en ce moment, c’est que les otages reviennent le plus vite possible parce que chaque minute compte”, a déclaré Carmel Madmon, biologiste de 37 ans.Le coup d’envoi de la mobilisation, à l’appel du Forum des familles d’otages, a été donné au petit matin à Tel-Aviv, où environ 400 manifestants ont arrêté des voitures, brandissant drapeaux israéliens et photos d’otages, selon un photographe de l’AFP.Objectif de la journée : afficher un soutien maximal en faveur d’un accord de cessez-le-feu et de libération des otages à Gaza avant une réunion du cabinet de sécurité, cénacle ministériel restreint habilité à prendre des décisions stratégiques.- “Jour d’après” -Dans une vidéo diffusée à l’issue de la réunion, le Premier ministre Benjamin Netanyahu est resté vague sur les intentions du gouvernement alors que, selon plusieurs médias israéliens, la rencontre s’est achevée sans autre décision que celle de reprendre les débats d’ici à la fin de la semaine.”Je dirai une chose : cela a commencé à Gaza, et cela se terminera à Gaza. Nous ne laisserons pas ces monstres là-bas, nous libérerons tous nos otages, et nous veillerons à ce que Gaza ne représente plus jamais une menace pour Israël”, a-t-il dit.La guerre a été déclenchée le 7 octobre 2023 par une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sud d’Israël. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont encore retenues dans Gaza dont au moins 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne. Le Hamas détient aussi les restes d’un soldat israélien tombé au combat lors d’une précédente guerre de Gaza, en 2014.Si la guerre continue de faire rage, Donald Trump présidera mercredi une “grande réunion” à la Maison Blanche où sera discuté “un plan très complet sur le jour d’après”, selon son émissaire spécial Steve Witkoff.Le président américain avait lancé en février l’idée d’une prise de contrôle de la bande de Gaza par les Etats-Unis pour la reconstruire et en faire la “Riviera du Moyen-Orient”, une fois vidée de ses habitants. – “Guerre permanente” -La semaine dernière, M. Netanyahu a ordonné l’ouverture de négociations pour libérer tous les otages, sans donner plus de détails et sans faire référence à une proposition des médiateurs (Egypte, Etats-Unis, Qatar) acceptée par le Hamas.Selon des sources palestiniennes, cette proposition prévoit la libération de tous les otages en deux temps au cours d’une trêve de 60 jours, en échange de prisonniers palestiniens détenus par Israël.Mais M. Netanyahu a donné également son feu vert à une nouvelle offensive militaire pour prendre le contrôle de Gaza-ville, considéré comme l’un des derniers bastions du mouvement islamiste palestinien, ravivant l’inquiétude sur le sort des captifs et les pressions internationales sur une issue au conflit.Dans une lettre publiée mardi, le président français Emmanuel Macron l’a invité à “éviter à la jeunesse israélienne de se consumer dans une guerre permanente”.Lundi, cinq journalistes, dont trois travaillant pour des médias internationaux, ont été tués dans deux frappes israéliennes sur un bâtiment de l’hôpital Nasser à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. La campagne de représailles israéliennes a fait au moins 62.819 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé de Gaza, placé sous l’autorité du Hamas. Le ministère, dont les chiffres sont jugés fiables par l’ONU, ne précise pas le nombre de combattants tués.

Israël: mobilisation pour les otages avant une réunion sur l’après-conflit à la Maison Blanche

Plusieurs dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées à Tel-Aviv pour clore une journée de solidarité avec les otages à Gaza et demander la fin de la guerre, au sujet de laquelle Donald Trump va présider une réunion mercredi à la Maison Blanche.Après bientôt 23 mois d’offensive israélienne dans le territoire palestinien dévasté et en proie à la famine selon l’ONU, les opérations militaires israéliennes ont fait au moins 35 morts mardi selon la Défense civile, organisation de premiers secours dont l’AFP n’est pas en mesure de vérifier les informations compte tenu des restrictions imposées aux médias et des difficultés d’accès sur le terrain. A travers Israël toute la journée, des manifestants se sont réunis à des carrefours et devant des domiciles de ministres en Israël pour réclamer du gouvernement un accord de trêve à Gaza.”Ca suffit !”, a hurlé Silvia Cunio dans le micro au début d’un grand rassemblement à Tel-Aviv dans la soirée. Ses deux fils, Ariel et David, sont retenus captifs depuis 690 jours dans Gaza. Elle s’exprimait aux côtés des deux compagnes de ses fils, toutes deux ex-otages libérées durant des trêves.”Le plus important en ce moment, c’est que les otages reviennent le plus vite possible parce que chaque minute compte”, a déclaré Carmel Madmon, biologiste de 37 ans.Le coup d’envoi de la mobilisation, à l’appel du Forum des familles d’otages, a été donné au petit matin à Tel-Aviv, où environ 400 manifestants ont arrêté des voitures, brandissant drapeaux israéliens et photos d’otages, selon un photographe de l’AFP.Objectif de la journée : afficher un soutien maximal en faveur d’un accord de cessez-le-feu et de libération des otages à Gaza avant une réunion du cabinet de sécurité, cénacle ministériel restreint habilité à prendre des décisions stratégiques.- “Jour d’après” -Dans une vidéo diffusée à l’issue de la réunion, le Premier ministre Benjamin Netanyahu est resté vague sur les intentions du gouvernement alors que, selon plusieurs médias israéliens, la rencontre s’est achevée sans autre décision que celle de reprendre les débats d’ici à la fin de la semaine.”Je dirai une chose : cela a commencé à Gaza, et cela se terminera à Gaza. Nous ne laisserons pas ces monstres là-bas, nous libérerons tous nos otages, et nous veillerons à ce que Gaza ne représente plus jamais une menace pour Israël”, a-t-il dit.La guerre a été déclenchée le 7 octobre 2023 par une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sud d’Israël. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont encore retenues dans Gaza dont au moins 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne. Le Hamas détient aussi les restes d’un soldat israélien tombé au combat lors d’une précédente guerre de Gaza, en 2014.Si la guerre continue de faire rage, Donald Trump présidera mercredi une “grande réunion” à la Maison Blanche où sera discuté “un plan très complet sur le jour d’après”, selon son émissaire spécial Steve Witkoff.Le président américain avait lancé en février l’idée d’une prise de contrôle de la bande de Gaza par les Etats-Unis pour la reconstruire et en faire la “Riviera du Moyen-Orient”, une fois vidée de ses habitants. – “Guerre permanente” -La semaine dernière, M. Netanyahu a ordonné l’ouverture de négociations pour libérer tous les otages, sans donner plus de détails et sans faire référence à une proposition des médiateurs (Egypte, Etats-Unis, Qatar) acceptée par le Hamas.Selon des sources palestiniennes, cette proposition prévoit la libération de tous les otages en deux temps au cours d’une trêve de 60 jours, en échange de prisonniers palestiniens détenus par Israël.Mais M. Netanyahu a donné également son feu vert à une nouvelle offensive militaire pour prendre le contrôle de Gaza-ville, considéré comme l’un des derniers bastions du mouvement islamiste palestinien, ravivant l’inquiétude sur le sort des captifs et les pressions internationales sur une issue au conflit.Dans une lettre publiée mardi, le président français Emmanuel Macron l’a invité à “éviter à la jeunesse israélienne de se consumer dans une guerre permanente”.Lundi, cinq journalistes, dont trois travaillant pour des médias internationaux, ont été tués dans deux frappes israéliennes sur un bâtiment de l’hôpital Nasser à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. La campagne de représailles israéliennes a fait au moins 62.819 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé de Gaza, placé sous l’autorité du Hamas. Le ministère, dont les chiffres sont jugés fiables par l’ONU, ne précise pas le nombre de combattants tués.

Israeli protesters demand hostage deal as cabinet meets

Thousands of demonstrators massed in Tel Aviv on Tuesday, seeking to push the government to end the war in Gaza and strike a deal to return hostages, as the security cabinet convened.The first protests began at daybreak as demonstrators blocked roads in the commercial hub, where they waved Israeli flags and held up pictures of the hostages, AFP journalists reported.Israeli media said others rallied near the US embassy branch in the city, as well as outside the houses of various ministers.Hours later as the sun set over Tel Aviv, thousands more gathered in “Hostage Square”, which has served as a focal point for the protest movement for months. People in the crowd sounded air horns, blew whistles and banged on drums as they chanted: “The government is failing us, we won’t give up until every hostage is home.””I’m here first and foremost to protest, and to call for the government to make a deal and bring all the hostages home and to end the war,” said demonstrator Yoav Vider, 29. Following the cabinet meeting, Prime Minister Benjamin Netanyahu later spoke at an event Tuesday evening, remaining vague about the government’s intentions as Israeli media reported the meeting had been inconclusive. “We have just come from a cabinet meeting. I don’t think I can elaborate too much,” said Netanyahu.”But I will say one thing: It started in Gaza, and it will end in Gaza. We will not leave those monsters there.”Israel is under mounting international pressure to wrap up its Gaza campaign, with Donald Trump’s envoy saying the US president would host a meeting on post-war plans for the shattered enclave Wednesday.”We’ve got a large meeting in the White House tomorrow, chaired by the president, and it’s a very comprehensive plan we’re putting together on the next day,” Steve Witkoff said on Fox News Tuesday, without offering more details.- Cabinet meeting -The security cabinet approved a plan in early August for the military to take over Gaza City, triggering fresh fears for the safety of the hostages and a new wave of protests that has seen tens of thousands take to the streets.Netanyahu last week ordered immediate talks aimed at securing the release of all remaining captives in Gaza, while also doubling down on the plans for a new offensive to seize Gaza’s largest city.That came days after Hamas said it had accepted a new ceasefire proposal put forward by mediators that would see the staggered release of hostages over an initial 60-day period in exchange for Palestinian prisoners held by Israel.In Doha on Tuesday, Qatari foreign ministry spokesman Majed al-Ansari told a regular news conference that mediators were still “waiting for an answer” from Israel to the latest proposal. “The responsibility now lies on the Israeli side to respond to an offer that is on the table. Anything else is political posturing by the Israeli side.”Earlier in the day, the families of hostages in Tel Aviv lambasted the government for failing to prioritise a deal that could see those still held captive in Gaza released.”Prime Minister (Benjamin) Netanyahu prioritises the destruction of Hamas over releasing the hostages,” said Ruby Chen, whose son was abducted by militants in October 2023. “He believes it is OK and it is a valid alternative to sacrifice 50 hostages for political needs,” he said in a speech to one of Tuesday’s demonstrations.- Journalists killed -Pressure is building on Israel both at home and abroad to end its campaign in Gaza, where famine has been declared and much of the territory has been devastated.On Monday, Israeli strikes hit a Gaza hospital, killing at least 20 people, including five journalists working for Al Jazeera, the Associated Press and Reuters, among other outlets.Governments around the world, including staunch Israeli allies, expressed shock at the attack.The Israeli military on Tuesday said its forces were targeting a camera operated by Hamas in two strikes that killed the reporters. “Six of the individuals killed were terrorists,” it said, adding that the chief of staff instructed “to further examine several gaps”, including the “authorisation process prior to the strike”.Hamas later rejected the allegations, calling them baseless. The war in Gaza has been one of the deadliest for journalists, with around 200 media workers killed in the nearly two-year Israeli assault, according to press watchdogs.Later Tuesday, Gaza’s civil defence agency reported that at least 35 people were killed in attacks throughout the Palestinian territory.Media restrictions in Gaza and difficulties in accessing many areas mean AFP is unable to independently verify the tolls and details provided by the civil defence agency or the Israeli military.The war was sparked by Hamas’s October 2023 attack on Israel, which resulted in the deaths of 1,219 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on Israeli figures.Out of 251 hostages seized during the attack, 49 are still held in Gaza, including 27 the Israeli military says are dead.Israel’s retaliatory offensive has killed at least 62,819 Palestinians, most of them civilians, according to figures from the health ministry in Hamas-run Gaza that the United Nations considers reliable.