Tesla EU sales slump 53% in April: trade group

Sales of cars made by Elon Musk’s Tesla slumped by more than half in April as Chinese electric carmakers saw their share surge, the continent’s manufacturing association said Tuesday.While sales of electric cars rose overall in the 27 European Union nations, Tesla’s share fell dramatically amid the spotlight on Musk’s work with US President Donald Trump and the US company’s ageing range.The European Automobile Manufacturers’ Association (ACEA) said Tesla sales in April fell to 5,475 cars, down 52.6 percent from the same month last year.In the first four months of 2025, Tesla sales have fallen 46.1 percent against the same period last year to 41,677 cars.Once the standout leader in electric car sales, Tesla was overtaken in April by 10 rivals including Volkswagen, BMW, Renault and Chinese automaker BYD, according to JATO Dynamics consultants. Tesla announced in April that its worldwide sales in the first quarter had fallen 13 percent, increasing pressure on Musk, though the company partly blamed lost production amid an upgrade to its Model Y standard-bearer.Musk has since announced he will reduce his work helping Trump slash US government spending and last week said that Tesla sales were “doing well”.- Hybrid leaders -Skoda’s new Elroq led electric car sales while Tesla’s Model Y, the former frontrunner, came ninth.Sales of electric cars overall rose 26.4 percent from last year to take a 15.3 percent share of the market in April, according to the ACEA.The rise is uneven across Europe as different governments and manufacturers give different incentives to buy electric. Germany, Belgium, Italy and Spain have seen a major rise while electric car sales in France have fallen.”The share of battery-electric vehicles is slowly getting momentum, but growth remains incremental and uneven across EU countries,” said Sigrid de Vries, ACEA’s director general.”In order for battery-electric vehicles to become a mainstream choice, it is essential that governments continue to implement the necessary enabling conditions, such as purchase and fiscal incentives, recharging infrastructure and electricity prices.”The sustained popularity of hybrid vehicles among consumers also shows the merit of keeping a technology-neutral approach,” she added.Sales of hybrid cars with a small electric battery still dominate the European market, rising 20.8 percent since the start of the year, while petrol-only cars have fallen 20.6 percent over the same time.The Volkswagen group remains the top brand in Europe, with sales up 2.9 percent in April.But Chinese brands were a major factor in the popularity of electric and hybrid cars, according to JATO and have 7.9 percent of the European market.The BYD, MG, Xpeng and Leapmotor brands saw sales rise 59 percent over the year in electric and hybrid sales, while other manufacturers put on 26 percent.JATO expert Felipe Munoz said it remains to be seen whether the European Union imposes tariffs on Chinese hybrid cars as it has for electric vehicles. 

UE: accord définitif pour financer des projets communs d’armement

Les pays de l’Union européenne ont définitivement adopté mardi un accord de principe pour faciliter leurs achats en commun d’armement, dans le cadre d’un programme européen doté de quelque 150 milliards d’euros, a indiqué le Conseil de l’UE.Ce dernier, baptisé “Safe”, prévoit des prêts de 150 milliards d’euros pour financer, en commun, des achats et des projets d’armement dans les domaines où l’offre européenne reste insuffisante, comme la production de missiles, de munitions, de drones ou encore les systèmes de défense anti-aérienne.La décision, approuvée la semaine dernière par les ambassadeurs des 27, a été adopté définitivement par les ministres des Affaires européennes de l’UE, réunis à Bruxelles, a précisé la présidence polonaise du Conseil, instance qui rassemble les Etats membres.”Ce n’est qu’une étape et il faudra aller plus loin”, s’est félicité le ministre délégué français chargé de l’Europe Benjamin Haddad.Il est d’ores et déjà prévu que plusieurs pays non membres de l’UE puissent y participer, comme la Norvège ou l’Ukraine, car signataires d’un partenariat de défense et de sécurité. La Grande-Bretagne et l’UE ont signé la semaine dernière à Londres un accord de partenariat similaire, qui permettra, après d’ultérieures négociations, à Londres d’être pleinement intégré à ce programme européen.Il s’agit d’un élément important compte tenu de l’accent qui a été mis sur la nécessité d’encourager l’industrie de défense européenne alors que la majorité des achats actuels d’armement par les pays de l’UE se font hors d’Europe, essentiellement aux Etats-Unis.Défendu par plusieurs Etats membres, dont la France, ces projets devront ainsi être majoritairement réalisés par l’industrie de défense européenne, à hauteur de 65% des composants. Le reste pourra provenir de pays non membres du programme Safe, comme les Etats-Unis, à hauteur de 35%.Dans le souci d’éviter qu’un pays tiers ne puisse contrôler à distance l’armement produit grâce à l’un de ses composants, une autorité centrale sera chargée de s’assurer que cela restera impossible.L’idée est par exemple d’empêcher que le fabricant américain d’un logiciel intégré à un drone européen, développé grâce à ce programme “Safe”, ne puisse être contrôlé à distance depuis les Etats-Unis, a-t-on expliqué de source européenne.”Safe” fait partie d’un programme plus global présenté fin mars par la Commission européenne, qui ambitionne de mobiliser jusqu’à 800 milliards d’euros pour réarmer le continent européen.

UE: accord définitif pour financer des projets communs d’armement

Les pays de l’Union européenne ont définitivement adopté mardi un accord de principe pour faciliter leurs achats en commun d’armement, dans le cadre d’un programme européen doté de quelque 150 milliards d’euros, a indiqué le Conseil de l’UE.Ce dernier, baptisé “Safe”, prévoit des prêts de 150 milliards d’euros pour financer, en commun, des achats et des projets d’armement dans les domaines où l’offre européenne reste insuffisante, comme la production de missiles, de munitions, de drones ou encore les systèmes de défense anti-aérienne.La décision, approuvée la semaine dernière par les ambassadeurs des 27, a été adopté définitivement par les ministres des Affaires européennes de l’UE, réunis à Bruxelles, a précisé la présidence polonaise du Conseil, instance qui rassemble les Etats membres.”Ce n’est qu’une étape et il faudra aller plus loin”, s’est félicité le ministre délégué français chargé de l’Europe Benjamin Haddad.Il est d’ores et déjà prévu que plusieurs pays non membres de l’UE puissent y participer, comme la Norvège ou l’Ukraine, car signataires d’un partenariat de défense et de sécurité. La Grande-Bretagne et l’UE ont signé la semaine dernière à Londres un accord de partenariat similaire, qui permettra, après d’ultérieures négociations, à Londres d’être pleinement intégré à ce programme européen.Il s’agit d’un élément important compte tenu de l’accent qui a été mis sur la nécessité d’encourager l’industrie de défense européenne alors que la majorité des achats actuels d’armement par les pays de l’UE se font hors d’Europe, essentiellement aux Etats-Unis.Défendu par plusieurs Etats membres, dont la France, ces projets devront ainsi être majoritairement réalisés par l’industrie de défense européenne, à hauteur de 65% des composants. Le reste pourra provenir de pays non membres du programme Safe, comme les Etats-Unis, à hauteur de 35%.Dans le souci d’éviter qu’un pays tiers ne puisse contrôler à distance l’armement produit grâce à l’un de ses composants, une autorité centrale sera chargée de s’assurer que cela restera impossible.L’idée est par exemple d’empêcher que le fabricant américain d’un logiciel intégré à un drone européen, développé grâce à ce programme “Safe”, ne puisse être contrôlé à distance depuis les Etats-Unis, a-t-on expliqué de source européenne.”Safe” fait partie d’un programme plus global présenté fin mars par la Commission européenne, qui ambitionne de mobiliser jusqu’à 800 milliards d’euros pour réarmer le continent européen.

L’ancien maire de Paris Jean Tiberi est décédé à 90 ans

Jean Tiberi, maire RPR de Paris de 1995 à 2001, dernier édile de droite de la capitale, est décédé à l’âge de 90 ans, a annoncé mardi la maire du 5e arrondissement dont il était élu. “J’apprends avec beaucoup de tristesse la disparition de Jean Tiberi qui fut quatre mandats durant le maire engagé du 5e arrondissement”, a écrit la maire Horizons Florence Berthout sur le réseau X.”Paris, sa ville, lui rendra hommage”, a annoncé la maire socialiste Anne Hidalgo.”Je veux saluer la mémoire de cet homme qui a consacré une part immense de sa vie à Paris et au 5ème arrondissement, qui perd l’un des siens. Je garderai le souvenir d’un homme chaleureux, avec qui j’avais tissé des relations cordiales et respectueuses.”, a-t-elle dit dans un message transmis à l’AFP.Jean Tiberi avait succédé en 1995 à Jacques Chirac, dont il était un grand fidèle, à la tête de la capitale, qu’il a dirigée jusqu’en 2001 avant d’être battu par le candidat du Parti socialiste Bertrand Delanoë. Sa carrière politique a été éclaboussée par les affaires.Il avait ainsi été condamné en 2013 en appel, comme en première instance, à dix mois de prison avec sursis, 10.000 euros d’amende et trois ans d’inéligibilité pour l’inscription de faux électeurs sur les listes de sa mairie du 5e arrondissement de Paris en vue des élections municipales de 1995 et législatives de 1997. Son épouse Xavière, décrite comme “omniprésente” à la mairie du 5e, avait elle été condamnée à neuf mois de prison avec sursis et 5.000 euros d’amende.

Poutine menace d’”étrangler” les entreprises occidentales qui restent en Russie

Le président russe Vladimir Poutine a menacé lundi d'”étrangler” les entreprises occidentales restant en Russie et agissant contre ses intérêts, dans le cadre des efforts de Moscou pour renforcer le développement de logiciels russes.”Nous devons les étrangler. Je suis complètement d’accord, et je le dis sans hésitation”, a déclaré M. Poutine en réponse à l’appel d’un homme d’affaires à restreindre les activités des entreprises technologiques américaines Zoom et Microsoft, qui ne fournissent actuellement que des services limités en Russie. De nombreuses entreprises occidentales ont quitté la Russie ou réduit considérablement leurs activités dans le pays après que Moscou a lancé son offensive militaire en Ukraine en février 2022, entraînant une série de sanctions économiques de la part des alliés de Kiev. “Nous n’avons expulsé personne… Nous avons offert les conditions les plus favorables pour qu’ils travaillent sur notre marché, et eux, ils essaient de nous étrangler”, a poursuivi le président russe lors d’une réunion avec des entrepreneurs, sans préciser comment exactement les entreprises occidentales nuisent à la Russie. “Nous devons répondre de la même manière, refléter leurs actions”, a ajouté le président russe, qui a considérablement durci les conditions de sortie du pays pour les entreprises cherchant à quitter la Russie, en forçant beaucoup à vendre leurs actifs avec des rabais importants.Cependant, en avril, Kirill Dmitriev, patron du fonds souverain russe et envoyé spécial de Poutine pour la coopération économique, a affirmé que son fonds avait reçu de nombreuses demandes d’entreprises américaines souhaitant revenir en Russie.Jusqu’à présent, aucune grande entreprise occidentale n’a publiquement annoncé ses plans pour revenir dans ce pays.Certaines entreprises ont sécurisé des options de rachat après avoir vendu leurs actifs à leur direction locale, laissant la porte ouverte à un éventuel retour en Russie. Les entreprises qui ont complètement quitté la Russie, comme la chaîne de restauration rapide américaine McDonald’s, ne recevront pas un accueil chaleureux si elles décident de revenir, a prévenu M. Poutine. McDonald’s a “mis tout le monde dans une situation difficile”, a-t-il critiqué. “Ils sont partis, et maintenant, s’ils veulent revenir, sommes-nous censés leur dérouler le tapis? Non, bien sûr que non”, a-t-il dit.