Caracas s’insurge contre l’arrivée d’un bateau de guerre américain à Trinité-et-Tobago

Caracas s’est insurgé dimanche contre la présence d’un navire de guerre lance-missile américain à Trinité-et-Tobago, archipel situé à une dizaine de kilomètres du Venezuela, estimant qu’il s’agissait “d’une provocation” pouvant mener à une “guerre dans les Caraïbes”.La venue de l’USS Gravely dans la capitale, Port-d’Espagne, ainsi que d’une unité de marines, officiellement pour des exercices avec …

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Trump, arrivé au Japon, résolument optimiste sur un accord avec la Chine

Donald Trump, qui est arrivé lundi au Japon, s’est montré résolument optimiste avant sa rencontre cruciale jeudi avec le président chinois Xi Jinping, censée résoudre le différend commercial avec la Chine.Il a aussi répété, avec une certaine insistance, qu’il “aimerait beaucoup” rencontrer le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un pendant ce déplacement, qui a commencé en …

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Argentine: Milei promet plus de réformes après sa victoire aux législatives de mi-mandat

Le président ultralibéral argentin Javier Milei a obtenu un éclatant vote de confiance pour poursuivre ses réformes, après son large succès aux législatives de mi-mandat dimanche, avec un peu plus de 40% des voix au niveau national.Ces élections sont “la confirmation du mandat que nous avons reçu en 2023” à la présidentielle, pour “avancer sur …

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Les vols directs entre l’Inde et la Chine ont repris, signe d’un apaisement des tensions

Les vols directs entre l’Inde et la Chine continentale ont repris, plus de cinq ans après leur suspension, avec l’atterrissage lundi à Canton d’un avion parti de Calcutta, une étape importante pour le commerce et le signe d’un apaisement entre ces deux géants. L’appareil de la compagnie IndiGo, le numéro un indien du transport aérien, est …

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Absence of toxic foam in Indian river cheers Hindu devotees

Thousands of devotees waded into the foul waters of the Yamuna river in the Indian capital Monday for a Hindu festival, amid political wrangling over the sacred but severely polluted waterway.At dusk, worshippers stood waist-deep in the river’s brown waters to offer prayers to the sun god Surya as the setting orb sank into the haze blanketing New Delhi’s skyline, marking the annual Chhath festival.Unlike previous years, the scene was free of the thick layers of white foam that have long symbolised the Yamuna’s toxic condition.”At least this time it feels like a river, even if dirty,” said 35-year-old homemaker Kanchan Devi.”Earlier it was like going into a filthy drain.”The Yamuna river, a major tributary of the Ganges, continues to suffer from severe pollution despite repeated clean-up pledges.At one location in south Delhi in 2021, faecal bacteria levels exceeded safe health limits by 8,800 times.The river’s dismal condition was a key issue in Delhi elections earlier this year that saw Prime Minister Narendra Modi’s Bharatiya Janata Party (BJP) return to power in the sprawling megacity of more than 30 million people.One of the Hindu nationalist party’s main campaign promises was to clean the river.Delhi’s Chief Minister Rekha Gupta said Monday that becuase of her government’s efforts, “after many years, our brothers and sisters will be able to worship the sun on the banks of the Yamuna.” – ‘Cosmetic’ -“This water is now in such a condition that aquatic creatures can live very well in it, whereas earlier, even a mosquito could not thrive in this water,” Gupta told reporters.But opposition leaders have called the clean-up “cosmetic”, alleging that chemicals had been used to mask the froth without addressing the fundamental causes of the pollution: untreated sewage and industrial effluents.Laboratory analysis conducted earlier this month indicated that the faecal count in the river had reduced since last year but remained far from safe at most sites.”All said and done, it is certainly better than before,” said Sanjay Paswan, a carpenter.”I have been coming here for a decade. The difference is clear.”Delhi’s pollution crisis extends beyond its rivers.The capital is routinely blanketed by toxic smog each winter, a deadly combination of emissions from crop burning, factories and traffic.Despite years of government initiatives, little progress has been made, and the pollution is blamed for thousands of premature deaths annually.Earlier this month, air quality worsened sharply, following widespread use of fireworks during the Hindu festival of Diwali.Although bans have been imposed in previous years, enforcement has been weak due to the deep religious significance of fireworks for many devotees.This year, the Supreme Court eased restrictions, allowing the use of so-called “green” firecrackers that are designed to emit fewer particulate pollutants.At the Chhath festivities too, firecrackers lit up the sky, leaving the air acrid with the smell of burnt sulphur.Revellers, though, said they were not concerned.”At least the water is clean and so is the riverbank,” said daily wage labourer Sanjay Prasad.

Cyberharcèlement de Brigitte Macron: dix personnes jugées à Paris

Le procès de dix personnes jugées pour cyberharcèlement à l’encontre de Brigitte Macron, cible d’une infox mondiale selon laquelle elle serait une femme transgenre, s’est ouvert lundi, en son absence, devant le tribunal correctionnel de Paris.Élu, galeriste, enseignant, médium, ou encore informaticien: huit hommes et deux femmes, âgés de 41 à 60 ans, comparaissent devant une salle d’audience comble. Ils sont jugés jusqu’à mardi pour avoir cyberharcelé l’épouse du chef de l’État sur son genre et sa différence d’âge avec son mari. Cette riposte judiciaire en France, doublée d’une plainte aux États-Unis, intervient après quatre ans de polémiques et de rumeurs qui n’ont cessé d’enfler, largement relayées par les réseaux complotistes et d’extrême droite.  Originaires de toute la France, les prévenus sont soupçonnés d’avoir tenu à l’égard de la femme du chef de l’État de nombreux propos malveillants sur son “genre”, sa “sexualité”, assimilant sa différence d’âge de 24 ans avec Emmanuel Macron à de la “pédophilie”, selon le parquet de Paris.Seuls “les plus virulents” d’entre eux comparaissent, selon une source policière. Plusieurs vagues d’interpellations se sont déroulées, en décembre 2024 puis en février et mars 2025, après la plainte déposée par la première dame le 27 août 2024. L’avocat de Brigitte Macron, Me Jean Ennochi, n’a pas fait de déclaration avant le début de l’audience. – Influenceuse trumpiste -Parmi les prévenus figure la “médium” Delphine J., connue sous le pseudo d’Amandine Roy, déjà condamnée pour diffamation en première instance en septembre 2024 par la justice française, aux côtés de Natacha Rey, à payer plusieurs milliers d’euros de dommages et intérêts à Brigitte Macron et à son frère Jean-Michel Trogneux.La Bretonne de 51 ans est à l’origine d’une vidéo virale de quatre heures, publiée en 2021 et depuis retirée, affirmant que Brigitte Macron n’aurait jamais existé et que son frère Jean-Michel aurait pris son identité après un changement de sexe. La cour d’appel l’avait relaxée en appel le 10 juillet dernier, mais n’avait pas validé la thèse des deux femmes. La juridiction avait estimé que l’affirmation selon laquelle Brigitte Macron aurait “effectué une transition de genre sans la rendre publique” ne constituait pas “une atteinte à l’honneur”, éléments nécessaires pour caractériser la diffamation. La femme du chef de l’État et son frère se sont pourvus en cassation contre cette décision.Suivie par près de 20.000 personnes sur X, Delphine J. a trouvé “excellent” le tweet de l’influenceuse trumpiste Candace Owens, posant avec un T-shirt portant une Une du magazine Time détournée où Brigitte Macron apparaît en “homme de l’année”.  Lors de l’annonce du petit rôle donné à la première dame dans une saison de la série “Emily in Paris”, elle enrage: “Boycottez-moi cette merde.”Elle n’a fait que “rebondir sur l’actualité”, selon son avocate Maud Marian, faisant valoir “qu’aucun message n’a directement été adressé à Mme Macron.” – Rumeur virale -Le publicitaire Aurélien Poirson-Atlan, 41 ans, connu et suivi sur les réseaux sociaux sous le pseudonyme de “Zoé Sagan”, comparait également. Son compte X, supprimé depuis, a fait l’objet de plusieurs plaintes et est souvent présenté comme lié aux sphères complotistes.Outre ses propos visant Brigitte Macron, “Zoé Sagan”, est connu pour avoir diffusé les vidéos à caractère sexuel de Benjamin Griveaux, macroniste qui avait dû renoncer en février 2020 à briguer la mairie de Paris suite au scandale.L’écart d’âge entre les époux Macron, considéré comme un “crime sexuel” sur X par ce dernier, explique en partie la propagation de cette infox.  Née dès l’élection d’Emmanuel Macron en 2017, la rumeur transphobe est devenue virale aux États-Unis où le couple présidentiel a engagé cet été des poursuites contre Candace Owens, podcasteuse d’extrême droite auteure d’une série de vidéos intitulée “Becoming Brigitte” (“Devenir Brigitte”).Plusieurs personnes jugées à Paris ont relayé les publications virales de l’Américaine, se réjouissant de voir “l’affaire Brigitte” s’internationaliser. Bertrand S., galeriste de 56 ans aux plus de 100.000 abonnés sur X, a dénoncé la veille de l’audience un procès de “la liberté de penser” face à “l’État profond médiatique”.Les prévenus encourent deux ans d’emprisonnement.