260 miners stuck underground after ‘incident’ at S.African shaftFri, 23 May 2025 12:23:57 GMT

Damage to a mine shaft kept 260 miners stuck in a gold mine outside Johannesburg overnight, the mine manager and union said Friday. Mining employs hundreds of thousands of people in South Africa — the biggest exporter of platinum and a major exporter of gold, diamonds, coal and other raw materials — and accidents are common.”All …

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S.Africa minister rejects ‘genocide’ claim with statisticsFri, 23 May 2025 12:18:33 GMT

South Africa does not face a “white genocide” and claims that most victims of murders on farms are white are a distortion of statistics, the police minister said Friday, dismissing statements by US President Donald Trump.The genocide conspiracy is “totally unfounded and totally unsubstantiated”, Senzo Mchunu said, rejecting claims by Trump who again charged at …

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Le nord de l’Europe frappé par une sécheresse exceptionnelle

Une sécheresse jamais vue depuis des décennies frappe depuis plusieurs semaines une partie du nord de l’Europe, allant de l’Écosse aux Pays-Bas, ce qui pourrait, si elle se prolongeait, réduire les futurs rendements des cultures que les agriculteurs sont en train de semer.Lorsqu’il y a un déficit d’eau dans les champs de blé, de maïs, de colza ou d’orge, leur “croissance est limitée”, explique à l’AFP Nicolas Guilpart, maître de conférence en agronomie à Agro Paris Tech.Il a plu beaucoup moins que la normale au printemps dans le nord de la France, en Belgique ou au Royaume-Uni, et les sols sont secs, au point d’être poussiéreux par endroits.Dans les champs, les semis de printemps n’ont pas encore germé à cause du temps exceptionnellement sec.Luke Abblitt, agriculteur de l’est de l’Angleterre, “prie pour que la pluie” tombe alors que le Royaume-Uni connaît jusqu’ici son printemps le plus sec depuis plus d’un siècle et demi. “Nous passons d’un extrême à l’autre: il pleut beaucoup en hiver, et moins au printemps et en été”, a dit l’agriculteur à l’AFP. Il se résigne désormais à adapter ses méthodes de culture ou “explorer de nouvelles variétés” résistantes.Certains agriculteurs ont commencé à irriguer plus tôt, a rapporté le principal syndicat agricole britannique NFU, qui réclame des investissements pour installer des cuves de stockage sur les exploitations.- Beaucoup de soleil -Aux Pays-Bas, il n’avait jamais aussi peu plu depuis le début des relevés en 1906, ce qui inquiète Samuel Jonson Sutanto et Inge de Graaf, chercheurs à l’université de Wageningen.”Cela a entraîné une réduction significative des débits fluviaux – parmi les plus faibles jamais enregistrés – et une baisse du niveau des nappes phréatiques, en particulier dans les régions orientales et méridionales”, indiquent-ils à l’AFP.Selon eux, “l’impact écologique devient de plus en plus visible (…) avec des conséquences négatives pour la flore et la faune”.Au Danemark, l’institut météorologique a prévenu début mai que les trois derniers mois avaient été exceptionnellement secs, avec moins de 63 mm de pluie enregistrés.À cela s’ajoutent un ensoleillement et des températures supérieurs à la normale pour le Danemark. Depuis le 15 mai, l’indice de sécheresse est supérieur ou égal à 9 sur une échelle de 1 à 10, ce qui n’est jamais arrivé aussi tôt depuis que cet indice a été établi en 2005, a souligné l’institut.En Suède,la Fédération des agriculteurs conseille aux exploitants de revoir leur planification en matière d’eau.- Besoin d’irriguer -En France, les nappes phréatiques, en sous-sol, sont bien remplies, mais les plantes ont besoin d’eau en surface pour pousser, et donc de pluie.Or le Nord est placé en vigilance sécheresse depuis lundi: le département a reçu, entre février et début mai, la quantité de pluie qui tombe habituellement en un mois, et le vent de nord-est a accentué l’assèchement des sols. Les agriculteurs misent donc de plus en plus sur l’irrigation. C’est le cas de Sébastien De Coninck, producteur d’endive. Le village de ce trentenaire, Beuvry-la-Forêt (Nord), a reçu entre mars et mai huit fois moins de précipitations que sur la même période l’année dernière, particulièrement arrosée, explique-t-il à l’AFP.”Jusqu’à il y a cinq ans, on ne se posait pas la question de l’irrigation dans le Nord” mais les lignes bougent, car sans ou avec, “le rendement peut varier du simple au double”, pointe l’agriculteur.L’irrigation permet de “pallier ce manque de précipitation”, reconnaît l’agronome Nicolas Guilpart, mais encore faut-il “avoir les ressources pour le faire”. Pour irriguer, l’eau est prélevée dans les nappes, les cours d’eau à proximité ou dans les retenues d’eau, également appelées “bassines”.En France aussi les températures sont au-dessus de la normale, notamment dans les Hauts-de-France, “rendant l’atmosphère plus +séchante+”, entraînant “plus d’évapotranspiration (combinaison de l’évaporation et de la transpiration des plantes, NDLR) et donc augmentant la demande en eau des plantes”, explique l’agronome.Mais cette sécheresse intense dans une partie du nord de l’Europe contraste avec celle du sud du continent, notamment l’Espagne et le Portugal, où l’on a mesuré jusqu’au double des quantités de pluie habituelles sur cette période.

Le nord de l’Europe frappé par une sécheresse exceptionnelle

Une sécheresse jamais vue depuis des décennies frappe depuis plusieurs semaines une partie du nord de l’Europe, allant de l’Écosse aux Pays-Bas, ce qui pourrait, si elle se prolongeait, réduire les futurs rendements des cultures que les agriculteurs sont en train de semer.Lorsqu’il y a un déficit d’eau dans les champs de blé, de maïs, de colza ou d’orge, leur “croissance est limitée”, explique à l’AFP Nicolas Guilpart, maître de conférence en agronomie à Agro Paris Tech.Il a plu beaucoup moins que la normale au printemps dans le nord de la France, en Belgique ou au Royaume-Uni, et les sols sont secs, au point d’être poussiéreux par endroits.Dans les champs, les semis de printemps n’ont pas encore germé à cause du temps exceptionnellement sec.Luke Abblitt, agriculteur de l’est de l’Angleterre, “prie pour que la pluie” tombe alors que le Royaume-Uni connaît jusqu’ici son printemps le plus sec depuis plus d’un siècle et demi. “Nous passons d’un extrême à l’autre: il pleut beaucoup en hiver, et moins au printemps et en été”, a dit l’agriculteur à l’AFP. Il se résigne désormais à adapter ses méthodes de culture ou “explorer de nouvelles variétés” résistantes.Certains agriculteurs ont commencé à irriguer plus tôt, a rapporté le principal syndicat agricole britannique NFU, qui réclame des investissements pour installer des cuves de stockage sur les exploitations.- Beaucoup de soleil -Aux Pays-Bas, il n’avait jamais aussi peu plu depuis le début des relevés en 1906, ce qui inquiète Samuel Jonson Sutanto et Inge de Graaf, chercheurs à l’université de Wageningen.”Cela a entraîné une réduction significative des débits fluviaux – parmi les plus faibles jamais enregistrés – et une baisse du niveau des nappes phréatiques, en particulier dans les régions orientales et méridionales”, indiquent-ils à l’AFP.Selon eux, “l’impact écologique devient de plus en plus visible (…) avec des conséquences négatives pour la flore et la faune”.Au Danemark, l’institut météorologique a prévenu début mai que les trois derniers mois avaient été exceptionnellement secs, avec moins de 63 mm de pluie enregistrés.À cela s’ajoutent un ensoleillement et des températures supérieurs à la normale pour le Danemark. Depuis le 15 mai, l’indice de sécheresse est supérieur ou égal à 9 sur une échelle de 1 à 10, ce qui n’est jamais arrivé aussi tôt depuis que cet indice a été établi en 2005, a souligné l’institut.En Suède,la Fédération des agriculteurs conseille aux exploitants de revoir leur planification en matière d’eau.- Besoin d’irriguer -En France, les nappes phréatiques, en sous-sol, sont bien remplies, mais les plantes ont besoin d’eau en surface pour pousser, et donc de pluie.Or le Nord est placé en vigilance sécheresse depuis lundi: le département a reçu, entre février et début mai, la quantité de pluie qui tombe habituellement en un mois, et le vent de nord-est a accentué l’assèchement des sols. Les agriculteurs misent donc de plus en plus sur l’irrigation. C’est le cas de Sébastien De Coninck, producteur d’endive. Le village de ce trentenaire, Beuvry-la-Forêt (Nord), a reçu entre mars et mai huit fois moins de précipitations que sur la même période l’année dernière, particulièrement arrosée, explique-t-il à l’AFP.”Jusqu’à il y a cinq ans, on ne se posait pas la question de l’irrigation dans le Nord” mais les lignes bougent, car sans ou avec, “le rendement peut varier du simple au double”, pointe l’agriculteur.L’irrigation permet de “pallier ce manque de précipitation”, reconnaît l’agronome Nicolas Guilpart, mais encore faut-il “avoir les ressources pour le faire”. Pour irriguer, l’eau est prélevée dans les nappes, les cours d’eau à proximité ou dans les retenues d’eau, également appelées “bassines”.En France aussi les températures sont au-dessus de la normale, notamment dans les Hauts-de-France, “rendant l’atmosphère plus +séchante+”, entraînant “plus d’évapotranspiration (combinaison de l’évaporation et de la transpiration des plantes, NDLR) et donc augmentant la demande en eau des plantes”, explique l’agronome.Mais cette sécheresse intense dans une partie du nord de l’Europe contraste avec celle du sud du continent, notamment l’Espagne et le Portugal, où l’on a mesuré jusqu’au double des quantités de pluie habituelles sur cette période.

Brook’s quickfire fifty takes England to 565-6 dec against ZimbabweFri, 23 May 2025 11:28:53 GMT

Harry Brook struck a typically rapid 58 as England piled up 565-6 before captain Ben Stokes declared on the second day of the one-off Test against Zimbabwe at Trent Bridge on Friday.Brook, nine not out overnight, faced just 50 balls, hitting six fours and three sixes, before his dismissal prompted Stokes to call a halt …

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Le procès en appel de l’attentat contre un couple de policiers à Magnanville s’ouvre lundi

Le procès en appel de Mohamed Lamine Aberouz, condamné en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté de 22 ans pour complicité dans l’assassinat d’un couple de policiers à leur domicile de Magnanville (Yvelines) en juin 2016, s’ouvre lundi à Paris.Tout au long de son premier procès, en octobre 2023, l’accusé a clamé son innocence en soutenant n’être aucunement impliqué dans l’attentat perpétré, au nom du groupe Etat islamique, par son ami d’enfance Larossi Abballa, assassin de Jessica Schneider et Jean-Baptiste Salvaing, à leur domicile, devant leur fils de 3 ans.”C’est pour notre client l’audience de la dernière chance. Il est face à deux issues : l’acquittement ou la condamnation indue pour un crime qu’il n’a pas commis, près de neuf ans après les faits”, ont expliqué ses conseils, Mes Vincent Brengarth et Nino Arnaud.”L’accusé est un des islamistes français les plus dangereux”, estime au contraire Me Thibault de Montbrial, qui défend la famille de la policière.Mohamed Lamine Aberouz, 31 ans aujourd’hui, avait été reconnu coupable de tous les chefs d’accusation à son encontre, dont complicité d’assassinats terroristes sur personne dépositaire de l’autorité publique.”Les faits sont d’une gravité extrême. La famille de Jessica Schneider attend la confirmation de la première condamnation, qui est parfaitement motivée”, a confié Me de Montbrial à l’AFP.”Ce moment n’apportera pas toutes les réponses aux nombreuses interrogations qui subsistent, mais il constitue un passage nécessaire sur le chemin de la vérité et de la mémoire”, a souligné dans un communiqué Me Pauline Dufourq, avocate de la famille de Jean-Baptiste Salvaing.Le soir du 13 juin 2016, Jessica Schneider, 36 ans, fonctionnaire de police au commissariat de Mantes-la-Jolie, a été égorgée sous les yeux de son fils à son domicile. Un peu plus tard, son compagnon, Jean-Baptiste Salvaing, 42 ans, commandant au commissariat des Mureaux, a été poignardé de neuf coups de couteau alors qu’il s’apprêtait à rentrer chez lui. Il a eu le temps de donner l’alerte avant de succomber.Mohamed Lamine Aberouz affirme qu’il n’était pas présent sur la scène du crime le soir de l’attentat. “Le seul coupable”, a-t-il assuré lors du premier procès, est Larossi Abballa, abattu lors de l’assaut des policiers du RAID pour libérer l’enfant du couple retenu en otage. – “Un méchant” et “un gentil” -Une trace ADN de l’accusé retrouvée sur l’ordinateur du couple avait été au centre des débats à l’automne 2023, devant la cour d’assises spéciale de Paris.”L’ADN de l’accusé sur les lieux est clair et net et localisé à un endroit cohérent avec sa participation”, estime Me de Montbrial.La défense de Mohamed Lamine Aberouz avait soutenu quant à elle que cette trace provenait d’un “transfert” d’ADN entre la voiture de Larossi Abballa, où ont aussi été isolées des traces génétiques appartenant à l’accusé, et l’ordinateur des victimes. Cette thèse avait été jugée “peu probable” par des experts qui ne l’avaient cependant pas totalement exclue.”La juridiction de première instance n’a pas su tirer les conclusions des doutes très forts sur la trace ADN retrouvée au domicile des victimes, alors que rien ne corrobore la présence de notre client”, affirment Mes Brengarth et Arnaud.”On ne demande pas à une juridiction d’écrire l’histoire d’une complicité éventuelle mais de la démontrer, ce qui n’a pas été fait. Raisonner autrement, c’est faire le choix de l’arbitraire et créer les conditions de l’erreur judiciaire”, ont-ils insisté.Larossi Abballa, “totalement acquis à la cause de l’Etat islamique”, selon la cour de première instance, était un proche du frère aîné de Mohamed Lamine Aberouz, Charaf-Din Aberouz, condamné en 2013 à cinq ans de prison pour association de malfaiteurs terroriste.Souvent présent à l’audience lors du procès de son frère cadet, Charaf-Din Aberouz, initialement poursuivi dans le dossier Magnanville avant de bénéficier d’un non-lieu, est actuellement mis en examen pour menaces de mort contre l’avocat défendant la famille de Jessica Schneider.Seul rescapé de la tragédie, l’enfant du couple, qui vit chez sa tante paternelle, avait évoqué devant une psychologue la présence d’un “méchant” et d’un “gentil”, l’un qui voulait le “tuer” et l’autre qui avait répondu: “non, pas encore”.A la barre, sa tante a expliqué que l’enfant “n’a pas donné de précisions sur la deuxième personne, si elle était sur un écran ou si c’était une personne physique”.Le procès en appel est prévu jusqu’au 20 juin.