Canal+ buyout of S.Africa’s MultiChoice one step closerWed, 21 May 2025 10:37:58 GMT

South Africa’s competition authority announced Wednesday it had approved the buyout of Africa’s largest pay TV enterprise MultiChoice by France’s Canal+, which wants to expand its footprint on the continent.The merger, which has been in the works for nearly a year, needs the final go-ahead from the commission’s Competition Tribunal, it said in a statement. Canal+ …

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Gestion du Covid-19: non-lieu requis pour trois ex-membres du gouvernement, dont Edouard Philippe

La menace d’un procès s’éloigne considérablement pour trois ex-membres du gouvernement, dont Edouard Philippe, visés par une enquête sur leur gestion du Covid-19: le ministère public près la Cour de justice de la République (CJR) vient de réquérir un non-lieu à leur égard.Dans cette information judiciaire pour mise en danger de la vie d’autrui et abstention volontaire de combattre un sinistre, l’ex-Premier ministre Edouard Philippe, l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn, ainsi que son successeur Olivier Véran, sont placés sous le statut de témoin assisté.Cette absence de mise en examen laissait déjà entrevoir un non-lieu. “Les investigations établissent que de nombreuses initiatives ont été prises par le gouvernement pour combattre la pandémie de Covid-19, faisant obstacle à ce que l’infraction d’abstention volontaire de combattre un sinistre soit constituée à l’encontre d’Edouard Philippe et d’Olivier Véran”, a expliqué mercredi dans un communiqué Rémy Heitz, procureur général près la Cour de cassation, qui exerce les fonctions du ministère public près la CJR.De son côté, Agnès Buzyn avait été vertement critiquée pour avoir quitté ses fonctions au début de la crise sanitaire pour devenir candidate à la mairie de Paris.C’est finalement cette chronologie qui semble la dédouaner.Le parquet général a relevé qu’elle avait quitté son poste de ministre de la Santé le 16 février 2020, “date à laquelle aucun sinistre au sens du code pénal n’était encore caractérisé sur le territoire national dès lors que le premier décès d’un malade contaminé en France par la Covid-19 est intervenu le 25 février 2020”.Agnès Buzyn avait par ailleurs été, un temps, mise en examen pour mise en danger de la vie d’autrui. Mais elle avait obtenu son annulation en janvier 2023, devant la Cour de cassation. A l’instar de cette dernière, le parquet général a estimé qu’il ne peut lui être reproché “aucune violation d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement”.Son avocat, Eric Dezeuze, n’a pas souhaité commenter.- Tirer des leçons ? -Après ce réquisitoire, rendu mardi, il revient désormais à la commission d’instruction de trancher.”L’absence de mise en examen laisse présager une décision de non-lieu, mais rien ne dit que la commission d’instruction aura les mêmes motivations pour ce non-lieu et la même analyse des infractions pénales”, au vu de la multitude d’actes d’enquête réalisés par ses magistrats en quatre ans, a souligné une source judiciaire.Auditions et perquisitions, jusqu’aux domiciles et bureaux d’Edouard Philippe, Agnès Buzyn et Olivier Véran, mais aussi chez l’ex-directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, et l’ex-directrice générale de Santé Publique France, Geneviève Chêne.Si par exemple le manque de masques au début de la pandémie, qui avait été au coeur des polémiques, “ne relève pas de l’infraction pénale, il faudra se poser la question plus large de ce qui engage la responsabilité de nos hommes politiques”, a relevé la source judiciaire.Quelle que soit la décision finale, un dossier de dizaines de milliers de pages nourrira une autre information judiciaire: celle dirigée en parallèle, contre X, au Pôle santé publique du tribunal judiciaire de Paris, pour mise en danger de la vie d’autrui, homicides et blessures involontaires.Selon les chiffres de Santé publique France, 168.000 personnes sont décédées de la Covid-19 entre 2020 et septembre 2023, date à laquelle l’Organisation mondiale de la santé a mis fin à l’urgence sanitaire mondiale. Cinq ans après cette pandémie qui a fait des millions de morts dans le monde, les gouvernements cherchent encore à en tirer des leçons. Un accord international a été adopté mardi lors de la réunion annuelle des pays membres de l’OMS pour instaurer une coordination mondiale plus précoce et plus efficace afin de prévenir, détecter et répondre au risque pandémique.En France, “l’incompétence et/ou impréparation” de l’Etat a été longuement épinglée par les journalistes d’investigation Gérard Davet et Fabrice Lhomme dans leur livre “Les juges et l’assassin”.A leurs yeux, l’Etat a failli “en ne prenant pas assez rapidement au sérieux le virus”, en “laissant sciemment les outils de riposte sanitaire” tels que Santé publique France “dans un inconfort financier”, “en négligeant le stock de masques” ou encore en “induisant les Français en erreur sur le port du masque”.

Gestion du Covid-19: non-lieu requis pour trois ex-membres du gouvernement, dont Edouard Philippe

La menace d’un procès s’éloigne considérablement pour trois ex-membres du gouvernement, dont Edouard Philippe, visés par une enquête sur leur gestion du Covid-19: le ministère public près la Cour de justice de la République (CJR) vient de réquérir un non-lieu à leur égard.Dans cette information judiciaire pour mise en danger de la vie d’autrui et abstention volontaire de combattre un sinistre, l’ex-Premier ministre Edouard Philippe, l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn, ainsi que son successeur Olivier Véran, sont placés sous le statut de témoin assisté.Cette absence de mise en examen laissait déjà entrevoir un non-lieu. “Les investigations établissent que de nombreuses initiatives ont été prises par le gouvernement pour combattre la pandémie de Covid-19, faisant obstacle à ce que l’infraction d’abstention volontaire de combattre un sinistre soit constituée à l’encontre d’Edouard Philippe et d’Olivier Véran”, a expliqué mercredi dans un communiqué Rémy Heitz, procureur général près la Cour de cassation, qui exerce les fonctions du ministère public près la CJR.De son côté, Agnès Buzyn avait été vertement critiquée pour avoir quitté ses fonctions au début de la crise sanitaire pour devenir candidate à la mairie de Paris.C’est finalement cette chronologie qui semble la dédouaner.Le parquet général a relevé qu’elle avait quitté son poste de ministre de la Santé le 16 février 2020, “date à laquelle aucun sinistre au sens du code pénal n’était encore caractérisé sur le territoire national dès lors que le premier décès d’un malade contaminé en France par la Covid-19 est intervenu le 25 février 2020”.Agnès Buzyn avait par ailleurs été, un temps, mise en examen pour mise en danger de la vie d’autrui. Mais elle avait obtenu son annulation en janvier 2023, devant la Cour de cassation. A l’instar de cette dernière, le parquet général a estimé qu’il ne peut lui être reproché “aucune violation d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement”.Son avocat, Eric Dezeuze, n’a pas souhaité commenter.- Tirer des leçons ? -Après ce réquisitoire, rendu mardi, il revient désormais à la commission d’instruction de trancher.”L’absence de mise en examen laisse présager une décision de non-lieu, mais rien ne dit que la commission d’instruction aura les mêmes motivations pour ce non-lieu et la même analyse des infractions pénales”, au vu de la multitude d’actes d’enquête réalisés par ses magistrats en quatre ans, a souligné une source judiciaire.Auditions et perquisitions, jusqu’aux domiciles et bureaux d’Edouard Philippe, Agnès Buzyn et Olivier Véran, mais aussi chez l’ex-directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, et l’ex-directrice générale de Santé Publique France, Geneviève Chêne.Si par exemple le manque de masques au début de la pandémie, qui avait été au coeur des polémiques, “ne relève pas de l’infraction pénale, il faudra se poser la question plus large de ce qui engage la responsabilité de nos hommes politiques”, a relevé la source judiciaire.Quelle que soit la décision finale, un dossier de dizaines de milliers de pages nourrira une autre information judiciaire: celle dirigée en parallèle, contre X, au Pôle santé publique du tribunal judiciaire de Paris, pour mise en danger de la vie d’autrui, homicides et blessures involontaires.Selon les chiffres de Santé publique France, 168.000 personnes sont décédées de la Covid-19 entre 2020 et septembre 2023, date à laquelle l’Organisation mondiale de la santé a mis fin à l’urgence sanitaire mondiale. Cinq ans après cette pandémie qui a fait des millions de morts dans le monde, les gouvernements cherchent encore à en tirer des leçons. Un accord international a été adopté mardi lors de la réunion annuelle des pays membres de l’OMS pour instaurer une coordination mondiale plus précoce et plus efficace afin de prévenir, détecter et répondre au risque pandémique.En France, “l’incompétence et/ou impréparation” de l’Etat a été longuement épinglée par les journalistes d’investigation Gérard Davet et Fabrice Lhomme dans leur livre “Les juges et l’assassin”.A leurs yeux, l’Etat a failli “en ne prenant pas assez rapidement au sérieux le virus”, en “laissant sciemment les outils de riposte sanitaire” tels que Santé publique France “dans un inconfort financier”, “en négligeant le stock de masques” ou encore en “induisant les Français en erreur sur le port du masque”.

La population de Gaza attend désespérément la distribution d’aide humanitaire

Les Palestiniens de la bande de Gaza attendent désespérément mercredi une distribution d’aide humanitaire alors que la pression internationale s’accentue sur Israël, accusé de ne laisser entrer dans le territoire assiégé qu’une portion d’aide sans rapport avec les besoins immenses de la population.L’armée israélienne intensifie dans le même temps son offensive dans la bande de Gaza avec le but affiché d’anéantir le mouvement islamiste palestinien Hamas, dont l’attaque le 7 octobre 2023 en Israël a déclenché la guerre, et de ramener les otages qui sont détenus dans le territoire palestinien. “La situation est insupportable. Aucune aide n’est entrée et personne ne nous distribue quoi que ce soit”, a déclaré par téléphone à l’AFP Oum Talal al-Masri, 53 ans, depuis un quartier de la ville de Gaza.”Nous arrivons à peine à préparer un repas par jour. L’aide n’est pas un luxe – nous avons un besoin urgent et désespéré de tout : nourriture, médicaments, eau potable et produits d’hygiène”, a-t-elle ajouté.Après plus de deux mois et demi d’un blocus total imposé à la bande de Gaza, Israël a annoncé avoir laissé passé une centaine de camions de l’ONU lundi et mardi.L’autorisation lundi par Israël d’une aide limitée à destination de Gaza a été qualifiée par l’ONU de “goutte d’eau dans l’océan”, et 22 pays ont alors exigé d’Israël une “reprise complète de l’aide, immédiatement”.Mais le Bureau des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha) se plaint de complications imposées par Israël qui entravent l’acheminement de l’aide jusqu’à ses destinataires finaux une fois qu’elle est entrée par Gaza.- “Que des mots” -“Pour l’instant, l’aide ce ne sont que des mots”, déplore Mme Masri, alors que s’intensifie l’offensive militaire élargie lancée samedi par Israël. “Nos équipes ont transporté 19 morts, pour la plupart des enfants, et des dizaines de blessés après des raids aériens effectués par les avions de guerre israéliens dans diverses zones de la bande de Gaza la nuit dernière et tôt aujourd’hui”, a déclaré dans la matinée Mahmoud Bassal, porte-parole de la défense civile, un organisation de premiers secours.Des images de l’AFPTV montre une poursuite des frappes israéliennes, notamment sur le sud de la bande de Gaza depuis le point du jour. L’ONG Médecins sans frontières a accusé Israël de ne laisser entrer à Gaza qu’une aide “ridiculement insuffisante” face aux besoins du territoire, seulement pour ne pas être accusé “de famine imposée à la population”.”Ce plan est une manière d’instrumentaliser l’aide, en la transformant en outil au service des objectifs militaires des forces israéliennes”, a déclaré Pascale Coissard, coordinatrice des urgences MSF à Khan Younis, à Gaza, dans un communiqué.Le pape Léon XIV a lancé mercredi un “appel pressant” à laisser entrer “une aide humanitaire décente” à Gaza et à “mettre fin aux hostilités”, “dont le prix atroce est payé par les enfants, les personnes âgées et les malades”.Face à la situation humanitaire catastrophique et l’intensification des opérations militaires israéliennes à Gaza, de nombreux pays européens ont accentué la pression.L’Union européenne va réexaminer son accord d’association avec Israël, en vigueur depuis 2000, a annoncé mardi sa cheffe de la diplomatie, Kaja Kallas.Le Royaume-Uni a lui dit suspendre les négociations avec Israël sur un accord de libre-échange.- “Réalité complexe” -Le président palestinien Mahmoud Abbas a salué mercredi les voix qui se sont levées à l’étranger pour rejeter “les politiques de blocus, de famine, de déplacement et de saisie de terres” et “l’utilisation de l’aide par Israël comme une arme et un outil politique pour atteindre ses objectifs illégitimes”.”Les pressions extérieures ne détourneront pas Israël de sa voie pour défendre son existence et sa sécurité”, avait affirmé mardi les Affaires étrangères israélienne, estimant que le réexamen de l’accord d’association UE-Israël reflétait “une incompréhension totale de la réalité complexe à laquelle Israël” fait face et encourageait “le Hamas à rester sur ses positions”.La guerre a été déclenchée le 7 octobre 2023 par une attaque sans précédent du Hamas qui a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP à partir de données officielles. Sur les 251 personnes alors enlevées, 57 restent retenues à Gaza, dont 34 déclarées mortes par l’armée.La campagne de représailles israéliennes a fait au moins 53.592 morts à Gaza, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

La population de Gaza attend désespérément la distribution d’aide humanitaire

Les Palestiniens de la bande de Gaza attendent désespérément mercredi une distribution d’aide humanitaire alors que la pression internationale s’accentue sur Israël, accusé de ne laisser entrer dans le territoire assiégé qu’une portion d’aide sans rapport avec les besoins immenses de la population.L’armée israélienne intensifie dans le même temps son offensive dans la bande de Gaza avec le but affiché d’anéantir le mouvement islamiste palestinien Hamas, dont l’attaque le 7 octobre 2023 en Israël a déclenché la guerre, et de ramener les otages qui sont détenus dans le territoire palestinien. “La situation est insupportable. Aucune aide n’est entrée et personne ne nous distribue quoi que ce soit”, a déclaré par téléphone à l’AFP Oum Talal al-Masri, 53 ans, depuis un quartier de la ville de Gaza.”Nous arrivons à peine à préparer un repas par jour. L’aide n’est pas un luxe – nous avons un besoin urgent et désespéré de tout : nourriture, médicaments, eau potable et produits d’hygiène”, a-t-elle ajouté.Après plus de deux mois et demi d’un blocus total imposé à la bande de Gaza, Israël a annoncé avoir laissé passé une centaine de camions de l’ONU lundi et mardi.L’autorisation lundi par Israël d’une aide limitée à destination de Gaza a été qualifiée par l’ONU de “goutte d’eau dans l’océan”, et 22 pays ont alors exigé d’Israël une “reprise complète de l’aide, immédiatement”.Mais le Bureau des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha) se plaint de complications imposées par Israël qui entravent l’acheminement de l’aide jusqu’à ses destinataires finaux une fois qu’elle est entrée par Gaza.- “Que des mots” -“Pour l’instant, l’aide ce ne sont que des mots”, déplore Mme Masri, alors que s’intensifie l’offensive militaire élargie lancée samedi par Israël. “Nos équipes ont transporté 19 morts, pour la plupart des enfants, et des dizaines de blessés après des raids aériens effectués par les avions de guerre israéliens dans diverses zones de la bande de Gaza la nuit dernière et tôt aujourd’hui”, a déclaré dans la matinée Mahmoud Bassal, porte-parole de la défense civile, un organisation de premiers secours.Des images de l’AFPTV montre une poursuite des frappes israéliennes, notamment sur le sud de la bande de Gaza depuis le point du jour. L’ONG Médecins sans frontières a accusé Israël de ne laisser entrer à Gaza qu’une aide “ridiculement insuffisante” face aux besoins du territoire, seulement pour ne pas être accusé “de famine imposée à la population”.”Ce plan est une manière d’instrumentaliser l’aide, en la transformant en outil au service des objectifs militaires des forces israéliennes”, a déclaré Pascale Coissard, coordinatrice des urgences MSF à Khan Younis, à Gaza, dans un communiqué.Le pape Léon XIV a lancé mercredi un “appel pressant” à laisser entrer “une aide humanitaire décente” à Gaza et à “mettre fin aux hostilités”, “dont le prix atroce est payé par les enfants, les personnes âgées et les malades”.Face à la situation humanitaire catastrophique et l’intensification des opérations militaires israéliennes à Gaza, de nombreux pays européens ont accentué la pression.L’Union européenne va réexaminer son accord d’association avec Israël, en vigueur depuis 2000, a annoncé mardi sa cheffe de la diplomatie, Kaja Kallas.Le Royaume-Uni a lui dit suspendre les négociations avec Israël sur un accord de libre-échange.- “Réalité complexe” -Le président palestinien Mahmoud Abbas a salué mercredi les voix qui se sont levées à l’étranger pour rejeter “les politiques de blocus, de famine, de déplacement et de saisie de terres” et “l’utilisation de l’aide par Israël comme une arme et un outil politique pour atteindre ses objectifs illégitimes”.”Les pressions extérieures ne détourneront pas Israël de sa voie pour défendre son existence et sa sécurité”, avait affirmé mardi les Affaires étrangères israélienne, estimant que le réexamen de l’accord d’association UE-Israël reflétait “une incompréhension totale de la réalité complexe à laquelle Israël” fait face et encourageait “le Hamas à rester sur ses positions”.La guerre a été déclenchée le 7 octobre 2023 par une attaque sans précédent du Hamas qui a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP à partir de données officielles. Sur les 251 personnes alors enlevées, 57 restent retenues à Gaza, dont 34 déclarées mortes par l’armée.La campagne de représailles israéliennes a fait au moins 53.592 morts à Gaza, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Pakistan drop stars Shaheen, Azam and Rizwan for Bangladesh T20s

Pakistan dropped stars Shaheen Shah Afridi, Babar Azam and Mohammad Rizwan on Wednesday as they named a new-look squad for three home Twenty20 internationals against Bangladesh.Former New Zealand coach Mike Hesson will take charge for the first time after being appointed last week, replacing Aaqib Javed.Salman Ali Agha will captain Pakistan as they look towards next year’s Twenty20 World Cup, to be hosted by India and Sri Lanka.Fast bowler Shaheen had played in Pakistan’s last T20 series in New Zealand in March, but batsmen Azam and Rizwan were omitted for the second consecutive T20 series after being criticised for slow scoring.”The squad has been selected based on players’ performances in the ongoing Pakistan Super League, which concludes on May 25,” the Pakistan Cricket Board said in a statement.Shaheen has taken 12 wickets for Lahore Qalandars in 10 PSL matches at an economy rate of 8.20.Opener Sahibzada Farhan earned a recall after topping the PSL batting charts with 394 runs. Batsmen Saim Ayub and Fakhar Zaman return after missing the New Zealand tour with injuries.Fast bowler Hasan Ali is back after being sidelined with multiple injuries since May last year.The PCB said that the matches, which have been affected by a 10-day delay to the PSL caused by the deadly India-Pakistan conflict, will be held in Lahore on May 28, 30 and June 1.Pakistan squad: Salman Ali Agha (captain), Shadab Khan, Abrar Ahmed, Faheem Ashraf, Fakhar Zaman, Haris Rauf, Hasan Ali, Hassan Nawaz, Hussain Talat, Khushdil Shah, Mohammad Haris, Mohammad Wasim, Mohammad Irfan Khan, Naseem Shah, Sahibzada Farhan, Saim Ayub

Trump Jr says ‘maybe one day’ he’ll run for US president

The eldest son of US President Donald Trump, Don Jr, said Wednesday he could run for president “maybe one day”, after previously denying he was considering a White House bid.Asked during a forum in Doha if he would consider entering a presidential race to succeed his father, Don Jr first chuckled before suggesting it was possible.”It’s an honour to be asked and an honour to see that some people are OK with it,” he said during a panel discussion at Bloomberg’s Qatar Economic Forum as some in the audience applauded.”You never know,” he added.Donald Trump Jr, 47, is an executive vice president at The Trump Organization, his family’s luxury real estate conglomerate, and a vocal proponent of his father’s right-wing MAGA political agenda.In March, left-leaning website Mediate reported that Don Jr was “seriously considering a run for president in 2028″, which he denied at the time. But on Wednesday, Don Jr did not rule out a White House run.”I don’t know, maybe one day, you know, that calling is there,” he told the Bloomberg forum.”I think my father has truly changed the Republican Party. I think it’s the America first party, now the MAGA party, however, you want to look at it,” he added.The Trump Organization has been run by the president’s two eldest sons, Don Jr and Eric, since his 2016 election win.While the president no longer holds an executive title, he has retained his stake in the family business via a trust.burs-sco/tc