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Les Jeux olympiques et paralympiques de Milan Cortina ont leurs torches
Les Jeux olympiques et paralympiques de Milan Cortina ont leurs torches: elles ont été dévoilées lundi lors d’une cérémonie simultanée à Milan en Italie et Osaka au Japon dans le cadre de l’Exposition universelle 2025.Les torches des JO-2026 (6-22 février 2026) et des Jeux paralympiques 2026 (6-15 mars 2026), qui ressemblent à une flûte, ont …
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Foot: à Valence, les résultats s’améliorent, la grogne persiste
Club historique du championnat espagnol, Valence, au bord de la relégation en janvier, est désormais plus proche d’une qualification européenne que de la deuxième division. Mais cette folle remontée ne parvient pas à calmer la grogne populaire à l’encontre du propriétaire singapourien du club, Peter Lim.C’est devenu une habitude, presque une tradition. A chaque match à Mestalla, le stade mythique de Valence, un chant de rébellion résonne: “Directiva, dimision!” (direction, démission!). Et les pancartes explicites contre l’entrepreneur singapourien bourgeonnent: “Lim, go home!” (Lim, rentre chez toi!).Après être tombés à la 20e place en janvier, les récents bons résultats, dont deux victoires de prestige face au grand Real Madrid (2-1) au stade Santiago Bernabéu et au Séville FC (1-0), n’ont pas calmé la gronde des supporters valenciens, meurtris de voir leur équipe, habituée à jouer l’Europe, lutter pour le maintien.Même dans ce qui devrait être un soir de fête, vendredi face à Séville, les désormais célèbres pancartes jaunes réclamant le départ de Lim sont brandies aussi fièrement en tribune que les écharpes aux couleurs du club.Dans les travées de la mythique enceinte espagnole: tous, des suiveurs du club aux fans “blanquinegros”, sont vent debout contre le propriétaire du club, qui a fait fortune dans le commerce, notamment d’huile de palme. L’investisseur est critiqué pour sa gestion sportive et financière ainsi que son maigre bilan depuis son arrivée, en 2014.- “Affaiblis chaque année” -“Honnêtement, même si on finit en Ligue des champions, ce qui est mathématiquement presque impossible, les gens continueront à réclamer son départ. Il a déjà récupéré son investissement, il faut qu’il parte”, résume Javier, un fidèle abonné de 44 ans, venu assister au succès de son équipe avec ses deux fils.Pour Juan Carlos Corell, président de la peña (club de supporters) “18 de Marzo”, Valence, contraint de vendre ses meilleurs éléments chaque été sous la direction de Peter Lim, “est de plus en plus faible sportivement chaque année parce qu’il n’y a pas de recrutement suffisant”.Résultat, les sextuples champions d’Espagne, qui ont joué pendant des années la Ligue des champions ou la Ligue Europa, font l’ascenseur entre le ventre mou de la Liga et la zone de relégation, et la Coupe du Roi remportée en 2019 n’est perçue que comme un cache-misère.”Nous allons peut-être nous sauver cette année de justesse, mais si l’actionnaire principal et sa gestion ne changent pas, nous vivrons ce qui s’est passé ces dernières années”, reprend Corell.- Opposition à la vente du stade -Déjà en colère contre la gestion sportive de l’homme d’affaires, les supporters valenciens l’accusent également de vouloir vendre et détruire leur enceinte vieillissante au promoteur immobilier le plus offrant. Dans une mise en scène assez théâtrale, le club, soutenu par la Fédération espagnole en vue du Mondial-2030, a relancé la construction du “Nou Mestalla”, un projet de stade d’une capacité de 70.000 places au point mort depuis plus d’une décennie faute d’investisseurs.Après avoir nommé son fils comme président, Lim, lui, aurait, selon plusieurs médias espagnols, commencé à sonder le marché en vue d’une éventuelle cession du club. Le prix de vente serait fixé à 400 millions d’euros, comprenant l’immense dette que le milliardaire n’est pas parvenu à éponger.Un montant sûrement trop élevé à l’heure actuelle pour trouver (re)preneur, et offrir un renouveau à un géant en péril, et à une ville qui panse encore les plaies des inondations meurtrières d’octobre dernier.En attendant, les tribunes vertigineuses de Mestalla font quasiment le plein à chaque match. Car Valence respire le foot. Et elle ne demande qu’à trouver un nouveau souffle.
C1: PSG, Barça et Arsenal favoris, rien est joué entre le Bayern et l’Inter
Le PSG, le Barça et Arsenal arrivent parfaitement lancés pour leur quart de finale retour de Ligue des champions, respectivement face à Aston Villa, à Dortmund et au Real Madrid, seule la rencontre entre le Bayern et l’Inter restant totalement indécise.Après avoir écarté Liverpool (0-1/1-0, 4 t.a.b. 1) au tour précédent, la virevoltante équipe parisienne semble plus forte que jamais pour son voyage mardi (21h00, GMT+2) à Birmingham face à Aston Villa.Les hommes de Luis Enrique, qui ont largement dominé l’équipe d’Unai Emery à l’aller dans le jeu et au score (3-1), ont pu préparer le match retour tranquillement ce week-end, sans jouer une rencontre de championnat décalée à la semaine prochaine.Les coéquipiers de la pépite Désiré Doué ont une occasion en or d’atteindre une quatrième demi-finale en six ans, et une deuxième en deux saisons pour Luis Enrique, qui a réussi à insuffler une cohésion et une force mentale inédites à Paris sous l’ère qatarienne.- Le Barça, dix ans après ? -“Cette équipe nous fait espérer que cette année nous atteindrons la finale de la Ligue des champions”, a d’ailleurs confié à l’AFP l’ancien joueur parisien Javier Pastore (2011-2018), car le PSG “a des jeunes joueurs qui seront les meilleurs du monde dans les cinq ou dix prochaines années”.Le même soir, le FC Barcelone, l’autre grand favori de la compétition, peut valider facilement son ticket pour le dernier carré après sa démonstration la semaine dernière (4-0) en Allemagne.Porté par son trio d’attaque Lamine Yamal, Raphinha et Robert Lewandowski, le Barça de Hansi Flick a étrillé le Borussia Dortmund de Niko Kovac, coach des Jaune et Noir depuis décembre – le premier a été l’adjoint du second au Bayern en 2019 -.Et si c’était la bonne année pour le Barça, qui n’a plus remporté la Ligue des champions depuis dix ans, tant son jeu d’attaque domine tout sur son passage en Europe ?Pour Arsenal, la tache semble un peu plus ardue malgré un avantage de trois buts (3-0) – dont deux coups-francs exceptionnels de Declan Rice – car ils affronteront le Real Madrid mercredi (21h00, GMT+2) à Santiago-Bernabeu.Les joueurs de Carlo Ancelotti, adeptes de scénarios improbables et incroyables en Ligue des champions, sont capables de se relever d’une telle claque et de renverser une telle situation.Mais pour cela, les trois stars Kylian Mbappé, Vinicius et Jude Bellingham devront davantage courir, faire plus de replis défensifs et mieux se trouver lors des phases offensives.Au même moment se jouera mercredi soir la rencontre qui reste la plus indécise de ces quarts de finale retour: l’Inter face au Bayern à San Siro après la courte victoire des Italiens mardi dernier (2-1) à l’Allianz Arena. Cette affiche fut d’ailleurs la finale en 2010 remportée par les Italiens (2-0).Mais les Munichois, qui n’avaient plus perdu chez eux en Ligue des champions depuis quatre ans, sont très motivés par la perspective d’une finale dans leur stade le 31 mai: “Si on joue de la même façon la semaine prochaine, évidemment que l’on peut renverser le match”, avait assuré l’attaquant munichois Harry Kane.Programme des quarts de finale retour (en heures locales, GMT+2). Mardi(21h00) Aston Villa (ENG) – Paris SG (FRA)Dortmund (GER) – FC Barcelone (ESP). Mercredi(21h00) Real Madrid (ESP) – Arsenal (ENG)Inter (ITA) – Bayern Munich (GER)
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Golf: McIlroy s’impose enfin au Masters après un dimanche irrespirable
Le Nord-Irlandais Rory McIlroy a finalement remporté le Masters, complétant sa collections de Majeurs, après une décennie de désillusions et un dimanche irrespirable achevé en play-off contre Justin Rose à Augusta (Géorgie, Etats-Unis).Après l’US Open (2012), le PGA Championship (2012 et 2014) et le British Open (2014), tous gagnés il y a plus de dix …
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