AFP Sports
Tour de France: pour Lenny Martinez, les pois de l’histoire familiale
Déterminé dans une étape qu’il avait ciblée de longue date, Lenny Martinez a profité des pentes du Massif Central pour s’emparer du maillot à pois lundi, affirmant un peu plus la filiation avec son grand-père, lauréat du Grand prix de la montagne en 1978.À cette époque, Mariano Martinez était arrivé sur les Champs-Élysées fin juillet …
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Tour de France: Simon Yates s’impose en solitaire au Mont-Dore, Ben Healy en jaune
Le Britannique Simon Yates a remporté en solitaire lundi la dixième étape du Tour de France au Mont-Dore Puy de Sancy, où l’Irlandais Ben Healy, également présent dans l’échappée, a pris le maillot jaune à Tadej Pogacar.Un mois et demi après avoir remporté le Giro, le grimpeur de 32 ans s’est isolé dans la montée …
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Mondial des clubs: pour le PSG, se souvenir des belles choses
Le Paris SG a fini sa saison frustré par la défaite sans appel dimanche contre Chelsea en finale du Mondial des clubs (3-0), à un pas d’un quintuplé historique, mais de courtes vacances devraient lui permettre de savourer le chemin accompli.Le scénario de dimanche n’avait pas été prévu par grand-monde et sans doute encore moins par les joueurs parisiens, gonflés de confiance et de fierté après la trajectoire folle de leur saison, et le quadruplé de titres engrangés (Ligue des champions, championnat de France, Coupe de France, Trophée des champions).Le PSG était largement favori de cette finale, surtout après avoir humilié l’Atlético et le Real Madrid (4-0) et avoir su résister à 9 contre 11 face au Bayern (2-0), alors que Chelsea bénéficiait d’un tableau ouvert sans autre équipe européenne à partir des huitièmes de finale qu’un Benfica Lisbonne moyen.Mais dimanche, les Londoniens ont d’emblée dicté les termes du match, comme l’a expliqué leur entraîneur Enzo Maresca: “Nous avons gagné ce match sur les 10 premières minutes (…) Le message était +Faites-leur comprendre qu’on est là pour gagner et pas pour être des figurants+, cela a donné le ton.”- Plans spécifiques -Et l’Italien de confier: “Nous avons mis Malo Gusto dans le couloir gauche du PSG pour le surcharger et permettre un dédoublement”. C’est le latéral parisien Nuno Mendes, souvent débordé, qui a payé l’addition.Un avant-goût de ce qui attend les Parisiens la saison prochaine: être l’équipe à battre après la victoire en Ligue des champions sera synonyme de plans spécifiques concoctés par les adversaires.Menés 3-0 à la pause après notamment un doublé en huit minutes de Cole Palmer, certains parisiens semblaient sonnés au coup de sifflet final comme Bradley Barcola, Désiré Doué ou encore Senny Mayulu, allongés sur la pelouse. D’autres, comme le gardien Gianluigi Donnarumma et même l’entraîneur Luis Enrique, se sont montrés agressifs au coup de sifflet final, se mêlant à des bousculades avec des Blues. Joao Neves, lui, a préféré sprinter vers le vestiaire dès son exclusion tardive, visiblement pressé de passer à autre chose.Le PSG n’a pas joué ce Mondial des clubs à moitié, d’autant que l’enjeu financier n’avait rien d’anodin: le club repart avec des gains de près de 100 millions d’euros après un mois de compétition. Sur le plan sportif, Paris a affiché son ambition d’asseoir un peu plus sa domination sur les autres équipes européennes, un désir en partie assouvi mais que cette défaite cinglante a frustré. L’énergie mentale et physique laissée sur le terrain risque de peser sur le début de saison prochaine.Mais le capitaine Marquinhos a recadré les choses: “Ca ne va pas enlever la saison incroyable qu’on a faite. On a tout gagné au niveau national et la Ligue des champions, ce qui était inédit pour le club. On a eu l’opportunité d’aller en finale (du Mondial des clubs) après avoir joué contre les meilleures équipes du monde, le Real Madrid, Bayern, Botafogo, Atletico, on a vécu une compétition incroyable ici”, a-t-il développé.- “Savourer” -“On est tous déçus d’avoir laissé partir ce titre mais il y a quand même un sentiment incroyable dans la tête”, a insisté le Brésilien. “C’est bien pour nous en vue de la saison prochaine, pour rester humbles”, a aussi argué le président du club Nasser Al-Khelaïfi.Le Mondial des clubs, certes plus rare puisqu’organisé tous les quatre ans, ne saurait éclipser la victoire éclatante contre l’Inter Milan (5-0) en finale de la Ligue des champions. La C1 est, encore pour longtemps, une compétition plus prestigieuse et plus difficile à gagner, étalée sur la saison avec confrontations aller-retour à partir des huitièmes de finale.Luis Enrique, qui avait su motiver ses troupes pour ce Mondial, a tenu à relativiser le résultat de la finale pour recentrer le groupe sur l’essentiel: “Il faut savoir savourer (le titre en Ligue des champions), ce sera important”. Mais aussi “profiter des vacances, courtes, très courtes”, a-t-il souligné.Car le PSG joue dès le 13 août la Supercoupe d’Europe contre Tottenham. La reprise de l’entraînement devrait avoir lieu autour du 4 août.C’est la saison prochaine, et non à ce Mondial, que se jouera le statut d'”équipe dominante” appelé de ses voeux par Luis Enrique.
Mondial des clubs: pour le PSG, se souvenir des belles choses
Le Paris SG a fini sa saison frustré par la défaite sans appel dimanche contre Chelsea en finale du Mondial des clubs (3-0), à un pas d’un quintuplé historique, mais de courtes vacances devraient lui permettre de savourer le chemin accompli.Le scénario de dimanche n’avait pas été prévu par grand-monde et sans doute encore moins …
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Euro-2025: Cascarino libère les Bleues qui se hissent en quarts
Pendant une heure les Bleues ont douté, laissant penser qu’elles étaient retombées dans leurs travers, mais portées par Delphine Cascarino, elles se sont pleinement libérées pour finalement assommer les Pays-Bas (5-2) et se qualifier pour les quarts de l’Euro.Avec neuf points, trois victoires en trois matches dans le groupe le plus relevé de la compétition …
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Euro-2025: Cascarino libère les Bleues qui se hissent en quarts
Pendant une heure les Bleues ont douté, laissant penser qu’elles étaient retombées dans leurs travers, mais portées par Delphine Cascarino, elles se sont pleinement libérées pour finalement assommer les Pays-Bas (5-2) et se qualifier pour les quarts de l’Euro.Avec neuf points, trois victoires en trois matches dans le groupe le plus relevé de la compétition notamment avec l’Angleterre championne d’Europe en titre (2-1), les Tricolores terminent à la première place et se frotteront donc à l’Allemagne, affectée par la blessure de sa capitaine Giulia Gwinn, samedi prochain dans le même stade de Bâle. Ce sera la revanche de la demi-finale de 2022 en Angleterre où les Allemandes avaient éliminé les Bleues de Corinne Diacre (2-1).Mais, malgré un score large, rien n’a été simple dimanche soir pour les joueuses de Laurent Bonadei, qui se sont libérées au retour des vestiaires, portées par une cadre discrète jusque-là, Delphine Cascarino, qui a mis à l’abri ses coéquipières grâce à tout son talent. La facteur X de ce troisième match.Jusque-là tout était compliqué, et pas forcément du côté de la défense centrale, Alice Sombath et Thiniba Samoura, âgées toutes les deux de 21 ans, et qui ont bien tenu ce choc. Griedge Mbock et Maëlle Lakrar, toujours blessées, ne sont elles pas rentrées en jeu.Après avoir ouvert le score sur un beau mouvement entre Marie-Antoinette Katoto et la capitaine du soir Sandie Toletti (sortie blessée avant l’heure de jeu), qui a marqué le soir de ses 30 ans (1-0, 22e), les Bleues ont sombré collectivement et sont retombées dans leurs travers pendant de longues minutes. Comme si la force mentale amenée par le préparateur Thomas Sammut et le nouvel élan de groupe souligné depuis plusieurs mois avaient disparu en l’espace d’un quart d’heure.Pas assez agressives dans les duels, elles ont encaissé l’égalisation sur une sublime frappe de Victoria Pelova (1-1, 26e) après un bel arrêt de Pauline Peyraud-Magnin, avant de se faire passer devant après un but contre son camp complètement évitable de Selma Bacha (2-1, 41e).- Doublé de Cascarino, une passe décisive -Alors que les Bleues n’avaient besoin que d’un nul pour rejoindre leur cinquième quart d’affilée d’un Euro et que les Pays-Bas devaient gagner avec plus de trois buts d’écart, le scénario jusque-là improbable d’une élimination si précoce a même été envisagé. Mais la pause et un possible discours de leur coach ont tout changé car elles sont revenues plus libérées et se sont mieux trouvées dans un stade rempli d’environ 10.000 supporters “Oranje”, qui ont fait une marche dans la ville juste avant la rencontre derrière un bus impérial, et de la moitié de soutiens français, mais bruyants. Trop discrète en première période, Delphine Cascarino a éclaboussé de tout son talent. Elle a parfaitement percuté dans l’axe avant de servir “MAK” (2-2, 61e), puis de faire un super numéro pour passer devant grâce à une pure frappe (3-2, 65e). Deux minutes plus tard, elle a inscrit un doublé (4-2, 67e), avec toujours Marie Katoto dans les parages. La connexion des deux vedettes a tout changé.Friable pendant une heure, l’équipe de France s’est appuyée sur son attaque, qui est l’une des meilleures d’Europe quand elle joue libérée.






