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Ski: “ce serait présomptueux de dire que je joue le globe”, estime Noël

Le Français Clément Noël, quatre fois victorieux cet hiver en slalom, possède encore une mince chance de remporter le classement de la spécialité jeudi lors des finales du ski alpin à Sun Valley (Idaho, Etats-Unis).Mais le champion olympique âgé de 27 ans assure à l’AFP “ne pas avoir l’impression” de jouer un globe, avec ses …

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Ligue des champions: à Lyon, défense d’entrer

Vainqueur 2-0 à l’aller la semaine dernière à Munich face au Bayern, Lyon se présente au match retour mercredi (18h45) au Groupama Stadium, fort d’une défense de fer qui n’a encaissé qu’un but en sept matches depuis le début de la compétition.L’OL, qui n’a pas encore perdu en championnat de France, est aussi la dernière équipe invaincue …

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Ligue des champions: à Lyon, défense d’entrer

Vainqueur 2-0 à l’aller la semaine dernière à Munich face au Bayern, Lyon se présente au match retour mercredi (18h45) au Groupama Stadium, fort d’une défense de fer qui n’a encaissé qu’un but en sept matches depuis le début de la compétition.L’OL, qui n’a pas encore perdu en championnat de France, est aussi la dernière équipe invaincue dans l’épreuve européenne après la défaite de Chelsea à Manchester City (2-0), en quart de finale aller.Les Fenottes, cinq buts encaissés en Première ligue, ont donc les moyens de bien résister pour mieux piquer en attaque.Elles l’ont déjà fait à l’aller en ne concédant qu’un tir cadré aux Munichoises contre dix pour Lyon bien que les joueuses de l’entraîneur australien, Joe Montemurro n’ont pas tout bien maîtrisé, notamment dans l’entrejeu.”Nous travaillons bien avec la ligne défensive depuis notre stage d’avant-saison”, a expliqué, mardi en conférence de presse, l’Australienne Ellie Carpenter. “Nous jouons bien et on fait en sorte de ne pas prendre de but. C’est très important car si on n’encaisse pas, nous avons plus de chances de gagner”, a-t-elle encore ajouté dans un français de mieux en mieux maîtrisé.”L’objectif est toujours de faire plus, de chercher à être efficace, de ne jamais encaisser de but et d’en marquer beaucoup. C’est ce qui aide pour la Ligue des Champions”, a affirmé de son côté, la milieu de terrain hispano-néerlandaise, Damaris Egurrola, dans un entretien au quotidien Le Progrès, publié mardi.”Mais quand on est l’OL, gagner ne suffit pas. Nous avons besoin de bien jouer et de marquer beaucoup mais 2-0 sur le terrain du Bayern, c’est quand même très bien”, s’est félicitée cette dernière.”Mais ce n’est pas fini. C’est un match très important. Nous avons deux buts d’avance mais c’est un nouveau match”, a surenchéri Carpenter.Le club allemand doit désormais gagner avec trois buts d’écart pour se qualifier et la tâche s’annonce difficile, surtout si les Lyonnaises marquent, ne serait-ce qu’une fois.”Ce sera incroyable si nous y parvenons dans les premières cinq à dix minutes. Nous allons mettre de l’intensité face à un adversaire qui va commencer très fort pour tenter de marquer”, a poursuivi Ellie Carpenter.Avant ce match retour pour lequel 12.000 spectateurs environ sont attendus, Joe Montemurro a ménagé plusieurs joueuses cadres à l’occasion du déplacement à Saint-Etienne (5-0), le 22 mars, afin de leur amener la fraîcheur nécessaire.La gardienne Christiane Endler, les défenseures Wendie Renard et Selma Bacha et les attaquantes Kadidiatou Diani et Tabitha Chawinga feront leur retour face au Bayern.

L1: “À onze ans, j’entraînais l’équipe de mon école”, raconte à l’AFP Liam Rosenior

“À onze ans, j’entraînais l’équipe de mon école”: Liam Rosenior décrit à l’AFP sa passion dévorante pour le football et le métier d’entraîneur, dont l’Anglais rêvait “avant même d’être joueur” et qui l’a mené sur le banc de Strasbourg, l’une des meilleures équipes de Ligue 1 en 2025.QUESTION: Parlez-nous de votre passion pour le football.RÉPONSE: “Ma passion pour le football a toujours été là! Mon père jouait pour West Ham, c’est ce dont je me rappelle le plus quand j’avais trois, quatre ans. Ma mère m’emmenait à tous les matches, j’allais dans les vestiaires, je tapais dans le ballon dix minutes avant le coup d’envoi. Je regardais tous les matches que je pouvais à la télévision. Ces moments, je les revis maintenant que je suis entraîneur.”Q: Quand avez-vous voulu devenir entraîneur?R: “Avant même d’être joueur, je voulais être entraîneur. Mon père est devenu entraîneur quand j’avais neuf ans, je m’asseyais sur le banc des joueurs et je leur criais dessus (sourire). J’entraînais l’équipe de l’école quand j’avais onze ans, je faisais des sessions avec eux, j’organisais l’équipe pour les matches et mes professeurs me laissaient faire. C’est quelque chose que j’adore et qui a toujours été en moi.”Q: Vous entraînez en France depuis l’été dernier, que pensez-vous de la Ligue 1?R: “Super championnat! Chaque match est tellement difficile, le niveau technique des joueurs est impressionnant, les dimensions physiques, tactiques… c’est toujours un défi. Les équipes sont très, très bien entraînées. Je ne sais jamais à quoi m’attendre d’une semaine sur l’autre, il faut s’adapter et changer tout le temps. (…) Le niveau du championnat est très, très élevé et je pense que cela se reflète dans le classement des équipes qui ont joué en Europe cette année. Brest a fait un parcours exceptionnel en Europe. Pour moi, le PSG est le favori de la Ligue des champions, c’est la meilleure équipe d’Europe en ce moment.”Q: Comment définiriez-vous votre style de jeu?R: “La raison pour laquelle les joueurs font tous ces sacrifices pour devenir professionnels, c’est parce qu’ils aiment jouer. Quand tu es jeune, tu veux t’exprimer avec le ballon. Pour l’avoir, il faut courir pour le récupérer, presser, et quand on l’a, il faut le garder le plus longtemps possible et l’utiliser dans les bonnes zones. Voici, dans des termes vraiment simplistes, mon idée du football. Elle ne changera jamais parce que c’est ce qui m’anime. Je veux que lorsqu’on regarde mon équipe, on puisse voir qu’elle aime jouer au football. Il ne faut jamais empêcher les joueurs d’être créatifs, c’est la raison pour laquelle des gens paient pour voir du football. (…) Le football, c’est de l’art, des schémas, une forme d’expression, de l’émotion… J’ai la chance de vivre cet art et d’essayer de créer: on a devant nous des puzzles et il faut savoir où mettre les joueurs.”- “Je n’empêcherai jamais mes joueurs de rêver” -Q: Quelle est la clé du succès d’un entraîneur?R: “Selon moi, peu importe le style de jeu, la tactique, les systèmes, le niveau physique de l’équipe, le football est joué par des gens qui ont des émotions et sont complexes, avec des bons jours et des mauvais. Mon travail est de tirer le meilleur de chacun. Je dirais que 85-90% de mon travail, c’est de comprendre les joueurs et de les motiver à faire ce qu’ils aiment faire.”Q: Strasbourg a eu du mal en début de saison, mais est la deuxième équipe qui a pris le plus de points en Ligue 1 depuis décembre (30), avant de recevoir Lyon vendredi (20h45). Comment l’expliquez-vous?R: “Je m’y attendais! Je n’ai eu que deux semaines de présaison avec l’équipe. Il m’a fallu mettre en pratique une toute nouvelle façon de jouer. Sans vouloir manquer de respect à quiconque, mes idées sont très différentes des autres. Ça prend du temps. Je m’attendais aux erreurs qu’on a faites, et ce qui est bien, c’est que j’ai été soutenu par ma hiérarchie. Rien n’a changé, si ce n’est ma compréhension du niveau des joueurs. Mais je savais à quoi je voulais que cette équipe ressemble, et nous y arrivons, lentement mais sûrement.”Q: Vous voilà aux portes de l’Europe (7e, 43 points). La Ligue des champions est-elle un objectif atteignable?R: “Pourquoi pas? On est dans le monde du football pour rêver. Je n’empêcherai jamais mes joueurs de rêver. Ce n’est pas de l’arrogance, mais à quatre points (du 4e,  Nice, NDLR), avec huit matches à jouer? Bien sûr que c’est possible.”Propos recueillis par Rémi BOUVERESSE

NBA: Butler perd à Miami pour son retour, Lillard victime d’une thrombose à un mollet

Jimmy Butler a lourdement perdu pour son retour à Miami avec Golden State mardi en NBA, alors que Milwaukee a annoncé que Damian Lillard était victime d’une thrombose au mollet droit et serait absent indéfiniment.. Butler puni pour son retour à MiamiLe “bad boy” Jimmy Butler a fait son retour à Miami après la période …

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