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Ligue Europa: Nice, accroché par Bodo/Glimt, sort de la compétition sans victoire

Dans une Allianz Riviera quasiment vide, Nice a terminé sa piteuse campagne européenne à la 35e place, sans parvenir jeudi à l’emporter face aux Norvégiens de Bodo/Glimt (1-1), qui, eux, se qualifient pour les barrages de la compétition.Avec trois points, Nice termine à l’avant-dernière place (sur 36) de la Ligue Europa. Après avoir ouvert la …

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Foot: retour au bercail pour Neymar, star sur le déclin

Neymar est de retour là où tout a commencé: la star brésilienne va retrouver son club formateur de Santos après avoir résilié son juteux contrat avec Al-Hilal en Arabie saoudite, où il n’a quasiment pas joué en raison de diverses blessures.”Je vais signer avec le FC Santos”, a annoncé l’attaquant dans une vidéo postée jeudi sur les réseaux sociaux, qui narre sur un mode intime la force de son lien avec le club de ses débuts. “Mes sentiments pour le club et les supporters n’ont jamais changé”, assure-t-il.Le meilleur buteur de l’histoire de la sélection brésilienne (79 buts en 127 matches), qui a résilié lundi avec la formation saoudienne, n’a pas précisé la durée du contrat. Selon des médias brésiliens, il irait jusqu’au 30 juin.”Ta maison t’attend, ton peuple t’attend”, a posté dans la foulée le club basé dans la ville portuaire de Santos, près de Sao Paulo, où le “Roi Pelé” a effectué la quasi-intégralité de sa carrière (1956-1974).La présentation en grande pompe de la star est prévue vendredi à partir de 18H00 (21H00 GMT) au Vila Belmiro, le stade du “Peixe”, avec des concerts de stars locales de musiques urbaines comme le rappeur Mano Brown.Les retrouvailles de l’attaquant avec son pays sont sans doute la dernière chance pour ce joueur hors normes dont le parcours a été terni ces dernières années par de gros pépins physiques.Arrivé en août 2023 à Al-Hilal avec un contrat en or à la clé (plus de 100 millions d’euros par an) après six exercices sous les couleurs du Paris SG (2017-2023), Neymar n’a finalement disputé que sept matches avec le club de Ryad, pour un total famélique d’un but et trois passes décisives.Deux mois après son arrivée dans la capitale saoudienne, le Brésilien a été victime d’une rupture du ligament croisé du genou gauche lors d’un match de la Seleçao contre l’Uruguay, ce qui l’a éloigné des terrains pendant un an. – Défi de taille -Revenu sur les terrains en octobre 2024, Neymar a ensuite connu de nouvelles petites blessures qui l’ont empêché de retrouver l’essentiel de se capacités. Une situation devenue très problématique, cruellement résumée par l’entraîneur d’Al-Hilal. “Il ne peut plus évoluer au niveau auquel nous sommes habitués. Les choses sont devenues difficiles pour lui, malheureusement”, a récemment déclaré Jorge Jesus, qui avait refusé de l’inscrire pour disputer les matches de la ligue saoudienne.L’air du Brésil sonnera-t-il le retour au premier plan de l’artiste? Un temps courtisé par la MLS (Major League soccer) aux Etats-Unis, Neymar atterrit finalement en terrain connu avec l’objectif, selon des médias brésiliens, de retrouver la forme pour retenter une aventure européenne. Et surtout de rejoindre la sélection brésilienne pour un ultime défi: la Coupe du monde 2026 au Mexique, aux Etats-Unis et au Canada.Un défi de taille. A Santos, Neymar va redécouvrir un club promu parmi l’élite en novembre 2024 après une année passée en seconde division. Il devra affronter un calendrier chargé fait de longs déplacements en raison de la taille continentale du géant latino-américain, avec au programme le tournoi de l’État de Sao Paulo, la Coupe du Brésil et le championnat national qui débute fin mars. Les supporters du club paulista se prennent à rêver à nouveau des sommets avec celui qui avait été présenté à ses débuts comme le digne héritier du “Rei” Pelé.Mais après un départ au FC Barcelone et les nombreux succès remportés aux côtés de Lionel Messi et de Luis Suarez, avec notamment une Ligue des champions en 2015, Neymar a connu nombre de déboires après son transfert record au PSG en 2017 (222 millions d’euros), entre blessures et polémiques extra-sportives. Poussé vers la sortie en 2023 par la direction parisienne, il a depuis renvoyé l’image d’un joueur en nette perte de vitesse et son transfert à Santos s’apparente à un baroud d’honneur.bur-raa-lab-kn-tmo/bm/jde

Foot: retour au bercail pour Neymar, star sur le déclin

Neymar est de retour là où tout a commencé: la star brésilienne va retrouver son club formateur de Santos après avoir résilié son juteux contrat avec Al-Hilal en Arabie saoudite, où il n’a quasiment pas joué en raison de diverses blessures.”Je vais signer avec le FC Santos”, a annoncé l’attaquant dans une vidéo postée jeudi …

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L1: Sampaoli, c’est déjà fini à Rennes qui intronise Beye

Deux mois et demi et puis s’en va. Rennes a annoncé jeudi le limogeage de Jorge Sampaoli, arrivé mi-novembre, mais qui n’a pas su redresser le club, actuellement barragiste virtuel, et remplacé par Habib Beye.En deux communiqués espacés de quelques minutes, le club breton a annoncé le départ “d’un commun accord” de l’Argentin et l’arrivée jusqu’à …

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L1: Sampaoli, c’est déjà fini à Rennes qui intronise Beye

Deux mois et demi et puis s’en va. Rennes a annoncé jeudi le limogeage de Jorge Sampaoli, arrivé mi-novembre, mais qui n’a pas su redresser le club, actuellement barragiste virtuel, et remplacé par Habib Beye.En deux communiqués espacés de quelques minutes, le club breton a annoncé le départ “d’un commun accord” de l’Argentin et l’arrivée jusqu’à la fin de la saison, avec une option pour une année supplémentaire, de Beye, novice à ce niveau de la compétition.”La première fois, l’Histoire se répète comme tragédie, la seconde fois comme farce”, selon Marx citant Hegel, mais la saison de Rennes, qui s’était déjà séparé de Julien Stephan à l’automne, vire à la farce tragique avec ce dernier épisode qui semble manifester une certaine panique à tous les étages.Remplacer son entraîneur deux fois dans la même saison est rarissime. Nantes, mètre-étalon en France en matière d’instabilité sur le banc, l’avait fait la saison dernière, assurant son maintien à l’avant-dernière journée.La “première mission (de Beye sera) de recréer une dynamique sportive positive”, écrivent-ils dans le communiqué.Une tâche herculéenne dans un club dont la glissade semble inexorable alors qu’il était encore sur une pente ascendante avec ses six campagnes européennes consécutives et un jeu envié par beaucoup de clubs, il y a encore 18 mois.- La greffe n’a pas pris -Sur ce laps de temps, Rennes va connaître un quatrième coach et a aussi changé de président et de directeur sportif.Son mercato hivernal frénétique est aussi symptomatique d’un club aux abois.Il a fallu solder une troisième fenêtre de transferts consécutive ratée en “exfiltrant” Albert Gronbaek, Jota, Henrik Meister, et bientôt Glen Kamara, tous arrivés cet été.Les salaires faramineux, à en croire les médias, offerts à Seko Fofana et Brice Samba — respectivement 700.000 et 500.000 euros mensuels — laissaient aussi perplexes.Lundi, l’attaquant japonais Kyogo Furuhashi est devenu la 14e recrue rennaise de la saison, en attendant encore un milieu, un défenseur central, voire un ailier, surtout si Amine Gouiri finit par signer à Marseille qui souhaite l’enrôler.Il est vrai que, seizième et barragiste virtuel, Rennes est dos au mur.La greffe Sampaoli n’a jamais pris, avec sept défaites en dix rencontres dont une élimination en Coupe de France contre un mal classé de Ligue 2, Troyes (0-1).Les matches insipides avec des joueurs paralysés autant par le manque de confiance que par des schémas de jeu rigides, ne laissait pas entrevoir de redressement imminent.L’utilisation de Seko Fofana, habituellement un milieu relayeur, comme ailier gauche, où il ne pouvait pas apporter sa principale force, la percussion sur des courses vers l’avant balle au pied, laissait même le principal intéressé perplexe.- “Un peu limités” -“Si j’avais été coach, j’aurais fait des choix différents”, avait affirmé l’international ivoirien après la défaite à Monaco (3-2), même s’il semblait encore plus remonté contre ses coéquipiers que Sampaoli.Le coach “s’adapte aux joueurs qu’il a à disposition, mais malheureusement on est un peu limités. Ce n’est pas pour lui trouver des excuses, mais je vois aussi ce qui se passe la semaine à l’entraînement…”, avait-il lancé.En confiant la barre à Beye, Rennes effectue une énième volte-face stratégique, même s’il avait déjà fait bonne impression quand il avait été auditionné pour la succession de Stéphan.Il avait aussi failli signer à Nantes en décembre, mais il n’avait pas pu se constituer un staff à temps, sauvant la mise à Antoine Kombouaré, toujours en poste.L’ancien défenseur international sénégalais (45 capes) est perçu comme un coach prometteur depuis qu’il a fait remonter le Red Star en Ligue 2 l’an dernier en étant désigné “meilleur entraîneur de la saison” en National.Petit clin d’oeil de l’histoire, son premier match sur un banc de Ligue 1, dimanche, pour la 20e journée, au Roazhon Park le verra affronter Strasbourg, club où il s’est révélé avant de porter les maillots de Marseille et de divers clubs anglais.Ayant préféré ne pas poursuivre avec le club audonien en L2, sa mission est maintenant d’éviter à Rennes d’y tomber. Sacré défi.

Ligue Europa: Lyon fait encore un nul mais verra les 8es

Lyon s’est directement qualifié pour les 8e de finale de la Ligue Europa malgré son résultat nul (1-1) concédé jeudi à domicile face au club bulgare de Ludogorets au terme d’un match d’un faible niveau lors de la 8e et dernière journée de la phase de ligue.L’OL, qui termine 6e, était, avant le coup d’envoi, déjà assuré de jouer au moins les barrages.Quatre jours après le limogeage de l’entraîneur Pierre Sage, la rencontre s’est disputée dans un stade à moitié vide (35.448 spectateurs officiels) sous les yeux de son successeur, le Portugais Paulo Fonseca, assis en tribune présidentielle à côté du président-propriétaire, l’Américain John Textor.Les deux hommes seront en conférence de presse le 31 janvier à 14H00.Fonseca, lui même débarqué le 30 décembre de l’AC Milan où il avait signé en début de saison après deux ans à Lille (2022-2024) a pu constater qu’il lui faudrait rapidement séduire pour calmer la colère des groupes de supporters, ultras notamment.Ceux-ci n’ont pas compris les raisons de la mise à l’écart de l’entraîneur qui avait contribué à sauver l’Olympique lyonnais de la relégation avant de le mener à une qualification en Ligue Europa la saison dernière et une finale de Coupe de France.Avant une grève des encouragements de cinq minutes, ils ont déployé des banderoles pour critiquer “le management” de Textor ou encore pour témoigner “leur respect éternel” à Pierre Sage tout en exigeant des joueurs “qu’ils fassent preuve d’orgueil” en réagissant.La suite, le 9 février à domicile contre Reims, dépendra aussi certainement de la performance de l’OL à Marseille, dimanche en Ligue 1.Fonseca aura aussi beaucoup de travail pour redonner du tonus à une équipe assez pauvre dans le jeu et qui reste sur une série de cinq résultats nuls consécutifs.- Tolisso marque, Perri sauve l’OL -Et encore, le gardien Lucas Perri a sauvé l’OL d’une défaite dans le temps additionnel face à Aguibou Camara (90+1). Avec sur le banc, le Portugais Jorge Maciel, ancien assistant de Sage et qui reste dans l’encadrement de Fonseca, l’OL n’a pas rassuré dans le jeu.C’est Corentin Tolisso qui a donné l’avantage à Lyon après un service de Georges Mikautadze consécutif à une passe en retrait mal assurée de Son Hidalgo (54e). En première période, Tolisso, déjà, a été proche d’ouvrir la marque de la tête à la réception d’un centre de Rayan Cherki (26e) tout comme Ernest Nuamah (35e), des actions sur lesquelles le gardien Sergio Padt s’est brillamment interposé.Il a encore été présent devant Ainsley Maitland-Niles (70) ou encore sur une tête trop molle de Duje Caleta-Car à la réception d’un corner (73).De son côté, Ludogorets avait manqué l’occasion de prendre l’avantage en première période sur un tir de Camara détourné par Perri (45+1) ou d’égaliser sur une occasion de Caio Vidal (56e).En fin de partie, Dinis Almeida a finalement égalisé en prenant de vitesse la défense lyonnaise trop statique à la réception d’un centre délivré de l’aile gauche par Rwan Cruz (77e).