AFP Sports

F1: Week-end parfait pour Norris à Monaco

Pole position, victoire et meilleur tour en course: le Britannique Lando Norris (McLaren) a réalisé un week-end parfait à Monaco et recolle aux basques de son coéquipier australien Oscar Piastri au championnat du monde.Dans des rues qu’il connaît bien puisqu’il réside en Principauté depuis plusieurs années, le vice-champion du monde, en difficulté face à son …

F1: Week-end parfait pour Norris à Monaco Read More »

F1: le Britannique Lando Norris (McLaren) remporte le Grand Prix de Monaco

Le Britannique Lando Norris (McLaren) a remporté sans trembler le Grand Prix de Monaco, huitième manche sur 24 de la saison de Formule 1, dimanche en Principauté.Norris a devancé le Monégasque Charles Leclerc (Ferrari) et l’Australien Oscar Piastri (McLaren), leader du championnat du monde, de respectivement 3,1 et 3,6 secondes.Au lendemain de son record du …

F1: le Britannique Lando Norris (McLaren) remporte le Grand Prix de Monaco Read More »

PSG: Kvaratskhelia, autant s’éviter une migraine avant la grande finale

Les maux de tête de Khvitcha Kvaratskhelia, sans conséquence pour le PSG, triomphal samedi en Coupe de France contre Reims, ne donnent pas de migraine à Luis Enrique, à une semaine de la finale de la Ligue des champions, mais feraient mieux d’avoir disparu d’ici-là.Forfait de dernière minute au Stade de France, où il devait être titulaire, et contraint de rentrer chez lui rester au calme, selon une source proche du club, l’ailier géorgien est l’un des hommes forts du Paris SG en 2025, particulièrement en C1, où il s’illustre par ses délices techniques mais aussi par son état d’esprit de combattant et son gros travail défensif. Autant dire que sa présence, en plein forme, est requise pour permettre aux Parisiens d’écrire la plus belle page de leur histoire, samedi prochain à Munich, face à l’Inter Milan. Ce dont ne doutait pas un seul instant Luis Enrique, assurant qu'”il n’y a aucune inquiétude”, après la victoire sans forcer contre le sparring-partner rémois (3-0), synonyme de 16e Coupe de France pour le PSG.”Il ne s’est pas senti bien après l’échauffement, nous n’avions pas besoin de prendre un risque, nous avons beaucoup de joueurs de très haut niveau. Il est rentré chez lui, il va bien. Il sera en parfaite condition pour s’entraîner mardi”, a insisté l’entraîneur espagnol.- Précieux en C1 -Le coach sait mieux que quiconque à quel point “Kvara” a été précieux dans les grands matches de Ligue des champions depuis son arrivée en janvier, en provenance de Naples. Double champion national -de France avec le PSG et d’Italie avec le Napoli depuis vendredi-, le Géorgien a joué la quasi totalité de tous les matches européens depuis février et le barrage retour face à Brest (7-0).Il devrait normalement être pleinement rétabli pour la grande finale, mais aussi manquer de rythme. Son dernier match remonte à deux semaines, contre Auxerre (3-1), contre qui il avait brillé, inscrivant un doublé.”Kvaradona”, comme il était surnommé à Naples, fait un bien fou à son équipe, dans le registre d’accélérateur du jeu parisien, mais aussi par sa capacité à proposer des solutions et à déclencher des frappes soudaines.Celui qui a hérité de l’emblématique N.7 de Kylian Mbappé, excelle aussi dans les petits espaces, où le ballon colle à ses pieds et où ses feintes de corps sont un poison pour ses adversaires directs.L’ailier de 24 ans aux chaussettes basses est aussi influent par son volume de jeu à la récupération, avec une énergie sans compter dans ses replis. Il fait un “travail défensif de titan pour soulager la défense et son côté gauche. Ce sont des signaux très positifs sur l’esprit collectif d’une équipe”, soulignait dans le journal l’Equipe Bixente Lizarazu, après la demi-finale aller remportée sur le terrain d’Arsenal (1-0).- “Le premier qui presse” -“Quand tu es latéral, c’est du grand confort car tu sais qu’il va toujours venir t’aider, qu’il va toujours venir faire le boulot”, poursuivait le champion du monde 1998.Nuno Mendes, qui se projette beaucoup vers l’avant, en profite en effet.”Sur l’aspect technique on le connaît bien, ce qui m’a surpris c’est sa capacité d’adaptation sur le travail défensif, c’est le premier qui presse, qui revient en défense. C’est parfait pour l’équipe car ça alimente la concurrence”, se félicitait récemment Luis Enrique, qui voulait le recruter depuis son arrivée à l’été 2023.Après une période de rodage assez courte, Kvaratskhelia s’est ainsi rendu incontournable en peu de matches, et n’a cessé depuis d’offrir des garanties d’être à la hauteur dans les grands matches.Celui contre l’Inter sera toutefois bien plus qu’un grand match, celui peut-être d’une vie de footballeur, tant la possibilité de soulever la “Coupe aux grandes oreilles” ne se présente pas toujours deux fois.S’il n’était pas à 100% de ses moyens, Luis Enrique sait toutefois qu’il possède en Désiré Doué, en pleine éclosion, et en Bradley Barcola, en regain de confiance après son doublé samedi, de quoi bien entourer Ousmane Dembélé pour forcer un verrou milanais que l’ancien Napolitain connaît bien.

Foot: le Real Madrid mise sur Xabi Alonso pour tourner la page Ancelotti

Au terme d’une saison sans titre majeur, le Real Madrid a décidé dimanche de miser sur l’entraîneur basque Xabi Alonso, son ancien joueur et stratège, pour succéder à Carlo Ancelotti sur le banc madrilène.En fin de cycle, la Maison Blanche a mis fin au suspense en officialisant la signature pour trois saisons, “jusqu’en juin 2028″, de Xabi Alonso, qui avait annoncé il y a deux semaines son départ du Bayer Leverkusen, où il a fait ses preuves en menant le club allemand vers un triplé historique (Bundesliga, Coupe d’Allemagne, Supercoupe) en 2024.A 43 ans, l’ex-milieu de terrain et stratège de Liverpool (2004-2009), du Real (2009-2014) et du Bayern Munich (2014-2017), champion du monde (2010) et double champion d’Europe (2008, 2012) avec la sélection espagnole, revient à Madrid, où il avait fait ses gammes comme entraîner chez les jeunes quelques mois seulement après la fin de sa carrière, en 2018.Tandis qu’Ancelotti va prendre la tête de la sélection brésilienne, l’emblématique N.14 va lui succéder dès le 1er juin, en vue du Mondial des clubs (14 juin – 13 juillet).Il aura, après avoir mené Leverkusen vers le premier sacre de son histoire l’an dernier, une mission délicate: ramener le Roi d’Europe (15 Ligue des champions) où il se doit d’être: au sommet.- Entraîneur né -Tout dans le parcours du natif de Tolosa, près de Saint-Sébastien, indiquait qu’il deviendrait un jour un grand entraîneur, après avoir brillé sur les terrains comme chef d’orchestre aux ballons millimétrés sous les ordres de José Mourinho, Pep Guardiola et… Carlo Ancelotti.Le technicien italien, bientôt 66 ans; fut le premier à payer le prix d’une saison proche du fiasco, sans trophée majeur, hormis une Supercoupe d’Europe et une Coupe intercontinentale. Et il n’a pas attendu pour adouber son ancien joueur, et successeur sur le banc merengue.”Bien sûr, j’ai lu qu’il quittait le Bayer Leverkusen. Il a fait un travail fantastique là-bas et toutes les portes lui sont ouvertes, car il a démontré qu’il était l’un des meilleurs entraîneurs du monde”, a déclaré le “Mister”, qui quitte le Real comme coach le plus titré de l’histoire du club, avec 15 trophées dont trois Ligue des champions.- Révolution tactique? -Ancelotti n’avait, en fait, pas attendu de suivre les exploits de son ancien milieu défensif en Allemagne pour louer ses qualités.”Nous perdons un grand joueur. C’est un grand professionnel et une personne fantastique. Il a toutes les capacités et l’expérience pour devenir un grand entraîneur”, affirmait déjà l’ex-coach du Bayern, le 10 mars 2017, lors de l’annonce de la retraite sportive d’Alonso.Pour relever l’immense défi qui l’attend, pour sa deuxième expérience seulement en tant qu’entraîneur au haut niveau -il a passé trois ans à la Real Sociedad, son club formateur, à la tête l’équipe B (2019-2022)-, Xabi Alonso a choisi de ramener dans la capitale espagnole ses deux hommes de confiance.L’Argentin Sebastian Parilla, son adjoint à Leverkusen, qui a passé près de 20 ans dans les catégories inférieures du club madrilène, et son préparateur physique Alberto Encinas.Leur connaissance de l’institution, et de son contexte si particulier, où deux défaites d’affilée peuvent avoir la tête d’un coach, seront des points clés pour mener à bien leur mission.Mais les deux hommes auront surtout besoin de renforts de poids pour pouvoir entamer leur révolution tactique, car on ne voit pas vraiment comment le stratège basque pourrait transposer son système immuable, en 3-4-2-1, avec l’effectif actuel.L’une de ses seules certitudes sur le terrain au terme de cette saison ratée réside dans l’efficacité de l’attaquant français Kylian Mbappé, tout proche de remporter son premier Soulier d’Or européen et auteur d’une première saison record sur le plan statistique avec 43 buts toutes compétitions confondues.Le Mondial des clubs, du 14 juin au 13 juillet, pour lequel le géant espagnol devrait pouvoir compter sur une première recrue, le jeune défenseur central Dean Huijsen, donnera des premières indications. Et la suite du mercato estival, une idée un peu plus claire de ce à quoi ressemblera son équipe.