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Dernier direct de Cyril Hanouna sur C8 le 27 février

L’animateur star de C8 Cyril Hanouna présentera une dernière soirée en direct le 27 février, avant l’extinction de la chaîne le lendemain, selon la grille des programmes publiée mardi. Cyril Hanouna sera aux manettes de TPMP (“Touche pas à mon poste!”) comme chaque jour à partir de 19H05, avant d’enchaîner avec une émission spéciale “TPMP Toute la vérité” à partir de 21H20.Le lendemain sera diffusée “La grande soirée de C8” jusqu’à minuit, un programme enregistré, pas en direct.La chaîne va s’arrêter le 28 février car l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel, n’a pas renouvelé son autorisation d’exploiter une fréquence de la TNT (télévision numérique terrestre).Propriété du groupe Canal+, dans le giron du milliardaire conservateur Vincent Bolloré, C8 a cumulé 7,6 millions d’euros d’amende en raison des dérapages de Cyril Hanouna.L’animateur officie également à la radio sur Europe 1, elle aussi dans le giron de M. Bolloré.Il pourrait rejoindre la saison prochaine la chaîne W9 et la station Fun Radio, appartenant toutes deux au groupe M6. Mais le projet suscite des résistances, en raison de sa personnalité polémique. Les discussions sont “avancées”, a assuré vendredi le président de RTL, qui fait aussi partie du groupe M6.De son côté, le président de Canal+, Maxime Saada, a déclaré la semaine dernière que son groupe “continu(ait) à discuter” avec M. Hanouna pour qu’il reste en son sein.”Je vous donnerai ma décision le 27 février lors de la dernière (émission, NDLR)”, a affirmé Cyril Hanouna sur TPMP mardi.”Pour l’instant, je n’ai pas encore pris ma décision mais, quoi qu’il arrive, je veux garder tous les gens qui sont là, qui travaillent avec moi. C’est moi encore qui vais donc essayer de réparer les bêtises qui ont été faites par les institutions”, a-t-il estimé.Avec une part d’audience de 3,1%, C8 a été la sixième chaîne de France sur l’ensemble du mois de janvier, durant lequel elle a touché 44 millions de téléspectateurs, selon les derniers chiffres de Médiamétrie.L’autre chaîne qui s’arrêtera le 28 février, NRJ12, a réalisé une part d’audience de 1% et touché 32 millions de téléspectateurs.Les deux chaînes ont introduit un ultime recours devant le Conseil d’État contre leur arrêt.La webtélé de gauche radicale Le Média, qui avait candidaté pour une fréquence et n’a pas été retenue, a également déposé un nouveau recours contre la décision de l’Arcom. 

L’Australie annonce interdire DeepSeek sur les équipements gouvernementaux

L’Australie a décidé d’interdire le téléchargement des programmes d’intelligence artificielle de la start-up chinoise DeepSeek sur les équipements gouvernementaux car ils pourraient représenter un “niveau de risque inacceptable en terme de sécurité”, selon une directive publiée mardi par le ministère de l’Intérieur.”Après une analyses des risques et des menaces, j’ai considéré que l’utilisation des produits, …

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L’Australie annonce interdire DeepSeek sur les équipements gouvernementaux

L’Australie a décidé d’interdire le téléchargement des programmes d’intelligence artificielle de la start-up chinoise DeepSeek sur les équipements gouvernementaux car ils pourraient représenter un “niveau de risque inacceptable en terme de sécurité”, selon une directive publiée mardi par le ministère de l’Intérieur.”Après une analyses des risques et des menaces, j’ai considéré que l’utilisation des produits, des applications et des services internet de DeepSeek représentait un niveau de risque inacceptable en terme de sécurité pour le gouvernement australien”, a écrit la ministre de l’Intérieur, Stephanie Foster, dans cette directive.Les programmes de DeepSeek vont donc être “retirés” mercredi de “tous les équipements fixes et mobiles du gouvernement australien”, a-t-elle ajouté.La jeune société chinoise DeepSeek a stupéfié le milieu de l’intelligence artificielle (IA) en mettant en ligne en janvier son robot conversationnel R1, qui égale ses rivaux américains malgré des coûts, selon l’entreprise, très inférieurs.Néanmoins, l’outil a très vite commencé à susciter des inquiétudes en terme de sécurité, les régulateurs sud-coréen, italien, français et irlandais (ce dernier supervisant plusieurs groupes technologiques au nom de l’Union européenne) ayant demandé des informations sur le traitement des données des utilisateurs par la société chinoise.Taïwan a annoncé pour sa part la semaine dernière interdire à ses fonctionnaires et à des infrastructures-clés d’utiliser les applications de la start-up chinoise, invoquant des risques pour “la sécurité nationale de l’information”.

La liste des invités au sommet sur l’IA de Paris se dessine

Vice-président américain, vice-Premier ministre chinois, présidente de la Commission européenne: la liste des représentants politiques au sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle (IA) à Paris se précise, même si le flou demeure sur d’autres grands noms de l’écosystème.J.D. Vance, le vice-président américain qui a fait carrière dans la Silicon Valley, représentera les Etats-Unis lors de …

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Vice-président américain, vice-Premier ministre chinois, présidente de la Commission européenne: la liste des représentants politiques au sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle (IA) à Paris se précise, même si le flou demeure sur d’autres grands noms de l’écosystème.J.D. Vance, le vice-président américain qui a fait carrière dans la Silicon Valley, représentera les Etats-Unis lors de ce sommet organisé les 10 et 11 février, a indiqué mardi à l’AFP une source diplomatique française.Le Premier ministre indien Narendra Modi sera aussi présent, l’Inde ayant été désignée coprésidente du sommet aux côtés de la France.Le vice-Premier ministre chinois Ding Xuexiang est attendu, tout comme la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ou encore le chancelier allemand Olaf Scholz.Une centaine de pays seront représentés lors de ce grand raout où se réuniront chefs d’Etat, chefs d’entreprises, scientifiques et membres de la société civile avec le but affiché par le président de la République Emmanuel Macron de mettre la France et l’Europe sur la carte mondiale de l’IA.Côté organisations internationales, le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, la directrice générale de l’Organisation mondiale du commerce, Ngozi Okonjo-Iweala, le secrétaire général de l’OCDE, Mathias Cormann, le directeur de l’Agence internationale de l’énergie, Fatih Birol, et le président de la commission de l’Union africaine, Moussa Faki, feront le déplacement. Des grands noms de la tech américaine ont aussi confirmé leur venue comme Sam Altman, patron d’OpenAI qui a popularisé l’intelligence artificielle générative avec le lancement de ChatGPT fin 2022, mais aussi Sundar Pichai (Google), Demis Hassabis, pionnier de l’IA et directeur de Google Deepmind, ou encore Brad Smith, président de Microsoft, et Dario Amodei (Anthropic). L’incertitude persiste toutefois sur la présence du propriétaire de X, Elon Musk, et sur celle du fondateur de la start-up chinoise DeepSeek, Liang Wenfeng, avec lequel l’Elysée a indiqué être en “discussions”. – “Faire valoir la parole de la France” -DeepSeek a dévoilé fin janvier son robot conversationnel R1, frugal mais puissant, signant une entrée fracassante dans le paysage mondial de l’IA et entraînant la chute des valorisations boursières de plusieurs mastodontes américains. Face à l’onde de choc chinoise et la puissance de frappe des Etats-Unis, qui ont annoncé 500 milliards de dollars d’investissements pour développer des infrastructures dans l’IA, il s’agit pour la France avec ce sommet de prouver sa crédibilité sur la scène mondiale de l’intelligence artificielle. “Nous comptons faire valoir la parole de la France, la parole de l’Europe, mais aussi la parole de tous les autres pays qui sont directement concernés”, a déclaré l’Elysée lundi. De nombreux PDG français seront d’ailleurs présents au sommet comme Xavier Niel, propriétaire du groupe Iliad, et Rodolphe Saadé, patron du transporteur maritime CMA CGM, qui ont lancé le laboratoire français de recherche en intelligence artificielle (IA) Kyutai, mais aussi les patrons d’Airbus, Thales et EDF. Paris espère des annonces d’investissements “massifs”, notamment pour de nouveaux centres de données en France. L’entourage d’Emmanuel Macron évoque un ordre de grandeur “au moins” comparable à celui du sommet annuel “Choose France”, dont la dernière édition en 2024 a attiré 15 milliards d’euros d’investissements.Cette séquence sur l’IA débutera dès jeudi et vendredi avec une conférence scientifique à l’école d’ingénieurs Polytechnique, puis un week-end culturel qui se penchera sur les questions posées par cette technologie dans la création artistique et la production de l’information. Le gouvernement veut, avec ces différents volets, montrer aux Français “l’intelligence artificielle et ses applications sans oublier d’aborder de front tous les sujets compliqués”, a détaillé la présidence. Le sommet en lui-même doit aboutir à la création d’une fondation pour l’intérêt général pour laquelle Paris espère lever 2,5 milliards d’euros sur cinq ans.La France vise enfin à ce que de nombreux acteurs se prononcent en faveur d’une gouvernance mondiale de l’IA dans le cadre d’une déclaration générale et prennent des engagements pour une intelligence artificielle durable et respectueuse de l’environnement, mais sans cadre contraignant.

Avec J.D. Vance, la liste des invités au sommet sur l’IA de Paris se précise

Vice-président américain, vice-Premier ministre chinois, présidente de la Commission européenne: la liste des représentants politiques qui iront au sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle (IA) à Paris se précise même si le flou demeure sur d’autres grands noms de l’écosystème.J.D. Vance, le vice-président américain qui a fait carrière dans la Silicon Valley, représentera les Etats-Unis …

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Avec J.D. Vance, la liste des invités au sommet sur l’IA de Paris se précise

Vice-président américain, vice-Premier ministre chinois, présidente de la Commission européenne: la liste des représentants politiques qui iront au sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle (IA) à Paris se précise même si le flou demeure sur d’autres grands noms de l’écosystème.J.D. Vance, le vice-président américain qui a fait carrière dans la Silicon Valley, représentera les Etats-Unis lors de ce sommet organisé les 10 et 11 février, a indiqué mardi matin à l’AFP une source diplomatique française.Le Premier ministre indien Narendra Modi sera aussi présent, l’Inde ayant été désignée comme coprésidente du sommet aux côtés de la France.Le vice-Premier ministre chinois Ding Xuexiang est aussi attendu, tout comme la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ou encore le chancelier allemand Olaf Scholz.Une centaine de pays seront représentés lors de ce grand raout où se réuniront chefs d’Etat, chefs d’entreprises, scientifiques et membres de la société civile avec le but affiché par le président de la République Emmanuel Macron de mettre la France et l’Europe sur la carte mondiale de l’IA.Des grands noms de la tech américaine ont aussi confirmé leur venue comme Sam Altman, patron d’OpenAI qui a popularisé l’intelligence artificielle générative avec le lancement de ChatGPT fin 2022, mais aussi Sundar Pichai (Google), Demis Hassabis, pionnier de l’IA et directeur de Google Deepmind, ou encore Brad Smith, président de Microsoft et Dario Amodei d’Anthropic. L’incertitude persiste toutefois sur la présence du propriétaire de X, Elon Musk, et sur celle du fondateur de la start-up chinoise DeepSeek, Liang Wenfeng, avec lequel l’Elysée a indiqué être en “discussions”. – “Faire valoir la parole de la France” -DeepSeek a dévoilé fin janvier son robot conversationnel R1, frugal mais puissant, signant une entrée fracassante dans le paysage mondial de l’IA et entraînant la chute des valorisations boursières de plusieurs mastodontes américains. Face à l’onde de choc chinoise, et la puissance de frappe des Etats-Unis, qui ont annoncé 500 milliards de dollars d’investissements pour développer des infrastructures dans l’IA, il s’agit pour la France avec ce sommet de prouver sa crédibilité sur la scène mondiale de l’intelligence artificielle. “Nous comptons faire valoir la parole de la France, la parole de l’Europe, mais aussi la parole de tous les autres pays qui sont directement concernés”, a déclaré l’Elysée lundi. De nombreux PDG français seront d’ailleurs présents au sommet comme Xavier Niel, propriétaire du groupe Iliad et Rodolphe Saadé, patron du transporteur maritime CMA CGM qui ont lancé le laboratoire français de recherche en intelligence artificielle (IA) Kyutai, mais aussi les patrons d’Airbus, Thales et EDF. Paris espère des annonces d’investissements “massifs”, notamment pour de nouveaux centres de données en France. L’entourage d’Emmanuel Macron évoque un ordre de grandeur “au moins” comparable à celui du sommet annuel “Choose France”, dont la dernière édition a attiré en 2024 15 milliards d’euros d’investissements.Cette séquence sur l’IA débutera dès jeudi et vendredi avec une conférence scientifique à l’école d’ingénieurs Polytechnique, puis un week-end culturel qui se penchera sur les questions posées par cette technologie dans la création artistique et la production de l’information. Le gouvernement veut avec ces différents volets montrer aux Français “l’intelligence artificielle et ses applications sans oublier d’aborder de front tous les sujets compliqués”, a détaillé la présidence. Le sommet en lui-même doit aboutir à la création d’une fondation pour l’intérêt général pour laquelle Paris espère lever 2,5 milliards d’euros sur cinq ans.La France vise enfin à ce que de nombreux acteurs se prononcent en faveur d’une gouvernance mondiale de l’IA dans le cadre d’une déclaration générale et prennent des engagements pour une intelligence artificielle durable et respectueuse de l’environnement, mais sans cadre contraignant.

Le patron d’OpenAI noue un partenariat avec le géant sud-coréen Kakao après le séisme DeepSeek

Le patron d’OpenAI Sam Altman a conclu un partenariat avec le mastodonte sud-coréen d’internet Kakao lors d’un déplacement en Corée du Sud mardi, après le choc provoqué en janvier par le chinois DeepSeek dans le secteur de l’intelligence artificielle (IA)L’irruption du modèle R1 de la start-up chinoise a stupéfié par sa capacité à égaler ses …

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Le patron d’OpenAI noue un partenariat avec le géant sud-coréen Kakao après le séisme DeepSeek

Le patron d’OpenAI Sam Altman a conclu un partenariat avec le mastodonte sud-coréen d’internet Kakao lors d’un déplacement en Corée du Sud mardi, après le choc provoqué en janvier par le chinois DeepSeek dans le secteur de l’intelligence artificielle (IA)L’irruption du modèle R1 de la start-up chinoise a stupéfié par sa capacité à égaler ses concurrents américains à un coût, selon l’entreprise, très inférieur, ce qui remet en question le modèle économique du secteur de l’IA.Kakao, qui propose une application de réservation de taxi, une messagerie ou encore une banque en ligne, va pouvoir désormais recourir au robot conversationnel ChatGPT d’OpenAI pour proposer de nouveaux services.”Nous sommes impatients d’apporter une IA avancée aux milliers d’utilisateurs de Kakao et de travailler ensemble”, s’est exprimé M. Altman.”Kakao a une fine compréhension de la façon avec laquelle la technologie peut enrichir la vie quotidienne”, a-t-il ajouté.La directrice générale de Kakao, Shina Chung, a pour sa part déclaré que l’entreprise était “ravie” d’entrer dans une “collaboration stratégique” avec la société américaine, dont l’outil conversationnel a marqué l’émergence de l’IA générative auprès du grand public en 2022.Lors de son déplacement en Corée du Sud, M. Altman s’est entretenu avec le directeur général du géant des semi-conducteurs SK hynix, Kwak Noh-jung, et le président de sa société-mère SK Group, Chey Tae-won, au sujet d’une collaboration dans le domaine des puces mémoire nécessaires à l’IA comme celles à large bande passante (HBM).Le patron d’OpenAI doit également rencontrer mardi le président de l’autre poids lourd du domaine Samsung Electronics, Chey Tae-won.Lors d’une réunion à huis clos avec des développeurs sud-coréens du secteur de l’IA, M. Altman a admis qu’OpenAI n’avait pas encore déterminé de stratégie pour répondre à DeepSeek, d’après un compte rendu obtenu par l’AFP.Interrogé par un responsable de Wrtn Technologies, une entreprise de l’IA établie à Séoul, quant à ses projets pour réagir face aux modèles open source comme DeepSeek, c’est-à-dire dont l’accès au code de programmation est libre, Altman a déclaré qu’il y avait “tout à fait de la place pour l’open source”.”Nous n’avons pas encore défini de stratégie mais nous voulons faire davantage”, a-t-il ajouté.Pour Kim Jang-hyun, professeur de science des données à l’université sud-coréenne Sungkyunkwan, “il semble qu’OpenAI soit en effet particulièrement conscient de l’impact de DeepSeek et influencé” par celui-ci.”La Corée du Sud étant réputée pour être un pays (…) avec une base d’utilisateurs technophiles”, OpenAI pourrait s’en servir comme d'”un terrain d’expérimentation avant d’élargir” cela au reste du monde, juge M. Kim auprès de l’AFP.La semaine dernière, OpenAI avait averti que des entreprises chinoises tentaient activement de reproduire ses modèles d’IA avancés. Mais Sam Altman a déclaré lundi qu’il n’avait “pas l’intention” de poursuivre en justice son rival chinois DeepSeek.Présent à Tokyo lundi, le directeur général d’OpenAI a dévoilé un nouvel outil de “recherche approfondie” pour ChatGPT capable selon lui de bouleverser le monde du travail. Il a également annoncé un partenariat avec le géant japonais de l’investissement dans la tech SoftBank au sein Stargate, un nouveau projet comprenant des investissements d’au moins 500 milliards de dollars dans des infrastructures d’intelligence artificielle aux Etats-Unis.

La Chine ouvre une enquête antimonopole contre Google

La Chine a annoncé mardi ouvrir une enquête contre le géant technologique américain Google, qu’elle dit soupçonner d’avoir enfreint sa réglementation anti-monopole, une annonce intervenant juste après l’entrée en vigueur de droits de douane américains contre les produits chinois.”Google étant soupçonné d’avoir violé la loi anti-monopole de la République populaire de Chine, l’agence étatique pour …

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