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Accusé de partialité par Trump, Paramount verse 16 millions, des démocates s’insurgent

Paramount, société mère de CBS, va verser 16 millions de dollars pour solder un contentieux judiciaire avec Donald Trump, qui accusait la chaîne d’avoir édité une interview de Kamala Harris pour la valoriser, une décision fustigée par plusieurs élus démocrates.Cet accord est la dernière concession en date d’un grand média face aux attaques du président …

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Revers judiciaire pour Google dans sa collecte de données mobiles

Un jury californien a estimé mardi que Google devrait verser plus de 314 millions de dollars aux utilisateurs de smartphones Android dans cet État américain pour avoir collecté leurs données sans accord clair de leur part.Le jury a donné raison aux plaignants, qui avaient engagé un recours collectif en 2019 au nom d’un nombre de Californiens estimé à 14 millions, a confirmé leur avocat mercredi. La plainte accuse Alphabet, la maison mère de Google, d’être responsable d’un système de collecte abusive de données mobiles, à l’insu des propriétaires de smartphone fonctionnant avec le système d’exploitation Android, y compris quand leur appareil est inactif.Ces données — ensuite exploitées à des fins commerciales, notamment pour des publicités ciblées —, entament de surcroît les forfaits des utilisateurs, dénonçaient les plaignants.  Dans sa défense, Google avait contesté tout préjudice causé aux consommateurs par cette collecte de données, prévue selon l’entreprise dans le contrat commercial d’utilisation. “Les preuves présentées lors du procès ont révélé que Google collectait secrètement une quantité massive d’informations provenant des smartphones Android et consommait inutilement les données mobiles des propriétaires d’Android sans leur consentement”, a commenté Glen Summers, avocat des plaignants, dans une déclaration à l’AFP mercredi.”Avec son verdict, le jury envoie un message fort à Google, lui demandant de réellement honorer son engagement à respecter le choix des utilisateurs et de ne pas simplement l’affirmer sans agir”, a-t-il salué.De son côté, Google a indiqué qu’il allait faire appel de la décision. “Ce jugement est un revers pour les utilisateurs, car il interprète de travers des services qui sont critiques pour la sécurité, la performance et la fiabilité des appareils Android”, a ainsi estimé mercredi José Castaneda, un porte-parole du groupe de Mountain View, dans un courriel à l’AFP.

Revers judiciaire pour Google dans sa collecte de données mobiles

Un jury californien a estimé mardi que Google devrait verser plus de 314 millions de dollars aux utilisateurs de smartphones Android dans cet État américain pour avoir collecté leurs données sans accord clair de leur part.Le jury a donné raison aux plaignants, qui avaient engagé un recours collectif en 2019 au nom d’un nombre de …

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Harcèlement chez Ubisoft: jusqu’à trois ans avec sursis pour trois ex-cadres

Des années à rabaisser, insulter ou sexualiser des collègues sous couvert de ce qui était pour eux “la culture Ubisoft”: trois anciens cadres de la société de jeux vidéos ont été condamnés mercredi à Bobigny à jusqu’à trois ans de prison avec sursis.Figure de proue de l’entreprise avant d’être licencié pour faute grave après la révélation du scandale dans la presse, Thomas François a été condamné à la peine la plus lourde, soit trois ans de prison avec sursis et 30.000 euros d’amende, pour harcèlement moral, sexuel et une tentative d’agression sexuelle.Contraindre une jeune subalterne en jupe à faire le poirier au milieu de l’open space, lancer des “bitch” ou “morue” en guise de salut, jouer à chat-bite ou embrasser des collègues masculins par surprise… Telles étaient des habitudes de travail du vice-président du tout puissant service éditorial.La “culture Ubi” avait été un calvaire pour la poignée de jeunes ayant brisé le silence et porté plainte dans ce dossier qui fait figure d’un Me Too des jeux vidéos. L’ex-numéro 2 d’Ubisoft, Serge Hascoët, a été condamné par la justice à 18 mois de prison avec sursis et à 45.000 euros d’amende pour harcèlement moral et complicité de harcèlement sexuel. Un troisième cadre, Guillaume Patrux, a été condamné à 12 mois de prison avec sursis et 10.000 euros d’amende.”C’est une très bonne décision aujourd’hui et également pour la suite. Pour toutes les sociétés, cela veut dire que quand on a un management toxique, les managers doivent être condamnés et les employeurs ne peuvent plus laisser passer”, s’est félicitée Me Maude Beckers, avocate de parties civiles.En se constituant parties civiles, un petit groupe solidaire s’est constitué et s’est renforcé au fil des douloureux témoignages et des interrogatoires recueillis par le tribunal correctionnel de Bobigny lors de l’audience du mois dernier.Thomas François, qui avait entre 38 et 46 ans au moment des faits retenus par la justice entre 2012 et 2020, a confessé à la barre avoir “manqué de recul” car il avait eu “à l’époque l’impression d’être dans le respect des gens”.Des propos sexistes, des bizutages dégradants qui se déroulaient à quelques mètres de son bureau vitré, Serge Hascoët a affirmé au tribunal n’en avoir jamais eu connaissance.- “Caprices” -Numéro 2 d’Ubisoft en sa qualité de directeur créatif, il avait démissionné à l’été 2020 dès que les enquêtes du quotidien Libération et du média en ligne Numérama avaient révélé la toxicité de cet univers de travail.Le tribunal a pu constater les difficultés que l’homme, aujourd’hui âgé de 60 ans, pouvait avoir à séparer vie privée et vie professionnelle, assignant ses employées à des tâches personnelles sans lien aucun avec leurs compétences.Aller chercher sa plus jeune fille de six ans à la sortie de l’école ou traverser Paris pour acheter des cacahuètes à coque…  malgré leur fonction d’assistantes de direction, elles ont été contraintes à ces “caprices” comme l’a qualifié le ministère public. “C’est aussi ce qu’on voit dans les films,” s’est défendu Serge Hascoët devant le tribunal dont la présidente, atterrée, a eu à lui signaler que “les films, ça n’est pas la réalité”. Dans son réquisitoire, le procureur avait précisé que les actes de harcèlement moral de M. Patrux avaient été “à une échelle plus réduite que Serge Hascoët et Thomas François, mais particulièrement intense pour son équipe”.Durant le procès, les avocats de la défense n’ont eu de cesse de répéter que leurs clients n’avaient jamais reçu “aucun avertissement disciplinaire, aucun entretien avec les RH”.  Au grand dam de toutes les parties, ni la personne morale Ubisoft, ni son PDG Yves Guillemot ni sa responsable des ressources humaines Marie Derain n’ont fait l’objet de poursuites dans ce dossier. 

Harcèlement chez Ubisoft: jusqu’à trois ans avec sursis pour trois ex-cadres

Des années à rabaisser, insulter ou sexualiser des collègues sous couvert de ce qui était pour eux “la culture Ubisoft”: trois anciens cadres de la société de jeux vidéos ont été condamnés mercredi à Bobigny à jusqu’à trois ans de prison avec sursis.Figure de proue de l’entreprise avant d’être licencié pour faute grave après la …

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Microsoft va licencier plusieurs milliers de personnes supplémentaires

Microsoft va licencier plusieurs milliers de personnes supplémentaires après une première vague en mai, a indiqué mercredi le groupe à l’AFP, notamment en réduisant certains échelons hiérarchiques.”L’impact total représente moins de 4% des effectifs”, selon une porte-parole, soit jusqu’à environ 9.000 employés, sur la base d’un effectif total de 228.000 personnes selon le dernier rapport …

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Microsoft va licencier plusieurs milliers de personnes supplémentaires

Microsoft va licencier plusieurs milliers de personnes supplémentaires après une première vague en mai, a indiqué mercredi le groupe à l’AFP, notamment en réduisant certains échelons hiérarchiques.”L’impact total représente moins de 4% des effectifs”, selon une porte-parole, soit jusqu’à environ 9.000 employés, sur la base d’un effectif total de 228.000 personnes selon le dernier rapport annuel.”Nous continuons à procéder à des changements organisationnels nécessaires au positionnement favorable de l’entreprise et de ses équipes dans un contexte de marché en évolution”, a expliqué la porte-parole.Mi-mai, le groupe de Redmond (Etat du Washington) avait déjà dévoilé un plan social portant sur “moins de 3%” des personnels, soit environ 6.000 personnes.”Nous gagnons en agilité en réduisant les échelons” hiérarchiques, a précisé Microsoft qui, selon plusieurs médias, s’était déjà séparé d’environ 2.000 salariés depuis le début de l’année avant ces deux séries de suppressions de postes.Beaucoup font le lien entre cette cure d’amaigrissement et le déploiement de l’intelligence artificielle (IA) au sein de l’entreprise, parmi les plus avancées dans ce domaine.Fin avril, le directeur général de Microsoft, Satya Nadella, avait révélé que 20 à 30% du code de programmation en interne était désormais écrit par de l’IA.Interrogé sur l’impact de l’intelligence artificielle sur ses effectifs, le groupe n’a pas donné suite dans l’immédiat.Microsoft parle simplement de “minimiser les doublons en affinant (ses) processus, (ses) produits, (ses) procédures et (ses) fonctions”.”Nous allons permettre aux employés de passer plus de temps à des tâches utiles grâce au déploiement de nouvelles technologies et fonctionnalités”, a décrit Microsoft, mercredi.Début 2023, l’entreprise de Redmond (Etat du Washington) avait licencié environ 10.000 personnes, une décision présentée comme le résultat d’un contrecoup à l’accélération des dépenses informatiques lors de la pandémie de coronavirus.Pour autant, la société avait continué d’accroître ses effectifs en net, les 228.000 salariés de 2024 constituant un record, en hausse de 63% par rapport au total de 2019, juste avant la pandémie.

“Ecrire, c’est penser”: les étudiants apprennent-ils moins bien avec ChatGPT ?

Quand Jocelyn Leitzinger a demandé à ses étudiants de raconter une anecdote personnelle sur la discrimination, elle a remarqué que la victime s’appelait souvent Sally. “Il était clair que c’était un prénom féminin courant pour ChatGPT”, se désole l’enseignante de Chicago.Ses étudiants “n’écrivaient même pas sur leur propre vie!”, s’étrangle Mme Leitzinger, qui enseigne sur …

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“Ecrire, c’est penser”: les étudiants apprennent-ils moins bien avec ChatGPT ?

Quand Jocelyn Leitzinger a demandé à ses étudiants de raconter une anecdote personnelle sur la discrimination, elle a remarqué que la victime s’appelait souvent Sally. “Il était clair que c’était un prénom féminin courant pour ChatGPT”, se désole l’enseignante de Chicago.Ses étudiants “n’écrivaient même pas sur leur propre vie!”, s’étrangle Mme Leitzinger, qui enseigne sur le commerce et la société à l’Université de l’Illinois.La professeure estime qu’environ la moitié de ses 180 étudiants ont utilisé ChatGPT de manière inappropriée au cours du dernier semestre – y compris quand il s’agissait d’écrire sur les questions éthiques liées à l’intelligence artificielle (IA)… Et dit à l’AFP ne pas avoir été surprise par les résultats d’une récente recherche suggérant que les étudiants qui utilisent l’IA générative pour écrire des dissertations ont moins l’esprit critique.L’étude préliminaire, qui n’a pas encore été revue par des pairs, est devenue virale sur les réseaux sociaux, trouvant manifestement un écho chez de nombreux éducateurs confrontés à ces pratiques.Depuis sa publication le mois dernier, plus de 3.000 enseignants ont écrit à l’équipe de chercheurs du MIT qui l’a menée, a indiqué Nataliya Kosmyna, son autrice principale à l’AFP.Pour cette étude, 54 étudiants de la région de Boston ont été répartis en trois groupes. Ils devaient écrire des dissertations de 20 minutes, le premier en utilisant ChatGPT, le deuxième un moteur de recherche et le troisième seulement leurs méninges.Les chercheurs ont mesuré l’activité cérébrale des étudiants lors de sessions espacées de plusieurs mois et deux enseignants ont été chargés de noter les écrits.Les utilisateurs de ChatGPT ont eu des résultats significativement moins bons que ceux ayant utilisé leurs seules têtes. Des électroencéphalogrammes ont montré que différentes régions de leur cerveau se connectaient entre elles moins souvent.En outre, plus de 80% des utilisateurs de l’IA ne pouvaient citer aucun passage de la dissertation qu’ils venaient juste d’écrire, contre seulement 10% dans chacun de deux autres groupes.Au bout de la troisième session, ils semblaient se borner principalement à faire des copier-coller.- Ecrits sans âme – De leur côté, les enseignants chargés de corriger les copies ont déclaré être facilement capables de reconnaître celles, “sans âme”, écrites grâce à l’IA. Si la grammaire et la structure étaient correctes, elles manquaient de créativité, de personnalité et de réflexion profonde.Cependant, Mme Kosmyna nuance les interprétations de l’étude faites par certains médias, selon lesquels l’IA rendrait les gens stupides ou paresseux.Lors de la quatrième session, le groupe n’ayant jusque-là mobilisé que son cerveau a été invité à utiliser ChatGPT pour la première fois… et a affiché un niveau de connectivité neuronale encore plus élevé, souligne-t-elle.Il est trop tôt pour tirer des conclusions à partir d’un échantillon aussi réduit, selon la chercheuse, qui appelle à davantage d’études sur la façon de mieux utiliser les outils de l’IA afin de faciliter l’apprentissage.Ashley Juavinett, neuroscientifique à l’Université de Californie San Diego, qui n’a pas participé à la recherche, critique également certaines “extrapolations” faites à partir de l’étude.”Cet article ne fournit pas assez de preuves, ni de rigueur méthodologique pour en tirer des conclusions sur l’impact des grands modèles de langage (comme ChatGPT, ndlr) sur le cerveau”, déclare-t-elle à l’AFP.Pour Mme Leitzinger, ces résultats font cependant écho à sa perception de la façon dont les écrits de ses étudiants ont changé depuis l’arrivée de ChatGPT en 2022, avec moins de fautes d’orthographe mais aussi d’authenticité.L’émergence de l’intelligence artificielle est souvent comparée à l’introduction des calculatrices, qui a obligé les professeurs à changer leurs méthodes.Mais Mme Leitzinger s’inquiète du fait que les étudiants n’ont plus besoin d’aucune connaissance de base avant d’utiliser l’IA, sautant l’étape essentielle de l’apprentissage.Le problème va bien au-delà de l’enseignement. Les revues scientifiques ont du mal face à l’afflux massif d’articles générés par l’IA. Et l’édition n’est pas en reste, alors qu’une start-up prévoit de publier 8.000 livres écrits par l’IA chaque année.”Ecrire c’est penser ; penser c’est écrire. Si l’on supprime ce processus, que reste-t-il de la pensée ?”, s’interroge M. Leitzinger.

Ligue 1: la LFP crée sa chaîne mais cherche toujours des distributeurs

La Ligue de football professionnel (LFP) a annoncé mardi la création de sa propre chaîne de diffusion de la Ligue 1 à 14,99 euros par mois, mais recherche toujours des distributeurs pour en assurer le succès, après le renoncement de Canal+.Le collège des présidents de club de Ligue 1, LFP Media et le Conseil d’administration de la LFP ont donné le feu vert à l’unanimité à “la création d’une plateforme TV et digitale entièrement dédiée à la Ligue 1 McDonald’s, gérée et pilotée par LFP Media”, écrit l’instance dans un communiqué.La chaîne diffusera huit matches par journée en direct, le neuvième, propriété de beIN Sports, restant sur la chaine qatarienne jusqu’à la fin de l’exercice 2025-2026. “Cette nouvelle plateforme s’inscrit dans une démarche populaire et accessible, avec une offre à 14,99 € par mois avec engagement”, ajoute la Ligue, consciente des polémiques qui avaient affaibli le diffuseur DAZN dès le début de la saison dernière.A terme, “il y aura une promotion à moins de 10 euros pour les moins de 26 ans sur les tablettes et les mobiles”, promet aussi le directeur général de LFP Media, Nicolas de Tavernost, dans un entretien accordé à L’Equipe paru mardi soir.En effet, le succès de cette chaîne est vital pour les finances des clubs. Du nombre d’abonnés dépendront directement leurs recettes de droits TV, en l’absence d’un contrat avec un diffuseur en début de saison, après le divorce avec DAZN, soldé début mai à l’issue de plusieurs mois de contentieux. La plateforme britannique apportait en théorie 400 millions d’euros garantis par saison jusqu’en 2029.”Mieux vaut être propriétaire de sa plateforme, de ses droits et je suis sûr que si on fait correctement notre travail, on réussira. Notamment grâce à notre prix”, estime Nicolas de Tavernost.La plateforme de la LFP sera présentée plus en détails lors d’une conférence de presse le 10 juillet.Cette annonce de création de la chaîne, attendue depuis plusieurs jours, ne règle pas les questions de sa distribution et de sa production. A sept semaines de la reprise de la Ligue 1, le temps presse pour un football français secoué par des crises à répétition depuis quatre ans.- Visibilité -Samedi, le président de Canal+ Maxime Saada a indiqué dans le journal L’Equipe renoncer à distribuer la nouvelle plateforme. Officiellement pour des raisons de prix de lancement, mais selon plusieurs sources concordantes, M. Saada visait aussi 15 euros par mois. Les investissements de Canal+ dans d’autres droits, comme ceux de la Ligue des champions, peuvent expliquer ce renoncement.”Il a choisi plutôt l’Europe que la France”, a critiqué Nicolas de Tavernost, ajoutant toutefois que pour Canal+ à l’avenir, “la porte sera toujours ouverte”.L’arrêt des discussions avec Canal est en effet un coup dur pour la Ligue, tant la marque Canal+ offrait des garanties en termes de visibilité pour le grand public. “Nous estimions apporter très vite entre 800.000 et 1 million d’abonnés au lancement, rien qu’avec Canal+”, a souligné Maxime Saada.Mais coup dur aussi parce que la LFP escomptait un minimum garanti versé par le groupe médias à hauteur de 200 millions d’euros, dans le cas où il aurait distribué la chaîne en exclusivité.LFP Media cherche désormais tous les débouchés possibles: les fournisseurs d’accès à Internet (FAI) Free, Orange, SFR, ainsi que les plateformes DAZN, Prime Video…Concernant la production, la LFP doit choisir dans la semaine entre 21 Production du groupe L’Equipe et Mediawan, la société dirigée par Pierre-Antoine Capton.Un seul des deux emportera les quatre lots, selon une source proche des négociations: la production des magazines, celle des avant et après matches, la gestion des multiplex et enfin la gestion des personnels éditoriaux.Selon la même source, le commentateur Xavier Domergue sera un visage parmi d’autres de la chaîne tout en restant à M6.Le groupe L’Equipe produisait déjà les matches en multiplex pour Prime Video lorsqu’Amazon détenait encore les droits de la Ligue 1 (2021-2024) après le fiasco de Mediapro.Mediawan est un groupe audiovisuel qui possède une vingtaine de sociétés à travers le monde, produisant notamment les magazines C dans l’air ou C l’hebdo sur France 5.