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TF1 creuse le sillon des fictions historiques pour une saison “conquérante”

Matt Pokora à Oradour-sur-Glane en 1944, Nolwenn Leroy à Nice en 1936, cancan à Montmartre en 1899… TF1 creusera le sillon des fictions historiques lors d’une saison 2025-2026 “conquérante”, tout en poursuivant les alliances avec les géants du streaming.Bientôt privée de sa série phénomène “HPI”, dont les ultimes épisodes seront diffusés prochainement, la Une a …

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Mimi Marchand condamnée à 18 mois de prison avec sursis pour chantage sur Karine Le Marchand

Une puissante patronne de presse people qui “joue” de son carnet d’adresses pour “s’attirer les faveurs” des puissants, par “tous les moyens”. Le tribunal a eu des mots sévères en condamnant mardi Mimi Marchand à 18 mois de prison avec sursis, pour avoir fait chanter l’animatrice Karine Le Marchand.Michèle dite Mimi Marchand, 78 ans, était …

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Mimi Marchand condamnée à 18 mois de prison avec sursis pour chantage sur Karine Le Marchand

Une puissante patronne de presse people qui “joue” de son carnet d’adresses pour “s’attirer les faveurs” des puissants, par “tous les moyens”. Le tribunal a eu des mots sévères en condamnant mardi Mimi Marchand à 18 mois de prison avec sursis, pour avoir fait chanter l’animatrice Karine Le Marchand.Michèle dite Mimi Marchand, 78 ans, était présente au tribunal, en robe estivale et bottes de daim pour écouter la décision. Elle a quitté la salle d’audience sans réaction juste après.Le tribunal l’a reconnue coupable d’extorsion, et l’a également condamnée à 25.000 euros d’amende.”Les infractions ont été permises grâce à votre réseau, en jouant de votre carnet d’adresses, pour vous attirer des faveurs par tous les moyens, au mépris des victimes et avec une certaine mesquinerie”, lui a dit la présidente avant d’annoncer la peine – plus lourde que celle demandée à l’issue du procès il y a un mois par le parquet (un an avec sursis).Son avocate a indiqué aux médias qu’elle allait “immédiatement” faire appel. “Mimi Marchand a été condamnée pour une infraction d’extorsion qui n’est caractérisée ni juridiquement ni matériellement d’autant que le tribunal a reconnu qu’elle n’avait en aucun cas sollicité d’argent”, a déclaré Me Caroline Toby.Karine Le Marchand n’était pas présente pour la décision mais son avocat Jean Ennochi a jugé qu’elle était “satisfaisante”.En février 2020, la patronne de l’agence de photos Bestimage avait alerté l’animatrice de “L’amour est dans le pré” qu’un “jeune” photographe inconnu avait tenté de lui vendre des photos de sa fille mineure sortant de garde à vue. Elle l’avait rassurée, disant les avoir “bloquées” en donnant 3.000 euros au photographe.À la barre, Mimi Marchand a reconnu avoir “menti” – les images avaient été faites par l’un de ses paparazzi habituels, Sébastien Valiela. “Merci Mimi”, avait répondu soulagée Karine Le Marchand, avant de “rembourser” une première partie de l’argent avancé, 1.600 euros.- “Capacité d’influence” -Le tribunal a condamné Mimi Marchand à rendre ces 1.600 euros à Karine Le Marchand car “peu importe qu’un remboursement n’est pas explicitement été demandé” à partir du moment où Mimi Marchand a accepté l’argent. Elle devra aussi payer 1.500 euros à l’animatrice en réparation du “préjudice moral constitué par la crainte et le stress”.Cette affaire “résulte d’un stratagème et d’une construction intellectuelle montée de toutes pièces par Mimi Marchand pour faire croire qu’il y avait un risque de publication” des images de sa fille – pourtant invendables car elle était mineure. Karine Le Marchand s’est sentie “redevable et dépendante”, et Mimi Marchand n’a d’ailleurs pas tardé à lui faire des demandes, comme des “paparazzades” organisées que l’animatrice avait toujours refusées.Le tribunal a ainsi mis en avant “la pression entretenue” par Mimi Marchand sur Karine Le Marchand pendant plusieurs mois, “faisant augmenter la crainte de Karine Le Marchand de voir les photos de sa fille publiées”, une “crainte assez puissante pour lui enlever sa liberté d’esprit”.Enfin, les magistrats ont rappelé la “capacité d’influence” de Mimi Marchand, notoirement connue pour être une communicante de l’ombre des puissants – elle a longtemps été proche d’Emmanuel et Brigitte Macron, ainsi que Nicolas Sarkozy et Carla Bruni (avant que ces derniers ne soient inquiétés avec elle dans un volet annexe de l’affaire des soupçons de financement libyen de la campagne de l’ancien président).Le tribunal a également condamné le paparazzo Sébastien Valiela à six mois avec sursis pour recel de violation du secret professionnel car il avait été informé de la garde à vue de la fille de Karine Le Marchand par un policier.Le paparazzo a aussi été reconnu coupable de la même infraction dans un volet annexe, également en février 2020, car un policier l’avait alerté de la possible arrestation de l’artiste russe Piotr Pavlenski dans l’affaire des vidéos à caractère sexuel de Benjamin Griveaux.À l’ouverture du procès le 26 mai, Piotr Pavlenski s’était fait expulser de la salle après avoir réclamé la relaxe de Mimi Marchand (qui a bénéficié d’un non-lieu sur ce volet), estimant que la diffusion des images de son interpellation participaient à son Å“uvre de “pornopolitique”.

Chantage sur Karine Le Marchand: Mimi Marchand condamnée à 18 mois de prison avec sursis

Le tribunal correctionnel de Paris a condamné mardi la papesse de la presse people Mimi Marchand à une peine de 18 mois de prison avec sursis pour avoir exercé un chantage contre l’animatrice Karine Le Marchand avec des photos volées de sa fille mineure.Michèle dite Mimi Marchand, présente pour écouter la décision, a également été …

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Chantage sur Karine Le Marchand: Mimi Marchand condamnée à 18 mois de prison avec sursis

Le tribunal correctionnel de Paris a condamné mardi la papesse de la presse people Mimi Marchand à une peine de 18 mois de prison avec sursis pour avoir exercé un chantage contre l’animatrice Karine Le Marchand avec des photos volées de sa fille mineure.Michèle dite Mimi Marchand, présente pour écouter la décision, a également été condamnée à 25.000 euros d’amende. Les infractions ont été permises grâce au “réseau” de la puissante patronne de l’agence Bestimage, qui a “joué” de son carnet d’adresses pour s'”attirer des faveurs par tous les moyens”, pour “s’enrichir”, “au mépris des victimes” et “avec une certaine mesquinerie”, lui a dit la présidente.”Mimi Marchand a été condamnée pour une infraction d’extorsion qui n’est caractérisée ni juridiquement ni matériellement d’autant que le tribunal a reconnu qu’elle n’avait en aucun cas sollicité d’argent, nous allons donc immédiatement interjeter appel”, a déclaré son avocate Caroline Toby à la presse en sortant de la salle d’audience.Karine Le Marchand n’était pas présente pour la décision mais son avocat Jean Ennochi a jugé qu’elle était “satisfaisante”.La peine est plus lourde que celle réclamée à l’issu du procès le mois dernier par le parquet, qui avait requis un an de prison avec sursis et 20.000 euros d’amende à l’encontre de Mimi Marchand.En février 2020, elle avait alerté l’animatrice de “L’amour est dans le pré” qu’un “jeune” photographe inconnu avait tenté de lui vendre des photos de sa fille mineure sortant de garde à vue. Elle l’avait rassurée, disant les avoir “bloquées” en donnant 3.000 euros au photographe.A la barre, Mimi Marchand a reconnu avoir “menti” -les images avaient été faites par l’un de ses paparazzi habituels, Sébastien Valiela. “Merci Mimi”, avait répondu soulagée Karine Le Marchand, avant de “rembourser” une première partie de l’argent avancé, 1.600 euros.Le tribunal a condamné Mimi Marchand à payer ces 1.600 euros à Karine Le Marchand car “peu importe qu’un remboursement n’est pas explicitement été demandé” à partir du moment où Mimi Marchand a accepté l’argent, a dit le tribunal.Elle devra aussi payer 1.500 euros à l’animatrice en réparation du “préjudice moral constitué par la crainte et le stress vécu pendant six mois”. 

Organisation d’événements à Nice: toutes les gardes à vue levées sans poursuites (parquet)

Les gardes à vue des dix personnes, dont le maire de Nice Christian Estrosi, son épouse et la présidente de France Télévisions Delphine Ernotte-Cunci, entendues dans l’enquête sur l’organisation de plusieurs événements à Nice, ont été levées sans poursuites, a précisé mardi le parquet de Marseille.Outre le maire Horizons de Nice, son épouse Laura Cohen-Tenoudji, …

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Organisation d’événements à Nice: toutes les gardes à vue levées sans poursuites (parquet)

Les gardes à vue des dix personnes, dont le maire de Nice Christian Estrosi, son épouse et la présidente de France Télévisions Delphine Ernotte-Cunci, entendues dans l’enquête sur l’organisation de plusieurs événements à Nice, ont été levées sans poursuites, a précisé mardi le parquet de Marseille.Outre le maire Horizons de Nice, son épouse Laura Cohen-Tenoudji, avec laquelle il est marié depuis 2016, et Delphine Ernotte-Cunci, le président de La Tribune Jean-Christophe Tortora, également directeur général de CMA Média, avait aussi été convoqué lundi par les gendarmes.”A l’issue des auditions, les gardes à vue ont été levées en fin de journée”, a indiqué mardi le parquet de Marseille dans un communiqué.Les avocats des mis en cause ont désormais un délai de deux mois “pour présenter des observations”, à l’issue desquelles “le procureur de la République (de Marseille) décidera des suites à donner”, ajoute le parquet.Au total, dix personnes avaient été convoquées lundi à Marseille, Fréjus et Nice, dans le cadre d’une “enquête ouverte par le parquet de Marseille, au titre de la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS), des chefs de prise illégale d’intérêts, détournement de fonds publics, recel, faux dans un acte authentique par personne dépositaire de l’autorité publique et usage”, précise-t-il.L’enquête porte sur les conditions dans lesquelles la ville de Nice, que Christian Estrosi dirige de façon presque ininterrompue depuis 2008, et la métropole de Nice Côte d’Azur, qu’il préside depuis 2012, ont “été conduites à accorder des aides publiques, directes et indirectes, courant 2023 à La Tribune Nouvelle pour l’organisation” du colloque Nice Climat Summit, et à France TV Studio pour celle du concours de chant Eurovision Junior”, au regard des liens existants entre ces sociétés et Laura Cohen-Tenoudji”, salariée du groupe France TV, qui collaborait aussi avec le média économique La Tribune, note le parquet de Marseille.”Le périmètre de l’enquête a ensuite été étendu à plusieurs autres événements organisés à Nice par France Télévision, dont la fête de la musique 2018 et 2019, et par La Tribune nouvelle courant 2020 à 2022, ayant de la même manière bénéficié d’aides publiques”, ajoute le communiqué.”S’il respecte le travail légitime des enquêteurs, mon client dénonce l’instrumentalisation politique de la justice à laquelle se livrent ses opposants. Il rappelle qu’une plainte en dénonciation calomnieuse a été déposée à leur encontre”, avait déclaré lundi à l’AFP Me Mathias Chichportich, l’avocat de M. Estrosi. Le maire de Nice, qui doit fêter mardi ses 70 ans, a déjà annoncé qu’il serait candidat à sa réélection, pour un quatrième mandat, en 2026.

Organisation d’événements à Nice: gardes à vue levées pour le couple Estrosi et Delphine Ernotte

Le maire de Nice Christian Estrosi (Horizons), son épouse Laura Tenoudji et la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte Cunci, sont ressortis libres lundi soir après avoir été placés en garde à vue toute la journée dans le cadre d’une enquête sur l’organisation d’événements à Nice, dont l’Eurovision Junior.”A l’issue des réponses que Christian Estrosi …

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Organisation d’événements à Nice: gardes à vue levées pour le couple Estrosi et Delphine Ernotte

Le maire de Nice Christian Estrosi (Horizons), son épouse Laura Tenoudji et la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte Cunci, sont ressortis libres lundi soir après avoir été placés en garde à vue toute la journée dans le cadre d’une enquête sur l’organisation d’événements à Nice, dont l’Eurovision Junior.”A l’issue des réponses que Christian Estrosi a apportées, il a été décidé de lever la mesure sans lui notifier la moindre poursuite”, a déclaré son avocat, Me Mathias Chichportich.”S’il respecte le travail légitime des enquêteurs, mon client dénonce l’instrumentalisation politique de la justice à laquelle se livrent ses opposants. Il rappelle qu’une plainte en dénonciation calomnieuse a été déposée à leur encontre”, a-t-il souligné. “Cette mise en cause par des élus de l’opposition, à la veille d’une nouvelle échéance électorale, est particulièrement choquante”, a insisté Me Marie-Alix Canu-Bernard, avocate de Mme Tenoudji. M. Estrosi, qui doit fêter mardi ses 70 ans, a déjà annoncé qu’il serait candidat à sa réélection en 2026.”S’en prendre à la femme de M. Estrosi, du seul fait qu’elle est son épouse, en dit long sur leur conception de la place et de l’indépendance des femmes qui travaillent!”, a ajouté l’avocate.La patronne de France Télévisions est également “ressortie libre et sans charges retenues contre elle”, a indiqué son entourage à l’AFP.Au total, une dizaine de personnes ont été convoquées lundi dans le cadre d’enquêtes initialement ouvertes à Nice puis transférées à la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Marseille, sur l’organisation de deux événements à l’automne 2023 à Nice.Il s’agit du concours de chant Eurovision Junior, organisé et retransmis par France Télévisions, et du colloque Nice Climate Summit, organisé par le média économique La Tribune, avait affirmé la semaine dernière à l’AFP une autre source proche, confirmant une information du site Mediapart.- Animation -Le président de La Tribune, Jean-Christophe Tortora, également directeur général de CMA Média, a lui aussi été convoqué lundi.Interrogé par l’AFP sur ce dossier, le parquet de Marseille a répondu qu’il “n’entend(ait) pas communiquer à ce stade de la procédure”.France Télévisions avait confirmé dès vendredi dans un communiqué “la convocation de sa présidente”, “ainsi que de salariés du groupe et d’une filiale, pour être entendus dans le cadre d’une enquête judiciaire portant sur l’organisation d’événements dans la ville de Nice”.Le groupe de télévision publique “collaborera pleinement à cette enquête (et) entend réserver ses explications aux autorités judiciaires”, avait ajouté France TV.Les enquêtes sont notamment ouvertes pour “détournement de fonds publics”, “prise illégale d’intérêts” ou encore “faux en écriture publique”, selon une source proche du dossier et Mediapart. Le site d’information assure qu’elles “vise(nt) directement” les époux Estrosi, mariés depuis 2016, “lesquels contestent avoir commis toute infraction”.Une première enquête avait été ouverte après un signalement d’élus écologistes niçois concernant le Nice Climate Summit. Chroniqueuse à Télématin sur France 2 et salariée du groupe France TV, Laura Tenoudji-Estrosi, qui collaborait aussi avec La Tribune, devait animer deux tables rondes, “à titre bénévole” selon la ville. Face à la polémique, elle y avait renoncé, mais l’opposition avait relevé que M. Estrosi ne s’était pas absenté, malgré le conflit d’intérêts potentiel, lors du vote d’une subvention de 20.000 euros à La Tribune pour ce colloque.Concernant l’Eurovision Junior, les doutes portaient en particulier sur le choix de confier à Laura Tenoudji la co-animation de la cérémonie d’ouverture, malgré un niveau d’anglais inférieur aux standards dans ce genre d’émissions internationales.La justice doit vérifier si ce choix relevait d’une décision interne à France Télévisions ou s’il avait fait l’objet d’un accord explicite ou implicite lors des négociations avec la ville.Nice a en effet versé une importante subvention – 605.000 euros selon Mediapart – pour l’organisation de ce concours de chant, au long duquel la ville et la métropole ont été particulièrement mises en valeur.sm-so-reb-mdv-fcc/ol/jnd/pta

Jugement mardi pour Mimi Marchand, accusée de chantage sur Karine Le Marchand

La papesse de la presse people Mimi Marchand, jugée le mois dernier devant le tribunal correctionnel de Paris pour extorsion sur l’animatrice Karine Le Marchand, sera fixée mardi sur son sort.L’accusation a réclamé une peine d’un an de prison avec sursis et 20.000 euros d’amende à l’encontre de Michèle dite Mimi Marchand, 78 ans, soupçonnée d’avoir fait du chantage à la célèbre animatrice à l’aide de photos de sa fille mineure sortant de garde à vue.En février 2020, Mimi Marchand avait alerté l’animatrice de “L’amour est dans le pré” qu’un “jeune” photographe inconnu avait tenté de lui vendre ces photos. Elle l’avait rassurée, disant les avoir “bloquées” en donnant 3.000 euros au photographe.A la barre, Mimi Marchand a reconnu avoir “menti” – les images avaient été faites par l’un de ses paparazzi habituels, Sébastien Valiela. “Merci Mimi”, avait répondu soulagée Karine Le Marchand, avant de “rembourser” une première partie de l’argent avancé, 1.600 euros.Devant le tribunal, Mimi Marchand, s’est “traitée d’idiote et d’abrutie” mais n’a pas donné plus d’explications, et il n’y a pas eu de “remise en cause”, a insisté pendant ses réquisitions la procureure, évoquant un sentiment de “toute-puissance”. Elle a rappelé que Mimi Marchand avait, après ce “service”, multiplié les demandes auprès de l’animatrice, maintenant une “pression”.”Il s’agit pour Karine Le Marchand de sauver la réputation de sa fille, ça l’a placée dans des conditions qui l’ont conduite à remettre des fonds, une contrainte morale insidieuse”.La défense de Mimi Marchand a plaidé la relaxe. Dans cette “affaire croustillante (qui) n’en est pas une”, où apparaît une “façon de profiter de la situation qui n’avait pas lieu d’être”, il n’y a juridiquement pas d’extorsion, a soutenu son avocate Me Caroline Toby.La procureure avait aussi réclamé deux ans de prison avec sursis pour violation du secret professionnel contre le policier qui avait donné l’information de la garde à vue au paparazzo Sébastien Valiela, et un an avec sursis contre ce dernier pour recel.Ils étaient tous deux aussi jugés pour les mêmes infractions dans un dossier annexe, également en février 2020: le premier avait alerté le second de la possible arrestation de l’artiste russe Piotr Pavlenski dans l’affaire des vidéos à caractère sexuel de Benjamin Griveaux.A l’ouverture du procès, Piotr Pavlenski s’était fait expulser de la salle après avoir réclamé la relaxe de Mimi Marchand (qui a bénéficié d’un non-lieu sur ce volet), estimant que la diffusion des images de son interpellation participaient à son oeuvre de “pornopolitique”.