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BFMTV recrute Nicolas Poincaré pour ses longs formats “Ligne rouge”

Le journaliste Nicolas Poincaré, ancien présentateur de “Complément d’enquête” sur France 2, va rejoindre la chaîne info BFMTV pour superviser son service d’investigation et de longs formats “Ligne rouge”, a-t-elle annoncé mercredi.A partir de la rentrée, “il incarnera” à l’antenne “la présentation des sujets” de Ligne rouge, dont il rejoint la rédaction en chef, a …

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“Clair Obscur”, le coup de fouet français qui réveille l’industrie du jeu vidéo

Plus d’un million de ventes en trois jours et des critiques dithyrambiques: le succès mondial du jeu vidéo français “Clair Obscur: Expedition 33″, première production d’une petite équipe de Montpellier (Sud), a pris par surprise ses créateurs et bouscule les certitudes du secteur.”Le jeu a explosé bien au-delà de nos prévisions”, confie Guillaume Broche, directeur créatif et cofondateur du studio Sandfall Interactive, à l’AFP mardi. Ce jeu de rôle au tour par tour, dans un univers post-apocalyptique mâtiné d’un esprit “Belle Epoque” très français, a suscité une rare unanimité depuis sa sortie jeudi.Avec un score de 92 sur 100 selon l’agrégateur d’avis Metacritic, “Clair Obscur: Expedition 33″ est le jeu le mieux noté de l’année par les critiques, saluant notamment son histoire et ses graphismes. Sur ce même site, il s’offrait aussi mardi la note record de 9,7 sur 10 selon les joueurs. Et bénéficie d’un bouche à oreille très positif sur les réseaux sociaux, où se multiplient les références et des photos de déguisements (cosplay) des personnages.”C’est un chef-d’oeuvre”, écrit ainsi un utilisateur de la plateforme de jeux en ligne Steam, tandis qu’un autre se dit “totalement époustouflé” par le jeu, dont une adaptation au cinéma est prévue.”On est un peu dépassé mais c’est vraiment fabuleux”, souffle Guillaume Broche, alors que le jeu, édité par le londonien Kepler Interactive, est en rupture de stock dans plusieurs grandes enseignes françaises.- “Choix radicaux” -Pour le spécialiste Benoit Reinier, connu sous le pseudonyme Ex Serv sur internet et qui a oeuvré comme consultant pour le jeu, ce succès s’explique par les “choix radicaux” pris par le studio, comme une direction artistique très marquée et une difficulté relevée.Sa proposition originale lui a permis de se faire rapidement remarquer au milieu d’un marché “bouché” par de très nombreuses sorties, affirme M. Reinier, face à des géants de l’industrie régulièrement critiqués pour leur tendance à enchaîner les suites et les remakes.Chose rare, plusieurs studios concurrents comme l’américain Bethesda (Elder Scrolls, Fallout) ou le japonais Square Enix (Final Fantasy) ont également salué le lancement du titre.”C’est un succès incroyable” sur lequel “tous les investisseurs vont se pencher”, prédit Marc Richter, analyste jeux vidéo au cabinet britannique d’Ipsos.Face au modèle des triple-A, ces blockbusters aux coûts de développement qui se chiffrent en centaines de millions d’euros, la trentaine de développeurs de Sandfall a prouvé, selon M. Richter, que “petites équipes passionnées, dotées d’une technologie de pointe, peuvent réaliser des choses incroyables”.- “Nouveau départ” -En utilisant les capacités de l’Unreal Engine 5, moteur graphique très performant pour créer des jeux vidéo, et en limitant la taille et la durée de leur création, “ils ont réussi à donner le change et à venir concurrencer les gros jeux”, affirme Benoit Reinier. Pour Marc Richter, “Clair Obscur” a également bénéficié de son prix attractif, autour d’une cinquantaine d’euros alors que les mastodontes du secteur se vendent en moyenne 20 à 30 euros de plus, et de sa disponibilité dès sa sortie sur le service d’abonnement Game Pass de Microsoft.Surtout, les développeurs ont joué à fond la carte de la “French Touch”, affublant leurs héros de bérets et de baguettes et faisant jurer en français son casting de doublage qui réunit entre autres les acteurs britanniques Andy Serkis et Charlie Cox.Selon M. Richter, certains éditeurs seront sans doute tentés de “répliquer” le succès de “Clair Obscur”, en portant des projets plus petits et plus originaux.”Il faut espérer que ce nouveau départ, cette nouvelle direction, donne un coup de fouet” à une industrie en difficulté depuis deux ans, marquée par des vagues de licenciements et des fermetures de studio, a-t-il ajouté.De son côté, Guillaume Broche souhaite que les récents succès “dans des genres un peu niches”, auxquels vient s’ajouter “Clair Obscur”, contribueront à “un changement de mentalité” d’une partie de l’industrie.”Si ça arrive et que ça trace la voie pour ceux qui viendront après, c’est merveilleux”, conclut-il, faisant sienne la devise des héros de son jeu.

“Clair Obscur”, le coup de fouet français qui réveille l’industrie du jeu vidéo

Plus d’un million de ventes en trois jours et des critiques dithyrambiques: le succès mondial du jeu vidéo français “Clair Obscur: Expedition 33″, première production d’une petite équipe de Montpellier (Sud), a pris par surprise ses créateurs et bouscule les certitudes du secteur.”Le jeu a explosé bien au-delà de nos prévisions”, confie Guillaume Broche, directeur …

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A Singapour, des podcasts donnent voix à l’opposition

Depuis leur mini studio d’enregistrement, Terence Chia et Haresh Tilani diffusent une parole rare dans l’univers hautement contrôlé des médias singapouriens: les voix des personnalités politiques de l’opposition avant les prochaines élections.Les deux hommes ont créé Yah Lah But, un podcast populaire dans la cité-Etat, avec la promesse de fournir “les conversations et les interviews les moins censurées du pays très censuré de Singapour”, selon sa description sur YouTube. L’émission — dont le titre fait référence à une façon familière de dire “oui mais” à Singapour — s’inscrit dans une nouvelle vague de podcasts sur la politique singapourienne qui offre une couverture différente des élections qui auront lieu le 3 mai.”Nous n’avons pas peur, je pense qu’il y a un réel désir d’entendre des opinions alternatives”, dit Terence Chia, un ancien banquier qui s’est reconverti dans la création de podcast.Selon Reporters sans frontières, “la liberté de la presse et l’indépendance éditoriale sont peu respectées” à Singapour. L’ONG place la cité-Etat d’Asie du Sud-Est à la 126ème place sur 180 pays, dans son classement de la liberté de la presse.Le paysage médiatique national est dominé par deux grands acteurs liés au gouvernement: Singapore Press Holdings et MediaCorp.Toutefois, la couverture de l’opposition s’est améliorée cette dernière décennie, et la multiplication des podcasts d’information montre une volonté de faire parler des voix alternatives. “On ne fait pas que taper sur +l’establishment+, on le défie”, assure à l’AFP Haresh Tilani, un ex-cadre de l’aviation, qui présente Yah Lah But avec Terence Chia.Avant les élections, Yah Lah But s’est concentré sur des sujets politiques et a produit de longues interviews avec des personnalités des deux côtés de l’échiquier, adoptant un ton franc.”Au Parlement, dans les rassemblements et les grands médias, on voit un aspect de ces personnes, mais les podcasts permettent de voir leur côté humain”, selon M. Tilani.- L’opposition gagne du terrain -Les observateurs s’attendent à ce que le Parti d’action populaire (PAP), au pouvoir depuis 1959 et qui détient une majorité des sièges au Parlement, remporte encore les élections du 3 mai. Mais l’opposition a gagné du terrain ces dernières années et ce prochain scrutin est perçu comme un référendum sur la popularité du PAP et du Premier ministre Lawrence Wong. Malgré la portée limitée des podcasts, le président du Parti démocratique de Singapour (SDP), Paul Tambyah, souligne qu’ils constituent “sans aucun doute” une meilleure plateforme que les médias traditionnels pour les acteurs hors du parti au pouvoir.Chee Soon Juan, le secrétaire général du SDP, a affirmé n’avoir jamais été invité par un média traditionnel pour une longue interview au cours de ses trois décennies de vie politique. Mais le Daily Ketchup, un autre podcast populaire, l’a reçu pendant une heure et demie.”Même si le gouvernement s’ouvre, je ne suis pas sûr que les médias sachent quoi faire”, tellement ils ont “été habitués à un certain style de couverture de l’information”, relève P.N. Balji, un journaliste spécialiste de l’univers médiatique singapourien.Contactés par l’AFP, les médias traditionnels n’ont pas répondu aux demandes d’entretiens.- “Demande latente” -Depuis que la popularité des podcasts décolle, l’opposition n’a pas perdu de temps.Harpreet Singh, un candidat débutant pour le parti des travailleurs, a fait l’objet d’un épisode de Yah Lah But qui a attiré près de 100.000 vues, un chiffre énorme pour une longue interview à Singapour.L’épisode du Daily Ketchup sur le dirigeant du SDP Chee Soon Juan, enregistré mi-avril, a lui recueilli 126.000 vues, ce qui prouve la “demande latente” pour ce type de formats avec des politiciens, explique Jonathan Chua, l’un des animateurs.En janvier, le Daily Ketchup avait réussi un coup d’éclat en décrochant une interview du Premier ministre Lawrence Wong, qui affiche 269.000 vues à ce jour.Les podcasts ont “considérablement élargi l’accès de l’opposition au public”, selon Cherian George, un expert en politique et en médias de Singapour. Cela “fait pression sur les médias traditionnels pour qu’ils réduisent leur parti pris en faveur de +l’establishment+”, estime-t-il.Les animateurs de Yah Lah But sont convaincus que les podcasts joueront un rôle plus important à l’avenir. “Les podcasts offrent une plateforme permettant de poser des questions vraiment difficiles que les médias traditionnels ne sont pas en mesure de poser”, conclut Terence Chia.

A Singapour, des podcasts donnent voix à l’opposition

Depuis leur mini studio d’enregistrement, Terence Chia et Haresh Tilani diffusent une parole rare dans l’univers hautement contrôlé des médias singapouriens: les voix des personnalités politiques de l’opposition avant les prochaines élections.Les deux hommes ont créé Yah Lah But, un podcast populaire dans la cité-Etat, avec la promesse de fournir “les conversations et les interviews …

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Enfants: des experts demandent à proscrire les écrans, très néfastes, avant six ans

Tablettes, TV, ordinateurs, téléphones, jeux vidéo: les écrans sont néfastes avant l’âge de six ans car ils “altèrent durablement la santé et les capacités intellectuelles” des enfants: des experts de la santé appellent mardi à une “prise de conscience collective”.Introduisant de nouveaux conseils aux parents, le carnet de santé entré en vigueur le 1er janvier stipule “pas d’écran avant trois ans”, et préconise un usage “occasionnel, limité à des contenus à qualité éducative et accompagné par un adulte” entre “trois et six ans”.Cet avertissement sanitaire est l’unique préconisation du rapport Enfants et écrans, réalisé il y a un an par une commission d’experts nommée par le président Emmanuel Macron, à être entrée en vigueur depuis.A l’heure où l’effet délétère des écrans sur les enfants ne fait pas consensus chez les chercheurs, les dix experts de cette commission avaient dépeint les réseaux sociaux comme “facteurs de risque” de dépression ou d’anxiété en cas de “vulnérabilité préexistante”, jugeant “alarmant” le niveau d’exposition des enfants à des contenus pornographiques et violents.Au vu des “connaissances récentes”, il faut proscrire les écrans “avant six ans”, écrivent mardi les cinq sociétés savantes, dont la Société française de pédiatrie et celles de Santé publique, de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent et d’ophtalmologie dans une tribune adressée “aux jeunes parents, aux enseignants, éducateurs et pédagogues, aux soignants, aux décideurs politiques”.”En 2025, le doute n’est plus permis et les très nombreuses publications scientifiques internationales sont là pour nous le rappeler: ni la technologie de l’écran ni ses contenus, y compris ceux prétendument +éducatifs+ ne sont adaptés à un petit cerveau en développement”, affirment les signataires.Les écrans “ne répondent pas aux besoins de l’enfant” et, “pire, ils entravent et altèrent la construction de son cerveau”, alertent les sociétés savantes.”Retard de langage, troubles de l’attention, de la mémorisation, agitation motrice…”: professionnels de santé et enseignants “constatent les dégâts produits par une exposition régulière aux écrans avant l’entrée à l’école primaire”, assurent-elles.Car le neurodéveloppement de l’enfant résulte “d’observations et d’interactions riches et variées avec l’environnement” pour lesquels “les six premières années de vie sont fondamentales”. Se défendant de vouloir “diaboliser les outils numériques et leur usage”, ils appellent les parents à “créer un environnement favorable à la santé et à l’épanouissement de l’enfant” avec des “activités alternatives: lecture à voix haute, jeux -libre, de société ou en plein air-, activités physiques, créatives et artistiques”.Si “tous les milieux socio-éducatifs sont concernés”, ils soulignent que “les expositions sont plus fortes dans les foyers défavorisés”.- “Etat d’urgence” contre les écrans  -“Nous les instits, on voit tout de suite quel enfant est sur les écrans ou pas, en termes de comportement, d’agitation, de raisonnement”, dit à l’AFP Nathalie L., professeur des écoles dans un village de la Drôme.”J’ai une petite qui fait des randos et joue au Monopoly en famille: ses écrits sont bourrés d’imagination”, rapporte-t-elle. Pour “capter l’attention des élèves habitués à zapper”, elle a mis en place “la classe flexible: changer d’activité au maximum tous les quarts d’heure”.Lundi, l’association Pas à Pas l’Enfant a déploré qu'”aucune action concrète n’ait été mise en place pour éviter le désastre sanitaire annoncé” par le rapport Enfants et écrans.Fin mars, sur France Inter, Servane Mouton, co-présidente de la commission ayant rédigé le rapport, pointait la responsabilité des “industriels, qui déploient des trésors d’inventivité et de créativité” pour créer des applications “qui vont nous faire passer le plus de temps possible” sur les écrans.Les “politiques”, ajoutait-elle, “peinent encore aujourd’hui à faire appliquer une régulation votée au niveau européen et à diffuser de façon massive un discours à jour des connaissances scientifiques”.Mardi l’ex-chef du gouvernement Gabriel Attal et le pédopsychiatre Marcel Rufo ont publié une autre tribune réclamant “état d’urgence contre les écrans” avec des “mesures radicales” pour “sauver” les adolescents des effets délétères des réseaux sociaux: création d’un “addict score”, d’un “couvre-feu numérique” et “entretien d’évaluation” de la dépendance aux écrans en 6ème, puis en 2nde.En novembre, l’Australie a voté une loi interdisant l’utilisation des réseaux pour tous les moins de 16 ansLa ministre de la Santé Catherine Vautrin “s’exprimera sur le sujet des écrans dans les prochaines semaines”, selon ses services.

Enfants: des experts demandent à proscrire les écrans, très néfastes, avant six ans

Tablettes, TV, ordinateurs, téléphones, jeux vidéo: les écrans sont néfastes avant l’âge de six ans car ils “altèrent durablement la santé et les capacités intellectuelles” des enfants: des experts de la santé appellent mardi à une “prise de conscience collective”.Introduisant de nouveaux conseils aux parents, le carnet de santé entré en vigueur le 1er janvier …

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Enfants: proscrire les écrans avant six ans car ils “altèrent durablement santé et capacités intellectuelles”, recommandent des experts

Les activités sur écrans doivent être proscrites pour les enfants de moins de six ans car elles “altèrent durablement leur santé et leurs capacités intellectuelles”, plaident cinq sociétés savantes dans une tribune publiée mardi.Cet “appel à une prise de conscience collective” s’adresse “aux jeunes parents, aux enseignants, éducateurs et pédagogues, aux soignants, aux décideurs politiques” …

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Enfants: proscrire les écrans avant six ans car ils “altèrent durablement santé et capacités intellectuelles”, recommandent des experts

Les activités sur écrans doivent être proscrites pour les enfants de moins de six ans car elles “altèrent durablement leur santé et leurs capacités intellectuelles”, plaident cinq sociétés savantes dans une tribune publiée mardi.Cet “appel à une prise de conscience collective” s’adresse “aux jeunes parents, aux enseignants, éducateurs et pédagogues, aux soignants, aux décideurs politiques” et est cosigné et mis en ligne par la Société française de pédiatrie et celles de Santé publique, de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent et d’ophtalmologie, ainsi que la Société francophone de santé et environnement.Le message actuel des autorités sanitaires, “pas d’écran avant trois ans”, est “clairement insuffisant et doit être actualisé à la lumière des connaissances récentes”, en devenant: “Pas d’écran avant six ans”, affirment-elles, un an après le rapport Enfants et écrans réalisé par une commission d’experts voulue par le président de la République, Emmanuel Macron. “En 2025, le doute n’est plus permis et les très nombreuses publications scientifiques internationales sont là pour nous le rappeler: ni la technologie de l’écran ni ses contenus, y compris ceux prétendument +éducatifs+ ne sont adaptés à un petit cerveau en développement”, ajoutent les signataires.”Les écrans, quelle qu’en soit la forme -télévision, tablette, téléphone- ne répondent pas aux besoins de l’enfant” et, “pire, ils entravent et altèrent la construction de son cerveau”, alertent les sociétés savantes.Professionnels de santé et enseignants de maternelle et de cours préparatoire “constatent les dégâts produits par une exposition régulière aux écrans avant l’entrée à l’école primaire: retard de langage, troubles de l’attention, de la mémorisation, agitation motrice…”, poursuit le texte.”Si tous les milieux socio-éducatifs sont concernés, les expositions sont plus fortes dans les foyers défavorisés, contribuant à l’accroissement des inégalités sociales”.Car le neurodéveloppement de l’enfant résulte “d’observations et d’interactions riches et variées avec l’environnement” pour lesquels “les six premières années de vie sont fondamentales”.”Il ne s’agit pas de diaboliser les outils numériques et leur usage mais il y a un âge pour tout”, soulignent ces experts de la santé, qui appellent les parents notamment à “créer un environnement favorable à la santé et à l’épanouissement de l’enfant”, en favorisant des “activités alternatives: lecture à voix haute, jeux -libre, de société ou en plein air- activités physiques, créatives et artistiques”.

Face aux fuites de données massives, la Cnil va hausser le ton, annonce sa présidente

Après une année 2024 marquée par des fuites de données personnelles “d’une ampleur inédite”, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) va exiger davantage de garanties aux détenteurs de grandes bases de données.Le régulateur, qui publie son rapport annuel mardi, va imposer aux entreprises et organismes publics qui détiennent des bases de données …

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