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Grand Palais: après les JO, l’intelligence artificielle

Emblématique de Paris, le Grand Palais, où se tiendra lundi et mardi le sommet sur l’intelligence artificielle, est connu pour ses manifestations culturelles et sportives, et fut notamment l’un des écrins des Jeux olympiques de 2024.Construit pour l’Exposition Universelle de 1900, le bâtiment de pierre, verre et acier situé au pied des Champs-Elysées et à deux …

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Trump accentue encore sa guerre contre les médias traditionnels

Lors de son premier mandat, il les désignait comme “ennemis du peuple”. En reprenant les rênes des Etats-Unis, Donald Trump a encore amplifié ses attaques contre les grands médias américains en les visant notamment au portefeuille.Actions en justice demandant des millions de dollars de dommages et intérêts, enquête sur les diffuseurs publics, désabonnement, et même retrait de bureaux: le camp du républicain utilise tout un arsenal pour s’en prendre à la presse traditionnelle.Dernier exemple en date: la tempête médiatique subie cette semaine par le journal Politico, connu pour raconter les coulisses de Washington.Sur X, des soutiens de Donald Trump ont écrit que l’USAID, l’agence américaine pour le développement internationale — quasi-démantelée par l’exécutif dans le même temps –, subventionnait le média à coup de millions de dollars.Un mensonge dénoncé haut et fort par sa directrice générale Goli Sheikholeslami. “Nous n’avons jamais reçu de subventions de l’Etat fédéral”, a-t-elle assuré, mais simplement l’argent correspondant à des abonnements.Ce qui n’a pas empêché Donald Trump d’affirmer jeudi que de l’argent de l’USAID et d’autres fonds fédéraux “est allé, tels des pots-de-vin, aux médias mensongers pour qu’ils écrivent des articles avantageux pour les démocrates”.La Maison Blanche a annoncé annuler ses abonnements à Politico.- Sièges au Pentagone -Avec ce genre d’épisode, les soutiens de Donald Trump auront “quelque chose de nouveau à utiliser pour s’expliquer toute couverture négative” de leur champion, estime Matt Gertz, chercheur au sein de l’ONG Media Matters, marquée à gauche.S’en prendre aux médias peut passer, pour le gouvernement Trump, par d’autres moyens.Brendan Carr, nouveau patron de la puissante agence fédérale des communications, la FCC, a annoncé ouvrir une enquête sur la radio publique NPR et la chaîne de télévision publique PBS, ce qui pourrait à terme menacer leurs financements.”Le nouveau patron de la FCC agit de façon agressive, et il semble que ce ne soit que le début”, estime de son côté Roy Gutterman, professeur de journalisme à l’Université de Syracuse.La nouvelle administration vise aussi les emplacements physiques des médias traditionnels.Dans le bâtiment du Pentagone, siège du ministère américain de la Défense, nombre de journalistes disposent de bureaux dédiés. Huit places attribuées à des grands médias, dont le New York Times, CNN, ou le Washington Post, ont été réattribuées d’office par les nouvelles autorités à des publications plus marquées à droite, comme le tabloïd New York Post.Dans ces attaques en règle, une exception: Fox News, chaîne d’info la plus regardée du pays, étendard des conservateurs et vivier de recrutement pour le nouveau pouvoir. La chaîne de la famille Murdoch a même embauché cette semaine Lara Trump, la belle-fille du président.- Millions de dollars -La chaîne de télévision ABC a elle accepté en décembre de payer quinze millions de dollars de dédommagements pour mettre fin aux poursuites pour diffamation lancées par Donald Trump après des propos tenus à l’antenne par un présentateur vedette.Cet accord financier hors tribunal a été vu comme une concession d’un grand média au milliardaire, dont nombre d’efforts visant à poursuivre des journalistes avaient jusqu’à présent échoués.CBS News, autre géant de l’information aux Etats-Unis, est également poursuivi par Donald Trump. Le président l’accuse d’avoir manipulé pendant la campagne une interview de Kamala Harris de manière à faire paraître la vice-présidente, et candidate démocrate malheureuse, sous un meilleur jour.Cédant aux pressions, la chaîne a récemment diffusé les images de l’entretien dans leur intégralité, et Paramount Global, sa maison-mère, envisage de payer des sommes importantes dans ce dossier.”Certains des plus grands médias semblent avoir conclu qu’il n’est simplement pas dans leur intérêt financier de mécontenter le président”, a résumé le professeur à l’université de Columbia Jameel Jaffer dans une tribune au New York Times.

Trump accentue encore sa guerre contre les médias traditionnels

Lors de son premier mandat, il les désignait comme “ennemis du peuple”. En reprenant les rênes des Etats-Unis, Donald Trump a encore amplifié ses attaques contre les grands médias américains en les visant notamment au portefeuille.Actions en justice demandant des millions de dollars de dommages et intérêts, enquête sur les diffuseurs publics, désabonnement, et même …

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IA : le patron OpenAI exhorte l’Europe à ne pas prendre de retard

Le leader de l’intelligence artificielle OpenAI respectera le nouveau règlement européen sur l’IA, a assuré son patron Sam Altman vendredi à Berlin, tout en exhortant l’UE à ne pas prendre du “retard” sur ses concurrents.”Nous nous conformerons évidemment aux règles (…) mais je pense que c’est dans l’intérêt de l’Europe de pouvoir adopter l’IA et …

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IA : le patron OpenAI exhorte l’Europe à ne pas prendre de retard

Le leader de l’intelligence artificielle OpenAI respectera le nouveau règlement européen sur l’IA, a assuré son patron Sam Altman vendredi à Berlin, tout en exhortant l’UE à ne pas prendre du “retard” sur ses concurrents.”Nous nous conformerons évidemment aux règles (…) mais je pense que c’est dans l’intérêt de l’Europe de pouvoir adopter l’IA et de ne pas être en retard par rapport au reste du monde”, a assuré le créateur de ChatGPT lors d’un débat public à l’université technique de Berlin.Le directeur général d’OpenAI s’exprimait quelques jours après que la Commission Européenne a précisé le contenu d’un règlement européen sur l’IA adopté l’an dernier, inédit au niveau mondial.A partir du 2 août, Bruxelles pourra interdire une liste d’outils d’IA jugés suffisamment dangereux et appliquer des amendes.”Nous voulons pouvoir déployer nos produits en Europe aussi rapidement que nous le faisons dans le reste du monde”, a dit Sam Altmann en évoquant sa vision d’un “Stargate” européen, en référence au récent projet de 500 milliards de dollars d’investissements dans les infrastructures américaines d’IA.L’UE prend le sens inverse des Etats-Unis, alors que Donald Trump a dérèglementé, dès son premier jour à la Maison Blanche, ce secteur à la fois prometteur et incertain.Pour se plier aux règles européennes, OpenAI a annoncé jeudi l’autorisation de stockage des données de ses clients européens au sein de l’UE, plutôt qu’aux Etats-Unis.Devant une salle comble de plus d’un millier de spectateurs, Sam Altman s’est dit “tout à fait convaincu” que les Européens souhaitent utiliser l’IA pour “revitaliser la croissance économique”.OpenAI a choisi Munich pour s’implanter en Allemagne, “un marché incroyable pour nous”, a dit le milliardaire vendredi.Sam Altman a invité le public, en majorité étudiant, à réaliser le potentiel “incroyable” de l’IA et à l’exploiter dans les années à venir.OpenAI et ses principaux concurrents tentent de rassurer sur l’avenir de l’intelligence artificielle, alors que de nombreux observateurs pointent ses limites, notamment sa capacité future à résoudre les défis climatiques et scientifiques.Sam Altman se rendra la semaine prochaine à un sommet sur l’intelligence artificielle à Paris.

L’intelligence artificielle à la rescousse des agriculteurs indiens

Dès le réveil, R Murali, un agriculteur indien, vérifie d’un simple coup d’oeil sur une application de son téléphone si ses grenadiers ont besoin d’être arrosés, fertilisés ou si des parasites les menacent. “C’est devenu une routine”, un peu comme “prier tous les jours”, explique à l’AFP le cultivateur de 51 ans, dans sa ferme de …

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L’intelligence artificielle à la rescousse des agriculteurs indiens

Dès le réveil, R Murali, un agriculteur indien, vérifie d’un simple coup d’oeil sur une application de son téléphone si ses grenadiers ont besoin d’être arrosés, fertilisés ou si des parasites les menacent. “C’est devenu une routine”, un peu comme “prier tous les jours”, explique à l’AFP le cultivateur de 51 ans, dans sa ferme de l’Etat de Karnataka, dans le sud de l’Inde. Une grande partie de la vaste économie agricole de l’Inde, qui demeure très traditionnelle, est affectée par des conditions météorologiques extrêmes dues au changement climatique. M. Murali fait partie des fermiers de plus en plus nombreux à recourir aux outils d’intelligence artificielle (IA) pour cultiver “plus efficacement”. “L’application est la première chose que je vérifie au réveil”, souligne le cultivateur, dont l’exploitation est équipée de capteurs qui fournissent des mises à jour constantes sur le taux d’humidité du sol, les niveaux de nutriments et les prévisions météorologiques à l’échelle de la ferme. Selon lui, le système d’IA mis au point par la startup indienne Fasal, qui indique les quantités exactes d’eau, d’engrais et de pesticides nécessaires – et le moment où il faut les utiliser – lui a permis de réduire ses coûts de 20% sans diminuer les rendements. “Ce que nous avons construit, c’est une technologie qui permet aux cultures de parler à leurs agriculteurs”, explique Ananda Verma, fondateur de Fasal, qui fournit ses services à quelque 12.000 fermiers. – “Prendre de meilleures décisions” -C’est en voulant comprendre l’humidité du sol, que M. Verma, 35 ans, a commencé en 2017 à “bricoler” ce système pour la ferme de son père, dans l’objectif d’aider les agriculteurs à “prendre de meilleures décisions”. Installer les produits proposés par cette société coûte de 55 à 276 euros, un prix relativement élevé dans un pays où le revenu mensuel moyen des agriculteurs est de 112 euros et où plus de 85% des exploitations agricoles ont une superficie inférieure à deux hectares, selon les chiffres du gouvernement.Le gouvernement affiche sa volonté de soutenir le développement d’une IA locale et peu coûteuse. La Premier ministre indien Narendra Modi co-présidera le sommet pour l’action sur l’Intelligence artificielle lundi à Paris. L’agriculture, qui représente environ 15% de l’économie indienne, est un secteur prêt à bénéficier de la technologie de l’IA, les exploitations agricoles ayant besoin d’investissements et de modernisation au plus vite. Les pénuries d’eau, les inondations et les conditions météorologiques de plus en plus irrégulières, ainsi que l’endettement, ont fait payer un lourd tribut à l’agriculture qui emploie environ deux tiers des 1,4 milliard d’habitants du pays le plus peuplé de la planète. L’Inde compte déjà plus de 450 startups dans le domaine de l’agritech qui pèsent 23 milliards d’euros, selon un rapport du groupe de réflexion gouvernemental NITI Aayog pour l’année 2023. Cette étude pointe cependant un manque de culture numérique, qui se traduit souvent par une faible adoption des solutions agritech. – Un lent déploiement -Parmi ces sociétés, Niqo Robotics, a mis au point un système utilisant des caméras d’intelligence artificielle attachées à des machines de pulvérisation de produits chimiques ciblés. Montés sur des tracteurs, des pulvérisateurs évaluent chaque plante pour leur fournir la quantité idéale de produits chimiques, ce qui permet de réduire les coûts d’intrants et de limiter les dommages environnementaux, selon l’entreprise. Niqo affirme que ses utilisateurs dans les Etats du Maharashtra (ouest) et de l’Andhra Pradesh (est) ont réduit leurs dépenses en produits chimiques de 90%.Une autre startup, BeePrecise, a mis au point une surveillance IA mesurant la santé des ruches, notamment le taux d’humidité, la température et même le son des abeilles – pour suivre les activités de la reine des abeilles. Selon Rishina Kuruvilla, salariée de cette société, cet outil permet aux apiculteurs de récolter un miel “un peu plus biologique et meilleur pour la consommation”.Si les technologies de l’IA sont en plein essor, les leur déploiement est lent, beaucoup d’agriculteurs n’ayant pas les moyens de les acheter. L’économiste spécialisé dans le domaine de l’agriculture RS Deshpande, professeur invité à l’Institut pour les changements sociaux et économique de Bangalore, estime que le gouvernement doit prendre en charge les coûts de modernisation. De nombreux agriculteurs “survivent” uniquement parce qu’ils mangent ce qu’ils cultivent, souligne-t-il, mais “si le gouvernement est prêt, l’Inde est prête”. 

Intelligence artificielle: pourquoi certains pays interdisent-ils DeepSeek?

L’irruption du robot conversationnel R1 de la start-up chinoise DeepSeek a stupéfié l’industrie de la tech par sa capacité à égaler ses concurrents américains pour un coût moindre, rebattant les cartes de l’intelligence artificielle (IA).Mais ce chatbot à peine lancé, plusieurs gouvernements ont déjà restreint son utilisation, invoquant des menaces pour la sécurité nationale ou …

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Intelligence artificielle: pourquoi certains pays interdisent-ils DeepSeek?

L’irruption du robot conversationnel R1 de la start-up chinoise DeepSeek a stupéfié l’industrie de la tech par sa capacité à égaler ses concurrents américains pour un coût moindre, rebattant les cartes de l’intelligence artificielle (IA).Mais ce chatbot à peine lancé, plusieurs gouvernements ont déjà restreint son utilisation, invoquant des menaces pour la sécurité nationale ou de potentielles fuites d’informations sensibles.L’AFP fait le point sur la situation: – Qui a interdit DeepSeek? -L’Italie est le premier pays à avoir ouvert une enquête sur DeepSeek, à qui elle a interdit de traiter les données d’utilisateurs italiens. En 2023, l’organisme de surveillance italien avait déjà temporairement bloqué le chatbot d’OpenAI dans le pays, ChatGPT, pour des raisons de confidentialité.Après l’Italie, les autorités taïwanaises ont interdit à leurs fonctionnaires et à des infrastructures-clés d’utiliser les applications de la start-up chinoise, invoquant des risques pour “la sécurité nationale de l’information”.Cette décision a été suivie quelques jours plus tard par l’Australie.En Corée du Sud, plusieurs ministères, dont celui qui supervise les relations avec la Corée du Nord, ont bloqué l’accès à DeepSeek sur leurs ordinateurs. Ces mesures de blocage concernent également les “PC militaires”.Aux Etats-Unis, une proposition de loi a été présentée par des parlementaires pour empêcher l’utilisation de DeepSeek – qualifiée d'”entreprise affiliée au Parti communiste chinois” par le représentant Darin LaHood – sur les appareils du gouvernement pour des raisons de cybersécurité.- Que craignent-ils? -Les conditions générales de DeepSeek renferment une section sur la transmission des données personnelles à des tiers, très semblable à celle de ChatGPT, le robot conversationnel de son rival américain OpenAI.Mais “en Chine, lorsque le gouvernement demande l’accès aux données des utilisateurs, les entreprises sont légalement tenues de les fournir”, relève Youm Heung-youl, enseignant et spécialiste de la sécurité des données à l’université Soonchunhyang en Corée du Sud.Selon la politique de confidentialité de DeepSeek, la start-up chinoise collecte également des informations sur “les frappes au clavier”, c’est-à-dire toute interaction qu’un utilisateur effectue avec une touche de son clavier.Pékin affirme pour sa part que le gouvernement chinois “n’exigera jamais des entreprises ou des individus qu’ils collectent ou stockent illégalement des données”.La Chine a dénoncé les restrictions récemment imposées par plusieurs pays, y voyant une “politisation des questions économiques, commerciales et technologiques”.- Des inquiétudes justifiées? -La décision de la Corée du Sud de restreindre l’utilisation de DeepSeek répond à de “véritables inquiétudes”, mais témoigne également de “leur réflexe de suivre la ligne des Etats-Unis”, souligne Vladimir Tikhonov, professeur d’études coréennes à l’université d’Oslo. Les Etats-Unis sont un partenaire clé de la Corée du Sud, où sont stationnés des dizaines de milliers de soldats américains pour la protéger de son voisin du Nord.Selon M. Tikhonov, Séoul “ne peut pas opérer seule dans une situation de guerre à grande échelle. On s’attend donc plus ou moins à ce qu’elle suive les directives de l’armée américaine en matière de cybersécurité”.Mais, note-t-il, “aucune grande entreprise de la tech n’est politiquement neutre”. “Google stocke les données relatives à l’historique de navigation et il est naïf de penser qu’elles ne sont pas partagées avec des agences gouvernementales lorsqu’elles en font la demande”, poursuit le professeur.Il reconnaît toutefois que la collaboration des grandes entreprises de la tech avec les autorités chinoises est probablement “plus approfondie”.- DeepSeek, une surprise? -“DeepSeek a été lancé en mai 2023, et une chose pareille ne peut pas émerger du jour au lendemain”, estime Park Seung-chan, professeur d’économie chinoise à l’université sud-coréenne de Yongin.Pour les experts, DeepSeek a notamment vu le jour grâce aux investissements massifs de la Chine ces dernières années dans la recherche et le développement. Selon les données de la Chambre de commerce sud-coréenne, la Chine se classe au deuxième rang mondial des investisseurs en recherche et développement, tout juste derrière les Etats-Unis.”Je vois (l’irruption du robot conversationnel R1, ndlr) comme un coup calculé qui a été préparé avant l’ère Trump, et nous devrions prêter attention aux deuxième et troisième vagues de DeepSeek”, avertit M. Park.- Quelles leçons? -DeepSeek dit avoir utilisé des puces H800, moins performantes que d’autres modèles mais autorisées pour l’exportation vers la Chine jusqu’à fin 2023.”Si DeepSeek a réellement utilisé des H800, cela signifie que même sans semi-conducteurs dernier cri, des résultats semblables pourraient être obtenus avec des semi-conducteurs standard, tant que le logiciel est bon”, explique Park Ki-soon, professeur à l’université Sungkyunkwan en Corée du Sud.De quoi mettre sens dessus dessous l’industrie des semi-conducteurs, dont la Corée du Sud et Taïwan sont à la pointe.”Des pays comme les Etats-Unis et la Chine investissent des ressources et des talents considérables dans le développement de logiciels”, souligne Park Ki-soon, pour qui DeepSeek est la preuve que tous les gouvernements devraient davantage soutenir ce secteur.

Derrière la révolution de l’IA, la place des femmes en question

Une révolution 100% masculine ? La surreprésentation des hommes dans le secteur de l’intelligence artificielle pose la question de la place des femmes, une absence à laquelle il est urgent de s’attaquer aux yeux des spécialistes.En France, selon l’Insee, les femmes représentent seulement 24% des personnes employées dans le numérique. Au niveau mondial, elles représentent …

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