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“A un instant T, 2,6 millions de pédocriminels en ligne”, selon une experte

“Les experts estiment qu’à un instant T, il y a 2,6 millions de pédocriminels en ligne dans le monde”, expose à l’AFP la commandante de police Véronique Béchu, auteure d’un livre reconnu et membre de la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise). Q: Comment votre livre “Derrière l’écran, combattre l’explosion …

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Trump: la Chine a fait capoter un projet d’accord sur TikTok à cause des droits de douane

Donald Trump a rapporté dimanche que la Chine avait fait capoter un projet d’accord avec les Etats-Unis sur la vente du réseau social TikTok, à cause des nouveaux droits de douane imposés par Washington.”Si je leur avais donné une petite baisse de droits de douane, ils auraient approuvé l’accord en 15 minutes”, a déclaré M. Trump à des journalistes à bord de l’avion présidentiel Air Force One. “Ca vous montre la puissance des droits de douane, non?”Une loi votée en 2024 par le Congrès américain impose au chinois ByteDance de céder le contrôle de Tiktok sous peine d’interdiction aux Etats-Unis.Peu après son retour à la Maison Blanche fin janvier, Donald Trump avait reporté l’échéance de 75 jours, jusqu’au 5 avril. Il l’a prolongée une nouvelle fois de 75 jours vendredi, deux jours après avoir annoncé une volée de droits de douane sur l’ensemble des importations américaines, et notamment de 34% sur les produits chinois.La cession de la filiale américaine de TikTok nécessite le feu vert de ByteDance mais aussi des autorités chinoises, qui n’ont, ni l’une, ni l’autre, validé jusqu’à présent l’idée même d’une vente.Donald Trump, après avoir tenté de forcer la cession de la plateforme en 2020, s’est posé, depuis la dernière campagne présidentielle américaine, en sauveur du réseau social aux 170 millions d’utilisateurs aux Etats-Unis.

Trump: la Chine a fait capoter un projet d’accord sur TikTok à cause des droits de douane

Donald Trump a rapporté dimanche que la Chine avait fait capoter un projet d’accord avec les Etats-Unis sur la vente du réseau social TikTok, à cause des nouveaux droits de douane imposés par Washington.”Si je leur avais donné une petite baisse de droits de douane, ils auraient approuvé l’accord en 15 minutes”, a déclaré M. …

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Loin des prouesses numériques des jeux actuels, la passion vivace du retrogaming

“Il y aura toujours un jeu qui devient rétro”: loin d’être une tendance passagère, le retour en grâce des consoles et jeux vidéo vintage ne faiblit pas, entre nostalgie et besoin de déconnexion. A Stoke-on-Trent (centre de l’Angleterre), Luke Malpass reçoit des colis du monde entier contenant des consoles à remettre en état.Il y a six ans, ce joueur de 38 ans a fait de sa passion son métier, en ouvrant chez lui RetroSix, un atelier de réparation de consoles anciennes. Game Boy, Nintendo Super NES, Sega Megadrive… il a désormais en permanence entre 50 et 150 consoles en attente.Le long des murs de son atelier, des étagères contiennent composants électroniques et accessoires pour la quasi-totalité des modèles mis sur le marché depuis les années 1980. Pour entre 60 et plusieurs centaines d’euros, les propriétaires d’anciennes consoles peuvent les voir remises à neuf.”Je pense qu’il y a essentiellement un élément nostalgique” mais “je crois que c’est aussi l’expérience tactile. Prendre une boite d’une étagère, insérer le jeu dans la console (…) ça augmente le plaisir du jeu”, estime Luke pour expliquer son succès.Il y voit aussi un besoin de déconnexion par rapport aux jeux actuels, dont la plupart se jouent en ligne contre d’autres participants, ce qui implique de pratiquer beaucoup pour être au niveau.”Un jeu rétro, vous le prenez, l’allumez pour dix minutes ou une heure, peu importe. C’est instantané et c’est agréable. Vous n’êtes en compétition avec personne, et ça ne vous rend pas malheureux ou en colère”, assure Luke, fan notamment de jeux comme Resident Evil ou Jurassic Park.Il va même jusqu’à acheter de vieilles télévisions à tube cathodique pour une expérience encore plus fidèle à celle de son enfance. Les vidéos de ses réparations qu’il publie sur Youtube ou Tiktok sont vues par des dizaines de milliers de personnes.Et selon lui, le phénomène n’est pas prêt de retomber.- Même la Gen Z -“Les gens auront toujours une passion naturelle pour les choses avec lesquelles ils ont grandi étant enfants, donc je pense qu’on aura toujours du travail. Cela va évoluer et ce ne sera probablement plus des Game Boys”, mais “il y aura toujours un jeu qui devient rétro”, assure Luke. Cette année, les Bafta britanniques, qui organisent mardi leur cérémonie annuelle de récompenses des jeux vidéo, ont lancé un sondage pour désigner “le jeu le plus influent de tous les temps”. “Shenmue”, jeu d’aventure et d’action de 1999 est arrivé en tête, devant “Doom” (1993) et Super Mario Bros (1985).Le London Gaming Market, dédié aux jeux vidéo vintage, dont la 10e édition s’est tenue dans la capitale britannique à la mi-mars, a aussi vu son nombre de visiteurs augmenter ces dernières années.Entre les étals où sont exposés disquettes, CD et vieilles consoles, les amateurs ou collectionneurs se pressaient pour tenter de mettre la main sur une perle rare. “Je suis un grand fan de Sonic le Hérisson. J’ai la montre et d’autres objets (…) Je recherche toujours” de nouvelles choses, confie Adrian, vêtu d’un t-shirt à l’effigie du célèbre hérisson développé par Sega.Andy Brown, directeur de Replay Events, organisateur de l’évènement, a vu un vrai changement depuis le Covid. “Les gens étaient confinés chez eux, à la recherche d’activités qui leur rappellent des souvenirs d’une époque meilleure, car l’ambiance était très pessimiste”, explique-t-il.Selon une étude réalisée début 2025 par l’association de consommateurs américaine Consumer Reports, 14% des Américains jouent sur des consoles sorties avant 2000.Et au Royaume-Uni, 24% des jeunes de la génération Z (ayant entre 13 et 28 ans) possèdent une console ancienne, selon un sondage réalisé auprès de 2.000 Britanniques en marge d’un récent évènement à Londres lié au retrogaming, organisé par la marque Pringles.En septembre dernier, les douanes italiennes ont démantelé un trafic de consoles vidéo vintage contrefaites, et saisi environ 12.000 appareils contenant des jeux parmi les plus populaires des années 1980 et 90.

Loin des prouesses numériques des jeux actuels, la passion vivace du retrogaming

“Il y aura toujours un jeu qui devient rétro”: loin d’être une tendance passagère, le retour en grâce des consoles et jeux vidéo vintage ne faiblit pas, entre nostalgie et besoin de déconnexion. A Stoke-on-Trent (centre de l’Angleterre), Luke Malpass reçoit des colis du monde entier contenant des consoles à remettre en état.Il y a six …

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TikTok: Trump reporte encore l’échéance, ByteDance évoque des “questions clefs” à résoudre

Donald Trump a annoncé vendredi qu’il reportait de 75 jours supplémentaires la date limite fixée pour la vente du réseau social TikTok, la maison mère du réseau social, ByteDance, faisant état de “questions clefs” encore à résoudre.Le président américain avait déjà reporté une première fois, de 75 jours fin janvier, l’entrée en vigueur d’une loi votée en 2024 par le Congrès et qui impose à ByteDance d’en céder le contrôle sous peine d’interdiction aux Etats-Unis.Ce texte visait à empêcher que les autorités chinoises ne puissent mettre la main sur des données personnelles d’utilisateurs de TikTok aux Etats-Unis ou ne soient en mesure d’influencer l’opinion américaine via le puissant algorithme du réseau social.L’échéance est désormais déplacée au 19 juin.La cession de la filiale américaine de TikTok nécessite le feu vert de ByteDance mais aussi des autorités chinoises, qui n’ont, ni l’une, ni l’autre, validé jusqu’à présent l’idée même d’une vente.”Des questions clefs doivent encore être résolues”, a prévenu vendredi le groupe chinois, confirmant des discussions mais rappelant que toute transaction devrait être “approuvée en conformité avec la loi chinoise”.La tonalité de ces communications contraste avec l’assurance affichée par Donald Trump et son vice-président JD Vance, chargé du dossier à la Maison Blanche, qui avaient affirmé à plusieurs reprises ces derniers jours qu’un accord final serait trouvé avant la date limite du 5 avril.”Nous espérons poursuivre, dans un esprit constructif, notre travail avec la Chine qui, de ce que j’entends, n’est pas ravie des droits de douane réciproques” imposés au pays par Donald Trump, a écrit le chef de l’Etat dans un message posté sur son réseau Truth Social.Cette nouvelle taxe de 34% s’ajoute, dans le cas de la Chine, aux 20% déjà en vigueur, ce qui porte le total de droits supplémentaires à 54%.- “Monnaie d’échange” -La Chine a riposté et annoncé vendredi la mise en place d’une taxe de 34% sur les produits américains importés dès le 10 avril.”Le report (de la date limite) permet de maintenir TikTok en vie et d’accréditer l’idée que les droits de douane font leur effet” et incitent la Chine à une inflexion, a commenté Jeremy Goldman, analyste du cabinet Emarketer.”Trump peut continuer à utiliser TikTok comme une monnaie d’échange dans sa saga géopolitique avec la Chine”, a-t-il poursuivi.”Nous ne voulons pas que TikTok disparaisse”, a redit Donald Trump, qui après avoir tenté de forcer la cession de la plateforme en 2020, s’est posé, depuis la dernière campagne présidentielle américaine, en sauveur du réseau social aux 170 millions d’utilisateurs aux Etats-Unis.”Nous sommes impatients de travailler avec TikTok et la Chine pour finaliser cette opération”, qui “nécessite davantage de travail pour s’assurer de la signature de tous les accords nécessaires”, a décrit l’ancien promoteur immobilier.Selon plusieurs médias américains, des discussions sont en cours, avec comme scénario central la scission de TikTok de sa maison mère.Les actionnaires de ByteDance se verraient alors confier des actions de cette nouvelle entité à concurrence de leur participation actuelle dans le géant chinois.Selon TikTok lui-même, environ 60% du capital de ByteDance est aux mains d’investisseurs non chinois, ce qui reviendrait à ce que la plateforme vidéo ne soit plus contrôlée majoritairement par une entreprise chinoise, principale exigence du Congrès.Si ce scénario l’emportait, il écarterait tout paiement et éviterait aussi l’entrée au capital d’un ou plusieurs prétendants qui se sont manifestés ces derniers mois pour racheter TikTok.Cette liste comprend notamment le “Project Liberty” de l’entrepreneur Frank McCourt, propriétaire de l’Olympique de Marseille, le YouTubeur MrBeast ou la startup d’intelligence artificielle (IA) générative Perplexity AI.Ces derniers jours, se sont aussi manifestés, selon des médias américains, Amazon et Walmart, qui avaient présenté, en 2020, une offre conjointe avec Microsoft pour racheter TikTok, proposition restée lettre morte.Quelques acteurs américains, notamment le spécialiste de l’informatique à distance (cloud) Oracle, qui héberge déjà les serveurs de TikTok aux Etats-Unis, ou la société d’investissement Blackstone, pourraient prendre une participation minoritaire, selon des médias américains.Mais l’enjeu est tout autant financier que technologique avec, au centre du dossier, le fameux algorithme de recommandation de TikTok, qui explique la popularité de l’application.Or, c’est bien au contrôle de ce programme par une entité chinoise que voulait mettre fin le Congrès.Le New York Times a suggéré que la nouvelle entité pourrait obtenir une licence auprès de ByteDance pour l’exploiter.

TikTok: Trump reporte encore l’échéance, ByteDance évoque des “questions clefs” à résoudre

Donald Trump a annoncé vendredi qu’il reportait de 75 jours supplémentaires la date limite fixée pour la vente du réseau social TikTok, la maison mère du réseau social, ByteDance, faisant état de “questions clefs” encore à résoudre.Le président américain avait déjà reporté une première fois, de 75 jours fin janvier, l’entrée en vigueur d’une loi …

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Philippe Corbé, ex-BFMTV, devient directeur de l’information de France Inter

Ancien directeur de la rédaction de BFMTV, Philippe Corbé, 45 ans, a été nommé directeur de l’information de France Inter, a annoncé à l’AFP Adèle Van Reeth, directrice de la radio publique qui cavale en tête des audiences.Le journaliste succède à Marc Fauvelle, lui-même parti pour BFMTV pour y présenter un rendez-vous d’information, dont la case et le démarrage n’ont pas été encore précisés.L’annonce de l’arrivée de Philippe Corbé au sein du groupe Radio France, à partir du 22 avril, a été faite vendredi après-midi à la rédaction par Adèle Van Reeth.”Quatre critères” étaient recherchés, dont celui d'”une expérience de management dans un grand média, une expertise du terrain et de la radio”, et aussi la volonté “d’incarner la chaîne à l’extérieur pour la valoriser et nous défendre face à nos détracteurs”, a-t-elle indiqué à l’AFP. Adèle Van Reeth entend aussi avec cette nomination “se projeter sur le long terme”, avec comme étape clé la couverture de la prochaine élection présidentielle. Le nouveau directeur de l’information fonctionnera en tandem avec Rémi Sulmont, directeur de la rédaction de France Inter.Philippe Corbé était directeur de la rédaction de BFMTV depuis mars 2023, après en avoir été chef du service politique. Auparavant, il avait passé plusieurs années au sein de la radio RTL, notamment comme correspondant aux Etats-Unis.Philippe Corbé avait quitté à l’automne dernier la chaîne télé, rachetée avec RMC en juillet 2024 par l’armateur CMA CGM, contrôlé par le milliardaire Rodolphe Saadé. Ce rachat, qui a entraîné des changements dans l’organigramme de la chaîne info, s’est accompagné de départs au sein des rédactions et a provoqué des incertitudes. 

Philippe Corbé, ex-BFMTV, devient directeur de l’information de France Inter

Ancien directeur de la rédaction de BFMTV, Philippe Corbé, 45 ans, a été nommé directeur de l’information de France Inter, a annoncé à l’AFP Adèle Van Reeth, directrice de la radio publique qui cavale en tête des audiences.Le journaliste succède à Marc Fauvelle, lui-même parti pour BFMTV pour y présenter un rendez-vous d’information, dont la …

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Radio Free Europe sonnée mais “toujours debout” face aux assauts de Trump

“Troublé, déconcerté, déterminé”: plus de deux semaines après l’annonce par l’administration américaine du démantèlement brutal de Radio Free Europe, son patron a encore du mal à mettre les mots sur l’épreuve traversée par ses 1.700 journalistes.Mais Stephen Capus l’assure, il ne baissera pas les bras: “Je n’ai pas choisi la bagarre mais maintenant je ne reculerai pas”, dit-il dans une interview accordée jeudi à l’AFP depuis le siège de la radio à Prague.Donald Trump a signé en mars un décret rangeant parmi les “éléments inutiles de la bureaucratie fédérale” l’USAGM, structure qui chapeaute les médias publics américains à l’étranger – comme Voice of America, Radio Free Europe/Radio Liberty et Radio Free Asia. Plongée du jour au lendemain dans l’incertitude, RFE/RL a remporté la semaine dernière une première victoire en justice et attend désormais le déblocage de subventions de 77 millions de dollars (69 millions d’euros), “retenues illégalement”.”Nous sommes toujours debout, nous avons gardé l’ensemble de nos 27 langues, mais avec un personnel réduit et des économies qui diminuent comme peau de chagrin”, explique son dirigeant, visiblement secoué, alors qu’une “grande partie” du personnel a dû être mis en congé cette semaine. “Nous nous dirigeons tout droit vers une situation désespérée”, lâche-t-il.- “Attaque de l’intérieur” -Si Radio Free Europe a l’habitude de se battre contre les autocrates qui “bloquent nos services ou emprisonnent nos journalistes”, là, “l’attaque vient de l’intérieur et nous ne nous y attendions pas”.Washington a non seulement coupé les vivres mais aussi désactivé “sans préavis” les services satellitaires permettant de transmettre un programme en Russie et d’autres régions, révèle le sexagénaire.Cravate jaune et bleu et bracelet en soutien à l’Ukraine en guerre, Stephen Capus, arrivé début 2024 après 20 ans au sein de la chaîne NBC, insiste sur “la mission cruciale” de RFE/RL, dans un état d’esprit très “différent” de ce qu’il a pu connaître dans d’autres médias.Financée par le Congrès américain, la radio a été fondée en 1950 pendant la Guerre froide pour émettre vers le bloc communiste. Elle a contribué, quatre décennies plus tard, à la chute des régimes totalitaires en Europe centrale et de l’Est.Basée à l’origine à Munich, la radio s’est déplacée à Prague en 1995 et émet aujourd’hui vers 23 pays – dont beaucoup restreignent drastiquement la liberté des médias -, avec une audience de près de 50 millions de personnes chaque semaine.- Sentiment de “trahison” -Ses journalistes sont régulièrement pris pour cible, à l’instar d’Alsu Kurmasheva qui a été détenue pendant plusieurs mois en Russie avant d’être libérée en août 2024 dans un échange de prisonniers historique entre Moscou et les Occidentaux.Dans les locaux de Prague, nombreux s’inquiètent de leur sort si la radio met la clef sous la porte.”Le bâtiment entier est rempli de gens qui ont quitté leur pays et se sentent aujourd’hui trahis”, souffle Stephen Capus. “Vont-ils devoir être renvoyés en Afghanistan, Iran, Russie, Bélarus ou Géorgie?””Chaque jour, ils sont harcelés, intimidés”, raconte-t-il, mettant en garde contre “un désastre humanitaire” s’ils perdaient leur emploi. Pour le président de Radio Free Europe, la décision américaine de geler les fonds est “un cadeau fait aux ennemis des Etats-Unis”, “un baiser absolu”.Dans cette période sombre, Stephen Capus “puise sa force” dans “l’incroyable” soutien reçu à travers l’Europe, de la part des responsables politiques mais aussi de tous les auditeurs trouvant dans Radio Free Europe, hier comme aujourd’hui, une échappatoire face aux restrictions des droits. “Nous sommes déterminés à remporter ce combat et nous sommes convaincus que la loi est de notre côté”, conclut-il, avant de repartir plaider la cause de ses troupes.