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Marchés financiers: Merz appelle à la création d’une Bourse européenne

Le chancelier allemand Friedrich Merz a appelé jeudi à la création d’une place financière européenne pour concurrencer ses rivales américaines et asiatiques, afin d’éviter la fuite des capitaux des entreprises du continent, en perte de compétitivité.Lors d’un discours devant les députés allemands avant un sommet européen la semaine prochaine, le chancelier a répété la nécessité …

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LVMH demande à la direction du Parisien un plan d’ici la fin de l’année pour réduire ses pertes

Le groupe LVMH, propriétaire du Parisien/Aujourd’hui en France, a demandé mercredi à la direction du quotidien de lui présenter d’ici la fin de l’année un plan pour réduire ses pertes, selon un compte-rendu d’une réunion du comité de groupe de LVMH consulté jeudi par l’AFP.La direction du groupe de luxe a demandé au PDG du Parisien/Aujourd’hui en France Pierre Louette de présenter un plan stratégique pour ramener le titre à l’équilibre financièrement, le niveau de pertes étant trop important, selon ce compte-rendu d’un participant.Elle a ensuite assuré que l’option d’une vente n’était pas à l’ordre du jour mais ne pouvait être exclue en cas d’absence de consensus sur la mise en place de ce plan stratégique de réduction des pertes, selon le même document.Quant à une potentielle revente au groupe Bolloré, LVMH a assuré que cela restait une rumeur, affirmant qu’il n’y avait pas de processus en cours, toujours selon la même source.Contacté par l’AFP, le numéro un mondial du luxe s’est refusé à tout commentaire concernant ces informations. Les journalistes du quotidien s’inquiètent d’un éventuel projet de vente du Parisien au milliardaire conservateur Vincent Bolloré, évoquée par le magazine Challenges dans un article paru en septembre.D’après le document résumant une partie des échanges du comité de groupe, LVMH a assuré être dans une logique économique et non idéologique concernant Le Parisien.Sollicité par l’AFP, Pierre Louette n’avait pas répondu dans l’immédiat. Un plan de réorganisation prévoyant la suppression de près de 40 postes est déjà en cours au Parisien. Son annonce avait entraîné une grève de 24 heures en mars.Deux autres journées de grève ont eu lieu en septembre, pour s’opposer à une éventuelle vente au groupe Bolloré et exiger l’embauche de 17 CDI pour combler des départs.Le Parisien/Aujourd’hui en France est le 3e quotidien le plus diffusé en France quand on cumule son édition nationale et régionale, avec quelque 260.000 exemplaires vendus par jour, selon l’Alliance pour les chiffres de la presse et des médias.

LVMH demande à la direction du Parisien un plan d’ici la fin de l’année pour réduire ses pertes

Le groupe LVMH, propriétaire du Parisien/Aujourd’hui en France, a demandé mercredi à la direction du quotidien de lui présenter d’ici la fin de l’année un plan pour réduire ses pertes, selon un compte-rendu d’une réunion du comité de groupe de LVMH consulté jeudi par l’AFP.La direction du groupe de luxe a demandé au PDG du …

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Le réseau social Pinterest permet à ses utilisateurs de filtrer des contenus IA

Le réseau social américain Pinterest permet aux utilisateurs depuis jeudi de filtrer une partie des contenus générés par intelligence artificielle (IA) et postés sur la plateforme, alors que beaucoup s’inquiètent d’une déferlante d’images IA standardisées ou médiocres.Le groupe californien dit prendre ainsi en compte les retours de ses usagers, qui “veulent la créativité et l’inspiration qu’ils apprécient, avec le bon équilibre entre les contenus générés par des humains et par de l’IA”, selon un communiqué.Il est désormais possible de régler ses préférences pour voir, dans une catégorie donnée comme la décoration ou la mode, “moins de contenu généré par IA” parmi les photos postées sur le site. C’est le premier réseau social d’importance a offrir la possibilité pour les usagers d’écarter une partie de ces contenus.Sollicités par l’AFP quant à une possible initiative similaire, Instagram, TikTok et YouTube n’ont pas donné suite dans l’immédiat.Depuis le lancement de ChatGPT, en novembre 2022, les outils de création d’images IA se sont généralisés et leur précision s’est sensiblement améliorée.Les contenus IA publiés sur les réseaux sociaux ont augmenté de manière exponentielle, une vague que certains ont qualifié de “bouillie AI” (AI slop), en référence à une production jugée sans imagination, sans créativité et assez standard.En avril, Pinterest avait déjà systématiquement assigné un label “modifié par l’IA” à toute image retouchée par intelligence artificielle.

Le réseau social Pinterest permet à ses utilisateurs de filtrer des contenus IA

Le réseau social américain Pinterest permet aux utilisateurs depuis jeudi de filtrer une partie des contenus générés par intelligence artificielle (IA) et postés sur la plateforme, alors que beaucoup s’inquiètent d’une déferlante d’images IA standardisées ou médiocres.Le groupe californien dit prendre ainsi en compte les retours de ses usagers, qui “veulent la créativité et l’inspiration …

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Battlefield 6, meilleur démarrage de la franchise, se félicite Electronic Arts

Le jeu de tir à la première personne Battlefield 6 s’est vendu à 7 millions de copies en trois jours, s’est félicité jeudi son éditeur Electronic Arts (EA), qui compte sur lui pour rattraper son retard sur Call of Duty, dont le prochain épisode sort en fin d’année.”Battlefield 6 a atteint des sommets historiques pour les ventes de la franchise pendant les trois premiers jours du lancement, avec 7 millions de copies vendues, et le décompte continue”, a annoncé le studio américain, une semaine après la sortie de son blockbuster, l’un des plus attendus de l’année.Cette performance reste en deçà de records tels que les plus de 11 millions de copies vendues en 24h pour GTA V en 2013 ou le démarrage historique de “Call of Duty: Modern Warfare 3” en 2011 (6,5 millions de ventes le premier jour aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, selon son éditeur).Mais c’est une bonne nouvelle pour EA après le lancement jugé décevant de l’opus précédent Battlefield 2042, pour lequel le studio n’avait pas communiqué de chiffres sur le démarrage.Le jeu, disponible sur PC, Xbox et Playstation 5, va touefois affronter dans quelques semaines la comparaison avec “Call of Duty: Black Ops 7”, la franchise concurrente d’Activision Blizzard (Microsoft) qui maintient un rythme de sortie annuel.Battlefield, simulation de combats en vue subjective qui revendique plus de 100 millions de joueurs depuis ses débuts, s’est fait distancer au fil des années par son petit frère Call of Duty, d’un an son cadet.Battlefield 6 situe son action fictive au milieu d’un conflit moderne en 2027 où les Etats-Unis et leurs alliés entrent en guerre avec une milice privée surarmée, Pax Armata, soutenue par des pays européens ayant quitté l’OTAN.

Battlefield 6, meilleur démarrage de la franchise, se félicite Electronic Arts

Le jeu de tir à la première personne Battlefield 6 s’est vendu à 7 millions de copies en trois jours, s’est félicité jeudi son éditeur Electronic Arts (EA), qui compte sur lui pour rattraper son retard sur Call of Duty, dont le prochain épisode sort en fin d’année.”Battlefield 6 a atteint des sommets historiques pour les …

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Derrière l’essor de l’IA générative, une main-d’oeuvre invisible et précaire

Comment apprendre à une intelligence artificielle générative à réaliser un rapport d’autopsie ? En demandant à des travailleurs précaires d’annoter des milliers d’images de scènes de crime. Du Kenya à la Colombie, les annotateurs de données sont de plus en plus nombreux et luttent pour de meilleures conditions de travail.”Il faut passer la journée à …

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Derrière l’essor de l’IA générative, une main-d’oeuvre invisible et précaire

Comment apprendre à une intelligence artificielle générative à réaliser un rapport d’autopsie ? En demandant à des travailleurs précaires d’annoter des milliers d’images de scènes de crime. Du Kenya à la Colombie, les annotateurs de données sont de plus en plus nombreux et luttent pour de meilleures conditions de travail.”Il faut passer la journée à regarder des cadavres”, “zoomer sur les plaies” pour les détourer afin d’aider l’IA à identifier ces images, “sans aucun soutien psychologique”, raconte à l’AFP Ephantus Kanyugi. Le Kényan, âgé de 30 ans, classe et étiquette des images pour une poignée de dollars afin d’entraîner des algorithmes depuis 2018. Il est aussi vice-président de la Data Labelers Association, basée à Nairobi et forte de 800 membres. L’organisation doit dévoiler prochainement un code de conduite à destination des plates-formes d’annotation de données pour améliorer les conditions de travail, en l’absence d’une législation encadrant cette activité au Kenya.”Nous sommes comme des fantômes, personne ne sait qu’on existe alors qu’on contribue à l’avancement technologique de la société”, déplore de l’autre côté du globe Oskarina Fuentes. Cette Vénézuélienne de 35 ans, installée à Medellín en Colombie, travaille pour cinq plates-formes d’annotation de données qui la payent entre 5 et 25 centimes de dollar la tâche.Ce travail invisible s’est développé à une vitesse fulgurante avec l’essor de l’IA générative. C’est lui qui permet d’enseigner aux voitures autonomes à reconnaître des piétons ou des arbres, à un agent conversationnel comme ChatGPT à s’exprimer de façon naturelle, ou aux systèmes de modération à supprimer des contenus violents ou pornographiques.  Le marché mondial de l’annotation de données a représenté 3,77 milliards de dollars en 2024 et devrait atteindre 17,1 milliards de dollars d’ici 2030, selon le cabinet Grand View Research. – “Esclavage moderne” -“Tant qu’elle reste basée sur l’apprentissage automatique”, l’IA a toujours besoin de vérification humaine, résume Antonio Casilli, professeur de sociologie à l’Institut Polytechnique de Paris qui a enquêté dans plus de 30 pays sur ce qu’il appelle le “travail du clic”.Il faut des humains en amont pour mettre en état les données qui abreuvent les modèles, mais aussi en aval pour évaluer la pertinence des réponses.Les géants de la tech sous-traitent ce travail à des myriades d’entreprises.L’une des plus importantes est l’américaine Scale AI dans laquelle Meta a récemment investi plus de 14 milliards de dollars. Elle compte parmi ses clients Microsoft, le ministère américain de la Défense et a longtemps collaboré avec OpenAI.  Les annotateurs de données ont souvent entre 18 et 30 ans et sont faiblement rémunérés malgré un haut niveau d’études, explique M. Casilli. Ils viennent majoritairement de pays à faible revenu, même si cette activité progresse aussi aux États-Unis ou en Europe où les rémunérations sont beaucoup plus élevées. A mesure qu’ils montent en gamme, les modèles derrière ChatGPT d’OpenAI ou Claude d’Anthropic ont en effet besoin de se spécialiser dans des matières complexes comme les mathématiques, la chimie ou les langues rares.  Le site d’Outlier, filiale de Scale AI, propose ainsi nombre d’offres d’emplois pour des experts en biologie, langue malaisienne ou programmation en espagnol, avec des rémunérations annoncées de 30 à 50 dollars de l’heure.Au Kenya, Remotasks, autre filiale de Scale AI, paye ses annotateurs de données environ 0,01 dollar pour une tâche pouvant prendre plusieurs heures, d’après Ephantus Kanyugi qui dénonce “de l’esclavage moderne”. “Les gens développent des problèmes de vue, de dos, ils souffrent d’anxiété et de dépression à force de travailler jusqu’à 20 heures par jour ou six jours par semaine pour une paie dérisoire et parfois pas de paie du tout”, alerte-t-il.- “Comment se suicider ?” -Scale AI est visé par plusieurs plaintes aux États-Unis: des employés l’accusent de travail non rémunéré, de les déclarer comme travailleurs indépendants et non comme salariés, et de les exposer à des contenus traumatisants sans mesures de prévention suffisantes, selon des documents judiciaires consultés par l’AFP. Les plaignants disent par exemple avoir dû discuter avec une intelligence artificielle de “Comment se suicider ?”, “Comment empoisonner quelqu’un ?” ou “Comment tuer quelqu’un ?”. L’entreprise a refusé de commenter les poursuites en cours, mais reconnaît que certains projets peuvent inclure des contenus sensibles.Les travailleurs sont toujours prévenus à l’avance et peuvent choisir d’arrêter une tâche à tout moment, affirme-t-elle à l’AFP, faisant aussi état de ressources dédiées à la santé mentale et d’une ligne d’écoute anonyme. Elle assure fournir une grille de rémunération transparente, avec des tarifs égaux ou supérieurs au salaire minimum en vigueur là où elle exerce. La question de l’exposition de travailleurs précaires à des contenus insoutenables par les géants de la tech et leurs sous-traitants n’est toutefois pas nouvelle. Meta est notamment visé par des poursuites de modérateurs de contenus dans plusieurs pays, de l’Espagne au Kenya en passant par le Ghana, pour des conditions de travail indignes et des traumatismes psychologiques.- Accès coupé -Les petites mains de l’IA peuvent en outre se retrouver sans travail, ni paie du jour au lendemain.  Oskarina Fuentes accuse l’une des plates-formes qui l’employait de ne jamais lui avoir versé environ 900 dollars, soit trois mois de travail, après une actualisation de son système de paiement.  “J’ai perdu mon temps, mes forces et mon sommeil”, confie-t-elle, sans donner le nom de son ex-employeur car elle a dû signer un accord de confidentialité, une pratique fréquente dans cette industrie qui réduit au silence la plupart des annotateurs. Au Kenya, la Data Labelers Association envisage une action en justice contre Remotasks, accusée par des étiqueteurs de données d’avoir soudainement coupé l’accès à sa plate-forme en mars 2024, sans leur payer des sommes dues.La maison mère Scale AI admet une réduction de son activité au Kenya, mais déclare avoir fermé des comptes d’annotateurs pour violation de ses règles internes, assurant que toutes les tâches terminées ont été rémunérées.Microsoft et Meta n’ont pas souhaité répondre aux questions de l’AFP concernant leurs relations avec Scale AI. Le Pentagone n’a pas répondu. Anthropic, qui collabore avec Surge AI, start-up d’annotation de données également visée par une plainte aux Etats-Unis, dit exiger de ses sous-traitants qu’ils suivent des règles relatives au bien-être des travailleurs devant manipuler des contenus sensibles, et fixant un tarif équivalent ou supérieur à 16 dollars de l’heure. OpenAI, qui a affirmé jeudi à l’AFP ne plus travailler avec Scale AI, dit disposer d’un règlement strict pour ses sous-traitants sur la sécurité au travail, la rémunération équitable, la non-discrimination et le respect des droits des travailleurs. Si ce code n’est pas respecté, le créateur de ChatGPT considère cela comme une rupture de contrat et prend les mesures appropriées, affirme-t-il.- Bras de fer -Toutefois, “les travailleurs du clic”, qui œuvrent majoritairement en tant qu’indépendants ou lors de contrats courts, ne bénéficient souvent d’aucune protection sociale, rappelle le sociologue Antonio Casilli, auteur d’un livre sur le sujet, les qualifiant de “sous-prolétariat numérique”.Au Kenya, le futur code de conduite de la Data Labelers Association, auquel l’AFP a eu accès, cherche ainsi à instaurer un contrat de travail avec une “rémunération équitable”, à garantir la liberté d’association, le droit à des pauses et à un soutien psychologique en cas d’exposition à des contenus nocifs.Mais de telles revendications peuvent virer au bras de fer.Aux États-Unis, près de 250 personnes travaillant pour GlobalLogic, un sous-traitant qui entraîne l’IA Gemini de Google, ont été licenciées en septembre après que plusieurs employés ont dénoncé des disparités salariales et cherché à obtenir de meilleures conditions de travail.”Ils veulent des annotateurs de données dociles”, fustige auprès de l’AFP, Andrew Lauzon, 31 ans, qui travaillait pour GlobalLogic depuis mars 2024 et s’est fait licencier le 12 septembre. Membre du syndicat Alphabet Workers Union, ce natif de Boston réclamait avec d’autres collègues “des salaires équitables”, des “congés payés” et “une couverture santé abordable”. Contacté par l’AFP, GlobalLogic n’a pas souhaité commenter. Un porte-parole de Google a souligné pour sa part qu'”en tant qu’employeur GlobalLogic était responsable des conditions de travail de ses salariés”.Le groupe dit cependant attendre de ses sous-traitants, qui doivent adhérer à une charte, un traitement juste et équitable de leurs travailleurs. Il affirme mener des audits réguliers pour le vérifier.  – “Trous dans la raquette” -“Les géants de la tech ne peuvent construire le futur sur une main d’œuvre jetable”, insiste Christy Hoffman, secrétaire générale de la fédération syndicale internationale UNI Global Union, qui a publié début octobre une étude sur les travailleurs de l’ombre de l’IA.”Il est temps de tenir les titans de la Silicon Valley responsables des conditions de travail dans leur chaîne de sous-traitance”, ajoute-t-elle.  Un travail qui souffre avant tout d’une absence d’encadrement juridique.   En Europe, malgré l’adoption d’une réglementation d’envergure sur l’intelligence artificielle, “des trous dans la raquette” subsistent, déclare l’eurodéputée de gauche française Leïla Chaibi (La France insoumise).  “Il n’y a aucune mention des travailleurs du clic dans le règlement sur l’IA”, note-t-elle, ni dans la directive sur les travailleurs des plateformes numériques comme Uber, adoptée en octobre 2024 et dont elle a été l’une des principales architectes. La directive européenne sur le devoir de vigilance, qui impose notamment aux entreprises des règles en matière de droits humains dans toute leur chaîne de production, aurait pu être un levier, mais elle est remise en question par les États européens. Pourtant, des millions de personnes effectuent ce travail, essentiel au développement de l’IA. “Si vous êtes un charpentier ou un plombier, il y a des syndicats et un salaire minimum”, pointe Nacho Barros, quinquagénaire qui vit près de Valence en Espagne et a commencé à annoter des données pendant la pandémie. “Ce travail devrait aussi être reconnu par chaque pays comme un emploi à part entière”.  

Le président de l’Arcom défend son budget face aux “attentes” de la société

Face aux restrictions budgétaires, le président de l’Arcom Martin Ajdari a défendu jeudi le rôle du régulateur de l’audiovisuel et du numérique, et les moyens qui lui sont alloués, au regard des “attentes de plus en plus importantes” de la société.”Les contraintes des finances publiques s’imposent à tous. On a déjà eu, en 2025, une …

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