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Accord entre Amazon et le New York Times, dont les contenus vont être utilisés pour l’IA

Le New York Times a annoncé jeudi un accord avec Amazon qui autorise notamment le groupe technologique à utiliser les contenus du quotidien américain pour développer ses modèles d’intelligence artificielle (IA) générative.Ce partenariat intervient alors que le groupe de presse est engagé dans une procédure judiciaire civile contre OpenAI, créateur de ChatGPT, qu’il accuse d’avoir entraîné ses modèles d’IA générative avec ses articles sans permission préalable.Plusieurs groupes de médias se sont déjà entendus avec des grands acteurs de l’IA pour leur permettre d’alimenter leurs logiciels avec la production de leurs journalistes.News Corp (Wall Street Journal et Daily Telegraph entre autres), Le Monde, le Washington Post ou Axel Springer (Politico, Bild et Die Welt) l’ont fait avec OpenAI, Google avec Associated Press, tandis que Mistral s’est lié avec l’Agence France Presse.Il s’agit d’une rupture pour le New York Times, qui s’était jusqu’ici toujours refusé à laisser ses contenus nourrir l’IA générative.Dans la procédure contre OpenAI et Microsoft, le groupe conteste l’interprétation de la partie adverse, qui s’appuie sur la notion juridique d’utilisation équitable (fair use), susceptible de limiter l’application du droit de propriété intellectuelle.L’issue de ce dossier et de plusieurs autres relatifs au même sujet pourrait faire évoluer les relations entre éditeurs de presse et géants technologiques.Par ailleurs, l’accord dévoilé jeudi ouvre au New York Times la voie de l’univers Amazon et des appareils connectés, en particulier son assistant vocal d’IA Alexa+, un accès de plus en plus crucial aux consommateurs à mesure que l’intelligence artificielle générative se démocratise.La nouvelle a fait bondir le titre du New York Times, qui gagnait 1,85% vers 13H45 GMT à la Bourse de New York et se rapprochait de son plus haut historique, atteint début décembre.

Accord entre Amazon et le New York Times, dont les contenus vont être utilisés pour l’IA

Le New York Times a annoncé jeudi un accord avec Amazon qui autorise notamment le groupe technologique à utiliser les contenus du quotidien américain pour développer ses modèles d’intelligence artificielle (IA) générative.Ce partenariat intervient alors que le groupe de presse est engagé dans une procédure judiciaire civile contre OpenAI, créateur de ChatGPT, qu’il accuse d’avoir …

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Mark Zuckerberg assure que Meta AI a un milliard d’utilisateurs

Mark Zuckerberg, le patron de Meta, a déclaré mercredi que Meta AI comptait désormais un milliard d’utilisateurs se servant de l’assistant d’intelligence artificielle (IA) au moins une fois par mois, en pleine course à l’adoption la plus large possible de ces nouveaux outils.”Sur l’ensemble de nos applications, près d’un milliard d’usagers actifs mensuels utilisent Meta AI”, avait-il déjà écrit sur Facebook fin avril.Il a répété cette affirmation mercredi lors de l’Assemblée générale du géant des réseaux sociaux, peu après de nombreuses annonces emphatiques de la part de ses concurrents, Google en tête.Le service “AI Overviews”, qui répond aux requêtes sur le moteur de recherche avec des réponses rédigées par l’IA, “compte plus d’1,5 milliard d’utilisateurs”, a indiqué la semaine dernière Sundar Pichai, patron de Google.”Cela signifie que Google met l’IA générative à la portée de plus de personnes que tout autre produit dans le monde”, a-t-il souligné.Face au succès de ChatGPT, l’assistant IA lancé par OpenAI fin 2022, les géants de la tech ont investi des dizaines de milliards de dollars pour proposer leurs propres concurrents.Meta a intégré Meta AI à ses différents services, dans l’espoir qu’il devienne l’assistant IA le plus utilisé au monde.En décembre 2024, 3,35 milliards de personnes dans le monde se connectaient tous les jours sur au moins une des plateformes de Meta.Sur WhatsApp et sur Instagram, l’assistant IA se manifeste très facilement, sans le chercher spécifiquement, simplement en faisant une recherche.Meta a en outre lancé il y a un mois Meta AI en tant qu’application séparée.Sundar Pichai a déclaré la semaine dernière que Gemini, l’assistant IA de Google, a 400 millions d’utilisateurs actifs mensuels. En février, OpenAI comptait de son côté 400 millions d’utilisateurs actifs hebdomadaires.Les trois principaux acteurs de l’IA générative pour les consommateurs espèrent tous s’imposer comme incontournables.”Je pense que nous aurons bientôt tous une IA avec laquelle nous parlerons tout au long de la journée – sur nos téléphones, et éventuellement via des lunettes connectées – et je pense que ce sera l’un des services les plus importants et les plus précieux qui aient jamais été créés”, avait assuré Mark Zuckerberg fin avril.Les trois entreprises ajoutent rapidement des fonctions qui transforment leurs assistants IA en “agents IA”, capables d’effectuer des tâches en ligne pour les utilisateurs, de la recherche d’informations au shopping.Pour les rendre indispensables, ils sont aussi de plus en plus personnalisables, avec la possibilité de donner accès à ses comptes Facebook ou Instagram ou ses emails, par exemple.

Mark Zuckerberg assure que Meta AI a un milliard d’utilisateurs

Mark Zuckerberg, le patron de Meta, a déclaré mercredi que Meta AI comptait désormais un milliard d’utilisateurs se servant de l’assistant d’intelligence artificielle (IA) au moins une fois par mois, en pleine course à l’adoption la plus large possible de ces nouveaux outils.”Sur l’ensemble de nos applications, près d’un milliard d’usagers actifs mensuels utilisent Meta …

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Nvidia s’en sort mieux que prévu mais s’attend à un fort impact chinois au prochain trimestre

Le géant américain des semi-conducteurs Nvidia a surpassé les attentes pour les résultats du premier trimestre de son exercice décalé, grâce notamment à un impact moindre que prévu des restrictions américaines à l’export de ses puces vers la Chine, mais voit ses ventes pâtir de ces mesures pour la période en cours.Ces restrictions ont contraint le champion des GPU, des microprocesseurs surpuissants adaptés au développement de l’intelligence artificielle (IA) générative, à passer une charge exceptionnelle de 4,5 milliards de dollars, soit en-deçà des 5,5 milliards qu’il anticipait, selon un communiqué publié mercredi.La nouvelle a été bien accueillie par le marché et, dans les échanges électroniques postérieurs à la clôture de la Bourse de New York, le titre s’appréciait de plus de 4%.La directrice financière, Colette Kress, a expliqué lors de la conférence téléphonique de présentation des résultats que la société avait réussi à limiter l’effet des restrictions en ayant trouvé d’autres débouchés pour certains microprocesseurs.Mais Nvidia n’est pas pour autant tiré d’affaire et la dirigeante a fait état d'”options limitées” pour pouvoir continuer à servir les clients chinois dans le respect de la nouvelle réglementation, qui a frappé la puce H20, pourtant conçue spécialement pour satisfaire aux exigences du gouvernement américain.”Perdre l’accès au marché chinois de l’IA, que nous voyons atteindre près de 50 milliards (de dollars), aurait un impact négatif important pour notre activité et bénéficierait à nos concurrents en Chine et ailleurs”, a prévenu Colette Kress.En l’état, “ce marché nous est fermé”, a confirmé le directeur général Jensen Huang durant la conférence téléphonique, tout en n’écartant pas la mise au point, à moyen terme, d’un microprocesseur qui passerait sous les fourches caudines du gouvernement américain.”Les Etats-Unis ont basé leur politique sur la thèse selon laquelle la Chine ne pouvait pas fabriquer elle-même des puces IA”, a commenté le patron. “Cette thèse a toujours été discutable et il est aujourd’hui clair qu’elle dispose de capacités industrielles énormes.”- Demande “incroyablement soutenue” -Le groupe s’attend à ce que son chiffre d’affaires soit amputé de huit milliards de dollars au deuxième trimestre de son exercice comptable décalé du fait des contraintes imposées par le gouvernement américain, a révélé Colette Kress.Nvidia table sur des revenus de 45 milliards de dollars sur le trimestre en cours, “plus ou moins 2%”, a déclaré la directrice financière, fourchette qui se situe en deçà des anticipations du marché.Kathleen Brooks, du courtier XTB, y a néanmoins vu, comme beaucoup d’analystes, le verre à moitié plein, soulignant que même privé du marché chinois, Nvidia pourrait approcher les prévisions de Wall Street.Habitué à voir l’entreprise afficher des taux de croissance insolents depuis plus de deux ans, les investisseurs s’inquiètent, trimestre après trimestre, de voir Nvidia décélérer.”La demande pour l’infrastructure IA de Nvidia est incroyablement soutenue”, a assuré Jensen Huang.Le patron emblématique de la firme technologique a nuancé l’effet de la fermeture à Nvidia du marché chinois en rappelant les nombreux contrats signés dans d’autres pays du monde, notamment à Taïwan et aux Emirats arabes unis pour de grands projets d’infrastructure IA.”Il y a une puce derrière la révolution IA et c’est une Nvidia”, ont estimé les analystes de Wedbush Securities.Jensen Huang a tenu un discours optimiste sur la stratégie de Donald Trump, malgré les restrictions pour le marché chinois.”Le président Trump (…) réalise que nous ne sommes pas le seul pays dans la course”, a dit le responsable. “Il veut voir les Etats-Unis l’emporter et il comprend que nous devons diffuser nos produits dans le monde.”Au premier trimestre (de fin janvier à fin avril), le chiffre d’affaires ressort à 44,1 milliards de dollars, en hausse de 69% sur un an et au-delà des projections des analystes.Le bénéfice net s’affiche à 18,8 milliards de dollars (+26%), et à 96 cents par action hors éléments exceptionnels, soit mieux que les 89 cents qu’indiquait le consensus établi par FactSet.”Nvidia a dépassé les attentes mais sur un marché où il devient plus difficile de maintenir sa domination”, a réagi Jacob Bourne, analyste du cabinet Emarketer.”Les tensions commerciales et l’impact potentiel des droits de douane pourraient ralentir la demande de puces IA sur les trimestres à venir”, a-t-il prévenu.

Nvidia s’en sort mieux que prévu mais s’attend à un fort impact chinois au prochain trimestre

Le géant américain des semi-conducteurs Nvidia a surpassé les attentes pour les résultats du premier trimestre de son exercice décalé, grâce notamment à un impact moindre que prévu des restrictions américaines à l’export de ses puces vers la Chine, mais voit ses ventes pâtir de ces mesures pour la période en cours.Ces restrictions ont contraint …

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Avec Trump, le milieu des cryptomonnaies a un “défenseur” et un “allié”, selon Vance

Le milieu des cryptomonnaies dispose désormais d’un “défenseur” et d’un “allié” à la Maison Blanche en la personne de Donald Trump, a clamé mercredi le vice-président des Etats-Unis, JD Vance, alors que les critiques fustigent l’implication du milliardaire dans divers projets personnels autour des devises numériques.”Nous donnons priorité à l’élimination des règles, de la bureaucratie et des lois qui, selon nous, étaient dirigées contre les cryptos par nos prédécesseurs”, a professé l’ancien sénateur de l’Ohio lors d’une intervention à l’occasion de la conférence Bitcoin 2025 à Las Vegas (Nevada).Depuis son investiture, Donald Trump a nommé à la tête de l’Autorité américaine de régulation des marchés financiers, la SEC, un partisan des cryptomonnaies, Paul Atkins, qui a succédé à Gary Gensler, adepte d’une ligne dure et répressive.”Nous allons virer tous les gens comme lui”, a lancé JD Vance au sujet de Gary Gensler, accusé d'”attaquer la moindre initiative pour démocratiser nos marchés financiers (…) sous prétexte de protéger les consommateurs”.Le président des Etats-Unis a également institué une “réserve stratégique” fédérale alimentée par des bitcoins saisis par la justice américaine et amené l’un des régulateurs bancaires américains, l’OCC, à clairement autoriser les établissements financiers traditionnels à utiliser les devises numériques.Il milite aussi pour le vote de deux textes en cours d’examen au Congrès.Le premier, qui instaure un cadre légal pour les “stablecoins”, devrait faire prochainement l’objet d’un examen final au Sénat.”Nous voulons simplement que nos compatriotes prennent conscience que les cryptos et les actifs numériques font désormais partie de l’économie réelle et sont là pour longtemps”, a martelé JD Vance.Longtemps opposé aux cryptomonnaies, Donald Trump a fait volte-face l’an dernier, un revirement qui lui a valu des contributions colossales du secteur à sa campagne présidentielle.Sur le plan personnel, il a multiplié les projets autour de ces actifs d’un nouveau genre.Il a prêté son nom à une nouvelle plateforme d’échanges, appelée World Liberty Financial, et mis sur le marché sa propre devise numérique, le $TRUMP, quelques heures avant son investiture, en janvier.Le 22 mai, il a invité à dîner les 220 plus gros détenteurs de $TRUMP, suscitant de vives critiques relatives à un possible conflit d’intérêt.Mardi, la société de médias qui porte son nom, Trump Media and Technology Group (TMTG), a annoncé la levée de 2,5 milliards de dollars pour investir dans des cryptomonnaies.

Avec Trump, le milieu des cryptomonnaies a un “défenseur” et un “allié”, selon Vance

Le milieu des cryptomonnaies dispose désormais d’un “défenseur” et d’un “allié” à la Maison Blanche en la personne de Donald Trump, a clamé mercredi le vice-président des Etats-Unis, JD Vance, alors que les critiques fustigent l’implication du milliardaire dans divers projets personnels autour des devises numériques.”Nous donnons priorité à l’élimination des règles, de la bureaucratie …

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“Chantage” sur Karine Le Marchand: un an de prison avec sursis requis contre Mimi Marchand

Un système “malhonnête” et “peu glorieux” pour se créer “des obligés” parmi les célèbres: l’accusation a requis mercredi une peine d’un an de prison avec sursis pour extorsion à l’encontre de la papesse de la presse people Mimi Marchand, accusée de chantage sur l’animatrice Karine Le Marchand.La procureure a aussi demandé 20.000 euros d’amende contre …

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“Chantage” sur Karine Le Marchand: un an de prison avec sursis requis contre Mimi Marchand

Un système “malhonnête” et “peu glorieux” pour se créer “des obligés” parmi les célèbres: l’accusation a requis mercredi une peine d’un an de prison avec sursis pour extorsion à l’encontre de la papesse de la presse people Mimi Marchand, accusée de chantage sur l’animatrice Karine Le Marchand.La procureure a aussi demandé 20.000 euros d’amende contre celle qui ne s’est pas “remise en cause” à l’audience devant le tribunal correctionnel de Paris, ne faisant que se “traiter d’idiote et d’abrutie” sans donner plus d’explication.En février 2020, Mimi Marchand, aujourd’hui 78 ans, avait alerté l’animatrice de “L’amour est dans le pré” qu’un “jeune” photographe inconnu avait tenté de lui vendre des photos de sa fille mineure sortant de garde à vue. Elle l’avait rassurée, disant avoir “bloqué” les photos en donnant 3.000 euros au photographe.A la barre la veille, Mimi Marchand a reconnu avoir “menti” – les images avaient été faites par l’un de ses habituels paparazzi, Sébastien Valiela. “Merci Mimi, je te le revaudrai”, avait répondu soulagée Karine Le Marchand, avant de “rembourser” une première partie de l’argent avancé, 1.600 euros.”Elle cherche à la mettre à son service en la +tenant+ avec les photos de sa fille”, accuse la procureure Marion Adam. Et Karine Le Marchand se retrouve “sous une contrainte morale insidieuse”, “obligée”, ajoute la magistrate, rappelant que Mimi Marchand avait après ce “service” multiplié les demandes auprès de l’animatrice, maintenant une “pression” constante. Dans son travail et avec un sentiment de “toute-puissance”, la patronne de la première agence photos de France Bestimage “a mis en place une stratégie pour se créer des obligés”, poursuit-elle. C’est “malhonnête, peu glorieux, absolument amoral et à mon sens un délit”, cingle-t-elle encore.Blazer bleu marine, courts cheveux cendrés, la reine de la presse people et communicante de l’ombre de puissants écoute courbée, sans ciller. Au sujet du “pouvoir de nuisance” qu’on lui prête, elle avait dit au tribunal: “le manteau est un peu large pour moi”. Sa défense plaidera lundi.- “Une morale” -Avant le parquet, l’avocat de Karine Le Marchand a dénoncé le fonctionnement de “mafia” de Mimi Marchand, tout sauf la “vieille dame pas maligne qui gagne pas beaucoup d’argent et qui regrette” qu’on a vue à la barre.Quand elle “rachète des photos” pour qu’elle ne soient pas publiées – ou fait semblant -, elle “va offrir sa protection” à des célèbres qui deviennent redevables, soutient  Me Jean Ennochi. Il lui réclame 10.000 euros en réparation du préjudice à l’animatrice, la même somme pour sa fille, ainsi que le remboursement des fameux 1.600 euros.La veille devant le tribunal, Karine Le Marchand avait poussé un coup de gueule contre le “système” de la presse people qu’elle “déteste”. Amère, elle a décrit les “boîtiers aimantés” posés sous sa voiture pour la traquer, les “sept paparazzis en bas” de chez elle “avec leur petites chaises” quand elle se sépare d’un ex-compagnon, les coups montés où on lui livre des ballons en forme de coeur à la sortie d’un restaurant le jour de la Saint-Valentin pour la photographier et titrer sur la “surprise de son amoureux”…Alors, a-t-elle grincé, entendre Mimi Marchand jurer devant les magistrats qu’elle a “une morale”, que “l’adultère sur papier glacé, moi je l’ai jamais fait”, Karine Le Marchand en “pleure de rire”.La procureure a aussi réclamé deux ans de prison avec sursis notamment pour violation du secret professionnel contre le policier qui avait donné l’information de la garde à vue au paparazzo Sébastien Valiela et un an avec sursis contre ce dernier pour recel.Ils étaient tous deux aussi jugés pour les mêmes infractions dans un dossier annexe, également en février 2020: le premier avait alerté le second de la possible arrestation de l’artiste russe Piotr Pavlenski dans l’affaire des vidéos à caractère sexuel de Benjamin Griveaux. A l’ouverture du procès lundi, Piotr Pavlenski s’était fait expulsé de la salle après avoir réclamé la relaxe de Mimi Marchand (qui a pourtant bénéficié d’un non-lieu sur ce volet), estimant que la diffusion des images de son interpellation participaient à son oeuvre de “pornopolitique”.