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Réseaux sociaux et effet de groupe aux racines du fléau des couteaux chez les jeunes

Après une série de meurtres à l’arme blanche par des adolescents ces derniers mois, aux abords ou dans des établissements scolaires, jeunes, éducateurs et psychiatres dénoncent une banalisation de la violence et une facilité d’accès aux armes, notamment sur les réseaux sociaux.Dans un rapport remis au Premier ministre, la vice-présidente de l’Assemblée nationale Naïma Moutchou …

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Gaza: quatre journalistes tués dans des frappes sur un hôpital imputées à Israël

Quatre journalistes travaillant pour des médias internationaux ont été tués lundi matin dans des frappes israéliennes sur un hôpital du sud de la bande de Gaza ayant fait au total 15 morts, a annoncé la Défense civile du territoire palestinien. Le porte-parole de l’organisation de premiers secours, Mahmoud Bassal, a annoncé un “bilan (…) de 15 morts, dont quatre journalistes et un membre de la Défense civile” après avoir rapporté deux frappes israéliennes sur l’hôpital Nasser de Khan Younès.Interrogée par l’AFP sur ces frappes ayant visé un bâtiment de ce grand complexe hospitalier, ciblé à plusieurs reprises par Israël depuis le début de la guerre, l’armée israélienne a indiqué qu’elle vérifiait ces informations.Selon M. Bassal, la première frappe a été menée par un drone explosif, avant un bombardement aérien ayant eu lieu alors que les blessés étaient évacués.Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël à Gaza et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et affirmations de la Défense civile ou de l’armée israélienne. Al Jazeera a annoncé la mort sur place d’un de ses photojournalistes et reporter d’images, Mohammad Salama, deux semaines après qu’elle a perdu quatre journalistes et deux pigistes, dans une frappe ciblée de l’armée israélienne qui accusait l’un d’entre eux d’être un membre actif de la branche armée du mouvement islamiste palestinien Hamas.L’agence de presse canado-britannique Reuters a indiqué que l’un des journalistes tués et l’un des blessés faisaient partie de ses collaborateurs. L’agence américaine Associated Press (AP) a déclaré que la quatrième journaliste tuée, Mariam Dagga, collaborait avec elle, mais qu’elle n’était pas en mission pour l’agence au moment des faits.- Près de 200 journalistes tués -Le syndicat des journalistes palestiniens a également fait état de la mort de quatre journalistes, indiquant les deux noms susmentionnés ainsi que ceux de Hossam al-Masri et Moaz Abou Taha.Selon un journaliste de l’AFP à Gaza, ces deux hommes travaillaient pour des médias palestiniens et internationaux.Avant l’annonce de ces morts, le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) et Reporters sans frontières (RSF) recensaient près de 200 journalistes tués depuis le début de la guerre à Gaza, déclenchée par l’attaque sans précédent du Hamas sur Israël le 7 octobre 2023.M. Bassal a également mentionné la mort d’un soignant dans les frappes de lundi matin.Plusieurs personnes blessées, certaines couvertes de sang, ont été prises en charge à l’hôpital après les frappes, a constaté un photographe de l’AFP sur place. L’hôpital Nasser est l’un des derniers établissements de santé encore partiellement fonctionnels dans la bande de Gaza.La Défense civile recensait au total 27 morts en début d’après-midi dans des tirs ou frappes de l’armée israélienne lundi dans l’ensemble du petit territoire côtier palestinien, ravagé par près de deux ans de guerre.

Un an après son arrestation, le fondateur de Telegram critique l’enquête qui “peine” le visant

Pavel Durov, fondateur de Telegram, a critiqué dans un message sur son canal officiel l’enquête française le visant, qui selon lui “peine toujours à établir une quelconque irrégularité”, un an après sa retentissante arrestation.”Il y a un an, la police française m’a placé en garde à vue pendant quatre jours parce que certaines personnes dont je n’avais jamais entendu parler utilisaient Telegram pour commettre des infractions”, a lancé dans un message publié dimanche soir cet homme aux multiples nationalités, né en Russie et âgé de 40 ans.”Un an plus tard, l’+enquête criminelle+ menée contre moi peine toujours à établir une quelconque irrégularité de ma part ou de la part de Telegram”, a souligné cet homme richissime.”Arrêter le fondateur et dirigeant d’une grande plateforme pour les agissements de ses utilisateurs n’était pas seulement inédit — c’était juridiquement et logiquement absurde”, a-t-il encore ajouté, assurant une fois de plus que “nos pratiques de modération sont conformes aux normes du secteur, et Telegram a toujours répondu à toutes les demandes juridiquement contraignantes de la France”.Comme il le fait depuis un an, le patron de Telegram a estimé que c’était “une erreur de la police elle-même”, qui “n’adressait aucune de ses demandes à Telegram via la procédure légale requise”, qui lui vaut ses poursuites en France, et non des manquements à ses obligations de modération.Et d’ajouter: “Elle aurait pu connaître la procédure à suivre simplement en la cherchant sur Google ou en posant la question”.Après avoir obtenu un allégement de son contrôle judiciaire mi-juin, M. Durov regrette de devoir “toujours revenir en France tous les 14 jours”.”Malheureusement, la seule conséquence de mon arrestation jusqu’ici a été un immense préjudice porté à l’image de la France comme pays de liberté. Une chose est sûre, toutefois: nous continuerons de nous battre — et nous gagnerons”, a encore dit M. Durov.Après son arrestation spectaculaire à sa descente d’avion, l’entrepreneur naturalisé français en 2021 a été mis en examen en août 2024 pour une litanie d’infractions relevant de la criminalité organisée, la justice française lui reprochant globalement de ne pas agir contre la diffusion de contenus criminels sur sa messagerie.Lors de son interrogatoire en décembre 2024, il avait reconnu avoir “pris connaissance en garde à vue de la gravité des faits” reprochés à sa plateforme.  

Un an après son arrestation, le fondateur de Telegram critique l’enquête qui “peine” le visant

Pavel Durov, fondateur de Telegram, a critiqué dans un message sur son canal officiel l’enquête française le visant, qui selon lui “peine toujours à établir une quelconque irrégularité”, un an après sa retentissante arrestation.”Il y a un an, la police française m’a placé en garde à vue pendant quatre jours parce que certaines personnes dont …

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La rentrée de Radio France perturbée par une grève

Une rentrée agitée à Radio France: les programmes de plusieurs stations du groupe public, dont France Inter qui héberge la première matinale du pays, sont perturbés lundi matin, après l’appel à une grève illimitée.A partir de 7H00, en lieu et place de la matinale présentée par Nicolas Demorand, désormais accompagné par Benjamin Duhamel après le départ de Léa Salamé pour le 20H00 de France 2, les auditeurs de France Inter ont eu droit à une large plage musicale pendant près de 45 minutes.Au micro, M. Demorand a expliqué que cet appel à la grève avait été lancé “contre la stratégie éditoriale et contre les réformes menées par la direction” de Radio France.Patrick Cohen a pu faire son éditorial politique. La romancière belge Amélie Nothomb a été interrogée par M. Duhamel, avant la chronique humoristique de Bertrand Chameroy, nouvelle recrue. Enfin, le programme musical a repris au lieu du journal de 8 heures.La programmation était également perturbée sur France Culture par exemple, tandis que la matinale de franceinfo se déroulait normalement.Sur Ici, les antennes locales, “nous ne sommes pas en mesure de diffuser tous les programmes”, lisait-on sur le site internet de l’ancien France Bleu.Ce préavis de grève illimitée a été déposé le 11 juillet par les syndicats CFDT, CGT, FO, SNJ, SUD et UNSA.Ils rejettent plusieurs réformes voulues par la patronne du groupe, Sibyle Veil. Parmi elles: l’arrêt de la radio Mouv’ sur la FM, des changements éditoriaux au sein d’Ici et l’arrêt d’émissions d’investigation et de reportage.Des discussions menées vendredi avec la direction n’ont pas abouti à la levée du préavis.Une première grève, très suivie, avait eu lieu du 26 au 29 juin. Elle avait immédiatement été suivie d’une deuxième, mais pour un motif différent. Il s’agissait de protester contre le projet de réforme de l’audiovisuel public porté par la ministre de la Culture, Rachida Dati. Il prévoit de créer une holding, France Médias, qui chapeauterait France Télévisions, Radio France et l’INA (Institut national de l’audiovisuel).Après un parcours parlementaire heurté, ce texte devrait revenir à l’Assemblée nationale à l’automne. Il a été adopté en juillet par le Sénat, où les débats ont été écourtés par le choix de la ministre d’employer l’arme constitutionnelle du vote bloqué.Selon les dernières mesures d’audience de Médiamétrie, publiées début juillet, Radio France a enregistré une saison 2024-2025 record sur plusieurs antennes et France Inter a augmenté son avance comme première radio du pays.

En Indonésie, la vidéo virale d’un enfant dope l’affluence à une course traditionnelle

Dans leurs longues embarcations, les rameurs pagaient frénétiquement devant une foule venue assister au Pacu Jalur, course nautique traditionnelle en Indonésie. Mais cette année, elle connaît une affluence exceptionnelle, dopée par la vidéo devenu virale d’un jeune garçon dansant à l’avant des bateaux.Longue d’environ un kilomètre, la course Pacu Jalur est très célèbre dans l’archipel où elle se tenait jusqu’à dimanche sur la rivière Kuantan, dans la province de Riau, dans l’île de Sumatra (ouest).Elle fait traditionnellement le plein de spectateurs, principalement indonésiens. Mais cette année, les organisateurs attendaient jusqu’à 100.000 personnes supplémentaires, venues cette fois du monde entier.La raison d’un tel engouement? La danse de Rayyan Arkan Dikha, Indonésien de 11 ans, debout à l’avant de bateaux lancés à toute vitesse, capturée dans une vidéo d’une vingtaine de secondes qui a fait le tour du monde en juin. Les images montrent Rayyan faire tournoyer ses mains puis balancer ses bras d’avant en arrière. Elle a cumulé des millions de vues sur TikTok et d’autres plateformes. Des stars du sport comme le pilote de F1 Alexander Albon ou Marc Marquez (MotoGP) ont ensuite imité la gestuelle de l’enfant. Au Pacu Jalur, le danseur à l’avant de l’embarcation a pour fonction d’encourager les rameurs.Cette visibilité a généré cette année un afflux inédit de visiteurs vers la rivière Kuantan, dont Duncan McNaught, touriste australien de 22 ans.”Je voulais filmer et montrer le festival au monde entier”, confie-t-il. “Je pense que les rameurs sont fous. Ils sont géniaux.”.- Touristes étrangers -Yuyun Kurnia, une Indonésienne de 38 ans, a fait le voyage depuis la ville de Medan, à 17 heures de route, après avoir entendu parler de la course sur les réseaux sociaux. C’est “incroyable” de pouvoir y assister en personne, s’enthousiasme-t-elle.Les origines du Pacu Jalur remontent au XVIIe siècle, selon le site internet du gouvernement local, lorsque les habitants utilisaient la rivière pour transporter des marchandises et des personnes à bord d’un long bateau traditionnel en bois appelé “jalur”. L’embarcation a ensuite évolué pour être utilisée dans des courses organisées annuellement au mois d’août.Pour l’édition 2025, plus de 220 équipes, la plupart issues de villages ou de districts locaux, ont participé à la course, dotée au total d’environ 900 millions de roupies (55.000 dollars) estime Roni Rakhmat, directeur de l’agence de tourisme de Riau.L’année dernière, Pacu Jalur avait attiré 1,4 million de visiteurs et rapporté plus de 2,5 millions de dollars à l’économie locale, selon le ministère du Tourisme. Cette année, les organisateurs attendaient 1,5 million de spectateurs et espéraient des recettes jusqu’à 4,6 millions de dollars de recettes, selon Roni Rakhmat.Les années précédentes, “il n’y avait pas d’étrangers pour assister au Pacu Jalur. Aujourd’hui, il y en a”, se félicite-t-il.- “Super cool” -Selon lui, les autorités ont profité de cette visibilité accrue pour améliorer l’organisation de l’événement et la propreté de la rivière. La police et l’armée ont ainsi pris des mesures pour mettre fin à l’exploitation illégale de l’or près du cours d’eau afin de réduire la pollution.”Je trouve ça super cool qu’un enfant de son âge ait réussi à se créer une image de marque personnelle grâce au Pacu Jalur”, se réjouit ainsi Naysila Ayunita Sari, 18 ans. “Avec ses danses, il a fait connaître le Pacu Jalur au monde entier”.”Ce gamin qui danse debout sur un bateau, ce n’est pas facile du tout”, abonde Frima, une habitante de 35 ans, qui, comme beaucoup d’Indonésiens, n’a qu’un seul nom. “Si vous me demandez si j’oserais essayer… la réponse est non”.

En Indonésie, la vidéo virale d’un enfant dope l’affluence à une course traditionnelle

Dans leurs longues embarcations, les rameurs pagaient frénétiquement devant une foule venue assister au Pacu Jalur, course nautique traditionnelle en Indonésie. Mais cette année, elle connaît une affluence exceptionnelle, dopée par la vidéo devenu virale d’un jeune garçon dansant à l’avant des bateaux.Longue d’environ un kilomètre, la course Pacu Jalur est très célèbre dans l’archipel …

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Le Royaume-Uni déploie la reconnaissance faciale en temps réel et à grande échelle

A l’entrée d’un supermarché, dans la foule d’un festival : des millions de Britanniques ont désormais le visage scanné par des technologies de reconnaissance faciale en temps réel, dans le seul pays européen à les déployer à grande échelle.Au carnaval londonien de Notting Hill, où deux millions de personnes sont attendues dimanche et lundi pour célébrer la culture afro-caribéenne, des caméras utilisant ce procédé ont été installées aux entrées et sorties de la parade.L’objectif, selon la police : “identifier et intercepter” en direct des personnes recherchées, en scannant les visages et en les comparant aux milliers de suspects dans sa base de données.”La reconnaissance faciale en temps réel est un outil efficace (…) qui a permis plus de 1.000 arrestations depuis début 2024″, a assuré Mark Rowley, le chef de la police de Londres, qui prévoit de “plus que doubler son usage” à l’avenir.Le recours à ces technologies a déjà considérablement augmenté depuis trois ans, passant de dix opérations entre 2016 et 2019 à une centaine depuis début 2025.Au total, les visages de 4,7 millions de personnes ont été scannés en 2024 au Royaume-Uni, note l’ONG Liberty.Les caméras sont installées sur le toit d’un van, où opèrent des agents de police, et, lorsqu’un suspect passe à proximité, le système utilisant l’intelligence artificielle déclenche une alerte permettant d’immédiatement l’interpeller.Son utilisation “à grande échelle” dans la capitale britannique, à l’occasion du couronnement de Charles III en 2023, ou à Cardiff cette année avant les concerts d’Oasis et les matchs du tournoi des Six Nations, transforme le Royaume-Uni en “un pays de suspects”, s’inquiète l’organisation Big Brother Watch.”Il n’y a pas de base législative (…) donc la police a le champ libre pour écrire ses propres règles”, déclare à l’AFP Rebecca Vincent, sa directrice intérimaire.Son usage privé par des supermarchés ou des magasins d’habillement pour lutter contre des vols à l’étalage en forte augmentation les préoccupe particulièrement, avec “très peu d’informations” sur leur collecte des données.La plupart utilisent Facewatch, un prestataire qui constitue une liste de suspects d’infractions dans les magasins qu’il surveille, et donne l’alerte dès que l’un d’eux entre dans un de ces commerces.”Ils devraient en informer clairement leurs clients”, s’étonne, “très surprise”, Abigail Bevon, une médecin légiste de 26 ans rencontrée devant une chaîne utilisant Facewatch à Londres. Si elle comprend l’utilité de cette technologie pour la police, elle juge “invasif” son usage par un commerce.- Interdit dans l’UE -Dans l’UE, la législation encadrant depuis février l’intelligence artificielle interdit le recours aux technologies de reconnaissance faciale en temps réel, avec des exceptions notamment pour la lutte antiterroriste.Hormis quelques cas aux Etats-Unis, “il n’y a rien de comparable dans les pays européens ou dans d’autres démocraties, l’usage de cette technologie (au Royaume-Uni) s’apparentant davantage à celui d’Etats autoritaires comme la Chine”, souligne Rebecca Vincent.”Cela change la manière d’habiter en ville en supprimant la possibilité de vivre dans l’anonymat” et peut décourager la participation notamment aux manifestations, avertit Daragh Murray, maître de conférence à l’université Queen Mary de Londres.La ministre de l’Intérieur Yvette Cooper a récemment promis un “cadre légal” pour délimiter son usage, mettant l’accent sur la lutte contre les “crimes graves”.Sans attendre, le Home office vient d’étendre le recours à ce procédé à sept nouvelles régions du Royaume-Uni.Après les vans, des caméras permanentes doivent aussi être installées pour la première fois en septembre à Croydon, un quartier du sud de la capitale jugé difficile.La police assure disposer de “garanties robustes”, promettant de supprimer les données biométriques des personnes n’ayant rien à se reprocher.Mais le régulateur britannique chargé des droits humains a estimé mercredi que l’utilisation de cette technologie par les policiers londoniens était “illégale” car “incompatible” avec le respect de ces droits.Onze organisations, dont Human Rights Watch, avaient exhorté la police à renoncer à l’utiliser pendant le carnaval de Notting Hill, l’accusant dans une lettre de “cibler injustement” cette communauté et insistant sur les biais raciaux de l’IA.Elles citent le cas de Shaun Thompson, un homme noir arrêté après avoir été identifié à tort par l’une de ces caméras, qui a déposé un recours en justice contre la police londonienne.

Le Royaume-Uni déploie la reconnaissance faciale en temps réel et à grande échelle

A l’entrée d’un supermarché, dans la foule d’un festival : des millions de Britanniques ont désormais le visage scanné par des technologies de reconnaissance faciale en temps réel, dans le seul pays européen à les déployer à grande échelle.Au carnaval londonien de Notting Hill, où deux millions de personnes sont attendues dimanche et lundi pour …

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L’Etat américain entre au capital d’Intel sous la pression de Trump

Donald Trump a annoncé vendredi l’entrée de l’Etat fédéral américain au capital de l’entreprise de semi-conducteurs et processeurs Intel, à hauteur de 10%, affirmant que cela n’avait “rien coûté”.”C’est un grand honneur pour moi d’annoncer que les Etats-Unis possèdent désormais pleinement 10% du capital d’Intel, une grande entreprise américaine avec désormais un futur encore plus …

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