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“Golfe d’Amérique”: Trump maintient ses entraves contre l’agence de presse AP

Donald Trump a affirmé mardi qu’il maintiendrait des restrictions d’accès visant la grande agence de presse américaine Associated Press (AP) tant qu’elle n’acceptera pas d’utiliser l’appellation géographique “Golfe d’Amérique” pour désigner le Golfe du Mexique.”Nous allons les laisser en dehors jusqu’à ce qu’ils acceptent qu’il s’agit du Golfe d’Amérique”, a déclaré le président américain, répondant à la question d’un journaliste, depuis sa résidence Mar-a-Lago en Floride.”L’Associated Press refuse de suivre la loi”, a-t-il insisté.Les journalistes d’AP, pilier de la presse aux Etats-Unis, ont vu leurs accès au Bureau ovale de la Maison Blanche, ainsi qu’à l’avion présidentiel, bloqués par l’exécutif américain, qui reproche à l’agence de ne pas se plier à la décision prise par Donald Trump de renommer le Golfe du Mexique en “Golfe d’Amérique”.”Un gouvernement est en train de dicter au public et à la presse les mots qu’il faut utiliser et exerce des représailles s’ils n’obéissent pas aux ordres”, a réagi une porte-parole d’AP, Lauren Easton, dans un message transmis à l’AFP mercredi.Julie Pace, la rédactrice en chef de l’agence, a déjà dénoncé une “violation flagrante du Premier amendement” de la Constitution américaine, qui garantit la liberté de la presse et la liberté d’expression.Dans une note éditoriale, AP a expliqué que le décret changeant le nom du Golfe du Mexique n’avait d’autorité qu’aux Etats-Unis, tandis que le Mexique et d’autres pays et organismes internationaux ne l’avaient pas reconnu. “Associated Press y fera référence par son nom d’origine tout en reconnaissant le nouveau nom choisi par Trump”, poursuivait l’agence de presse.”Le Golfe du Mexique porte ce nom depuis plus de 400 ans”, a ajouté sa porte-parole mercredi.Donald Trump a profité de l’occasion pour s’en prendre au travail de ses journalistes.”Comme vous le savez, l’Associated Press s’est complètement trompée sur l’élection, sur Trump, sur le traitement de Trump, et sur d’autres choses à propos de Trump, des républicains et des conservateurs”, a déclaré le milliardaire. Lors de son premier mandat, Donald Trump désignait la presse comme l'”ennemi du peuple”. Depuis son retour au pouvoir, il a de nouveau accentué ses attaques contre les grands médias américains, en les visant notamment au portefeuille par des actions en justice. Fondée en 1846 par des journaux new-yorkais, AP livre articles, photos et vidéos à de très nombreux médias, américains et étrangers. L’agence, véritable institution du journalisme qui emploie plus de 3.000 personnes à travers le monde, a publié plus de 375.000 articles, 1,24 million de photos et 80.000 vidéos selon ses chiffres pour 2023.

“Golfe d’Amérique”: Trump maintient ses entraves contre l’agence de presse AP

Donald Trump a affirmé mardi qu’il maintiendrait des restrictions d’accès visant la grande agence de presse américaine Associated Press (AP) tant qu’elle n’acceptera pas d’utiliser l’appellation géographique “Golfe d’Amérique” pour désigner le Golfe du Mexique.”Nous allons les laisser en dehors jusqu’à ce qu’ils acceptent qu’il s’agit du Golfe d’Amérique”, a déclaré le président américain, répondant …

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Google verse 326 millions d’euros au fisc italien pour clôturer un contentieux

Google a versé 326 millions d’euros pour clôturer un contentieux avec le fisc italien a annoncé mercredi le parquet de Milan qui a recommandé au juge des enquêtes préliminaires de classer désormais l’affaire.La justice italienne soupçonnait Google de ne pas avoir payé les impôts dus pendant la période 2015-2019 et “à l’issue d’un accord, la société a procédé au versement de 326 millions d’euros au titre des impôts, sanctions et intérêts” pour mettre un terme à son contentieux avec le fisc, indique un communiqué du parquet.Selon le parquet, Google Ireland Limited, société de droit irlandais, avait “omis de présenter la déclaration annuelle de revenus réalisés en Italie”, pendant cette période, en particulier à travers “la vente d’espaces publicitaires”, selon le communiqué.L’accord auquel sont parvenus les procureurs et Google permet à ce dernier de se mettre en règle et d’éviter la poursuite de l’enquête, même si le dernier mot revient au juge des enquêtes préliminaires.Le gendarme italien de la concurrence italien avait ouvert en juillet dernier une enquête à l’encontre de Google et de sa société mère Alphabet sur l’envoi aux utilisateurs d’une demande de consentement pour lier ses services, qui pourrait, selon lui, constituer une “pratique commerciale trompeuse et agressive.”L’autorité avait déjà infligé en novembre 2021 une amende de 20 millions d’euros à Google et Apple, équitablement répartie entre les deux sociétés, pour des pratiques “agressives” dans l’utilisation des données des consommateurs à des fins commerciales.En mai 2021, l’autorité avait en outre imposé une amende de 102 millions d’euros à Google pour abus de position dominante.

Google verse 326 millions d’euros au fisc italien pour clôturer un contentieux

Google a versé 326 millions d’euros pour clôturer un contentieux avec le fisc italien a annoncé mercredi le parquet de Milan qui a recommandé au juge des enquêtes préliminaires de classer désormais l’affaire.La justice italienne soupçonnait Google de ne pas avoir payé les impôts dus pendant la période 2015-2019 et “à l’issue d’un accord, la …

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Google verse 326 millions d’euros au fisc italien pour clôturer un contentieux (parquet)

Google a versé 326 millions d’euros pour clôturer un contentieux avec le fisc italien a annoncé mercredi le parquet de Milan qui a recommandé au juge des enquêtes préliminaires de classer désormais l’affaire.La justice italienne soupçonnait Google de ne pas avoir payé les impôts dus pendant la période 2015-2019 et “à l’issue d’un accord, la société a procédé au versement de 326 millions d’euros au titre des impôts, sanctions et intérêts” pour mettre un terme à son contentieux avec le fisc, indique un communiqué du parquet.Selon le parquet, Google Ireland Limited, société de droit irlandais, avait “omis de présenter la déclaration annuelle de revenus réalisés en Italie”, pendant cette période, en particulier à travers “la vente d’espaces publicitaires”, selon le communiqué.L’accord auquel sont parvenus les procureurs et Google permet à ce dernier de se mettre en règle et d’éviter la poursuite de l’enquête, même si le dernier mot revient au juge des enquêtes préliminaires.Le gendarme italien de la concurrence italien avait ouvert en juillet dernier une enquête à l’encontre de Google et de sa société mère Alphabet sur l’envoi aux utilisateurs d’une demande de consentement pour lier ses services, qui pourrait, selon lui, constituer une “pratique commerciale trompeuse et agressive.”L’autorité avait déjà infligé en novembre 2021 une amende de 20 millions d’euros à Google et Apple, équitablement répartie entre les deux sociétés, pour des pratiques “agressives” dans l’utilisation des données des consommateurs à des fins commerciales.En mai 2021, l’autorité avait en outre imposé une amende de 102 millions d’euros à Google pour abus de position dominante.

Enfin lâcher son téléphone : à Londres, le succès de soirées “offline”

“Je vous le laisse volontiers! Je suis venue pour ça”, lâche Lois Shafier, en abandonnant son téléphone à l’entrée d’une soirée du “Offline Club” à Londres. Ici, pas de notification, pas de réseaux sociaux mais des rencontres, dans le monde réel. Les tickets s’arrachent pour ces “digital detox” de deux heures. Mi-février, la soirée affichait une …

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Enfin lâcher son téléphone : à Londres, le succès de soirées “offline”

“Je vous le laisse volontiers! Je suis venue pour ça”, lâche Lois Shafier, en abandonnant son téléphone à l’entrée d’une soirée du “Offline Club” à Londres. Ici, pas de notification, pas de réseaux sociaux mais des rencontres, dans le monde réel. Les tickets s’arrachent pour ces “digital detox” de deux heures. Mi-février, la soirée affichait une nouvelle fois complet, avec plus de 150 personnes présentes, la plupart des jeunes adultes entre 20 et 35 ans.Pour ce moment sans téléphone, ils ont payé 9,50 livres sterling (11,40 euros).”Nous sommes la génération de la technologie et des réseaux sociaux, mais nous en avons assez. Nous voulons nous reconnecter au monde réel”, explique Bianca Bolum, 25 ans. C’est la deuxième fois que cette créatrice de bijoux participe à la soirée. Elle est venue seule et espère rencontrer d’autres personnes. Selon le régulateur des médias Ofcom, les Britanniques entre 25 et 34 ans passent en moyenne 04H03 par jour sur leur smartphone. Liliann Delacruz, 22 ans, explique y consacrer une dizaine d’heures, pour échanger avec sa famille, ses amis, surfer sur les réseaux sociaux. “Je suis ici pour sortir de ma bulle”, dit cette étudiante.Sur les tables, autour desquelles s’installent les participants, sont posés des jeux de société, de la peinture. Un brouhaha monte dans la salle, une église qui sert de salle de quartier, alors que les discussions s’animent.”Avoir laissé mon téléphone est libérateur”, se félicite Harry Stead, un ingénieur de 25 ans. “Trop souvent, je ressens le besoin de le regarder”. Il parle de sa “FOMO” (“Fear of missing out”), sa peur de rater quelque chose.- “Epidémie de solitude” -Lois Shafier se dit complètement “accro” à son téléphone et “déteste” cela. Cette assistante de direction de 35 ans est venue avec une amie avec laquelle elle échange tout en cousant. Si elle était chez elle, “c’est sûr”, elle aurait son téléphone tout près d’elle. D’ailleurs, dès que la soirée se termine, elle le rallume rapidement et reste les yeux rivés sur l’écran. L’ironie, c’est que les participants ont connu l’existence de ce club sur les réseaux sociaux, souvent Instagram.”Je ne suis pas contre la technologie. Je ne dis pas : +Débarrassez vous de vos téléphones!+”, explique Ben Hounsell, le fondateur du club à Londres. Mais “beaucoup de gens réalisent que tenir son téléphone à l’écart pendant quelques heures leur fait du bien”, dit ce jeune de 23 ans. Depuis le lancement du club fin octobre, plus de 2.000 personnes ont participé. “Cela grossit très vite”, dit-il.Le club a également ouvert à Paris, Barcelone, Dubaï. Le premier a été créé il y a un an à Amsterdam, par Ilya Kneppelhout et deux amis. Pour lui, il y a bien “une addiction” au smartphone et aux réseaux sociaux. “Nous l’utilisons même si nous savons que cela ne nous fait pas de bien”.Le “Offline Club” répond aussi à “une épidémie de solitude”. “Les gens recherchent une connexion authentique avec d’autres personnes, loin des écrans”. – “Prendre le contrôle” -Ilya Kneppelhout a été inspiré par des clubs de lecture, comme Reading Rhythms à New York ou le Silent Book Club, où des gens se réunissent pour lire ensemble.Pour déconnecter de son téléphone plusieurs jours, il existe des retraites dans de nombreux pays.Des influenceurs ont eux-mêmes essayé de lever le pied. La Française Léna Mahfouf a raconté mi-novembre son “mois sans écran” à ses millions d’abonnés. Venetia La Manna, militante sur les réseaux sociaux pour une mode équitable, se déconnecte tous les week-ends et le fait savoir avec le mot dièse #offline48. “Je suis davantage présente avec mes proches. Je dors mieux. Je suis plus créative”, explique-t-elle à l’AFP.Pour la plupart des gens, le smartphone et les réseaux sociaux “ne nuisent pas à la santé mentale”, affirme Anna Cox, professeure à l’université UCL à Londres, spécialisée dans l’interaction entre l’humain et les technologies. Il s’agit plutôt “d’occasions manquées”, comme une discussion avec son conjoint plutôt que du temps passé sur l’écran.Mais il existe “d’excellentes stratégies” pour contrôler son usage du smartphone. Des apps fixent des limites de temps passé sur les réseaux sociaux. Mettre l’écran en noir et blanc le rend aussi moins attrayant.”Nous devons nous éduquer – et en particulier les jeunes – à prendre le contrôle de nos appareils”, souligne-t-elle.

Meta va déployer un câble sous-marin long de 50.000 km pour alimenter l’IA

Des milliers de kilomètres de câble sous-marin pour “libérer le potentiel mondial de l’intelligence artificielle”: avec son nouveau projet, le géant américain Meta entend renforcer son indépendance en misant sur une infrastructure aussi essentielle que sensible.Dans une note de blog publiée vendredi, la maison mère de Facebook et d’Instagram a annoncé son ambition de déployer un câble sous-marin de plus de 50.000 km, avec l’objectif d’apporter “une connectivité de pointe aux États-Unis, à l’Inde, au Brésil, à l’Afrique du Sud et à d’autres régions”.Avec un investissement sur plusieurs années atteignant plusieurs milliards de dollars, il s’agit du “projet de câble sous-marin le plus ambitieux” jamais conduit par l’entreprise, s’est-elle vantée. Ces câbles sous-marins qui traversent les océans sont des infrastructures critiques: ce sont eux qui permettent d’assurer la quasi-totalité des communications numériques mondiales, d’où leur rôle majeur pour des entreprises parties à la conquête de l’IA. Le futur câble fournira “la connectivité abondante et à haute vitesse nécessaire pour stimuler l’innovation en intelligence artificielle”, a ainsi assuré Meta. – Indépendance -Si l’impact de l’intelligence artificielle sur la demande de bande passante et de câbles n’est pas encore bien connu, l’entraînement de nouveaux modèles pourrait nécessiter d’acheminer rapidement de grandes quantités de données partout dans le monde, explique à l’AFP Alan Mauldin, directeur de recherche pour le cabinet spécialisé Telegeography.Les réponses apportées par l’IA occuperont quant à elles aussi une part – encore inconnue – du trafic internet mondial. Dans cette course à l’innovation, “beaucoup d’entreprises pourraient émerger dans ce secteur, mais les grandes entreprises (…) semblent avoir un très grand avantage”, grâce à leurs centres de données, mais aussi à l’infrastructure de câbles qu’elles développent, déclare M. Mauldin. Ces infrastructures sous-marines, fabriquées à partir de fibre optique, s’étendent déjà sur environ “1,2 million de kilomètres” (soit environ 30 fois le tour de la Terre), selon un rapport du groupe de réflexion américain Center for Strategic and International Studies (CSIS) publié en août 2024.Si, selon des chiffres de 2021, quatre sociétés se partageaient la quasi-totalité du marché (l’Américain SubCom, le Français Alcatel Submarine Networks (ASN), le Japonais Nippon Electric Company (NEC) et le Chinois HMN Technologies), les grandes entreprises telles que Meta, ou Google, prennent peu à peu leur indépendance.Après des projets de câbles menés de concert avec d’autres groupes, les géants de la tech font grossir leurs propres réseaux.”À un certain moment, lorsque votre croissance est très importante et que vos volumes de demande surpassent ceux des autres, vous êtes incité à investir vous-même, à éliminer l’intermédiaire,” note M. Mauldin. – Sécuriser le trafic -Baptisé “Projet Waterworth”, le futur câble annoncé par Meta sera ainsi le troisième à être l’entière propriété du groupe, quand Google en possède seize. Une démultiplication qui ne se fonde pas uniquement sur une recherche de puissance, mais aussi sur un impératif de sécurité.”Un nouveau gros câble à haute capacité ne vous sert à rien… vous devez en avoir trois ou quatre, car si un tombe en panne, ou deux tombent en panne, vous pouvez toujours rediriger le trafic”, commente M. Mauldin.Quelque 200 incidents endommageant ces câbles sont en effet dénombrés chaque année.Le plus souvent d’origine naturelle, en lien avec des glissements de terrain sous-marins ou des tsunamis, ou accidentelle, lorsque des ancres de bateau se heurtent aux câbles, les dégâts peuvent aussi résulter d’opérations volontaires. En janvier, l’Otan a lancé des patrouilles dédiées en mer Baltique après des attaques présumées sur des câbles, que des experts et des politiciens ont attribuées à la Russie. D’où la nécessité d’un tracé sûr: l’itinéraire du “Projet Waterworth” de Meta évite plusieurs zones de tensions géopolitiques tels que la mer de Chine méridionale, sujette à des disputes entre Pékin et ses voisins, ainsi que la mer Rouge, souligne Alan Mauldin.

Meta va déployer un câble sous-marin long de 50.000 km pour alimenter l’IA

Des milliers de kilomètres de câble sous-marin pour “libérer le potentiel mondial de l’intelligence artificielle”: avec son nouveau projet, le géant américain Meta entend renforcer son indépendance en misant sur une infrastructure aussi essentielle que sensible.Dans une note de blog publiée vendredi, la maison mère de Facebook et d’Instagram a annoncé son ambition de déployer …

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Meta va déployer un câble sous-marin long de 50.000 km à travers cinq continents

Le géant américain Meta (Facebook, Instagram) va déployer un câble sous-marin reliant cinq continents sur plus de 50.000 km, pour renforcer la capacité et la fiabilité du transport de données numériques, a-t-il annoncé dans une note de blog.Surnommé “Projet Waterworth”, il est présenté comme son projet de câble sous-marin “le plus ambitieux” et doit apporter “une connectivité de pointe aux États-Unis, à l’Inde, au Brésil, à l’Afrique du Sud et à d’autres régions”, a détaillé Meta dans cette note publiée vendredi.Selon Meta, il représente un “investissement pluriannuel de plusieurs milliards de dollars”.Infrastructures critiques, les câbles sous-marins assurent la quasi-totalité des communications numériques mondiales.Serpentant sous les mers, les quelque 450 tuyaux actuellement installés dans le monde s’étendent sur environ “1,2 million de kilomètres”, selon un rapport du groupe de réflexion américain Center for Strategic and International Studies (CSIS) publié en août 2024.Si, selon des chiffres de 2021, quatre sociétés se partageaient la quasi-totalité du marché (l’Américain SubCom, le Français Alcatel Submarine Networks (ASN), le Japonais Nippon Electric Company (NEC) et le Chinois HMN Technologies), les géants du numérique comme Meta développent désormais leurs propres infrastructures face à l’enjeu économique énorme que représentent ces câbles.Hautement stratégiques, ces infrastructures sont régulièrement endommagées par des éléments naturels (éboulements sous-marins, tsunamis) mais aussi par les ancres des bateaux.Ils peuvent aussi faire l’objet de sabotages et de tentatives d’espionnage.Avec le développement rapide de l’intelligence artificielle et des modèles d’IA génératives, particulièrement gourmand en ressources, le trafic numérique mondial devrait continuer de grimper dans les années à venir