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Commerce en ligne: l’UFC-Que Choisir alerte sur les “fausses promotions” et saisit la Commission européenne

L’association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir a annoncé mercredi saisir la Commission européenne “afin de l’alerter sur les dérives persistantes” de certains vendeurs en ligne comme Amazon, Shein ou Cdiscount, qui pratiquent selon elle de “fausses promotions”.L’UFC-Que Choisir “a analysé près de 1.000 annonces comportant un prix barré, issues de six sites majeurs d’e-commerce. Il en ressort que seuls 15% des prix barrés sont de réelles réductions”, déplore l’association dans son communiqué.Au total, l’UFC-Que Choisir s’est penchée sur six des plus gros vendeurs en ligne: Amazon, ASOS, Cdiscount, Shein, Temu, et Zalando, le tout sur une période étalée de février à avril 2025.Dans son analyse, l’association s’en prend à une notion fréquemment utilisée dans le commerce en ligne: le “prix de référence”. “A côté du prix effectif, le commerçant affiche un prix qui est plus élevé. Ce prix de référence est souvent barré et peut être accompagné par un pourcentage ou une somme en euros indiquant le rabais proposé”, explique l’association. Or selon l’UFC, ce prix de référence “est utilisé par le vendeur pour donner l’impression au consommateur que l’offre actuelle est particulièrement avantageuse”. “Certains vendeurs ne fournissent tout simplement aucune explication quant à la nature du prix barré affiché”, note l’association. Pourtant, depuis une directive européenne de 2019 entrée en vigueur en France en 2022, toute annonce d’une réduction de prix doit indiquer le prix précédent pratiqué par le vendeur et le “prix antérieur correspond au prix le plus bas pratiqué par le professionnel à l’égard de tous les consommateurs au cours des trente derniers jours”, selon la loi. “Alors qu’une réduction de prix souligne que le prix réel a effectivement baissé, un prix +de comparaison+ peut être manipulé librement par le vendeur pour afficher une remise supposée aussi élevée que virtuelle”, souligne l’UFC-Que Choisir, qui ajoute que “plus le prix barré est opaque ou arbitraire, plus la prétendue réduction affichée est importante”.Récemment, le géant asiatique de la mode éphémère Shein s’est vu infliger une amende de 40 millions d’euros pour “pratiques commerciales trompeuses” après une enquête de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). Concrètement, il est notamment reproché à Shein d’avoir majoré “certains prix avant de leur appliquer une réduction”, ou de ne pas avoir tenu compte “des promotions précédentes” lorsqu’il indiquait un prix de référence.

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L’association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir a annoncé mercredi saisir la Commission européenne “afin de l’alerter sur les dérives persistantes” de certains vendeurs en ligne comme Amazon, Shein ou Cdiscount, qui pratiquent selon elle de “fausses promotions”.L’UFC-Que Choisir “a analysé près de 1.000 annonces comportant un prix barré, issues de six sites majeurs d’e-commerce. …

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Violences sexuelles: la “Ciivise des jeunes” demande de mieux protéger les mineurs sur les réseaux sociaux

Mieux protéger les jeunes sur les réseaux sociaux et les armer pour venir en aide aux victimes de violences sexuelles qui se confient: le groupe “jeunes” de la Ciivise présente mercredi aux députés 23 recommandations à hauteur d’enfant.La Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) a constitué un “groupe miroir” …

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Violences sexuelles: la “Ciivise des jeunes” demande de mieux protéger les mineurs sur les réseaux sociaux

Mieux protéger les jeunes sur les réseaux sociaux et les armer pour venir en aide aux victimes de violences sexuelles qui se confient: le groupe “jeunes” de la Ciivise présente mercredi aux députés 23 recommandations à hauteur d’enfant.La Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) a constitué un “groupe miroir” de quinze adolescents de 14 à 17 ans, pour faire des propositions, nourries de leur expérience, pour lutter contre les violences sexuelles, dont est victime selon elle un mineur sur dix.Victimes ou témoins d’inceste ou non, ils viennent de Paris, de banlieue, de province ou d’outre-mer.Après s’être réunis depuis janvier une fois par mois à distance, ces jeunes ont présenté mardi leur rapport à la Haute-Commissaire à l’Enfance Sarah El Haïry, et à la ministre chargée du Numérique Clara Chappaz, ainsi qu’aux membres de la Ciivise. Après une conférence de presse, ils l’exposeront mercredi aux députés de la Délégation aux droits des enfants de l’Assemblée nationale.”Protégez-nous des réseaux sociaux”, “aidez-nous à aider les autres”, “intégrez-nous aux dispositifs de prévention” et “améliorez l’écoute et l’accompagnement des victimes”: tels sont les principaux messages qu’ils se sont entraînés mardi, avec des acteurs associatifs (Cofrade, E-Enfance), à présenter aux décideurs politiques.”Lorsqu’on s’abonne à un réseau, comme Instagram, il ne faut pas plus d’une minute pour recevoir un message privé d’un inconnu. Les jeunes acceptent car ils sont fiers d’avoir des abonnés. Or un adulte de 40 ans se crée facilement un profil de fillette pour approcher des jeunes”, témoigne Côme.”Ma cousine à sept ans a créé un lien amoureux avec une personne rencontrée sur un réseau social”, poursuit un autre jeune.”Sur les réseaux on ne parle pas à n’importe qui”, disent-ils dans le texte qu’ils ont préparé. Ils recommandent que l’envoi de messages privés ne soit possible qu'”à partir de 13 ans” et uniquement pour des personnes mutuellement abonnées.Dans leur rapport, ils proposent d’attribuer des “labels aux plateformes répondant à certains critères de qualité” et d’interdire à celles n’ayant pas ce label d’ouvrir leurs services aux mineurs.- “C’est massif” -Les risques de la cybercriminalité devraient être intégrés dans les programme du “permis internet” et de “PIX”, deux dispositifs utilisés dans l’Education nationale pour sensibiliser au numérique, qu’ils jugent peu adaptés.Leur rapport recommande un “seuil d’âge” pour l’accès aux réseaux sociaux, avec une “méthode de vérification d’identité respectueuse des données personnelles”.Ils confient y être allés eux-mêmes “trop tôt”, souvent en début de collège. “Dans la classe de ma petite soeur, il y a des enfants de six ans qui ont des comptes TikTok”, explique Léonie.Une loi votée en 2023 prévoit que les mineurs de moins de 15 ans ne peuvent pas s’inscrire sur un réseau social sans accord parental. Mais elle n’est pas entrée en vigueur, dans l’attente d’une réponse de la Commission européenne sur sa conformité au droit européen.Par ailleurs, c’est aux jeunes, plus qu’aux adultes, que se confient les victimes de violences sexuelles et ils voudraient être formés et soutenus pour pouvoir les écouter, conseiller et orienter vers des adultes “compétents et bienveillants”. “C’est pendant les soirées, quand on est trois dans la cuisine et que l’alcool délie les langues, que ce genre de confidence sort”, confie Léonie. “C’est massif, cela arrive souvent.””Un ami m’a confié être victime d’inceste. J’ai été bouleversé et désolé de ne pas avoir été là pour lui plus tôt. Mais je ne savais pas vers qui l’orienter”, confie un jeune qui a requis l’anonymat.”Les jeunes peuvent participer à la prévention. Nous voulons savoir quoi faire, à qui s’adresser, comment réagir”, disent-ils à l’intention des décideurs politiques. Ils recommandent un “permis de pair-aidance dédié aux violences sexuelles”, adapté à chaque âge, de la primaire au lycée pour créer dans chaque établissement des “personnes repères” parmi les jeunes, formées.”On ne veut pas que les décisions soient prises sans nous. Nous avons des choses à dire de notre expérience”, dit leur texte.

La France connaît la croissance la plus rapide en matière d’investissements immatériels, selon l’ONU

Des données aux logiciels en passant par les marques, la croissance en France des investissements dans les actifs incorporels a été la plus rapide l’an dernier parmi les pays les plus avancés dans le domaine, selon un rapport publié par l’ONU mercredi.Selon l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (Ompi), les investissements dans les actifs incorporels ont augmenté trois fois plus vite l’an dernier que les investissements dans les actifs physiques tels que les machines et les bâtiments.Le rapport montre que les investissements dans les actifs incorporels dans 27 économies à revenu élevé ou intermédiaire ont augmenté d’environ 3% en termes réels l’an dernier, pour atteindre 7.600 milliards de dollars.La France s’en sort très bien, avec des investissements atteignant plus de 631 milliards de dollars l’an dernier, seulement devancée par le numéro un mondial, les Etats-Unis.En 2024, elle a enregistré la croissance la plus rapide de l’investissement immatériel parmi les économies à forte intensité immatérielle, avec une progression réelle de plus de 5%, suivie par le Royaume-Uni (plus de 4%), l’Espagne et le Danemark (proche de 4%) et les Etats-Unis (3,5%).”On a vu la France dépasser l’Allemagne et le Japon pendant ces deux dernières années dans le domaine de l’investissement dans l’immatériel”, indique à l’AFP Sacha Wunsch-Vincent, chef du Département de l’économie et de l’analyse de données, à l’Ompi.Cette tendance s’intègre selon lui “dans une amélioration de compétitivité de la France sur les cinq dernières années à peu près”.”Cela vient conforter un changement de la structure de l’économie française. Tandis que l’Allemagne et le Japon sont encore très liés par leur industrie d’automobile et l’industrie lourde, la France semble avoir pu se repositionner et monte en flèche ses investissements dans l’immatériel”, analyse-t-il.Selon M. Wunsch-Vincent, la croissance des investissements immatériels en France n’est pas portée par une entreprise en particulier, mais par la majorité des secteurs et acteurs économiques.”C’est le signe d’une transformation plus systémique ou plus profonde des entreprises françaises, notamment en ce qui concerne la R&D, les logiciels et données”, affirme-t-il.  – Hôpitaux, usines et administrations -“Les pays qui comprennent et encouragent les investissements dans les actifs incorporels seront mieux placés pour croître et prospérer dans une économie mondiale de plus en plus axée sur l’innovation technologique, numérique et culturelle”, assure le directeur général de l’Ompi, Daren Tang dans un communiqué.Les Etats-Unis occupent la première place en termes de niveau absolu d’investissements dans les actifs incorporels, avec un montant presque deux fois supérieur à celui de l’Allemagne, de la France, du Japon et du Royaume-Uni réunis.La Suède conserve elle sa position de leader en tant qu’économie à plus forte intensité d’actifs incorporels, avec des investissements dans les actifs incorporels représentant 16% de son produit intérieur brut (PIB). Elle est talonnée par les Etats-Unis, la France et la Finlande, tous avec une intensité de 15% du PIB.L’intensité des investissements dans les actifs incorporels de l’Inde (près de 10%) place celle-ci devant plusieurs économies de l’Union européenne, ainsi que devant le Japon.Les logiciels et les bases de données apparaissent comme le type d’actifs incorporels qui connaît la croissance la plus rapide, avec une expansion de plus de 7% par an entre 2013 et 2022. Cette croissance est stimulée par l’essor actuel de l’intelligence artificielle (IA), selon l’Ompi.Mais M. Wunsch-Vincent prévient : “Beaucoup pensent que nous sommes déjà pleinement entrés dans l’ère de l’IA. En réalité, nous n’en sommes qu’à la première phase : celle de la construction des infrastructures physiques et des capacités de données”. “Les grands investissements immatériels viendront dans un second temps, lorsque les secteurs utilisateurs – comme les hôpitaux, les usines ou les administrations – transformeront en profondeur leurs modes de fonctionnement”, souligne-t-il.

La France connaît la croissance la plus rapide en matière d’investissements immatériels, selon l’ONU

Des données aux logiciels en passant par les marques, la croissance en France des investissements dans les actifs incorporels a été la plus rapide l’an dernier parmi les pays les plus avancés dans le domaine, selon un rapport publié par l’ONU mercredi.Selon l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (Ompi), les investissements dans les actifs incorporels …

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Le comédien André Dussollier rejoint RTL à la rentrée

Le comédien André Dussollier rejoindra RTL à la rentrée pour animer une nouvelle émission du lundi au jeudi à 20h, a annoncé la station du groupe M6 mardi à l’AFP, confirmant une information du Parisien.L’acteur de 79 ans se lancera chaque soir dans un récit, “aussi bien dans le domaine du sport que de la société ou de la culture”, selon le quotidien.A 20h30, la journaliste Isabelle Choquet “prendra le relais” pour une interview en lien avec cette histoire, précise le journal.Cette nouveauté occupera ainsi la tranche jusqu’alors dévolue au programme “Héros” de Faustine Bollaert, l’animatrice devant présenter un nouveau rendez-vous de témoignage de 9h30 à 10h.Récompensé de trois César, dont celui du meilleur acteur en 1998 pour “On connaît la chanson” d’Alain Resnais, et d’un Molière, André Dussollier va donc s’essayer à l’animation radio. Un média qu’il “aime beaucoup”, comme il l’a expliqué l’année dernière au micro de RTL. “Orson Welles disait: +La radio a ceci de supérieur au cinéma, c’est qu’à la radio, l’écran est plus large+”, avait notamment déclaré le comédien. “On imagine les gens, on fonctionne, on est actif quand on entend des voix ou des bruits. (…) La voix a toujours été pour moi un élément précieux”, avait-il ajouté.Celui que le grand public a découvert dès 1985 avec “Trois hommes et un couffin” de Coline Serreau a notamment joué en 1991 dans la pièce radiophonique “Lettres d’Aymonville” d’André Targe pour Radio France. Il a également assuré des lectures sur France Culture en 2020 lors du premier confinement.André Dussollier vient allonger la liste des nouvelles recrues de RTL, où sont également attendus à la rentrée les journalistes Anne-Sophie Lapix, Marc-Olivier Fogiel et Augustin Trapenard. RTL est la deuxième radio la plus écoutée de France avec 9% d’audience cumulée au deuxième trimestre, selon la dernière vague Médiamétrie. 

Soupçons d’emploi fictif au Canard enchaîné: le procès d’anciens dirigeants s’est ouvert

Le procès de deux ex-dirigeants du Canard enchaîné, d’un ancien dessinateur et de sa compagne, soupçonnés d’abus de biens sociaux au préjudice de l’hebdomadaire satirique qui a révélé l’emploi fictif de Penelope Fillon, s’est ouvert mardi à Paris, en l’absence de deux des prévenus.Pendant quatre jours, Michel Gaillard, président du Canard de 1992 à juillet 2023, Nicolas Brimo, qui lui a succédé, ainsi que l’ancien dessinateur André Escaro et sa compagne Edith Vandendaele, sont jugés devant la 11e chambre correctionnelle du tribunal de Paris. Ils doivent répondre d’abus de biens sociaux ou recel de ce délit, déclaration frauduleuse pour obtenir une carte de presse, faux et usage de faux et déclaration frauduleuse à un organisme social.le procès, initialement prévu en octobre 2024, avait été reporté à la demande des avocats de la défense qui avaient notamment argué de l’état de santé de M. Escaro, aujourd’hui âgé de 97 ans. Au premier jour mardi, seuls M. Gaillard et M. Brimo étaient présents. Après avoir lu les infractions reprochées à tous les prévenus, la présidente a donné connaissance d’expertises médicales sur la capacité de M. Escaro et Mme Vandendaele, 77 ans, à comparaître. S’interrogeant sur l’opportunité de disjoindre leur cas, et de ne juger que MM. Brimo et Gaillard, le tribunal a finalement décidé de ne pas le faire, considérant que le couple était représenté par son avocat, Me Jean-Baptiste Marre.L’audience s’est poursuivie sur des questions procédurales et les conseils de la défense ont notamment dénoncé une enquête préliminaire menée selon eux uniquement à charge par le parquet.Dans ce dossier, six autres actionnaires minoritaires du journal, dont le rédacteur en chef historique Claude Angeli, se sont portés partie civile aux côtés du journaliste Christophe Nobili, qui a révélé l’affaire. – Crise interne -Le scandale a provoqué une profonde crise interne dans ce titre centenaire, célèbre pour ses calembours, ses caricatures et les nombreuses affaires politiques et économiques qu’il a dévoilées.En mai 2022, M. Nobili, l’un des journalistes à l’origine des révélations sur les emplois fictifs de l’épouse de François Fillon pendant la campagne présidentielle 2017, porte plainte contre X.Il affirme que la compagne de M. Escaro, dessinateur et ex-administrateur du journal, aurait bénéficié pendant 25 ans d’une rémunération du journal sans y avoir travaillé.Selon un rapport de synthèse de juillet 2023 de la brigade financière, révélé par Mediapart et dont l’AFP a eu connaissance, M. Escaro a expliqué aux enquêteurs qu’une fois parti à la retraite en 1996, il avait continué à envoyer chaque semaine des dessins et qu’il s’était mis d’accord avec les dirigeants du journal pour que sa compagne, qui lui apportait “une contribution morale et technique à la préparation des caricatures”, soit rémunérée par le journal.Pour les enquêteurs, le préjudice s’élève à près de 1,5 million d’euros entre 2010 et 2022, les faits commis avant 2010 étant prescrits.En mars 2023, M. Nobili a publié “Cher Canard” (JC Lattès), un ouvrage revenant sur toute cette affaire qui a mis au jour des fractures au sein de la rédaction.Après sa parution, la direction a déclenché une procédure de licenciement à l’encontre du journaliste, mais a été déboutée à plusieurs reprises par l’inspection du travail et le ministère du Travail, selon Pierre-Olivier Lambert, avocat de M. Nobili.De son côté, le journaliste a intenté une procédure pour harcèlement contre MM. Brimo et Gaillard, avec le soutien des syndicats SNJ-CGT et SNJ. Le conseil des prud’hommes les a finalement condamnés à lui verser 10.000 euros chacun, mais pour discrimination syndicale.L’hebdomadaire, lui, a déposé en mars 2024 une plainte pour “perquisition numérique illégale”, effectuée via un “lien” numérique fourni par M. Nobili. Elle a été classée sans suite en juillet de la même année pour absence d’infraction, mais le journal a déposé une autre plainte avec constitution de partie civile et une information judiciaire a été ouverte en mars dernier.

Soupçons d’emploi fictif au Canard enchaîné: le procès d’anciens dirigeants s’est ouvert

Le procès de deux ex-dirigeants du Canard enchaîné, d’un ancien dessinateur et de sa compagne, soupçonnés d’abus de biens sociaux au préjudice de l’hebdomadaire satirique qui a révélé l’emploi fictif de Penelope Fillon, s’est ouvert mardi à Paris, en l’absence de deux des prévenus.Pendant quatre jours, Michel Gaillard, président du Canard de 1992 à juillet …

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