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Anne-Sophie Lapix sur M6: une longue interview le dimanche soir

Anne-Sophie Lapix proposera sur M6 une longue interview hebdomadaire, diffusée le dimanche en début de soirée à partir de septembre, a-t-elle révélé jeudi au Figaro.La journaliste a présenté le 26 juin son dernier 20H00 sur France 2, au terme de huit saisons sur la chaîne publique. Elle a été recrutée par M6 et RTL, qui …

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Médias: Bernard Arnault (LVMH) a racheté L’Opinion et L’Agefi

Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, qui contrôle le groupe de presse Les Echos-Le Parisien et Paris Match, a racheté le quotidien libéral L’Opinion ainsi que le site d’actualité financière L’Agefi, ont indiqué jeudi des sources proches du dossier, confirmant une information du Figaro.Le groupe LVMH, déjà actionnaire minoritaire de Bey Médias, structure qui chapeaute L’Opinion et L’Agefi, en a acquis la totalité. Il entend “donner les moyens aux titres de se développer”, selon ces sources. Le montant de la transaction n’a pas été précisé. Les parts des autres actionnaires, notamment celles de la holding Thétys de la famille Bettencourt, celles de l’Américain Ken Fisher et du groupe Dow Jones, propriété du magnat des médias Rupert Murdoch, ont également été cédées à LVMH. Bey Médias va être autonome au sein du groupe de luxe et la gouvernance des titres demeure inchangée: Nicolas Beytout, qui était premier actionnaire de Bey Médias, garde la présidence. Les rédacteurs en chef Rémi Godeau pour L’Opinion et Alexandre Garabedian pour L’Agefi restent aux manettes.Ces annonces ont été faites en comité social et économique (CSE) jeudi.Selon Le Figaro, le PDG de LVMH avait participé au financement de L’Opinion dès sa création en 2013 par Nicolas Beytout, pour défendre une ligne résolument libérale et pro-européenne.L’Opinion est en déficit chronique, à l’inverse de L’Agefi, poids lourd de l’information financière en France. Les titres comptent au total quelque 150 salariés dont 90 journalistes, et les emplois sont conservés.   “Pour un fondateur, savoir que l’entreprise va perdurer est un élément important”, a indiqué à l’AFP Nicolas Beytout, qui a été auparavant PDG du groupe Les Echos.En 2024, ce dernier était entré en négociations exclusives pour ouvrir le capital du groupe au milliardaire tchèque Daniel Kretinsky et sa filiale médias CMI France. Mais ces discussions n’avaient pas abouti.En 2023, d’autres négociations pour une refinanciarisation avaient également été lancées avec le concurrent de Kretinsky, Rodolphe Saadé (CMA CGM), sans succès non plus.Fin 2024, LVMH, déjà propriétaire du groupe de presse Les Echos-Le Parisien, a racheté Paris Match au groupe Lagardère, dans le giron d’un autre milliardaire, Vincent Bolloré.

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Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, qui contrôle le groupe de presse Les Echos-Le Parisien et Paris Match, a racheté le quotidien libéral L’Opinion ainsi que le site d’actualité financière L’Agefi, ont indiqué jeudi des sources proches du dossier, confirmant une information du Figaro.Le groupe LVMH, déjà actionnaire minoritaire de Bey …

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RTL remanie ses matinées à la rentrée avec Faustine Bollaert et Alex Vizorek

RTL réduira sa matinale, présentée par Thomas Sotto, à la rentrée, au profit d’une nouvelle émission animée par Faustine Bollaert de 9H30 à 10H, a annoncé jeudi à l’AFP la radio, qui va relancer le jeu “Quitte ou double”, confié à Alex Vizorek.Actuellement diffusée de 7H à 10H, RTL Matin prendra fin une demi-heure plus tôt à compter du 25 août pour laisser place à Faustine Bollaert et son “nouveau rendez-vous de témoignage” dont le nom reste à déterminer, selon un communiqué de la station. L’animatrice préférée des Français, selon le classement annuel de TV Magazine, avait rejoint RTL à la rentrée 2024 pour présenter l’émission de témoignages “Héros” à 20H du lundi au jeudi, qui va cesser. Sur sa nouvelle tranche horaire, elle proposera “des témoignages d’anonymes, de vies singulières, de l’interactivité, des expériences hors du commun” que viendront enrichir “des appels et sms en direct”, précise RTL.Quotidiennement sur France 2 avec “Ca commence aujourd’hui” depuis 2017, Faustine Bollaert, 46 ans, pilotera aussi “Les Enfants de la télé” les dimanches en avant-soirée.De 10H à 12H, Julien Courbet sera toujours aux commandes de “Ca peut vous arriver” pour une 25e saison. L’humoriste belge Alex Vizorek lui succèdera à midi et pour une demi-heure à la tête de “Quitte ou double”, jeu culte animé de 2001 à 2006 par Jean-Pierre Foucault. Alliant “culture générale, suspense et prise de risque”, le programme proposera aux candidats de répondre à une série de questions et de choisir, à chaque bonne réponse, de partir avec leurs cadeaux ou de tenter de les doubler en poursuivant l’aventure, avec 5.000 euros à la clé.”Quitte ou double” avait été animé dans les années 1950 par Zappy Max sur Radio-Luxembourg. Ecarté de la station, devenue RTL, en 1966, l’animateur avait rebondi sur RMC, où il avait repris le jeu quotidiennement, jusqu’au début des années 1980 et bien avant la résurrection du programme sur RTL en 2001.RTL Midi, qui commençait cette saison à 12H, débutera donc à 12H30, sous la houlette de la journaliste Amandine Bégot, qui faisait jusqu’alors équipe avec Thomas Sotto dans la matinale. Autrefois première radio de France, RTL a été détrônée par la station publique France Inter en 2019.Selon la dernière vague d’audiences radio publiée mi-avril par Médiamétrie, France Inter a été écoutée par 7,3 millions d’auditeurs chaque jour sur la période allant de janvier à mars, contre cinq millions pour RTL (2e).

RTL remanie ses matinées à la rentrée avec Faustine Bollaert et Alex Vizorek

RTL réduira sa matinale, présentée par Thomas Sotto, à la rentrée, au profit d’une nouvelle émission animée par Faustine Bollaert de 9H30 à 10H, a annoncé jeudi à l’AFP la radio, qui va relancer le jeu “Quitte ou double”, confié à Alex Vizorek.Actuellement diffusée de 7H à 10H, RTL Matin prendra fin une demi-heure plus …

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Dominique Tenza va présenter la matinale de BFMTV

Le journaliste Dominique Tenza, venu de M6, va coprésenter la matinale de BFMTV au côté de Perrine Storme à partir de la rentrée, a annoncé la chaîne d’info continue jeudi.”Sa grande expérience, son dynamisme et sa créativité permettront à la matinale de poursuivre son développement et de demeurer une référence”, selon le directeur général de BFMTV Fabien Namias, cité dans un communiqué.Présentateur titulaire des JT du week-end depuis janvier 2023, Dominique Tenza avait fait ses adieux au “19:45” le 22 juin, après 17 ans au sein du groupe M6, dont la radio RTL. A la matinale de BFMTV, il succède à Christophe Delay, qui va occuper la tranche de la mi-journée de la chaîne. L’autre coprésentatrice jusqu’alors, Adeline François, rejoint pour sa part LCP.Au Figaro début juin, Fabien Namias avait promis “un nouveau plateau, de nouveaux décors et de nouveaux incarnants” pour la matinale de BFMTV, créneau stratégique.La chaîne, installée depuis le 6 juin sur l’ex-canal de LCP et Public Sénat (numéro 13), se classe deuxième chaîne d’information derrière CNews en part d’audience (PDA). L’ancienne leader a fait face à de nombreuses défections de journalistes depuis son rachat par l’armateur CMA CGM mi-2024. Elle revendique toutefois chaque jour 12 millions de téléspectateurs en cumulé, contre 9 millions pour CNews.

Dominique Tenza va présenter la matinale de BFMTV

Le journaliste Dominique Tenza, venu de M6, va coprésenter la matinale de BFMTV au côté de Perrine Storme à partir de la rentrée, a annoncé la chaîne d’info continue jeudi.”Sa grande expérience, son dynamisme et sa créativité permettront à la matinale de poursuivre son développement et de demeurer une référence”, selon le directeur général de …

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Près de Bordeaux, l’essor timide des emplettes quotidiennes en cryptomonnaies

Acheter au détail en cryptomonnaies, c’est possible depuis un an chez une trentaine de commerçants de Talence (Gironde). Une initiative pionnière en France mais balbutiante pour ces actifs souvent considérés comme spéculatifs, dont la démocratisation bute sur des barrières fiscales et psychologiques.”Payer en crypto”, propose un panonceau sur le zinc de La Fracasse, micro-brasserie qui …

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Près de Bordeaux, l’essor timide des emplettes quotidiennes en cryptomonnaies

Acheter au détail en cryptomonnaies, c’est possible depuis un an chez une trentaine de commerçants de Talence (Gironde). Une initiative pionnière en France mais balbutiante pour ces actifs souvent considérés comme spéculatifs, dont la démocratisation bute sur des barrières fiscales et psychologiques.”Payer en crypto”, propose un panonceau sur le zinc de La Fracasse, micro-brasserie qui accepte ce moyen de paiement dématérialisé tout comme une trentaine de commerces de cette commune de l’agglomération bordelaise, contre une vingtaine au départ. Derrière le bar, les cogérants Kirill Pluscheff (30 ans) et Enguérand Larché (25 ans) peuvent générer un QR code sur une application nommée Lyzi, que le client scanne pour prélever son “wallet” (portefeuille de cryptomonnaies) et effectuer le versement sur le compte du commerce, en euros cette fois.”C’est notre moyen d’attraper une nouvelle clientèle”, explique Enguérand Larché à l’AFP, sans toutefois renoncer au paiement par carte bancaire qui représente 95% de leurs encaissements.Avec “quelques transactions par mois” à Talence, “c’est déjà gagné” pour l’application Lyzi, s’enthousiasme Damien Patureaux, son fondateur.- Jeunes et étrangers -La start-up revendique plus de 2.000 marchands affiliés en France et en Europe, dont les grands magasins du Printemps. À Cannes, une cinquantaine de commerces sont équipés, dont de prestigieux hôtels, visant une clientèle étrangère désireuse notamment de s’affranchir des effets de change.”Le paiement en cryptomonnaies peut s’ancrer dans le commerce physique”, veut croire Lyzi. Pour Damien Patureaux, “ça va se démocratiser encore plus”.Selon une étude du cabinet KPMG en 2023, seuls 8% des Français ont déjà investi dans les “cryptos”. Parmi eux, la moitié ont moins de 35 ans.C’est ce public que ciblent les commerçants de Talence: avec un quart de ses 42.000 habitants âgés entre 18 et 24 ans, dont nombre d’étudiants, la commune se présente comme la “ville la plus jeune” de France, fait valoir Bertrand Cousin, directeur de l’agence de développement économique Talence Innovation, à l’origine de l’initiative.Mais les débuts sont timides: un an après, le nombre de paiements mensuels reste minime (deux opérations par mois pour l’un des bouchers participants, selon Talence Innovation).Damien Patureaux souligne que 20% des marchands affiliés à Lyzi en Europe représentent 80% du volume de paiements (estimé à quelques millions d’euros par mois), avec en première ligne les marques de luxe qui ciblent une clientèle “élitiste” et “l’achat coup de cÅ“ur” d’utilisateurs après une belle plus-value sur leurs cryptoactifs.”Le très petit commerçant, ce n’est pas ce qui génère le plus de volume”, relève-t-il.En cause, selon les partisans des cryptomonnaies, la fiscalité française qui taxe les plus-values et oblige à une fastidieuse déclaration, achat par achat.- “Complexité” -Utilisateur assidu, qui va régler en “crypto” un prochain voyage en Afrique du Sud, Jérémy Debreu ne “croit pas une seconde” à l’essor immédiat d’initiatives comme celle de Talence.”Il faut vraiment l’encourager. Mais je suis assez sceptique sur le fait que des utilisateurs prennent ce risque fiscal”, témoigne ce consultant en RSE (responsabilité sociétale des entreprises) résidant à Bègles, commune limitrophe.”C’est un tel frein qu’à mon avis, beaucoup de gens ne déclarent pas”, pointe Claire Balva, qui s’apprête à quitter la néo-banque Deblock pour prendre la tête de l’Association pour le développement des actifs numériques (Adan), lobby français du secteur crypto. “Pas parce qu’ils ne veulent pas payer d’impôts, mais parce que c’est immensément compliqué”, juge-t-elle.L’autre limite à la démocratisation des cryptomonnaies est psychologique, face à leur “complexité” et leur image parfois connotée, entre “produit financier pour s’enrichir” ou actif “pour blanchir de l’argent”, pointe David Pucheu, maître de conférence en sciences de l’information et de la communication à l’Université Bordeaux-Montaigne.”C’est une question générationnelle”, poursuit-il, mais aussi “culturelle” avec certains pays du Sud, comme le Nigeria, où le “wallet” s’est démocratisé pour compenser l’accès difficile “à des services bancaires corrects”.Pour Claire Balva, les opérateurs devront “proposer quelque chose d’aussi simple” que la carte bancaire traditionnelle. “Les infrastructures cryptos vont remplacer petit à petit le paiement classique via Visa et Mastercard”, veut-elle croire.

Léa Salamé dit adieu avec émotion à Nicolas Demorand et la matinale d’Inter

“Je t’aime”: Léa Salamé a fait des adieux pleins d’émotion jeudi à son coprésentateur et ami Nicolas Demorand et à la matinale de France Inter, qu’elle quitte pour prendre les rênes du JT de 20h de France 2 à la rentrée.”Mon dernier mot, il est pour toi, Nico. Une rencontre comme ça dans le travail, c’est impossible, ça n’existe pas”, a déclaré Léa Salamé, en soulignant que c’était “la première fois et la dernière” qu’elle tutoyait son ami à l’antenne.”Je t’aime (…) merci pour tout ce que tu as apporté à ma vie”, a-t-elle poursuivi, très émue.En réponse, Nicolas Demorand l’a remerciée “pour la grâce, pour la générosité, pour le rire, pour les colères, pour les coups de coeur, pour les fulgurances”. C’est “tout ce qui fait que tu es toi, puissante, aimante, douce”. “Mon amie, je préfère m’arrêter là et juste dire à quel point tu vas me manquer. Ca va être dur”, a conclu Nicolas Demorand, au bord des larmes.Léa Salamé a pris les commandes de la première matinale de France en duo avec lui en 2017, après avoir assuré une interview quotidienne à partir de 2014.Nicolas Demorand lui avait déjà rendu un vibrant hommage en mars dans le livre “Intérieur nuit”, où il dévoilait être bipolaire.Avec ce livre “qui a bouleversé des milliers de gens et que j’ai vu naître en regardant par-dessus ton épaule (…), tu as changé le regard sur la santé mentale”, a souligné la journaliste.”Mais je te le répète encore à ce micro ce matin, tu n’est pas que ça Nico, tu n’es pas que bipolaire, tu es aussi l’un des mecs les plus profonds et les plus érudits que j’aie rencontrés dans toute ma vie”, a-t-elle insisté.Plus largement, elle a salué les auditeurs, France Inter et l’équipe de la matinale, “la plus belle expérience professionnelle de toute (ma) vie”.Au 20h de France 2, Léa Salamé succèdera à Anne-Sophie Lapix, qui part pour le groupe M6.Avec son départ, la matinale d’Inter sera remaniée et allongée d’une heure à la rentrée, jusqu’à 11h00. Nicolas Demorand reste et pilotera la tranche 7h-9h. Celle de 9h à 11h le sera par Sonia Devillers.Transfuge de BFMTV, Benjamin Duhamel mènera l’interview de 7h50, puis sera au côté de Nicolas Demorand pour celle de 8H20.