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RTL remanie ses matinées à la rentrée avec Faustine Bollaert et Alex Vizorek

RTL réduira sa matinale, présentée par Thomas Sotto, à la rentrée, au profit d’une nouvelle émission animée par Faustine Bollaert de 9H30 à 10H, a annoncé jeudi à l’AFP la radio, qui va relancer le jeu “Quitte ou double”, confié à Alex Vizorek.Actuellement diffusée de 7H à 10H, RTL Matin prendra fin une demi-heure plus tôt à compter du 25 août pour laisser place à Faustine Bollaert et son “nouveau rendez-vous de témoignage” dont le nom reste à déterminer, selon un communiqué de la station. L’animatrice préférée des Français, selon le classement annuel de TV Magazine, avait rejoint RTL à la rentrée 2024 pour présenter l’émission de témoignages “Héros” à 20H du lundi au jeudi, qui va cesser. Sur sa nouvelle tranche horaire, elle proposera “des témoignages d’anonymes, de vies singulières, de l’interactivité, des expériences hors du commun” que viendront enrichir “des appels et sms en direct”, précise RTL.Quotidiennement sur France 2 avec “Ca commence aujourd’hui” depuis 2017, Faustine Bollaert, 46 ans, pilotera aussi “Les Enfants de la télé” les dimanches en avant-soirée.De 10H à 12H, Julien Courbet sera toujours aux commandes de “Ca peut vous arriver” pour une 25e saison. L’humoriste belge Alex Vizorek lui succèdera à midi et pour une demi-heure à la tête de “Quitte ou double”, jeu culte animé de 2001 à 2006 par Jean-Pierre Foucault. Alliant “culture générale, suspense et prise de risque”, le programme proposera aux candidats de répondre à une série de questions et de choisir, à chaque bonne réponse, de partir avec leurs cadeaux ou de tenter de les doubler en poursuivant l’aventure, avec 5.000 euros à la clé.”Quitte ou double” avait été animé dans les années 1950 par Zappy Max sur Radio-Luxembourg. Ecarté de la station, devenue RTL, en 1966, l’animateur avait rebondi sur RMC, où il avait repris le jeu quotidiennement, jusqu’au début des années 1980 et bien avant la résurrection du programme sur RTL en 2001.RTL Midi, qui commençait cette saison à 12H, débutera donc à 12H30, sous la houlette de la journaliste Amandine Bégot, qui faisait jusqu’alors équipe avec Thomas Sotto dans la matinale. Autrefois première radio de France, RTL a été détrônée par la station publique France Inter en 2019.Selon la dernière vague d’audiences radio publiée mi-avril par Médiamétrie, France Inter a été écoutée par 7,3 millions d’auditeurs chaque jour sur la période allant de janvier à mars, contre cinq millions pour RTL (2e).

Dominique Tenza va présenter la matinale de BFMTV

Le journaliste Dominique Tenza, venu de M6, va coprésenter la matinale de BFMTV au côté de Perrine Storme à partir de la rentrée, a annoncé la chaîne d’info continue jeudi.”Sa grande expérience, son dynamisme et sa créativité permettront à la matinale de poursuivre son développement et de demeurer une référence”, selon le directeur général de BFMTV Fabien Namias, cité dans un communiqué.Présentateur titulaire des JT du week-end depuis janvier 2023, Dominique Tenza avait fait ses adieux au “19:45” le 22 juin, après 17 ans au sein du groupe M6, dont la radio RTL. A la matinale de BFMTV, il succède à Christophe Delay, qui va occuper la tranche de la mi-journée de la chaîne. L’autre coprésentatrice jusqu’alors, Adeline François, rejoint pour sa part LCP.Au Figaro début juin, Fabien Namias avait promis “un nouveau plateau, de nouveaux décors et de nouveaux incarnants” pour la matinale de BFMTV, créneau stratégique.La chaîne, installée depuis le 6 juin sur l’ex-canal de LCP et Public Sénat (numéro 13), se classe deuxième chaîne d’information derrière CNews en part d’audience (PDA). L’ancienne leader a fait face à de nombreuses défections de journalistes depuis son rachat par l’armateur CMA CGM mi-2024. Elle revendique toutefois chaque jour 12 millions de téléspectateurs en cumulé, contre 9 millions pour CNews.

Près de Bordeaux, l’essor timide des emplettes quotidiennes en cryptomonnaies

Acheter au détail en cryptomonnaies, c’est possible depuis un an chez une trentaine de commerçants de Talence (Gironde). Une initiative pionnière en France mais balbutiante pour ces actifs souvent considérés comme spéculatifs, dont la démocratisation bute sur des barrières fiscales et psychologiques.”Payer en crypto”, propose un panonceau sur le zinc de La Fracasse, micro-brasserie qui accepte ce moyen de paiement dématérialisé tout comme une trentaine de commerces de cette commune de l’agglomération bordelaise, contre une vingtaine au départ. Derrière le bar, les cogérants Kirill Pluscheff (30 ans) et Enguérand Larché (25 ans) peuvent générer un QR code sur une application nommée Lyzi, que le client scanne pour prélever son “wallet” (portefeuille de cryptomonnaies) et effectuer le versement sur le compte du commerce, en euros cette fois.”C’est notre moyen d’attraper une nouvelle clientèle”, explique Enguérand Larché à l’AFP, sans toutefois renoncer au paiement par carte bancaire qui représente 95% de leurs encaissements.Avec “quelques transactions par mois” à Talence, “c’est déjà gagné” pour l’application Lyzi, s’enthousiasme Damien Patureaux, son fondateur.- Jeunes et étrangers -La start-up revendique plus de 2.000 marchands affiliés en France et en Europe, dont les grands magasins du Printemps. À Cannes, une cinquantaine de commerces sont équipés, dont de prestigieux hôtels, visant une clientèle étrangère désireuse notamment de s’affranchir des effets de change.”Le paiement en cryptomonnaies peut s’ancrer dans le commerce physique”, veut croire Lyzi. Pour Damien Patureaux, “ça va se démocratiser encore plus”.Selon une étude du cabinet KPMG en 2023, seuls 8% des Français ont déjà investi dans les “cryptos”. Parmi eux, la moitié ont moins de 35 ans.C’est ce public que ciblent les commerçants de Talence: avec un quart de ses 42.000 habitants âgés entre 18 et 24 ans, dont nombre d’étudiants, la commune se présente comme la “ville la plus jeune” de France, fait valoir Bertrand Cousin, directeur de l’agence de développement économique Talence Innovation, à l’origine de l’initiative.Mais les débuts sont timides: un an après, le nombre de paiements mensuels reste minime (deux opérations par mois pour l’un des bouchers participants, selon Talence Innovation).Damien Patureaux souligne que 20% des marchands affiliés à Lyzi en Europe représentent 80% du volume de paiements (estimé à quelques millions d’euros par mois), avec en première ligne les marques de luxe qui ciblent une clientèle “élitiste” et “l’achat coup de cœur” d’utilisateurs après une belle plus-value sur leurs cryptoactifs.”Le très petit commerçant, ce n’est pas ce qui génère le plus de volume”, relève-t-il.En cause, selon les partisans des cryptomonnaies, la fiscalité française qui taxe les plus-values et oblige à une fastidieuse déclaration, achat par achat.- “Complexité” -Utilisateur assidu, qui va régler en “crypto” un prochain voyage en Afrique du Sud, Jérémy Debreu ne “croit pas une seconde” à l’essor immédiat d’initiatives comme celle de Talence.”Il faut vraiment l’encourager. Mais je suis assez sceptique sur le fait que des utilisateurs prennent ce risque fiscal”, témoigne ce consultant en RSE (responsabilité sociétale des entreprises) résidant à Bègles, commune limitrophe.”C’est un tel frein qu’à mon avis, beaucoup de gens ne déclarent pas”, pointe Claire Balva, qui s’apprête à quitter la néo-banque Deblock pour prendre la tête de l’Association pour le développement des actifs numériques (Adan), lobby français du secteur crypto. “Pas parce qu’ils ne veulent pas payer d’impôts, mais parce que c’est immensément compliqué”, juge-t-elle.L’autre limite à la démocratisation des cryptomonnaies est psychologique, face à leur “complexité” et leur image parfois connotée, entre “produit financier pour s’enrichir” ou actif “pour blanchir de l’argent”, pointe David Pucheu, maître de conférence en sciences de l’information et de la communication à l’Université Bordeaux-Montaigne.”C’est une question générationnelle”, poursuit-il, mais aussi “culturelle” avec certains pays du Sud, comme le Nigeria, où le “wallet” s’est démocratisé pour compenser l’accès difficile “à des services bancaires corrects”.Pour Claire Balva, les opérateurs devront “proposer quelque chose d’aussi simple” que la carte bancaire traditionnelle. “Les infrastructures cryptos vont remplacer petit à petit le paiement classique via Visa et Mastercard”, veut-elle croire.

Près de Bordeaux, l’essor timide des emplettes quotidiennes en cryptomonnaies

Acheter au détail en cryptomonnaies, c’est possible depuis un an chez une trentaine de commerçants de Talence (Gironde). Une initiative pionnière en France mais balbutiante pour ces actifs souvent considérés comme spéculatifs, dont la démocratisation bute sur des barrières fiscales et psychologiques.”Payer en crypto”, propose un panonceau sur le zinc de La Fracasse, micro-brasserie qui …

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Léa Salamé dit adieu avec émotion à Nicolas Demorand et la matinale d’Inter

“Je t’aime”: Léa Salamé a fait des adieux pleins d’émotion jeudi à son coprésentateur et ami Nicolas Demorand et à la matinale de France Inter, qu’elle quitte pour prendre les rênes du JT de 20h de France 2 à la rentrée.”Mon dernier mot, il est pour toi, Nico. Une rencontre comme ça dans le travail, c’est impossible, ça n’existe pas”, a déclaré Léa Salamé, en soulignant que c’était “la première fois et la dernière” qu’elle tutoyait son ami à l’antenne.”Je t’aime (…) merci pour tout ce que tu as apporté à ma vie”, a-t-elle poursuivi, très émue.En réponse, Nicolas Demorand l’a remerciée “pour la grâce, pour la générosité, pour le rire, pour les colères, pour les coups de coeur, pour les fulgurances”. C’est “tout ce qui fait que tu es toi, puissante, aimante, douce”. “Mon amie, je préfère m’arrêter là et juste dire à quel point tu vas me manquer. Ca va être dur”, a conclu Nicolas Demorand, au bord des larmes.Léa Salamé a pris les commandes de la première matinale de France en duo avec lui en 2017, après avoir assuré une interview quotidienne à partir de 2014.Nicolas Demorand lui avait déjà rendu un vibrant hommage en mars dans le livre “Intérieur nuit”, où il dévoilait être bipolaire.Avec ce livre “qui a bouleversé des milliers de gens et que j’ai vu naître en regardant par-dessus ton épaule (…), tu as changé le regard sur la santé mentale”, a souligné la journaliste.”Mais je te le répète encore à ce micro ce matin, tu n’est pas que ça Nico, tu n’es pas que bipolaire, tu es aussi l’un des mecs les plus profonds et les plus érudits que j’aie rencontrés dans toute ma vie”, a-t-elle insisté.Plus largement, elle a salué les auditeurs, France Inter et l’équipe de la matinale, “la plus belle expérience professionnelle de toute (ma) vie”.Au 20h de France 2, Léa Salamé succèdera à Anne-Sophie Lapix, qui part pour le groupe M6.Avec son départ, la matinale d’Inter sera remaniée et allongée d’une heure à la rentrée, jusqu’à 11h00. Nicolas Demorand reste et pilotera la tranche 7h-9h. Celle de 9h à 11h le sera par Sonia Devillers.Transfuge de BFMTV, Benjamin Duhamel mènera l’interview de 7h50, puis sera au côté de Nicolas Demorand pour celle de 8H20.

Léa Salamé dit adieu avec émotion à Nicolas Demorand et la matinale d’Inter

“Je t’aime”: Léa Salamé a fait des adieux pleins d’émotion jeudi à son coprésentateur et ami Nicolas Demorand et à la matinale de France Inter, qu’elle quitte pour prendre les rênes du JT de 20h de France 2 à la rentrée.”Mon dernier mot, il est pour toi, Nico. Une rencontre comme ça dans le travail, …

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France Télévisions s’invite sur Prime Video, un partenariat inattendu

Prime Video, le service de streaming du géant américain Amazon, diffuse depuis jeudi les chaînes de France Télévisions et les contenus de sa plateforme france.tv, selon un partenariat surprise devant permettre au groupe public de toucher un public plus large et rajeuni.Dans un communiqué commun, les deux acteurs ont évoqué “un accord historique de distribution”, qui intervient quinze jours après l’annonce par le groupe audiovisuel français TF1 et Netflix d’une collaboration similaire à partir de 2026.Les abonnés Prime Video en France peuvent dorénavant accéder aux directs des chaînes de France Télé et à “près de 20.000 contenus france.tv”, sans coût supplémentaire.Concrètement, la page d’accueil de Prime Video en France propose un espace dédié à ces contenus, ainsi accessibles à ses abonnés sans changer d’interface.La PDG de France Télévisions Delphine Ernotte- Cunci se félicite qu'”avec ce mode de distribution inédit, notre groupe franchit une étape historique pour renforcer la visibilité de son offre de service public”.Cela doit “permettre à tous les publics de retrouver et découvrir la richesse unique de france.tv sur de nouveaux environnements”, insiste-t-elle dans le communiqué, alors que le numérique et la connaissance de la marque sont devenus les priorités du groupe audiovisuel, appelé à rajeunir ses audiences. Les Français de 15-24 ans sont les plus gros consommateurs de contenus vidéo: ils déclarent en regarder 5 heures 21 minutes chaque jour mais principalement sur les réseaux sociaux (2 heures), devant la télé gratuite en direct (1h) et les vidéos à la demande par abonnement (1h), selon une étude en 2025 du régulateur de l’audiovisuel, l’Arcom.De son côté, Christophe Deguine, directeur général de Prime Video en France, explique être “constamment à la recherche de nouveaux moyens d’élargir l’offre de contenus de qualité proposée à nos clients et de confirmer Prime Video comme la destination numéro 1 du divertissement”.Le montant et la durée de l’accord sont confidentiels.- “Partenariats respectueux” -Cette alliance de taille avec un des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) détone, même si Delphine Ernotte-Cunci s’est toujours dite prête à établir “des partenariats respectueux” avec les géants du streaming. Ces dernières années, une première série, “Cœurs noirs”, a été, par exemple, coproduite par France Télévisions et Amazon Prime Video, qui l’a diffusée en premier.France.tv s’affiche comme la première plateforme de streaming gratuit en France, avec 42,9 millions de visiteurs uniques mensuels en juin, un nouveau record.La plateforme propose les directs des chaînes France 2, France 3, France 4, France 5 et Franceinfo, les programmes en “preview” et en “replay”, comme la série quotidienne “Un si grand soleil” et bientôt les divertissements Intervilles ou “Drag Race France All Stars”, ainsi que des contenus exclusifs. Le géant du commerce en ligne Amazon a lancé en France son service de vidéo à la demande en 2016. La souscription à Amazon Prime, qui permet des livraisons gratuites et accélérées ainsi que l’accès à des films et séries en streaming, s’élève à 6,99 euros par mois ou 69,90 euros par an. Le service compte 200 millions d’abonnés dans le monde.Selon la dernière édition du Guide des chaînes et des services de vidéo à la demande, publiée par les acteurs du secteur, quelque 4,6 millions de Français ont utilisé quotidiennement Netflix et 1,4 million Prime Video au quatrième trimestre 2023.”Les services et les contenus américains dominent le marché français” de la vidéo à la demande par abonnement, est-il souligné dans ce rapport. A l’offensive au plan culturel, France Télévisions peut aussi, par ce partenariat avec Prime Video, favoriser la diffusion de la création française.De son côté, Netflix diffusera les chaînes du groupe TF1 et les contenus de TF1+ à partir de l’été 2026. Ce partenariat constitue une première mondiale, le géant du streaming n’ayant jusqu’alors jamais ouvert sa plateforme à un autre opérateur.Outre son propre catalogue, Prime Video propose déjà, moyennant des abonnements supplémentaires, l’accès à d’autres plateformes comme Max, Paramount+, Ciné+OCS, Universal+ et MGM+, aux côtés de 43 chaînes additionnelles.

France Télévisions s’invite sur Prime Video, un partenariat inattendu

Prime Video, le service de streaming du géant américain Amazon, diffuse depuis jeudi les chaînes de France Télévisions et les contenus de sa plateforme france.tv, selon un partenariat surprise devant permettre au groupe public de toucher un public plus large et rajeuni.Dans un communiqué commun, les deux acteurs ont évoqué “un accord historique de distribution”, qui …

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Commerce en ligne: toujours plus d’achats, la mode et l’habillement en tête

Les Français dépensent toujours plus sur internet: selon le bilan annuel de la fédération du e-commerce, la Fevad, consulté par l’AFP, les commandes de produits et de services ont augmenté en 2024 pour atteindre plus de 175 milliards d’euros et quelque 2,6 milliards de transactions. Les commandes de produits sur internet sont reparties à la hausse après deux ans de repli. Le montant des commandes s’approche ainsi de son plus haut historique, à 66,9 milliards d’euros (contre 67 milliards en 2021), indique la Fevad, qui doit présenter son bilan annuel jeudi, à l’occasion de son assemblée générale.  Ce rebond est en partie dû au dynamisme de la mode et de l’habillement, produits les plus achetés sur internet d’après la fédération. Au cours de l’année 2024, près de 60% des acheteurs sur internet en ont commandé. “L’habillement confirme son virage digital avec 23% de parts de marché et un chiffre d’affaires en ligne de 7,7 milliards d’euros (incluant Amazon, Shein et Temu)”, précise la Fevad. Ce virage numérique est apparu au cœur de débats politiques et commerciaux ces derniers mois, avec l’adoption par le Parlement d’un texte pour freiner la “fast fashion”, cette mode ultra éphémère incarnée par le géant Shein et ses vêtements à bas coût expédiés par millions depuis la Chine. Parmi les “défis” de la Fevad, énoncés par son délégué général dans un éditorial publié au début du rapport annuel, figure justement l’enjeu “réglementaire”. “Il est essentiel que tous les acteurs, notamment les plateformes asiatiques, respectent les mêmes règles sur notre marché”, affirme Marc Lolivier.Au-delà de la mode et de l’habillement, les produits les plus achetés en ligne sont les chaussures (49%), les produits d’hygiène et de beauté (47%), ou encore les jeux et jouets (43%).Les achats de seconde main sont désormais bien ancrés dans le comportement des consommateurs et “ont conquis une large majorité des acheteurs en ligne (51%)”, observe par ailleurs la Fevad, qui note que “les articles de mode-habillement sont les plus achetés en seconde main (39%)”.En tout, d’après le même rapport, 41,6 millions de Français “ont acheté sur internet au cours des 12 derniers mois”, soit une hausse de “2,2 millions sur un an”, avec un nombre d’achats moyen de 62 produits par an. Pour une transaction, un consommateur dépense en moyenne 68 euros, un montant stable par rapport à 2023, d’après le rapport de la Fevad.