AFP Tech

Les services en ligne de Playstation perturbés un peu partout dans le monde

Des Etats-Unis à la Thaïlande, le groupe japonais Sony rapporte samedi que les services en ligne des consoles PlayStation de Sony “rencontrent des difficultés”, suscitant le désarroi de nombreux joueurs.”Vous rencontrez peut-être des difficultés pour lancer des jeux, des applications ou des fonctionnalités réseau. Nous faisons notre possible pour résoudre ces problèmes dans les meilleurs délais. Merci de votre patience”, écrit ainsi l’entreprise aux joueurs basés en France.Un message similaire apparaît sur son site pour ceux installés aux Etats-Unis, en Argentine ou en Thaïlande.Les services en ligne de PlayStation permettent notamment aux possesseurs des consoles de Sony, comme la PS4 et la PS5, de jouer en réseau à des jeux comme “Fortnite” ou “Call of Duty”.Le site spécialisé Down Detector a recensé aux Etats-Unis vendredi vers 19H00 (00H00 GMT samedi) un pic de difficultés à se connecter, avant que ces remontées ne se tassent au fil des heures sans toutefois disparaître.Sur les réseaux sociaux, des utilisateurs ont manifesté impatience voire colère.”Une panne de PSN [PlayStation Network] un vendredi soir, c’est criminel”, a ainsi écrit un utilisateur sur X. “Il est temps d’aller faire connaissance avec celle que j’ai épousé il y a cinq ans”, a plaisanté un autre.

L’actrice trans Karla Sofía Gascón, un conte de fée qui finit mal

Le conte de fées finit mal: l’actrice trans Karla Sofía Gascón, vedette du film “Emilia Perez” en passe de devenir un symbole de la lutte contre les discriminations, a ruiné sa réputation et sa carrière avec d’anciens messages racistes, exhumés sur les réseaux.L’Espagnole qui a fait sa transition de genre à 46 ans et partait …

L’actrice trans Karla Sofía Gascón, un conte de fée qui finit mal Read More »

L’actrice trans Karla Sofía Gascón, un conte de fée qui finit mal

Le conte de fées finit mal: l’actrice trans Karla Sofía Gascón, vedette du film “Emilia Perez” en passe de devenir un symbole de la lutte contre les discriminations, a ruiné sa réputation et sa carrière avec d’anciens messages racistes, exhumés sur les réseaux.L’Espagnole qui a fait sa transition de genre à 46 ans et partait favorite pour les Oscars, dont elle aurait pu marquer l’histoire, a vu ses chances s’effondrer. Entraînant dans sa chute l’équipe du film “Emilia Perez”.”J’ai eu une vie un peu étrange”, confiait-elle à l’AFP lors du Festival de Cannes. “J’ai fait des choses bien et des erreurs, comme tous les êtres humains”. Ceux qui la connaissent la décrivent comme “intense”, d’autres disent même “incontrôlable”.Mais personne n’imaginait publiquement qu’elle avait pu, sur Twitter (aujourd’hui X), qualifier l’islam de “foyer d’infection pour l’humanité”, railler la diversité dans le divertissement, ou encore le mouvement anti-raciste né après la mort de George Floyd, un Noir américain tué par la police en 2020.Elle est aussi nommée aux Bafta britanniques et aux César, mais n’a plus guère de chance. Et devra selon toute probabilité, se contenter du prix d’interprétation féminine, obtenu à titre collectif, avec les autres actrices du film, Zoe Saldaña, Selena Gomez et Adriana Paz, au Festival de Cannes.- Le rôle de sa vie -Lorsque Karla Sofía Gascón, 52 ans, monte ce soir-là sur la scène du Palais des Festivals, elle est au faîte de sa gloire. “À toutes les personnes trans qui souffrent tant. Je veux que ces personnes arrivent à croire qu’il est toujours possible de s’améliorer”, remercie-t-elle, seule au micro.”C’est très beau d’être un exemple. Un exemple (du fait) que les rêves se réalisent”, a-t-elle encore dit à Cannes.Jacques Audiard, qui a le don de transformer en or les carrières d’acteurs, a changé sa vie en écrivant cette comédie musicale à nulle autre pareille.À sa bonne fée, Karla Sofía Gascón a dit qu’elle voulait jouer les deux rôles, celui d’Emilia, mais aussi celui de Manitas, le redoutable narcotrafiquant qu’elle était avant sa transition, en écho à son propre parcours.Dans les années 1990, le comédien qu’il était a commencé à jouer dans des séries populaires en Espagne, comme “Isabel” et “El súper”. Il fait de la figuration et de la pub.Il émigre au Mexique et joue en 2013 dans “Nosotros los nobles (2013)”, un des plus gros succès cinématographiques du pays. Le confort financier acquis grâce à ce film décidera Karla Sofía Gascón à entamer sa transition complète. De son expérience, elle a sorti un livre autobiographique, qui l’a exposée à l’homophobie et à la transphobie. Son prix à Cannes lui vaut de nouvelles attaques transphobes. Elle portera plainte en France pour “outrage sexiste” contre l’eurodéputée Marion Maréchal.- “Perdue” -Neuf mois plus tard, le rêve est parti en fumée. Netflix, qui a énormément misé sur le film, l’a effacée de sa campagne pour les Oscars, selon les médias hollywoodiens, lui préférant Zoé Saldaña, second rôle, dans sa promotion. En Espagne, une maison d’édition a renoncé à rééditer sa biographie.La défense de Karla Sofia Gascon a été confuse. Dans un communiqué transmis par Netflix, elle a présenté ses excuses “en tant que membre d’une communauté marginalisée”. Elle s’est défendue d’être “raciste” dans une interview à CNN.Mais elle a refusé de se retirer de la course aux Oscars. Sur Instagram, elle évoque une époque où elle se sentait “perdue dans (sa) transition, cherchant l’approbation dans le regard des autres”. Elle se dit également victime de la “cancel culture”, en français culture de l’effacement ou de l’annulation, un processus qui vise à exclure de la mémoire collective une personnalité dont les comportements sont jugés répréhensibles.Finalement, elle annonce vendredi qu’elle gardera “le silence”, dans l’espoir de permettre “au film d’être apprécié pour ce qu’il est, une belle ode à l’amour et à la différence”.Jacques Audiard a coupé le cordon avec une actrice devenue radioactive. “Je ne veux pas lui parler. Elle est dans un processus d’autodestruction”, a-t-il déclaré au média spécialisé Deadline. “Elle joue à la victime (…) Comme si elle pensait que les mots ne font pas de mal”.

Avant l’arrivée de l’IA, trois autres révolutions industrielles

Anticipée comme une nouvelle “révolution industrielle”, l’intelligence artificielle (IA), objet d’un sommet lundi et mardi à Paris, suscite à la fois espoirs et inquiétudes, à l’image des avancées et désastres entraînés par les précédentes révolutions industrielles.Retour sur ces trois moments charnières de l’humanité classiquement décrits par les historiens et économistes comme des “révolutions industrielles”:- Charbon et machines à vapeur -Née à la fin du XVIIIe siècle en Angleterre, la première révolution industrielle désigne la transformation rapide d’une société dominée par l’agriculture et l’artisanat en une économie basée sur la production mécanisée et abondante de biens manufacturés.Un ensemble d’avancées techniques permettent ce changement brutal: la mécanisation des filatures, la maîtrise de l’extraction de charbon à grande échelle et l’invention et perfectionnement de la machine à vapeur.Le travail de la fonte s’améliore, des métaux nouveaux apparaissent. L’essor de l’industrie métallurgique puis de la sidérurgie favorise la construction et le développement du chemin de fer.Résultats: un travail plus efficace, des biens plus sophistiqués et abondants mais aussi, des ouvriers exploités, des faubourgs miséreux, des airs encombrés de fumées.Cette période est marquée par un exode rural massif lié, en Angleterre, à la disparition des “communs”, ces terres communales que pouvaient utiliser les petits paysans.  Le terme de “révolution industrielle” est utilisé très tôt, dès le milieu du XIXe, pour décrire ce moment charnière par des penseurs comme Karl Marx et John Stuart Mill.- Electricité et automobiles -Pour nombre d’observateurs, une deuxième révolution industrielle se produit entre la seconde moitié du XIXe siècle et la première moitié du XXe en Europe et aux Etats-Unis. Elle s’appuie, cette fois, sur le pétrole, le moteur à explosion des automobiles et l’électricité qui équipe progressivement les villes.Dans un deuxième temps, cette révolution est marquée par l’essor de l’aviation qui, plus que le train et l’auto, raccourcit les distances et par la montée en puissance de la chimie qui devient l’une des industries reines.Avec la naissance de grandes firmes et du modèle fordiste de production, cette deuxième révolution industrielle débouche sur des productions de masse et leurs corollaires, la consommation et la culture de masse. Impensable avant, un grand nombre peut, dès le début du XXe, voyager en train, s’éclairer à l’électricité et porter des vêtements de bonne qualité. – Ordinateurs et internet -Une troisième révolution industrielle, à l’oeuvre à partir de la seconde moitié du XXe siècle a pour ingrédient le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Cette “révolution numérique” est marquée par l’essor des ordinateurs, des ordinateurs portables, d’internet, puis par l’apparition des smartphones et des réseaux sociaux.L’introduction des robots et des systèmes automatisés dans les processus de production augmente l’efficacité et réduit les coûts de production. Cette troisième révolution est marquée par une digitalisation de l’économie, par l’émergence de plateformes numériques et le développement du commerce électronique.Théoricien de cette troisième révolution, Jeremy Rifkin anticipait en 1995 dans son livre “La Fin du travail” une réduction massive du temps de travail grâce aux gains de productivité engendrés par les nouvelles technologies.L’économiste et essayiste américain estimait que les nouvelles technologies de l’information scelleraient la fin de l’ère industrielle fondée sur le  travail de masse, au profit d’un “troisième âge” décrit comme une “ère postmarchande”. Ce penseur estime aujourd’hui que l’émergence de l’IA, des robots autonomes ou des objets connectés ne constituent pas en soi le démarrage d’une nouvelle ère mais le simple prolongement de la troisième révolution industrielle, toujours en cours.Au contraire, l’économiste allemand Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial de Davos, juge que ces nouvelles technologies constituent un véritable “tsunami” et marquent le passage à une “quatrième révolution industrielle”.”L’ampleur, la rapidité et la portée de ces changements sont historiques (…). Jamais l’humanité n’a connu d’époque à la fois si prometteuse et si dangereuse”, estime-t-il dans son livre “La quatrième révolution industrielle”.

Avant l’arrivée de l’IA, trois autres révolutions industrielles

Anticipée comme une nouvelle “révolution industrielle”, l’intelligence artificielle (IA), objet d’un sommet lundi et mardi à Paris, suscite à la fois espoirs et inquiétudes, à l’image des avancées et désastres entraînés par les précédentes révolutions industrielles.Retour sur ces trois moments charnières de l’humanité classiquement décrits par les historiens et économistes comme des “révolutions industrielles”:- Charbon …

Avant l’arrivée de l’IA, trois autres révolutions industrielles Read More »

Grand Palais: après les JO, l’intelligence artificielle

Emblématique de Paris, le Grand Palais, où se tiendra lundi et mardi le sommet sur l’intelligence artificielle, est connu pour ses manifestations culturelles et sportives, et fut notamment l’un des écrins des Jeux olympiques de 2024.Construit pour l’Exposition Universelle de 1900, le bâtiment de pierre, verre et acier situé au pied des Champs-Elysées et à deux …

Grand Palais: après les JO, l’intelligence artificielle Read More »

Grand Palais: après les JO, l’intelligence artificielle

Emblématique de Paris, le Grand Palais, où se tiendra lundi et mardi le sommet sur l’intelligence artificielle, est connu pour ses manifestations culturelles et sportives, et fut notamment l’un des écrins des Jeux olympiques de 2024.Construit pour l’Exposition Universelle de 1900, le bâtiment de pierre, verre et acier situé au pied des Champs-Elysées et à deux pas de la Seine, accueille régulièrement des expositions d’art, spectacles, défilés de mode, événements culinaires… Quelque deux millions de visiteurs profitent chaque année de son riche programme culturel. – Evénements sportifs -La construction de sa vaste nef, dénuée de piliers intermédiaires et surmontée d’une verrière aux élégantes armatures vert réséda, a nécessité plus de 6.000 tonnes d’acier.Des concours hippiques y furent organisés pendant la première moitié du XXe siècle. L’édifice a renoué avec la tradition équestre en 2010 avec les épreuves annuelles du Saut Hermès (saut d’obstacles), et a accueilli la même année les championnats du monde d’escrime.Après une importante rénovation, les épreuves d’escrime et de taekwondo y ont attiré 235.000 supporters pendant les Jeux olympiques et paralympiques l’été dernier.- “La cage aux fauves” -Des salons artistiques ont dans le passé défrayé la chronique, comme en témoigne le scandale du Salon d’Automne en 1905. A l’époque, les critiques d’art se déchaînent contre les toiles colorées de peintres comme Derain, Matisse ou Vlaminck, que l’un des plus influents, Louis Vauxcelles, va jusqu’à qualifier de “fauves”. La formule marque, la salle où sont exposées ces oeuvres est surnommée “la cage aux fauves” et les artistes deviennent les chefs de file du “fauvisme”.- Hôpital militaire -Pendant la Première Guerre mondiale, le Grand Palais a été utilisé comme caserne où les troupes se rassemblaient avant de partir au front, puis comme hôpital militaire et centre de rééducation.Il fut réquisitionné par l’occupant allemand lors de la Seconde Guerre mondiale pour entreposer des véhicules militaires puis organiser deux expositions de propagande nazie. A la Libération de Paris en août 1944, des échanges de tirs entre policiers retranchés dans l’édifice et soldats allemands déclenchèrent un violent incendie.- Menacé par Le Corbusier -Rescapé des deux grandes guerres, le bâtiment a été menacé de démolition dans les années 1960 par Le Corbusier. Le célèbre architecte, théoricien de la modernité, souhaitait ériger à sa place un musée d’art du XXe siècle mais n’a pas convaincu le ministre de la Culture de l’époque, André Malraux.La nef du Grand Palais a été classée monument historique en 1975, puis un nouvel arrêté en 2000 a protégé la totalité de l’édifice.

Trump accentue encore sa guerre contre les médias traditionnels

Lors de son premier mandat, il les désignait comme “ennemis du peuple”. En reprenant les rênes des Etats-Unis, Donald Trump a encore amplifié ses attaques contre les grands médias américains en les visant notamment au portefeuille.Actions en justice demandant des millions de dollars de dommages et intérêts, enquête sur les diffuseurs publics, désabonnement, et même …

Trump accentue encore sa guerre contre les médias traditionnels Read More »

Trump accentue encore sa guerre contre les médias traditionnels

Lors de son premier mandat, il les désignait comme “ennemis du peuple”. En reprenant les rênes des Etats-Unis, Donald Trump a encore amplifié ses attaques contre les grands médias américains en les visant notamment au portefeuille.Actions en justice demandant des millions de dollars de dommages et intérêts, enquête sur les diffuseurs publics, désabonnement, et même retrait de bureaux: le camp du républicain utilise tout un arsenal pour s’en prendre à la presse traditionnelle.Dernier exemple en date: la tempête médiatique subie cette semaine par le journal Politico, connu pour raconter les coulisses de Washington.Sur X, des soutiens de Donald Trump ont écrit que l’USAID, l’agence américaine pour le développement internationale — quasi-démantelée par l’exécutif dans le même temps –, subventionnait le média à coup de millions de dollars.Un mensonge dénoncé haut et fort par sa directrice générale Goli Sheikholeslami. “Nous n’avons jamais reçu de subventions de l’Etat fédéral”, a-t-elle assuré, mais simplement l’argent correspondant à des abonnements.Ce qui n’a pas empêché Donald Trump d’affirmer jeudi que de l’argent de l’USAID et d’autres fonds fédéraux “est allé, tels des pots-de-vin, aux médias mensongers pour qu’ils écrivent des articles avantageux pour les démocrates”.La Maison Blanche a annoncé annuler ses abonnements à Politico.- Sièges au Pentagone -Avec ce genre d’épisode, les soutiens de Donald Trump auront “quelque chose de nouveau à utiliser pour s’expliquer toute couverture négative” de leur champion, estime Matt Gertz, chercheur au sein de l’ONG Media Matters, marquée à gauche.S’en prendre aux médias peut passer, pour le gouvernement Trump, par d’autres moyens.Brendan Carr, nouveau patron de la puissante agence fédérale des communications, la FCC, a annoncé ouvrir une enquête sur la radio publique NPR et la chaîne de télévision publique PBS, ce qui pourrait à terme menacer leurs financements.”Le nouveau patron de la FCC agit de façon agressive, et il semble que ce ne soit que le début”, estime de son côté Roy Gutterman, professeur de journalisme à l’Université de Syracuse.La nouvelle administration vise aussi les emplacements physiques des médias traditionnels.Dans le bâtiment du Pentagone, siège du ministère américain de la Défense, nombre de journalistes disposent de bureaux dédiés. Huit places attribuées à des grands médias, dont le New York Times, CNN, ou le Washington Post, ont été réattribuées d’office par les nouvelles autorités à des publications plus marquées à droite, comme le tabloïd New York Post.Dans ces attaques en règle, une exception: Fox News, chaîne d’info la plus regardée du pays, étendard des conservateurs et vivier de recrutement pour le nouveau pouvoir. La chaîne de la famille Murdoch a même embauché cette semaine Lara Trump, la belle-fille du président.- Millions de dollars -La chaîne de télévision ABC a elle accepté en décembre de payer quinze millions de dollars de dédommagements pour mettre fin aux poursuites pour diffamation lancées par Donald Trump après des propos tenus à l’antenne par un présentateur vedette.Cet accord financier hors tribunal a été vu comme une concession d’un grand média au milliardaire, dont nombre d’efforts visant à poursuivre des journalistes avaient jusqu’à présent échoués.CBS News, autre géant de l’information aux Etats-Unis, est également poursuivi par Donald Trump. Le président l’accuse d’avoir manipulé pendant la campagne une interview de Kamala Harris de manière à faire paraître la vice-présidente, et candidate démocrate malheureuse, sous un meilleur jour.Cédant aux pressions, la chaîne a récemment diffusé les images de l’entretien dans leur intégralité, et Paramount Global, sa maison-mère, envisage de payer des sommes importantes dans ce dossier.”Certains des plus grands médias semblent avoir conclu qu’il n’est simplement pas dans leur intérêt financier de mécontenter le président”, a résumé le professeur à l’université de Columbia Jameel Jaffer dans une tribune au New York Times.

IA : le patron OpenAI exhorte l’Europe à ne pas prendre de retard

Le leader de l’intelligence artificielle OpenAI respectera le nouveau règlement européen sur l’IA, a assuré son patron Sam Altman vendredi à Berlin, tout en exhortant l’UE à ne pas prendre du “retard” sur ses concurrents.”Nous nous conformerons évidemment aux règles (…) mais je pense que c’est dans l’intérêt de l’Europe de pouvoir adopter l’IA et …

IA : le patron OpenAI exhorte l’Europe à ne pas prendre de retard Read More »