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Une chaleur “d’un niveau exceptionnel” attendue dans le Sud-Ouest

L’épisode de canicule qui a débuté vendredi doit encore monter d’un cran lundi, avec une chaleur “d’un niveau exceptionnel” dans le Sud-Ouest, où 12 départements sont classés en vigilance rouge par Météo-France.Cette vague de chaleur, la deuxième à toucher le pays cet été après l’épisode du 19 juin au 4 juillet, est aussi la 51e enregistrée depuis 1947, selon Météo-France.De la Charente-Maritime à l’Aude sont annoncées des températures maximales “très fréquemment supérieures à 40°C”, avec “localement” des pointes à 42°C, selon l’institut national.”On pourrait s’approcher de niveaux records, enregistrer des valeurs inédites, mais le record national de 46°C devrait rester hors d’atteinte”, a précisé la prévisionniste Christelle Robert lors d’un point presse dimanche soir.Dimanche, plusieurs villes ont déjà passé la barre des 40°C, avec 42,2°C relevés dans l’Hérault, 41,3°C dans les Pyrénées-Orientales ou 40,9°C dans le Gard.La vague de chaleur, qui s’est étendue et intensifiée depuis vendredi sur la moitié sud de l’Hexagone, “progresse vers le nord” selon Météo-France. “On dépassera les 30°C partout en France”, avec des températures qui devraient atteindre 38°C dans le Centre-Val de Loire et 34°C en Ile-de-France, précise l’organisme.Outre les 12 départements en vigilance rouge à partir de lundi midi, 41 autres, situés principalement au-dessous d’une ligne allant de la Vendée au Doubs, ont été placés en vigilance orange. Seuls 13 échapperont aux chaleurs extrêmes, dans une frange allant de la Normandie à l’Alsace en passant par le Nord, les autres étant en vigilance jaune.Les vigilances rouge et orange sont étendues à la journée de mardi dans tous les départements concernés, a indiqué Météo-France dans son dernier bulletin publié lundi matin, qui précise que la vague de chaleur actuelle devrait durer “au moins” jusqu’au week-end du 15 août.La vigilance rouge canicule pour l’Aude, toujours en alerte maximale après un gigantesque incendie, durera au moins jusqu’à mardi 22h, ajoute l’institut.- Nuits difficiles -“Les nuits vont être assez difficiles à vivre”, a prévenu Mme Robert, avec des minimales nocturnes attendues à un niveau élevé: plus de 20°C prévus la nuit prochaine à Paris.Pour cette nouvelle journée caniculaire, l’agence Santé publique France a appelé à “s’hydrater, boire” régulièrement et à éviter “l’alcool, le café” qui “favorisent la déshydratation”, en conseillant aussi de “réduire ses activités physiques”, voire de “reporter” ses séances de sport.En parallèle, Météo-France a classé 20 départements, principalement dans l’ouest et le sud du pays, en risque élevé pour les incendies lundi.Dans l’Aude, où le vent sec et chaud et les températures caniculaires ont compliqué dimanche l’action des pompiers pour maîtriser le gigantesque feu qui a parcouru 16.000 hectares, le mercure devrait se maintenir entre 40 et 42°C.Des alertes à la pollution de l’air à l’ozone ont par ailleurs été lancées dans la région marseillaise et le Vaucluse.Pour le climatologue Jean Jouzel, “le risque de canicule est deux fois plus élevé en France qu’il y a trente ans”. “Nous sommes dans un contexte de réchauffement climatique documenté depuis quarante ans, ne soyons donc pas surpris par ce que nous vivons”, a-t-il déclaré dans une interview à La Tribune Dimanche.

Les évêques de France invitent à “reconsidérer” la promotion d’un prêtre condamné pour viol

Les évêques de France souhaitent que l’archevêque de Toulouse revienne sur sa décision de promouvoir un prêtre condamné pour viol sur mineur en 2006, estimant que cette nomination ne peut que “raviver des blessures” et “déconcerter” les fidèles.”Nous avons engagé un dialogue constructif avec Mgr Guy de Kerimel, archevêque de Toulouse, l’invitant à reconsidérer la décision qu’il avait prise quant à la nomination du chancelier de son diocèse”, a indiqué dimanche la présidence de la Conférence des évêques de France dans un communiqué.”En effet, une telle nomination à un poste aussi important, canoniquement et symboliquement, ne peut que raviver des blessures, réveiller des soupçons et déconcerter le peuple de Dieu”, souligne l’organisation.Début juin l’archevêque de Toulouse a nommé au poste de chancelier le prêtre Dominique Spina, condamné en 2006 à cinq ans de prison dont un avec sursis pour le viol d’un lycéen de 16 ans en 1993.L’archevêque a expliqué avoir “pris le parti de la miséricorde” pour nommer ce prêtre à qui il n’a “rien à reprocher” dans une “fonction administrative” – le chancelier établit les actes administratifs et a un rôle de conseil.Une décision qui a suscité l’incompréhension. En réaction, plusieurs collectifs de victimes d’établissements catholiques dont Notre-Dame de Bétharram ont fait part de leur “colère” face à une situation “inacceptable”.”Nous avons appris à regarder ces faits d’abord du point de vue des personnes qui en ont été les victimes et qui en subissent les conséquences à longueur de vie. Ce déplacement du regard, l’écoute bouleversante de leur détresse et de leur douleur, l’accueil de leur invitation à poursuivre humblement avec elles un chemin de vérité, ont amorcé, pour notre institution ecclésiale, un long et exigeant travail de conversion, que nous sommes résolus à poursuivre”, affirme la Conférence des évêques de France (CEF), présidée par le cardinal Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille.

Plus que quatre jours pour boucler un traité mondial contre la pollution plastique

Les Etats du monde entier vont-ils s’entendre sur le fait que si le plastique a favorisé la vie moderne, il menace aussi son existence à terme? Les délégués de 184 pays doivent dépasser leurs divergences pour rendre jeudi la copie du premier traité mondial contre la pollution plastique, y compris en milieu marin.La première semaine de négociations onusiennes à Genève n’a débouché sur aucun texte, les Etats continuant d’afficher des divisions profondes depuis le début des discussions démarrées il y a deux ans et demi, y compris sur l’objet et le champ d’application du futur traité.La semaine dernière, des groupes de travail se sont réunis sur des sujets techniques allant de la conception et la production du plastique à partir des hydrocarbures, à la gestion des déchets, en passant par le financement des collectes de déchets dans les pays en développement, ainsi qu’une liste de molécules et d’additifs chimiques problématiques pour l’environnement et la santé.Les négociations sont constamment freinées par un groupe de pays essentiellement pétroliers (Arabie saoudite, Koweït, Russie, Iran, Malaisie…) réunis sous le surnom de “pays qui pensent la même chose”. Les Etats-Unis sont aussi proches de cette mouvance, ainsi que l’Inde.En face, et sous l’œil d’une coalition de scientifiques qui suivent les débats, un groupe grandissant – qualifié “d’ambitieux” – de pays désireux au contraire que des mesures soient prises au niveau mondial pour réguler la production et freiner les dégâts liés au plastique dans les écosystèmes, et jusque dans la santé humaine. – “Le temps presse” -Ce groupe demande notamment que le traité comporte une clause prévoyant une réduction de la production exponentielle de plastiques, qui doit tripler d’ici 2060. Seule solution selon eux pour juguler la pollution.Il réunit les 27 pays de l’Union européenne, de nombreux pays d’Amérique Latine, d’Afrique, l’Australie, le Royaume-Uni, la Suisse, le Canada ainsi que la plupart des pays îliens, submergés de déchets plastiques, notamment liés au tourisme.”Le temps presse”, a alerté ce weekend Eirik Lindebjerg, conseiller au WWF sur les politiques plastique.”La majorité ambitieuse qui s’est engagée depuis longtemps pour demander un traité fort a choisi de laisser une poignée de pays bloquer le processus. Espérer trouver une porte de sortie par le consensus est une illusion”, a-t-il déclaré à l’AFP.Selon lui, et d’autres ONG, “la seule solution possible pour finaliser un texte dans les temps impartis est de recourir à un vote”. Sinon “nous risquons d’avoir un traité vide, sans règle globale contraignante, ni interdictions”.Sans s’engager sur le sujet d’un vote, qui romprait les règles du consensus chères à l’ONU, la commissaire européenne à l’Environnement Jessika Roswall, qui doit arriver à Genève lundi, souhaite que les “négociations accélèrent et appelle toutes les parties à être constructives et orientées vers les résultats”.”Avec quatre jours avant la fin des débats, nous avons plus de parenthèses dans le texte (c’est-à-dire de paragraphes sur lesquels les pays ne sont pas encore parvenus à s’entendre, ndlr) que de plastique dans la mer, il est temps d’obtenir des résultats”, a-t-elle dit dans une brève déclaration transmise dimanche aux médias.Soixante-dix ministres et une trentaine de hauts cadres d’administration, soit les responsables de l’environnement dans une centaine de pays, sont également attendus à partir de mardi à Genève pour assister et peut-être aider à débloquer la fin de ces négociations.

Israel’s Gaza plan risks ‘another calamity,’ UN official warns

A UN official on Sunday warned the Security Council that Israel’s plans to control Gaza City risked “another calamity” with far-reaching consequences, as Benjamin Netanyahu insisted his goal was not to occupy the territory.The United Nations Security Council held a rare emergency weekend meeting after Israel said its military would “take control” of Gaza City …

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Dans l’Aude, le gigantesque incendie enfin maîtrisé, la vigilance subsiste

Le gigantesque incendie survenu mardi dans le massif des Corbières a été “maîtrisé” dimanche par les 1.300 pompiers toujours mobilisés, en vigilance maximale, pour éviter des réactivations, comme il y en a eu plusieurs dans la journée.”Le feu est désormais maîtrisé. Ce qui suppose tout de même le maintien de la mobilisation. La mobilisation doit être totale, il s’agit de tenir et ne pas faiblir”, a déclaré Amélie Trioux, directrice de cabinet du préfet de l’Aude, lors d’un point-presse à Lézignan-Corbières.Le colonel Michaël Sabot, commandant adjoint des opérations, a précisé que le défi était maintenant de “noyer les points chauds”, “traiter les 90 km de lisières”, “une période de surveillance active”.”À celles et ceux qui ont lutté sans relâche et qui restent mobilisés, notre gratitude. L’État sera aux côtés des victimes”, a réagit le Premier ministre François Bayrou sur X. “S’ouvre maintenant le temps de la reconstruction, de la réflexion sur un avenir nouveau et de l’espérance”, a-t-il ajouté. Avec les températures caniculaires, peu d’humidité, un vent chaud et sec soufflant à 50 km/h, la journée de dimanche s’annonçait “compliquée”, selon les mots du préfet de l’Aude dans la matinée. – Stratégie payante -Dimanche, “nous avons eu dix réactivations de foyers qui ont été traitées par (les pompiers) au sol et les hélicoptères bombardiers d’eau, qui ont procédé à 22 largages. La stratégie d’attaque massive aéroterrestre s’est poursuivie toute la journée”, a relaté le colonel Sabot.Les températures caniculaires resteront de mise en début de semaine.”Avec les températures qui avoisinent les 40°C, il y a des risques majeurs d’incendie”, pointe Hervé Baro, vice-président du conseil départemental de l’Aude. Dimanche, un vent chaud a soufflé sur les Corbières, rendant l’air brûlant, a constaté une journaliste de l’AFP.Le préfet de l’Aude a interdit l’accès au massifs montagneux du département jusqu’à lundi 7h. “Car toute intervention humaine en dehors des routes dites classiques est un risque”, indique Hervé Baro.Pour travailler “sur les points chauds”, 58 militaires formés aux feux de forêt seront en appui des pompiers dès lundi, a indiqué la préfecture.  Dans un paysage habituellement verdoyant de maquis et de forêts de pins, maisons brûlées, grandes étendues calcinées, vignes en partie détruites par les flammes, témoignent de la violence du pire incendie sur le pourtour méditerranéen depuis un demi-siècle.Sur les collines de Ribaute, lieu de départ de l’incendie, les stigmates du feu marquent toujours le paysage encore cendré, tandis que la circulation de véhicules de pompiers dans cette zone s’intensifie au fil de l’après-midi. – “Guet aérien” -Le bilan de la Sécurité civile fait état de 16.000 hectares parcourus, dont 13.000 brûlés.Les réactivations dimanche se sont produites sur les lisières de cette superficie, qui s’étend sur 30 km de l’ouest vers la Méditerranée. L’incendie est contenu dans une zone où la densité de population est faible, et n’a pas atteint l’autoroute France-Espagne A9, fermée par précaution, avant de rouvrir mercredi. La préfecture appelle touristes et habitants à “éviter toute activité extérieure qui peut présenter un risque, comme les barbecues, il faut redoubler de vigilance”, selon les mots du préfet.L’électricité a été rétablie dans tous les foyers. Si le réseau est toujours endommagé, des groupes électrogènes assurent l’alimentation.  – Accès difficile – Grâce à des bulldozers, 10 km de pistes ont été tracés dans le massif des Corbières pour ouvrir de nouveaux accès et faciliter l’intervention des pompiers dans des zones escarpées, où la végétation est dense.Météo-France a placé l’Aude lundi en vigilance rouge canicule, avec des températures prévues entre 38 et 40°C et un vent soufflant en rafales dans le massif des Corbières.Trente-six maisons ont été détruites, d’autres endommagées, et plus d’une vingtaine de hangars agricoles brûlés, sur les 3.000 bâtis qui ont été défendus par les pompiers, selon la préfecture de l’Aude. Une femme de 65 ans est morte dans sa maison, tandis qu’une habitante a été grièvement brûlée. Quatre autres personnes ont été légèrement blessées. Au journal L’Indépendant, la fille de la victime décédée a affirmé que sa mère n’avait pas été invitée à évacuer son logement, comme l’affirment les autorités. Une enquête sur ce décès est en cours.Dans les rangs des pompiers, 19 ont été blessés, dont un a subi un traumatisme crânien.D’après les premiers éléments de l’enquête, l’incendie a démarré sur le bord d’une route. Des investigations sont en cours pour déterminer les causes de l’incendie et d’établir d’éventuelles responsabilités.

Dans l’Aude, le gigantesque incendie enfin maîtrisé, la vigilance subsiste

Le gigantesque incendie survenu mardi dans le massif des Corbières a été “maîtrisé” dimanche par les 1.300 pompiers toujours mobilisés, en vigilance maximale, pour éviter des réactivations, comme il y en a eu plusieurs dans la journée.”Le feu est désormais maîtrisé. Ce qui suppose tout de même le maintien de la mobilisation. La mobilisation doit être totale, il s’agit de tenir et ne pas faiblir”, a déclaré Amélie Trioux, directrice de cabinet du préfet de l’Aude, lors d’un point-presse à Lézignan-Corbières.Le colonel Michaël Sabot, commandant adjoint des opérations, a précisé que le défi était maintenant de “noyer les points chauds”, “traiter les 90 km de lisières”, “une période de surveillance active”.”À celles et ceux qui ont lutté sans relâche et qui restent mobilisés, notre gratitude. L’État sera aux côtés des victimes”, a réagit le Premier ministre François Bayrou sur X. “S’ouvre maintenant le temps de la reconstruction, de la réflexion sur un avenir nouveau et de l’espérance”, a-t-il ajouté. Avec les températures caniculaires, peu d’humidité, un vent chaud et sec soufflant à 50 km/h, la journée de dimanche s’annonçait “compliquée”, selon les mots du préfet de l’Aude dans la matinée. – Stratégie payante -Dimanche, “nous avons eu dix réactivations de foyers qui ont été traitées par (les pompiers) au sol et les hélicoptères bombardiers d’eau, qui ont procédé à 22 largages. La stratégie d’attaque massive aéroterrestre s’est poursuivie toute la journée”, a relaté le colonel Sabot.Les températures caniculaires resteront de mise en début de semaine.”Avec les températures qui avoisinent les 40°C, il y a des risques majeurs d’incendie”, pointe Hervé Baro, vice-président du conseil départemental de l’Aude. Dimanche, un vent chaud a soufflé sur les Corbières, rendant l’air brûlant, a constaté une journaliste de l’AFP.Le préfet de l’Aude a interdit l’accès au massifs montagneux du département jusqu’à lundi 7h. “Car toute intervention humaine en dehors des routes dites classiques est un risque”, indique Hervé Baro.Pour travailler “sur les points chauds”, 58 militaires formés aux feux de forêt seront en appui des pompiers dès lundi, a indiqué la préfecture.  Dans un paysage habituellement verdoyant de maquis et de forêts de pins, maisons brûlées, grandes étendues calcinées, vignes en partie détruites par les flammes, témoignent de la violence du pire incendie sur le pourtour méditerranéen depuis un demi-siècle.Sur les collines de Ribaute, lieu de départ de l’incendie, les stigmates du feu marquent toujours le paysage encore cendré, tandis que la circulation de véhicules de pompiers dans cette zone s’intensifie au fil de l’après-midi. – “Guet aérien” -Le bilan de la Sécurité civile fait état de 16.000 hectares parcourus, dont 13.000 brûlés.Les réactivations dimanche se sont produites sur les lisières de cette superficie, qui s’étend sur 30 km de l’ouest vers la Méditerranée. L’incendie est contenu dans une zone où la densité de population est faible, et n’a pas atteint l’autoroute France-Espagne A9, fermée par précaution, avant de rouvrir mercredi. La préfecture appelle touristes et habitants à “éviter toute activité extérieure qui peut présenter un risque, comme les barbecues, il faut redoubler de vigilance”, selon les mots du préfet.L’électricité a été rétablie dans tous les foyers. Si le réseau est toujours endommagé, des groupes électrogènes assurent l’alimentation.  – Accès difficile – Grâce à des bulldozers, 10 km de pistes ont été tracés dans le massif des Corbières pour ouvrir de nouveaux accès et faciliter l’intervention des pompiers dans des zones escarpées, où la végétation est dense.Météo-France a placé l’Aude lundi en vigilance rouge canicule, avec des températures prévues entre 38 et 40°C et un vent soufflant en rafales dans le massif des Corbières.Trente-six maisons ont été détruites, d’autres endommagées, et plus d’une vingtaine de hangars agricoles brûlés, sur les 3.000 bâtis qui ont été défendus par les pompiers, selon la préfecture de l’Aude. Une femme de 65 ans est morte dans sa maison, tandis qu’une habitante a été grièvement brûlée. Quatre autres personnes ont été légèrement blessées. Au journal L’Indépendant, la fille de la victime décédée a affirmé que sa mère n’avait pas été invitée à évacuer son logement, comme l’affirment les autorités. Une enquête sur ce décès est en cours.Dans les rangs des pompiers, 19 ont été blessés, dont un a subi un traumatisme crânien.D’après les premiers éléments de l’enquête, l’incendie a démarré sur le bord d’une route. Des investigations sont en cours pour déterminer les causes de l’incendie et d’établir d’éventuelles responsabilités.