AFP Top News

Millions return home as Pacific tsunami warnings lifted

Countries across the Pacific rim lifted tsunami warnings on Wednesday, allowing millions of temporary evacuees to return home.After one of the strongest earthquakes ever recorded rattled Russia’s sparsely populated Far East, more than a dozen nations — from Japan to the United States to Ecuador — warned citizens to stay away from coastal regions. Storm surges of …

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‘Silent killer’: the science of tracing climate deaths in heatwaves

A heatwave scorching Europe had barely subsided in early July when scientists published estimates that 2,300 people may have died across a dozen major cities during the extreme, climate-fuelled episode.The figure was supposed to “grab some attention” and sound a timely warning in the hope of avoiding more needless deaths, said Friederike Otto, one of …

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Trump punishes Brazil with tariffs, sanctions over trial of ally Bolsonaro

President Donald Trump ordered massive tariffs on Brazil Wednesday and sanctions against the judge overseeing a trial of his far-right ally Jair Bolsonaro, who is accused of attempting a coup in Latin America’s biggest economy.The announcement of 50 percent tariffs saw Trump make good on his threat to wield US economic might to punish Brazil …

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US Fed holds firm against Trump pressure as divisions emerge

The US Federal Reserve kept interest rates unchanged Wednesday, defying strong political pressure from President Donald Trump to slash borrowing costs — although divisions emerged among policymakers.The central bank’s call to hold interest rates at a range between 4.25 percent and 4.50 percent for a fifth consecutive meeting came with two dissents, marking the first …

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Meurtre de Louise: les parents du suspect mis en examen pour non-dénonciation de crime

Les deux parents de l’homme suspecté d’avoir poignardé à mort Louise, onze ans, début février à Epinay-sur-Orge (Essonne), ont été mis en examen mercredi pour non-dénonciation de crime, destruction de document ou objet et subornation de témoin, a indiqué dans un communiqué le procureur de la République d’Évry Grégoire Dulin. “Les deux magistrats instructeurs ont procédé ce jour à la mise en examen des parents âgés de 49 et 48 ans de l’auteur présumé des faits”, a indiqué M. Dulin, précisant que “les intéressés, qui ont choisi de garder le silence lors de leur interrogatoire de première comparution, ont été placés sous contrôle judiciaire”. Disparue à la sortie de ses cours le 7 février, Louise avait été retrouvée assassinée dans un bois à Longjumeau, à quelques centaines de mètres de son collège d’Epinay-sur-Orge. Le principal suspect, un homme de 23 ans, avait été mis en examen pour meurtre sur mineure de moins de 15 ans et placé en détention provisoire.Les deux parents, qui avaient été placés en garde à vue en février pour non-dénonciation de crime, avaient alors assuré ne jamais avoir eu connaissance de l’implication de leur fils dans la mort de Louise. Leur fils avait lui reconnu les faits lors de sa garde à vue, après avoir nié pendant les 24 premières heures. Le suspect avait expliqué avoir croisé en début d’après-midi Louise, élève au collège d’Epinay-sur-Orge qui portait son portable autour du cou, et avoir décidé de la suivre. Il l’avait attirée dans le bois des Templiers, en prétextant avoir perdu un objet.”Arrivé dans un coin tranquille”, il lui avait dit qu’il allait “fouiller ses affaires pour lui voler de l’argent en la menaçant avec un couteau”, avait détaillé M. Dulin lors d’une conférence de presse. Elle s’était mise “à crier” alors qu’il voulait fouiller son sac, avait poursuivi le magistrat. “Paniqué par ses cris”, le jeune homme l’a fait “tomber à terre” et lui a porté “plusieurs coups de couteau”.Le 4 février, le suspect, étudiant en BTS informatique, avait déjà abordé une collégienne dans le même secteur, tentant de “se calmer” après une altercation lors d’une partie du jeu vidéo en ligne “Fortnite”. Sa petite amie, également âgée de 23 ans, a également été mise en examen pour non-dénonciation de crime et placée sous contrôle judiciaire. 

Taxe aérienne: Ryanair supprime trois dessertes régionales en France pour l’hiver

En riposte à l’augmentation de la taxe de solidarité sur les billets d’avion, la compagnie irlandaise Ryanair réduit la voilure en France, désertant trois aéroports régionaux pour l’hiver, et menace de continuer de rediriger ses flux vers les destinations plus “compétitives” comme la Suède, la Hongrie ou l’Italie.La première compagnie à bas prix européenne a annoncé mercredi “l’arrêt de ses activités” à Strasbourg (est), Bergerac et Brive (sud-ouest), d’où elle desservait notamment Londres, Edimbourg, Bristol, Charleroi (Belgique), Porto (Portugal) ou Agadir (Maroc).Pour l’hiver 2025, Ryanair prévoit une réduction de 13% de sa capacité en France, soit 750.000 sièges en moins, l’annulation de 25 lignes et l’interruption de la desserte de ces trois aéroports.”Cette décision fait suite à l’échec du gouvernement français à annuler l’augmentation excessive de la taxe aérienne, qui a été augmentée de 180% en mars 2025″, a expliqué la société irlandaise dans un communiqué .La taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA) est passée à 7,4 euros contre 2,63 euros auparavant pour les vols intérieurs ou vers l’Europe.”Cette taxe astronomique rend la France moins compétitive par rapport à d’autres pays de l’UE comme l’Irlande, l’Espagne ou la Pologne, qui n’imposent aucune taxe aérienne”, a poursuivi Ryanair.- Mauvaise nouvelle pour les retraités britanniques -A l’aéroport de Bergerac en Dordogne, où vivent beaucoup de retraités britanniques, certains passagers interrogés par l’AFP ne se disent pas opposés à cette taxe. “Cela ne me dérage pas de payer un supplément. Je n’ai pas de problème si c’est pour des raisons écologiques”, a déclaré à l’AFP Melany Sullivan, une retraitée de 71 ans. “Pour la famille, on prend souvent Ryanair, c’est très pratique et les prix sont raisonnables alors j’espère qu’ils peuvent continuer. Et on paie encore un peu plus de taxes si nécessaires”, dit Robert, un vacancier anglais de 63 ans. Mais pour Derrick, retraité de 76 ans, “ce n’est pas une bonne nouvelle”. De nombreuses personnes âgées “pourraient arrêter de voyager” car venir en voiture est compliqué pour elles.  Le président socialiste du conseil départemental de la Dordogne, Germinal Peiro, prend cette décision “au sérieux puisque Ryanair assure les deux tiers des vols sur la plateforme de Bergerac” qui a vu transiter en 2024 240.000 passagers.A Strasbourg,  le président du directoire de l’aéroport, Gilles Tellier relativise, lui, l’annonce de Ryanair, qui ne concerne que deux destinations (Agadir et Porto) desservies deux fois par semaine par la compagnie, sur les 36 destinations atteignables depuis la capitale alsacienne.”J’espère que d’autres compagnies vont regarder la possibilité de reprendre ces deux destinations”, a-t-il déclaré à l’AFP.Pour Julien Bounie, président du syndicat mixte gérant de l’aéroport de Brive, “ce qui est regrettable c’est que Ryanair ait choisi un petit aéroport d’aménagement du territoire… C’est encore une zone rurale qui trinque”.La fermeture hivernale de la ligne Brive-Porto, la plus fréquentée de l’aéroport corrézien, représente une perte de 15.000 passagers sur les 98.000 annuels de l’aéroport, selon ce dirigeant, qui travaille à une reprise de la liaison par des “partenaires fidèles”.- Taxes et frais excessifs -Le patron de la compagnie Michael O’Leary avait pourtant assuré fin mars qu’il ne supprimerait pas de desserte régionale.”Il est inacceptable qu’un pays européen majeur comme la France accuse un tel retard par rapport au reste de l’UE, avec un trafic toujours inférieur aux niveaux d’avant-Covid, à cause de taxes et de frais de sûreté excessifs imposés par le gouvernement”, a dénoncé Jason McGuinness, directeur commercial de Ryanair cité dans le communiqué.L’Union des aéroports français (UAF) a déploré cette décision “malheureusement prévisible” qui entraîne “une perte immédiate de revenus” pour les aéroports et “un isolement renforcé, une diminution de l’attractivité et une baisse significative de la fréquentation touristique” pour les territoires concernés. De son côté, la Fédéraion nationale de l’aviation et de ses métiers (FNAM) a appelé le gouvernement à “revenir à une fiscalité plus équilibrée, afin d’éviter d’autres fermetures de lignes qui isoleraient encore davantage la France et ses régions”.Interrogé par l’AFP, le ministre des Transports Philippe Tabarot a estimé que la France avait “atteint un plafond” avec cette taxe appliquée depuis mars 2025 sur un secteur aérien “essentiel à la connectivité du pays”. Ryanair s’est aussi fait menaçant pour l’été 2026, appelant de nouveau à supprimer cette taxe aérienne qu’il juge “néfaste”.”A moins que le gouvernement français change de cap, les investissements de Ryanair en France seront inévitablement redirigés vers des marchés européens plus compétitifs comme la Suède, la Hongrie ou certaines régions d’Italie, où les gouvernements suppriment activement les taxes aériennes”, a déclaré Jason McGuinness.L’Union des aéroports français (UAF) avait mis en garde contre le risque de voir les compagnies aériennes à bas coûts, qui pèsent plus de 99% de l’activité de Beauvais (au nord de Paris), Carcassonne, Béziers et Nîmes (sud) se détourner de la France en raison de l’augmentation de cette taxe.