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US, Australia sign rare earths deal as Trump promises submarines

US President Donald Trump signed a deal on rare earth minerals Monday with Australian Prime Minister Anthony Albanese, and said Washington’s key ally would get its coveted nuclear-powered attack submarines. The two leaders met at the White House to concentrate on a pair of areas — defense and critical minerals — in which Washington and Canberra …

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A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Val-d’Oise: une tornade renverse trois grues et tue un jeune travailleur sur un chantier

Un travailleur de 23 ans a été tué sur un chantier et quatre autres personnes ont été grièvement blessées lundi à Ermont dans le Val-d’Oise quand une tornade, soudaine et violente, a fait s’écrouler trois grues, selon les autorités préfectorales et judiciaires.La ville d’Ermont, située à 21 km au nord-est de Paris, a été la plus affectée par “cet épisode venteux, soudain et violent, localisé à une dizaine de communes, qui s’est produit à 17H50”, a indiqué le préfet Philippe Court, joint par l’AFP sur place. Le représentant de l’Etat a évoqué “une sorte de mini-tornade”.”On recense dix victimes dont une décédée, un homme de 23 ans”, a précisé de son côté le procureur de la République de Pontoise, Guirec Le Bras, qui s’est également déplacé sur les lieux. Il s’agit “d’un des employés de l’entreprise de construction privée qui intervenait sur le chantier”, a-t-il ajouté par téléphone. Dans l’attente de l’autopsie, le procureur n’a pu livrer davantage d’éléments sur les conditions dans lesquelles le décès est intervenu.Une enquête pour homicide involontaire et blessures involontaires dans le cadre du travail a été ouverte à Pontoise, en flagrance, et confiée au service interdépartemental de police judiciaire du Val-d’Oise.Dans la soirée, l’inspection du travail s’est déplacée sur les lieux à Ermont, pour les premières constatations, a précisé le procureur.- Grues balayées, toits arrachés -L’homme décédé a été touché dans “une zone de chantier traversée par la mini-tornade”, selon M. Court. Une autre grue est tombée sur un établissement médico-social, sans y faire de victimes. Une troisième a chuté sur un bâtiment d’habitation, a-t-il précisé.Dix victimes au total sont recensées.”On compte une personne décédée, quatre en urgence absolue et cinq en urgence relative”, avait détaillé en début de soirée la préfecture, évoquant “un épisode de vents violents à présent terminé” durant lequel des “grues sont tombées et des toits ont été arrachés”.Des vidéos postées sur des comptes du réseau social X montrent trois grues s’effondrer en quelques secondes, l’une après l’autre.Sur des images obtenues par l’AFP auprès du syndicat Alliance police nationale, une de ces grues apparaît effondrée sur un bâtiment d’habitation.”Les importants dégâts matériels y seront recensés une fois le jour levé”, a commenté M. Court.Les sapeurs-pompiers et les forces de sécurité sont également intervenus à Eaubonne, Andilly, Montmorency ou encore à Franconville…Le ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez, a évoqué sur X un “épisode de tornade soudain et d’une rare intensité”.Sur place ont rapidement été mobilisés des dizaines de pompiers, 50 policiers et 20 personnels du Service d’aide médicale d’urgence (Samu), ainsi qu’une dizaine de médecins, selon la préfecture.Sur son compte officiel sur X, la Sécurité civile a exprimé dans la soirée son “soutien total aux 110 sapeurs-pompiers du Sdis 95 et aux 66 bénévoles des associations agréés de Sécurité civile qui sont mobilisés” dans le département.Un centre opérationnel départemental avait été ouvert en préfecture pour coordonner les opérations.

Val-d’Oise: une tornade renverse trois grues et tue un jeune travailleur sur un chantier

Un travailleur de 23 ans a été tué sur un chantier et quatre autres personnes ont été grièvement blessées lundi à Ermont dans le Val-d’Oise quand une tornade, soudaine et violente, a fait s’écrouler trois grues, selon les autorités préfectorales et judiciaires.La ville d’Ermont, située à 21 km au nord-est de Paris, a été la plus affectée par “cet épisode venteux, soudain et violent, localisé à une dizaine de communes, qui s’est produit à 17H50”, a indiqué le préfet Philippe Court, joint par l’AFP sur place. Le représentant de l’Etat a évoqué “une sorte de mini-tornade”.”On recense dix victimes dont une décédée, un homme de 23 ans”, a précisé de son côté le procureur de la République de Pontoise, Guirec Le Bras, qui s’est également déplacé sur les lieux. Il s’agit “d’un des employés de l’entreprise de construction privée qui intervenait sur le chantier”, a-t-il ajouté par téléphone. Dans l’attente de l’autopsie, le procureur n’a pu livrer davantage d’éléments sur les conditions dans lesquelles le décès est intervenu.Une enquête pour homicide involontaire et blessures involontaires dans le cadre du travail a été ouverte à Pontoise, en flagrance, et confiée au service interdépartemental de police judiciaire du Val-d’Oise.Dans la soirée, l’inspection du travail s’est déplacée sur les lieux à Ermont, pour les premières constatations, a précisé le procureur.- Grues balayées, toits arrachés -L’homme décédé a été touché dans “une zone de chantier traversée par la mini-tornade”, selon M. Court. Une autre grue est tombée sur un établissement médico-social, sans y faire de victimes. Une troisième a chuté sur un bâtiment d’habitation, a-t-il précisé.Dix victimes au total sont recensées.”On compte une personne décédée, quatre en urgence absolue et cinq en urgence relative”, avait détaillé en début de soirée la préfecture, évoquant “un épisode de vents violents à présent terminé” durant lequel des “grues sont tombées et des toits ont été arrachés”.Des vidéos postées sur des comptes du réseau social X montrent trois grues s’effondrer en quelques secondes, l’une après l’autre.Sur des images obtenues par l’AFP auprès du syndicat Alliance police nationale, une de ces grues apparaît effondrée sur un bâtiment d’habitation.”Les importants dégâts matériels y seront recensés une fois le jour levé”, a commenté M. Court.Les sapeurs-pompiers et les forces de sécurité sont également intervenus à Eaubonne, Andilly, Montmorency ou encore à Franconville…Le ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez, a évoqué sur X un “épisode de tornade soudain et d’une rare intensité”.Sur place ont rapidement été mobilisés des dizaines de pompiers, 50 policiers et 20 personnels du Service d’aide médicale d’urgence (Samu), ainsi qu’une dizaine de médecins, selon la préfecture.Sur son compte officiel sur X, la Sécurité civile a exprimé dans la soirée son “soutien total aux 110 sapeurs-pompiers du Sdis 95 et aux 66 bénévoles des associations agréés de Sécurité civile qui sont mobilisés” dans le département.Un centre opérationnel départemental avait été ouvert en préfecture pour coordonner les opérations.

Vol de bijoux au Louvre: les cambrioleurs traqués, le musée sous pression

L’enquête bat son plein: au lendemain du cambriolage du Louvre, au cœur de Paris, la police est aux trousses de quatre malfaiteurs partis avec huit “joyaux de la couronne de France”, un vol spectaculaire qui interroge sur la sécurité du plus célèbre musée du monde.Ce vol par effraction a déclenché une polémique politique et a relancé le débat sur la sécurité des musées français, dont le Louvre, resté fermé lundi.La ministre de la Culture Rachida Dati a annoncé une enquête administrative, en parallèle des investigations judiciaires, “pour avoir un vrai déroulé” de “ce qui s’est passé”, “à la seconde près”.Bijoux, peintures, antiquités… La ministre et son homologue de l’Intérieur Laurent Nuñez ont demandé aux préfets, dans un télégramme, “un inventaire exhaustif de l’ensemble des biens de grande importance pour notre patrimoine culturel, susceptibles de faire l’objet d’une prédation au regard de leur valeur intrinsèque”.Le Louvre est au cœur des préoccupations. Dans un pré-rapport consulté lundi par l’AFP, la Cour des comptes déplore un “retard dans le déploiement d’équipements destinés à assurer la protection des oeuvres” du musée le plus visité au monde, qui reçoit neuf millions de personnes par an.”Nous avons failli”, a estimé le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, puisque des malfaiteurs ont été “capables de mettre un monte-charge” sur la voie publique, “de faire monter des gens en quelques minutes pour récupérer des bijoux inestimables et de donner une image déplorable de la France”.La présidente-directrice du musée du Louvre, Laurence des Cars, va devoir rendre des comptes. Elle sera auditionnée mercredi par la commission des Affaires culturelles du Sénat “pour avoir ses explications”, a dit à l’AFP son président, le centriste Laurent Lafon.Son homologue à l’Assemblée nationale, Alexandre Portier (LR), proposera le même jour à ses collègues la création d’une commission d’enquête sur “la sécurisation des musées” et la “protection du patrimoine”.- Sept à huit minutes chrono -Une soixantaine d’enquêteurs de la Brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire parisienne et de l’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC) sont mobilisés pour interpeller les malfaiteurs et retrouver leur butin.A la lumière des avancées de l’enquête, le déroulé du casse se précise.Dimanche aux alentours de 09H30, une nacelle se cale sous un balcon.Après avoir découpé une vitre à la disqueuse, deux cambrioleurs s’introduisent dans la galerie d’Apollon, qui abrite la collection royale de gemmes et les diamants de la Couronne, soit environ 800 pièces.Ils ouvrent deux vitrines à la disqueuse, scène partiellement filmée avec un téléphone portable, sans doute par un visiteur selon une source policière, et diffusée par les chaînes d’information. Visages masqués, ils volent neuf pièces, toutes du XIXe siècle.Un malfaiteur visible sur les images est vêtu d’un gilet jaune. Or les enquêteurs, qui disposent aussi d’images de vidéosurveillance, ont en leur possession un gilet jaune, récupéré après sa découverte par un “citoyen”, selon la procureure de Paris Laure Beccuau.”Nous retrouverons les œuvres et les auteurs seront traduits en justice”, a promis dimanche soir sur X le président Emmanuel Macron.- “Valeur patrimoniale inestimable” -La couronne de l’impératrice Eugénie, l’épouse de Napoléon III, est abandonnée dans leur fuite par les malfaiteurs. Son état est “en cours d’examen”, selon le ministère de la Culture.Mais sont emportées huit pièces “d’une valeur patrimoniale inestimable”, selon les autorités.Parmi elles, le diadème d’Eugénie, qui compte près de 2.000 diamants, et le collier de la parure de saphirs de Marie-Amélie, dernière reine de France, et d’Hortense de Beauharnais, mère de Napoléon III.L’opération dure sept à huit minutes. Elle est le fait de cambrioleurs “chevronnés”, a dit Laurent Nuñez.Les pièces volées sont difficiles sinon impossibles à revendre en l’état. D’après Laure Beccuau, les auteurs peuvent avoir agi “au bénéfice d’un commanditaire” ou avoir voulu obtenir “des pierres précieuses pour pratiquer des opérations de blanchiment”.Interpol a annoncé lundi sur X avoir intégré les précieux joyaux dans sa base de données sur les œuvres d’art volées, qui en compte plus de 57.000.Ce vol est le premier recensé au Louvre depuis celui en 1998 d’un tableau de Corot… jamais retrouvé depuis. bur-ng-abo-cka-mby-ama-la-sc/bfa/dsa

Budget: la taxe Zucman rejetée en commission, avant un deuxième round dans l’hémicycle

La “taxe Zucman” sur les hauts patrimoines, défendue par la gauche à l’Assemblée au nom de la “justice fiscale”, a été rejetée lundi en commission des Finances par le camp gouvernemental et le Rassemblement national, qui y voient un dispositif dangereux pour le tissu entrepreneurial.Un nouveau débat aura lieu dans l’hémicycle à partir de vendredi, en présence du Premier ministre Sébastien Lecornu. Les députés repartiront alors du texte initial du gouvernement, comme toujours pour des projets de loi de finances.Examinée au premier jour des débats parlementaires sur le budget l’État, la mesure était portée en commission par les groupes LFI, PS, écologiste et communiste. Du nom de l’économiste Gabriel Zucman, elle prévoit de faire payer aux contribuables ayant au moins 100 millions d’euros de patrimoine un impôt minimum de 2% sur ce patrimoine, y compris professionnel. “Le minimum de justice fiscale”, a insisté le socialiste Mickaël Bouloux.”Il serait insupportable de mettre à contribution les retraités, les classes moyennes, les malades, les chômeurs (…) en exonérant les plus riches”, a abondé l’écologiste Eva Sas.A contrario le camp gouvernemental a attaqué le dispositif, “un repoussoir pour les nouveaux entrepreneurs” voulant s’installer en France, qui détruirait “d’abord les entreprises” qui “mettent des années à être rentables”, selon le rapporteur général Philippe Juvin (LR).”Vous n’expliquez pas comment vous n’allez pas taxer les biens professionnels”, a accusé de son côté Jean-Philippe Tanguy (RN), craignant que la mesure favorise “une vague de désindustrialisation”.- Réunion à Matignon -La commission des Finances achèvera mercredi soir l’examen de la partie recettes du projet de budget. Les débats débuteront dans l’hémicycle vendredi, pour un vote solennel prévu le 4 novembre.Lundi, en commission, les députés n’ont pas hésité à corriger la copie de l’exécutif, parfois à l’initiative des groupes de la coalition gouvernementale. Afin de coordonner les initiatives, une réunion est prévue à Matignon lundi soir avec les chefs des groupes macronistes, LR et Liot, a-t-on appris de sources concordantes. Dans la matinée, les députés ont approuvé la prolongation de la contribution différentielle des hauts revenus, instaurée en 2025 et qui fixe un taux minimal d’imposition de 20% pour les ménages dont les revenus dépassent 250.000 euros par an. Ils l’ont aussi renforcée, via un amendement LR qui la prolonge jusqu’à ce que le déficit repasse sous les 3% du PIB.Des députés de tous bords ont proposé de revenir sur le gel du barème de l’impôt sur le revenu, qui se traduira par 200.000 “nouveaux entrants” dans cet impôt en raison de l’inflation.C’est finalement l’amendement de Charles de Courson (groupe indépendant Liot), le moins coûteux pour les finances publiques, qui a été adopté: seule la première tranche du barème serait indexée sur l’inflation, estimée à 1%.- Taxe sur les holdings supprimée -Les députés ont réécrit à l’initiative de la droite la taxe sur le patrimoine financier des holdings patrimoniales détenant au moins 5 millions d’euros d’actifs, parfois utilisées pour contourner l’impôt.La taxe a été supprimée, Jean-Didier Berger (LR) proposant plutôt de taxer les holdings lorsque leur propriétaire décède. Le vote devrait toutefois être différent dans l’hémicycle, certains députés n’ayant pas réalisé en l’adoptant que l’amendement LR était en fait “une réécriture totale” de l’article, selon l’un d’eux.Ils ont aussi approuvé une série d’amendements identiques déposés par la gauche visant à rétablir “l’exit tax”, pour freiner l’évasion fiscale des entrepreneurs.Autres amendements notables adoptés: une proposition socialiste visant à défiscaliser les pensions alimentaires versées pour l’entretien d’enfants mineurs; ou encore un amendement de LFI, soutenu par le RN, pour développer un principe d’impôt universel ciblant les plus hauts revenus et les paradis fiscaux.La commission des Affaires sociales examinera, elle, à partir de jeudi le projet de budget de la sécurité sociale (PLFSS), après l’audition des ministres mardi.Avec un déficit public qui devrait s’établir à 5,4% du PIB en 2025, le gouvernement ambitionne un effort global d’une trentaine de milliards d’euros pour 2026, entre nouveaux prélèvements (14 milliards) et économies de dépenses (17 milliards) afin de ramener le déficit public à 4,7%. Il accepterait d’assouplir l’objectif jusqu’à un niveau se situant “sous 5%” pour permettre des compromis.Les députés débattent sous la pression des délais constitutionnels prévus pour adopter le budget (70 jours pour celui de l’Etat, 50 pour la Sécurité sociale). En cas de dépassement des délais, le budget pourrait passer par voie d’ordonnances.mpa-sl-la-bpa-sac/sde/apz/

La jihadiste Emilie König renvoyée devant les assises spéciales

Des juges d’instruction parisiens ont ordonné le renvoi devant une cour d’assises spéciale de la jihadiste française Emilie König, pour association de malfaiteurs terroriste criminelle, a appris lundi l’AFP de source judiciaire, confirmant une information du quotidien Ouest-France.Ce renvoi, décidé le 16 septembre, est conforme aux réquisitions prises le 29 juillet par le Parquet national antiterroriste (Pnat), qui la présentait comme une “véritable égérie” du groupe Etat islamique: elle a passé dix ans en Syrie, dont cinq détenue.Emilie König, 40 ans, est en détention en France depuis juillet 2022.Selon des éléments de son réquisitoire définitif obtenus par l’AFP, le Pnat reproche à cette femme, née en 1984 à Lorient, d’être sciemment restée sur place pendant les pires exactions de l’EI en zone irako-syrienne, et d’y avoir agi comme “recruteuse, entremetteuse et propagandiste”.En 2014, l’ONU l’avait placée sur sa liste des combattants les plus dangereux, relevant notamment des vidéos où elle s’entraînait au maniement d’un fusil, adressait des messages de propagande à ses enfants, et encourageait “à commettre des actes violents” dans l’Hexagone contre des institutions ou des épouses de militaires.Par la même ordonnance, les magistrats instructeurs ont également décidé le renvoi de Sterenn D. pour le délit connexe d’association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme.Cette femme, maintenue libre sous contrôle judiciaire, est présentée par le Pnat comme acquise à l’idéologie jihadiste. Elle aurait assuré depuis la France “un véritable appui logistique et financier au long cours” à Emilie König.

Vents violents dans le Val-d’Oise: un mort, quatre blessés très graves à Ermont, selon la préfecture

Une personne a été tuée et quatre autres ont été grièvement blessées lundi au cours d’un épisode de vents violents, à Ermont dans le Val-d’Oise, a indiqué à l’AFP la préfecture, sans préciser les circonstances de ce décès.”On compte une personne décédée, quatre en urgence absolue et cinq en urgence relative”, a détaillé lundi en début de soirée la préfecture, évoquant “un épisode de vents violents à présent terminé” durant lequel des “grues sont tombées et des toits ont été arrachés”.Sur place, ont été mobilisés 80 pompiers, 50 policiers et 20 membres du Samu (service d’aide médicale d’urgence), selon la même source.Sur des images obtenues par l’AFP auprès du syndicat Alliance police nationale on voit une grue effondrée sur un bâtiment d’habitation.Le journal Le Parisien avait auparavant fait état d'”une violente tempête ayant frappé le Val-d’Oise en fin d’après-midi, aux environs de 17h45″.La préfecture avait indiqué sur les réseaux sociaux que les sapeurs-pompiers et les forces de sécurité étaient “mobilisés à Ermont, Eaubonne, Andilly, Montmorency et Franconville pour plusieurs interventions liées à un épisode de vent violent”. Un centre opérationnel départemental a été ouvert en préfecture pour coordonner les opérations de sécurité et de secours.