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Trump rengaine ses surtaxes douanières, sauf pour la Chine

La guerre commerciale mondiale devient un duel de superpuissances: Donald Trump a annoncé mercredi qu’il suspendait ses surtaxes douanières mondiales mais augmentait celles sur la Chine, ce qui a fait décoller Wall Street.”Il faut être flexible”, a justifié le président américain lors d’un échange avec la presse à la Maison Blanche, en reconnaissant que sa …

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Argentine: Milei entre la colère sociale et le salut du FMI

Plusieurs milliers dans la rue mercredi, une grève générale jeudi : l’Argentine vit 36 heures de mobilisation sociale contre la politique d’austérité du président ultralibéral Javier Milei, qui regarde surtout ailleurs, vers Washington, dans l’attente d’un nouveau prêt salvateur du FMI.A l’appel de la CGT, principale centrale syndicale, la grève de 24 heures devait paralyser …

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Argentine: Milei entre la colère sociale et le salut du FMI

Plusieurs milliers dans la rue mercredi, une grève générale jeudi : l’Argentine vit 36 heures de mobilisation sociale contre la politique d’austérité du président ultralibéral Javier Milei, qui regarde surtout ailleurs, vers Washington, dans l’attente d’un nouveau prêt salvateur du FMI.A l’appel de la CGT, principale centrale syndicale, la grève de 24 heures devait paralyser à partir de minuit trains, avions, ports, banques, écoles entre autres, un mouvement à l’impact pourtant incertain.Car les bus par exemple transporteront normalement les millions d’habitants de Buenos Aires, le syndicat du secteur ne s’étant pas joint au mouvement.La compagnie Aerolineas Argentinas, dans le viseur de l’exécutif pour une privatisation, a par contre annoncé l’annulation de 258 vols jeudi, affectant près de 20.000 passagers.C’est la troisième grève générale en 16 mois de présidence Milei contre l’austérité budgétaire façon “tronçonneuse”, suggérant une récente dégradation du climat social, dans la foulée des violents heurts (45 blessés) le 12 mars en marge d’une manifestation pour les retraites.Par contraste mercredi, autour d’un Parlement ultra-sécurisé, quelques milliers de personnes -syndicats, mouvements de gauche- ont défilé sans incident, a constaté l’AFP.Ambiance grosses caisses, pétards et saucisses grillées aux côtés de ces retraités qui chaque semaine viennent protester contre leur pouvoir d’achat rogné depuis des années, puis assommé par l’austérité de la politique Milei depuis 16 mois.Pour la CGT d’obédience péroniste (centre gauche), l’objectif de la grève est surtout de dénoncer la “spirale descendante” du pouvoir d’achat. “Le coût pour les secteurs vulnérables est infiniment plus élevé que ce suggère l’indice mensuel de l’inflation”, affirme Hector Daer, son co-secrétaire général.L’inflation, qui était de 211% sur douze mois en 2023, est désormais contenue à 66% sur douze mois.Et même la pauvreté a reculé au deuxième semestre 2024 (38%), après avoir bondi (52,9%) sous l’effet de la “thérapie de choc” – plus que tout une dévaluation – du début de mandat Milei.- Paysage social esquinté – Mais pour les syndicats, ces statistiques macro-économiques masquent la réalité de fins de mois plus dures pour une grande partie de la population, qu’elle soit ou pas sous le seuil de pauvreté (313 dollars par mois).”Je suis là pour défendre les droits des retraités, j’en ai assez de ce gouvernement !”, lançait dans la foule Carlos Salas, fonctionnaire de 63 ans, éminemment méfiant d’un éventuel prêt du FMI. “On a déjà vécu ça. C’est de l’argent pour qu’ils se le prennent !”, maugréait-il, en référence à des fuites de capitaux frais qui ont suivi par le passé des aides du Fonds.”Il n’y a pas d’antécédent d’un gouvernement ayant esquinté si profondément le paysage social en si peu de temps”, diagnostique pour l’AFP Artemio Lopez, sociologue et directeur du cabinet-conseil Equis.Le soutien à Javier Milei s’est effrité depuis deux mois, surtout depuis le “cryptoscandale” qui l’a vu en février brièvement promouvoir un projet de cryptomonnaie, avant de se rétracter, faisant s’effondrer la devise virtuelle. Mais selon plusieurs récents sondages il reste à des niveaux enviables, autour de 40-45% d’opinions favorables. Loin en tout cas devant une opposition divisée, en vue d’élections législatives de mi-mandat en octobre.Le porte-parole présidentiel Manuel Adorni a fustigé des grévistes “hors-sujet”, des syndicalistes “qui ne comprennent pas, ou au contraire comprennent très bien, que nous faisons les choses comme il faut. Et ça leur fait mal”.Reste que le gouvernement Milei, soucieux de consolider les résultats contre l’inflation, pressé de relancer la croissance (après un repli de 1,8%  l’économie en 2024), inquiet de maigres réserves de changes, mise expressément sur l’aide du FMI pour obtenir un peu de solvabilité.Cruciale, en ce sens, a été l’annonce l’annonce mardi d’un accord “technique”, ou préliminaire, désormais conclu avec le Fonds pour un prêt de 20 milliards de dollars, en vue de refinancer une dette argentine chronique. Reste à valider l’accord par le conseil d’administration du Fonds, qui doit se réunir “dans les prochains jours”, selon l’institution. 

Charles III héraut de la paix en Italie pour ses 20 ans de mariage

Charles III s’est posé en héraut de la paix et de la démocratie mercredi devant le Parlement italien à Rome, où il est en visite d’Etat, avant de fêter son 20e anniversaire de mariage avec Camilla lors d’un dîner de gala.”La paix ne doit jamais être tenue pour acquise”, a affirmé le roi d’Angleterre, premier monarque britannique à avoir l’honneur de s’exprimer devant les deux chambres du Parlement réunies en session conjointe.”La Grande-Bretagne et l’Italie sont aujourd’hui unies dans la défense des valeurs démocratiques”, a affirmé le roi âgé de 76 ans, qui s’est d’abord exprimé dans la langue de Dante avant de poursuivre en anglais.”Nos pays sont tous deux aux côtés de l’Ukraine (…) et ont accueilli des milliers d’Ukrainiens cherchant refuge”, a-t-il ajouté.Le roi, qui effectue en Italie sa 18e visite officielle mais sa première depuis son couronnement en 2023, a également mis en avant la coopération de Londres avec Rome et Tokyo sur le projet d’avion de combat du futur. Ce projet “créera des milliers d’emplois dans nos pays et en dit long sur la confiance que nous plaçons les uns dans les autres”, a-t-il souligné.Fervent militant du développement durable et de la lutte contre le réchauffement, le souverain a aussi évoqué les bouleversements climatiques de la planète qui provoquent “des sécheresses en Sicile et des inondations dans le Somerset”.”Les tempêtes extrêmes, qui ne surviennent normalement qu’une fois par génération, reviennent maintenant chaque année. D’innombrables espèces végétales et animales sont menacées d’extinction”, a-t-il déploré.- Théâtre -Cette visite d’Etat de quatre jours intervient moins de quinze jours après que Charles a été brièvement hospitalisé pour des effets secondaires de son traitement contre le cancer.Mercredi matin, Charles a eu une brève rencontre privée avec la Première ministre Giorgia Meloni, dans le cadre champêtre de la Villa Doria Pamphili.Après une inspection de la garde d’honneur, ils ont posé pour une photo alors que les drapeaux britannique, italien et de l’UE flottaient sur le toit de la villa. Mme Meloni défend l’aide à l’Ukraine depuis l’invasion russe en février 2022 malgré de fortes oppositions au sein de sa coalition ultraconservatrice.Le roi a ensuite été conduit à bord de sa Bentley à Testaccio, un quartier populaire de Rome. Dans un ancien abattoir accueillant des événements culturels, il a rencontré des étudiants en théâtre qui ont interprété un extrait d””Othello” de Shakespeare en italien.A l’extérieur du lieu, la plupart des habitants du quartier semblaient indifférents à sa venue.- Dîner de gala -Benedetta Ciarlo, 21 ans, s’est montrée plus enthousiaste, d’autant qu’elle est venue spécialement de Bénévent, près de Naples, pour voir le roi.”Mon personnage royal préféré était le prince Philippe, maintenant c’est Charles,” a-t-elle dit.Pendant ce temps, Camilla a rendu visite à des écoliers apprenant l’anglais et a distribué des prix aux gagnants d’un concours littéraire du British Council.En marge de leur visite, le roi Charles et la reine Camilla ont pu rencontrer le pape François, en convalescence après une pneumonie. “Le pape a exprimé ses meilleurs voeux à Leurs Majestés à l’occasion de leur anniversaire de mariage et a souhaité en retour un prompt rétablissement à sa majesté” Charles III, a indiqué le Vatican dans un communiqué.”Leurs Majestés étaient ravies que le pape soit en assez bonne santé pour les accueillir et qu’il ait pu leur exprimer ses meilleurs voeux en personne”, a déclaré un porte-parole du palais de Buckingham. La rencontre avait été initialement annulée à cause de l’état du souverain pontife.Le couple royal a ensuite célébré son 20e anniversaire de mariage lors d’un dîner de gala au palais du Quirinal, la résidence officielle du président de la République Sergio Mattarella, en compagnie de 150 invités. “Je dois dire que c’est vraiment très gentil de votre part, Monsieur le Président, d’organiser ce petit dîner romantique aux chandelles pour deux”, a plaisanté Charles lors de son toast, dans lequel il a alterné entre l’anglais et l’italien.Au menu du dîner figuraient des pâtes farcies aux aubergines, du loup de mer et des artichauts frits, à la romaine. 

Charles III héraut de la paix en Italie pour ses 20 ans de mariage

Charles III s’est posé en héraut de la paix et de la démocratie mercredi devant le Parlement italien à Rome, où il est en visite d’Etat, avant de fêter son 20e anniversaire de mariage avec Camilla lors d’un dîner de gala.”La paix ne doit jamais être tenue pour acquise”, a affirmé le roi d’Angleterre, premier …

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Charles III héraut de la paix en Italie pour ses 20 ans de mariage

Charles III s’est posé en héraut de la paix et de la démocratie mercredi devant le Parlement italien à Rome, où il est en visite d’Etat, avant de fêter son 20e anniversaire de mariage avec Camilla lors d’un dîner de gala.”La paix ne doit jamais être tenue pour acquise”, a affirmé le roi d’Angleterre, premier monarque britannique à avoir l’honneur de s’exprimer devant les deux chambres du Parlement réunies en session conjointe.”La Grande-Bretagne et l’Italie sont aujourd’hui unies dans la défense des valeurs démocratiques”, a affirmé le roi âgé de 76 ans, qui s’est d’abord exprimé dans la langue de Dante avant de poursuivre en anglais.”Nos pays sont tous deux aux côtés de l’Ukraine (…) et ont accueilli des milliers d’Ukrainiens cherchant refuge”, a-t-il ajouté.Le roi, qui effectue en Italie sa 18e visite officielle mais sa première depuis son couronnement en 2023, a également mis en avant la coopération de Londres avec Rome et Tokyo sur le projet d’avion de combat du futur. Ce projet “créera des milliers d’emplois dans nos pays et en dit long sur la confiance que nous plaçons les uns dans les autres”, a-t-il souligné.Fervent militant du développement durable et de la lutte contre le réchauffement, le souverain a aussi évoqué les bouleversements climatiques de la planète qui provoquent “des sécheresses en Sicile et des inondations dans le Somerset”.”Les tempêtes extrêmes, qui ne surviennent normalement qu’une fois par génération, reviennent maintenant chaque année. D’innombrables espèces végétales et animales sont menacées d’extinction”, a-t-il déploré.- Théâtre -Cette visite d’Etat de quatre jours intervient moins de quinze jours après que Charles a été brièvement hospitalisé pour des effets secondaires de son traitement contre le cancer.Mercredi matin, Charles a eu une brève rencontre privée avec la Première ministre Giorgia Meloni, dans le cadre champêtre de la Villa Doria Pamphili.Après une inspection de la garde d’honneur, ils ont posé pour une photo alors que les drapeaux britannique, italien et de l’UE flottaient sur le toit de la villa. Mme Meloni défend l’aide à l’Ukraine depuis l’invasion russe en février 2022 malgré de fortes oppositions au sein de sa coalition ultraconservatrice.Le roi a ensuite été conduit à bord de sa Bentley à Testaccio, un quartier populaire de Rome. Dans un ancien abattoir accueillant des événements culturels, il a rencontré des étudiants en théâtre qui ont interprété un extrait d””Othello” de Shakespeare en italien.A l’extérieur du lieu, la plupart des habitants du quartier semblaient indifférents à sa venue.- Dîner de gala -Benedetta Ciarlo, 21 ans, s’est montrée plus enthousiaste, d’autant qu’elle est venue spécialement de Bénévent, près de Naples, pour voir le roi.”Mon personnage royal préféré était le prince Philippe, maintenant c’est Charles,” a-t-elle dit.Pendant ce temps, Camilla a rendu visite à des écoliers apprenant l’anglais et a distribué des prix aux gagnants d’un concours littéraire du British Council.En marge de leur visite, le roi Charles et la reine Camilla ont pu rencontrer le pape François, en convalescence après une pneumonie. “Le pape a exprimé ses meilleurs voeux à Leurs Majestés à l’occasion de leur anniversaire de mariage et a souhaité en retour un prompt rétablissement à sa majesté” Charles III, a indiqué le Vatican dans un communiqué.”Leurs Majestés étaient ravies que le pape soit en assez bonne santé pour les accueillir et qu’il ait pu leur exprimer ses meilleurs voeux en personne”, a déclaré un porte-parole du palais de Buckingham. La rencontre avait été initialement annulée à cause de l’état du souverain pontife.Le couple royal a ensuite célébré son 20e anniversaire de mariage lors d’un dîner de gala au palais du Quirinal, la résidence officielle du président de la République Sergio Mattarella, en compagnie de 150 invités. “Je dois dire que c’est vraiment très gentil de votre part, Monsieur le Président, d’organiser ce petit dîner romantique aux chandelles pour deux”, a plaisanté Charles lors de son toast, dans lequel il a alterné entre l’anglais et l’italien.Au menu du dîner figuraient des pâtes farcies aux aubergines, du loup de mer et des artichauts frits, à la romaine. 

La France pourrait reconnaître l’Etat palestinien “en juin”, dit Macron

Emmanuel Macron a annoncé mercredi que la France pourrait reconnaître un Etat palestinien “en juin” à l’occasion d’une conférence qu’elle coprésidera avec l’Arabie saoudite aux Nations-unies à New York et qui doit aussi conduire, selon lui, à la reconnaissance d’Israël par un certain nombre de pays.”On doit aller vers une reconnaissance (de l’Etat palestinien, ndlr) et donc dans les prochains mois on ira”, a déclaré le président français dans une interview à l’émission “C’est à vous” sur France 5 donnée à son retour d’Egypte mardi et diffusée mercredi.”Notre objectif, c’est, quelque part en juin, avec l’Arabie saoudite, de présider cette conférence où on pourrait finaliser le mouvement de reconnaissance réciproque par plusieurs”, a-t-il ajouté.La conférence vise à la création d’un Etat palestinien. Les appels à une “solution à deux Etats”, palestinien au côté de celui d’Israël, se sont intensifiés depuis le début de la guerre à Gaza, déclenchée par l’attaque du Hamas sur Israël le 7 octobre 2023.Près de 150 pays reconnaissent l’Etat palestinien. En mai 2024, l’Irlande, la Norvège et l’Espagne ont ainsi franchi le pas, suivis par la Slovénie en juin. La solution à deux Etats reste toutefois rejetée par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.”Je le ferai (…) parce que je pense qu’à un moment donné ce sera juste et parce que je veux aussi participer à une dynamique collective, qui doit permettre à tous ceux qui défendent la Palestine de reconnaître à leur tour Israël, ce que plusieurs d’entre eux ne font pas”, a relevé le chef de l’Etat.- “Dans la bonne direction” -Cela permettra également “d’être clair pour lutter contre ceux qui nient le droit d’Israël à exister, ce qui est le cas de l’Iran, et de nous engager sur une sécurité collective de la région”, a insisté le président français.En 2020, les accords d’Abraham ont mené à la reconnaissance d’Israël par les Emirats arabes unis, Bahreïn, le Soudan et le Maroc. L’Arabie saoudite qui avait aussi entamé des négociations pour un rapprochement avec Israël les a en revanche suspendues depuis le début de la guerre à Gaza, conditionnant toute reconnaissance à la création d’un Etat palestinien. L’Autorité palestinienne a aussitôt salué l’annonce d’Emmanuel Macron. Une reconnaissance par la France “serait un pas dans la bonne direction, conforme à la défense des droits du peuple palestinien et à la solution à deux Etats”, a déclaré à l’AFP Varsen Aghabekian Shahin, ministre d’Etat aux Affaires étrangères.Le président français a apporté lundi au Caire son soutien au plan arabe pour Gaza, s’opposant “fermement aux déplacements de populations” face aux ambitions de Donald Trump.L’initiative arabe se veut une réponse au plan du président américain qui prévoit de prendre le contrôle du territoire palestinien et d’en expulser ses habitants.Préparée par l’Egypte, elle ambitionne de reconstruire la bande de Gaza, détruite par 15 mois de guerre entre Israël et le Hamas, sans déplacer ses 2,4 millions d’habitants. – “Pas un centime” -Le plan met de facto à l’écart le mouvement islamiste palestinien et prévoit un retour de l’Autorité palestinienne, chassée du territoire en 2007 par le Hamas.Face au “blocage humanitaire” à Gaza, où Israël a repris ses opérations militaires le 18 mars après deux mois de trêve, “il nous semble prioritaire de redemander urgemment un cessez-le-feu de quarante à cinquante jours”, a ajouté Emmanuel Macron dans les colonnes des quotidiens français La Croix et Libération.Pour tenter de convaincre Benjamin Netanyahu d’accepter une nouvelle trêve et le déblocage de l’aide, il demande aussi la libération d’une dizaine d’otages, “selon les discussions que les Egyptiens mènent en lien avec les Qataris et avec le Hamas”.Le président français affirme aussi que “le Hamas ne sera pas éliminé par la voie militaire”, “c’est une hydre”, et plaide pour une sortie négociée de ses principaux cadres de Gaza: “l’Egypte, le Qatar, la Turquie savent le faire et on doit les aider.”Interrogé sur le projet de Donald Trump d’en faire la “Riviera du Moyen-Orient”, Emmanuel Macron martèle que la bande de Gaza n’est “pas un projet immobilier”.”Le simplisme, parfois, n’aide pas. Je dis au président Trump: (…) +C’est vrai que c’est trop lent tout ça, je comprends ton impatience, peut-être ce serait formidable si un jour ça se développait de manière extraordinaire, mais là, notre responsabilité, c’est de sauver des vies, de retrouver la paix et de négocier un cadre politique+”, a-t-il souligné.”Si tout cela n’existe pas, personne n’investira. Aujourd’hui personne ne mettra un centime à Gaza”, a-t-il martelé.

Passe d’armes diplomatiques entre Chine et Etats-Unis autour du canal de Panama

Passe d’armes diplomatiques entre la Chine et les Etats-unis autour du canal de Panama. Le secrétaire à la Défense américain affirme que les Etats-Unis doivent faire preuve “de fermeté” avec Pékin qui a dénoncé des “attaques malveillantes” de Pete Hegseth en visite dans le pays centraméricain.”Nous ne cherchons pas la guerre avec la Chine. Et …

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